Ah “l’aigre heurt” en guise de lucidité… Celui ou celle qui cherche de l’or doit s’apprêter à déplacer des tonnes de gravats avant de trouver SA pépite ou une pépite. Combien de fois a-t-on lu ça, vécu ça, homme, femme… l’aigreur, la lassitude, l’amertume… côté dhom côté domina, et nous cherchons encore celui ou celle qui sera au-delà d'une apparence, le, la, complémentaire intelligent, intelligente, sincère, entier, entière, vrai, vraie… Qui veut d'une soumise idiote ? Qui veut d'un dhom idiot ? Vagin sur patte ? Tête à queue ? Si le bdsm n'est qu’une histoire “deux sexes”, il manque l’Histoire de deux personnes qui se rencontrent et non se “rangs contrent”. Les prestataires de sévices vivent des deux côtés. Les femmes mariées cherchant la discrétion… les hommes mariés idem… les queutards, les chatardes, … Lucidité dites-vous ? Qui d'entre tous ceux et toutes celles qui cherchent ne le sont pas ? bref… même triste constat d’amertume et de colère intelligibilisée pour encore jeter une “ancre à l’amer"… L'inattendu(e) vous, nous, fait encore peut-être rester par ici, ou regarder par là-bas ?
Vous maniez les métaphores comme d’autres agitent leur ego : avec application mais sans écouter.
Vous parlez de gravats, d’amertume, de quête universelle bref, de tout, sauf du fond. Je ne cherche pas l’or.
Je cherche juste le vrai, sans enjoliver le sable.
Et si mon texte vous semble “amer”, peut-être est-ce parce qu’il ne flatte pas les illusions que vous préférez garder intactes. Je ne jette pas “une ancre à l’amer”, je relève simplement celles qui stagnent depuis trop longtemps dans la vase.
La nuance est là : moi, je ne philosophe pas sur la boue, je marche dedans les yeux ouverts.
Dernière modification le 11/10/2025 00:25:51 par melyara.
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