Précision liminaire : ce qui suit ne correspond évidemment qu’à ma vision des choses et au lien particulier qui m’unit à mon Maître. Parce que c’est lui.
Je ne prétend pas décider pour les autres ni imposer ma vision de ce qu’est ou doit être le bdsm.
C’est à chacun de définir avec l’ « autre » ce qu’ils entendent vivre ensemble.
Tout engagement est un risque, à n’assumer que si l’on est sûre qu’il vaut d’être pris.
_______________
Dépendance : état de quelqu'un qui est soumis à l'autorité d'autrui, qui n'est pas libre d'agir à sa guise.
et aussi : assujettissement, addiction se manifestant en cas de suppression de son objet par un ensemble de troubles physiques et/ou psychiques.
_______________
J’ai toujours voulu être indépendante, libre de vivre à ma guise, sans avoir à rendre de comptes à quiconque.
Financièrement et surtout sentimentalement.
J’ai choisi un métier qui me permet de ne dépendre de personne et d’en vivre confortablement.
Et pendant toute une période de ma vie, j’ai trouvé sans difficulté sur le net des mecs qui m’ont donné le plaisir que je souhaitais, sans rien me demander d’autre que ce que j’acceptais de leur offrir.
Et puis il y a eu notre rencontre.
Et pour la première fois j’ai ressenti pour un homme un désir qui n’était pas seulement physique, mais émotionnel, cérébral, spirituel.
Parce qu’il a su m’écouter, me comprendre, me faire vibrer.
Ce jour là, mon monde balisé à basculé, en même temps que mes certitudes.
Et pendant que, grâce à lui j’apprenais à vivre, j’ai découvert le doute, la peur du lendemain.
Parce qu’il m’a rendue accro à lui,
dépendante de lui,
droguée de lui.
Pour lui j’ai renoncé à mon confort émotionnel,
et j’ai franchi le pas, oubliant ce que j’étais jusqu’alors,
acceptant de m’offrir, de m’engager,
tout en sachant le risque que je prenais à me rendre ainsi dépendante de lui.
Parce qu’il m’avait fait comprendre que la vie c’est d’abord cela,
et que pour vivre pleinement ses rêves, ses désirs,
il faut pouvoir les partager, quitte à se mettre en danger.
_______________
Mais parfois, quand je me réveille avant lui,
le corps encore meurtri et l’entrejambe humide de nos ébats nocturnes,
et que je le contemple, nu, endormi à mes côtés, son sexe au repos
après qu'il m'ait fouillée toute la nuit jusqu'au plus profond de moi,
je me dis que je suis folle.
Que tout cela n’est qu’un rêve dont je me réveillerai blessée,
le jour où il se lassera de moi,
parce qu’une autre, plus jeune, plus salope, plus soumise
aura décidé de me le voler.
Alors je me raisonne, je me dis qu’il ne tient qu’à moi d’agir pour que cela n’arrive pas,
en me montrant plus chienne, plus salope, plus soumise que toutes les autres,
en le laissant explorer avec moi tous les champs du possible,
pour que nous continuions ainsi, à jouir l’un de l’autre.
Et quand il se réveille, me sourit, me prend dans ses bras,
pendant que monte en lui son désir de moi,
alors mes doutes s’estompent.
Parce que je sais que quoi qu’il arrive,
ce que je vis et que j’aurais vécu avec lui
justifieront toujours ce choix que j’ai fait,
de me rendre dépendante de lui.
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Sir-byke
#4
Mesdames, merci de ces témoignages, partages.
je sais pourquoi je suis ici, avant pour avoir le plaisir de simplement partager des moments uniques, croiser des personnes simples qui ne jouent pas un rôles, mais vivent leur vie.
Merci à femmefemelleesclave de partager ses pensées si intime.
l'impression de découvrir une âme.
Merci à Soumetsmoi d'ajouter également ses pensées.
Pour partager également mon état d'esprit, le bdsm m'a fait découvrir ce lien qui peut unir deux être de façon si intense.
c'est ce qui personnellement me guide dans la liaison et lorsque nous arrivons à la fin d'une histoire, parce que cela arrive, l'un comme l'autre avons la conviction d' avoir partager des moments privilégiés où chacun à pu et su s'épanouir.
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A tous les deux,
Je sais bien que rien n’est éternel, que les choses, une relation, ça évolue avec le temps, ca se transforme.
C’est bien ce que je crains et qui parfois me fait douter.
Mais je veux aussi croire à mes rêves, que l’avenir n’est jamais écrit d’avance, et que si nous ne maîtrisons pas tout, nous avons néanmoins la capacité d’intervenir sur le cours des choses.
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Hugin
#6
Bonjour
Certes FemmeFemelleEsclave ce ne sont que vos mots, mais encore une fois ils font résonner des impressions et du vécu en moi.
