#
#5
Personnellement, je me suis aperçu que selon les jours, les moments, je peux plus ou moins supporter des douleurs sur les petites boules. Par moments donc, j'ai ressenti, un peu par recherche personnelle, que je pouvais apprécier une façon très particulière de vivre cette sensibilité : il s'agit de toutes petites frappes dessous, mais dans un rythme qui se répète puis s'accélère pendant que les frappes deviennent plus fortes. Je ressens alors un tourment qui grandit vers douleur mais pas insurmontable au début, ainsi qu'un courant qui monte en devenant constant, se déplaçant toujours plus haut le long de la colonne vertébrale et autant que je parviens à le supporter, ce courant m'excite pas mal. Je ne l'ai jamais supporté plus haut que le bas du dos quand même et le dosage des frappes en intensité et en rythme reste essentiel pour réussir à supporter, encore faut-il que le jour soit favorable, car certains jours, la première frappe est déjà trop douloureuse, je ne sais pas expliquer pourquoi. Mais pour la sodomie, il y a aussi pour moi des moments/jours où je peux plus facilement accepter une pénétration ou dilatation, sans expliquer non plus. Je reste tenté par des aiguilles dans les boules, mais aucune de mes dominas passées n'a jamais été tentée par cette pratique.
2 personnes aiment ça.