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C'est dangereux de mettre en garde contre la bonne conscience de celui qui obtient d'autrui son consentement ? De dire qu'en plus des règles courantes sur le consentement ("oui c'est oui", "non c'est non"), il faut rester conscient que derrière un oui il peut y avoir un non, et qu'à l'inverse, même si derrière un non il peut y avoir un oui, dans le doute, il faut voir le non comme un non catégorique ? C'est dangereux de dire que, dans le doute, mieux vaut en faire moins que plus ?
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