C'est clair que c'est un sujet sur lequel y'a pas de quoi être fier à bien des niveaux. Plus j'en apprends sur l'histoire de la gauche et plus je me désole de voir cette dissonance qui semble toujours avoir été la entre la théorie et le réel. Y'a que ces bon vieux anars qu'on a jamais pris à faire semblant de défendre la libération des femmes au moins une fois.C'est comme si y'avait toujours eu une partie des "matérialistes" qui ont toujours eu plus peur pour leurs couilles que pour pour le prolétariat, ce qui en dit long sur les guillemets d'ailleurs...
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