je lance une autre piste pour traiter ce sujet, inspirée par une expérience très récente : et si cette tierce personne, cet homme soumis avait comme seule vocation de rester virtuel, de constituer une sorte d'alter ego imaginaire à humilier ; qui permet d'exorciser le sentiment d'infériorité présent chez l'homme qui se veut dominant auprès de sa partenaire ?et si cette production fantasmatique était une tentative de sublimer une pulsion auto-destructrice, de mieux vivre avec cette envie tenace de disparaître, de s'effacer, de détériorer son propre corps et son propre esprit pour retourner au calme, alors même que tout va bien ?ou encore : cela révèle-t-il plutôt un désir de soumission mal assumé ? tendance à l'auto-destruction est-elle forcément associée à penchant pour la soumission ?ça parle à quelqu'un ou alors je suis vraiment fracassé du bulbe ?
Soyez la première personne à aimer.

