Monsieur,
Je vous attendais secrètement sur ce fil bien que je ne me serais pas permise de vous y invité... Je remercie Maître Koi de l'avoir fait d'autant que cela renforce sa vision de la chose.
Concernant les Freudiens et autres ayatollahs, je suis totalement d'accord avec vous. Et je valide pour en avoir pleinement compris le sens tout ce que vous avez écrit avant.
Votre suggestion m'a fait rire et j'attends avec impatience que Masterlau en prenne connaissance. Je pourrais même me permettre de lui dire "je crois que tu as un message sur mon fil"...
Même si j'apprécie votre envie participative de m'aider dans cette quête, je crains que, là encore, ce ne soit pas la solution et ceci pour plusieurs raisons :
- mon Maître aime à contrôler son propre plaisir (éjaculation) et si je lis nombre de Maîtres qui se "vident" dans leurs soumises, c'est extrêmement rare at home. Là encore, j'en ai pris mon parti...
- dans votre proposition, le fait qu'il me dise "comme ci ou comme ça" privent de fait mon pouvoir d'initiative et donc on revient dans la "problématique initiale"...
- je serais totalement désarmée car je prends largement ma part de responsabilité dans cet imbroglio. Fondamentalement, je ne puis agir sexuellement librement avec Masterlau car il est mon Maître et non pas mon "mec", mon amant et encore moins mon "sex-friend". Le blocage est dans ma tête ! J'aurais le sentiment de le réduire à l'objet sexuel de mon désir et c'est bien cela qui m'est insupportable.
On avait même envisagé d'éteindre la lumière et qu'il n'ordonne rien...mais sa peau, son odeur, son corps... tout chez lui me renvoie à la soumission et c'est paradoxalement que je finis par me jeter à ses pieds afin qu'il me "reprenne". Je suis empruntée d'une liberté non surveillée. J'ai conscience de tout cela mais c'est juste que, par moment, il m'arrive d'être nostalgique d'avoir si bien su faire l'amour et de ne pas lui faire profiter de mes talents.
- quant à "se marrer" ou du "D/S coincé", partageant un H24, nous trouvons suffisamment de temps pour ces moments de complicité tout en fous rires pour qu'en séance, il prenne les rênes de manière efficace durant laquelle "on ne se marre pas" ! Et si toutefois, me prenait l'idée de faire ma maligne durant ces instants (brat'attitude), il saurait vite fait me remettre dans le décor !
Grâce à vous tous, on avance...merci !
B
Je vous attendais secrètement sur ce fil bien que je ne me serais pas permise de vous y invité... Je remercie Maître Koi de l'avoir fait d'autant que cela renforce sa vision de la chose.
Concernant les Freudiens et autres ayatollahs, je suis totalement d'accord avec vous. Et je valide pour en avoir pleinement compris le sens tout ce que vous avez écrit avant.
Votre suggestion m'a fait rire et j'attends avec impatience que Masterlau en prenne connaissance. Je pourrais même me permettre de lui dire "je crois que tu as un message sur mon fil"...

Même si j'apprécie votre envie participative de m'aider dans cette quête, je crains que, là encore, ce ne soit pas la solution et ceci pour plusieurs raisons :
- mon Maître aime à contrôler son propre plaisir (éjaculation) et si je lis nombre de Maîtres qui se "vident" dans leurs soumises, c'est extrêmement rare at home. Là encore, j'en ai pris mon parti...
- dans votre proposition, le fait qu'il me dise "comme ci ou comme ça" privent de fait mon pouvoir d'initiative et donc on revient dans la "problématique initiale"...
- je serais totalement désarmée car je prends largement ma part de responsabilité dans cet imbroglio. Fondamentalement, je ne puis agir sexuellement librement avec Masterlau car il est mon Maître et non pas mon "mec", mon amant et encore moins mon "sex-friend". Le blocage est dans ma tête ! J'aurais le sentiment de le réduire à l'objet sexuel de mon désir et c'est bien cela qui m'est insupportable.
On avait même envisagé d'éteindre la lumière et qu'il n'ordonne rien...mais sa peau, son odeur, son corps... tout chez lui me renvoie à la soumission et c'est paradoxalement que je finis par me jeter à ses pieds afin qu'il me "reprenne". Je suis empruntée d'une liberté non surveillée. J'ai conscience de tout cela mais c'est juste que, par moment, il m'arrive d'être nostalgique d'avoir si bien su faire l'amour et de ne pas lui faire profiter de mes talents.
- quant à "se marrer" ou du "D/S coincé", partageant un H24, nous trouvons suffisamment de temps pour ces moments de complicité tout en fous rires pour qu'en séance, il prenne les rênes de manière efficace durant laquelle "on ne se marre pas" ! Et si toutefois, me prenait l'idée de faire ma maligne durant ces instants (brat'attitude), il saurait vite fait me remettre dans le décor !
Grâce à vous tous, on avance...merci !
B
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