leather a dit...
Posons peut être la question dans l'autre sens:
Quid de la conciliation avec les envies de soumission, qu'elles soient culturellement acquises ou instinctives, innées, qui s'expriment dans le cadre privé, avec les nuances propres à chacun dans leur expression...
Avec le besoin de défendre un droit à la liberté, à l"autonomie, y compris pour soi même , pour le genre sexué auquel on appartient?
Sur quels ressorts s'appuye-t-on pour nourrir son féminisme lorsque l'on aspire sincèrement à s'épanouir dans la soumission?
Bonne question, merci de l'avoir posée.
Soyez la première personne à aimer.