Je suis tout à fait d'accord avec vous sur le danger de la dépendance, cette peur que tout s'arrête et de tomber dans les abîmes de la souffrance. Mais à mon sens, comme au votre, le jeu en vaut la chandelle, car le bonheur ressenti lorsque l'on reçoit une attention, un geste, une parole de la source de notre dépendance, le monde devient plus chatoyant et vivre prend enfin un sens (pour moi du moins). Sans compter que, comme vous l'avez dit, c'est à nous, personnes soumises, de faire notre maximum pour que tout cela continue.
Pour ma part je ne trouve pas que c'est le coté éphémère de la relation qui donne ce coté magique, mais le fait d'être possédé corps et âme. Quand Ma Propriétaire me donne quelque chose (un sourire, une réponse, Son plaisir...), mon cœur bat la chamade, mon corps vibre de l'intérieur et mon cerveau flotte comme sur un nuage. Ce sentiment de bonheur me pousse à aller plus loin, à devenir un meilleur soumis, à m'offrir davantage et à La comprendre d'avantage pour mieux La servir et Lui appartenir.
Pour ma part le sentiment de dépendance (et de manque quand L'autre n'est pas là) proviens de La Personne en elle même, ce que qu'Elle est mais aussi de ce qu'Elle m'apporte. Sans Elle je me sens vide alors qu'à Ses pieds je me sens vivant et c'est, pour moi, cette combinaison qui me pousse à aller plus loin et à chercher LA Personne. Je deviens dépendant de Ses désirs et plaisirs, dépendant de Son attention, de Ses pensées, mais même si par moyen c'est frustrant de ne rien recevoir, le plaisir ressenti quand c'est le cas vaut toute l'attente du monde, selon moi.
Le plaisir que vous éprouvez est évident, je vous souhaite qu'il continue à jamais et vous remercie pour ce sujet si intéressant.
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Cher apprentiesclave.
Merci de votre témoignage.
Il démontre, pour compléter ce qui a été dit sur un autre forum, qu’en dépit de nos différences, physiques quant à l’objet de nos désirs, que nos « ressentis » se recoupent, que nous soyons soumis ou soumises.
Concernant par contre votre dernier propos, sans doute me suis-je mal exprimée.
Ce n’est pas le côté éphémère de la relation que je trouve « magique ». Au contraire, c’est ce que je crains.
Ce que j’aime, ce n’est pas l’éphémère, ce que je veux au contraire c’est que cette relation ne soit pas juste un moment, une parenthèse, mais qu’elle s’inscrive dans la durée.
Et ce qui (commence) à me rassurer, c’est qu’après deux ans, ça continue et que je me sens encore plus « dépendante » de lui aujourd’hui qu’hier.
Quant au fait que ce sentiment est lié à lui, je suis totalement d’accord avec vous.
Je ne le l’avais jamais éprouvé avant, pour un autre.
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@soumetsmoi.
Je sais que mon propos peut paraître mièvre et ressembler à de la littérature de gare ou aux rubriques sexo ou courrier du cœur de magazines qui ne sont pas ma tasse de thé.
Et je sais que ce que j’ai essayé d’exprimer, c’est ce que d’autres appellent « amour », le bdsm en plus.
Mais justement, si aujourd’hui, je tourne autour de cette notion, c’est parce qu’elle est nouvelle pour moi.
Et ce mot, « aimer », « amour », je m’étais jusqu’ici toujours refusée à le prononcer.
Parce qu’il me semblait trop vague, galvaudé, mis à toutes les sauces.
Avant, pour moi, les choses étaient claires, le boulot, les amis d’un côté, et les mecs pour le sexe. Et uniquement ça. Pas de sentiments, pas d’attaches.
Alors oui, tout ca, cette perte de contrôle de ma vie, peu importe le nom qu’on lui donne, ca me fait peur.
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Parfois
Soyez la première personne à aimer.
@soumetsmoi.
On ne ré-écrit pas l’histoire.
Me suis-je privée de vivre « une belle histoire » ?
Peut être. Ou pas.
En tout cas, ce n’est pas le sentiment que j’avais à l’époque.
Ni ce que je souhaitais. Ni ce que souhaitaient ceux qui me baisaient.
Et puis, il y a eu Maxime
Et au départ, ce qui n’était (pour moi) que la recherche d’un plan cul comme les autres, la « consommation immédiate » (dont il m’a privée pendant près d’un mois !), a pris un tour complètement différent et a changé ma vision des choses.
Parce que le courant est passé, qu’il y a eu l’étincelle.
Alors, non, je ne regrette rien.
Parce que toute cette époque de ma vie m’aura en fait beaucoup appris, sur moi, sur les autres, mes désirs en ce qui concerne le sexe, comment faire jouir les mecs.
Et préparée pour lui.
Soyez la première personne à aimer.
Hugin
#15
Chère FemmeFemelleEsclave
Vos propos ont été très claire quand à Votre peur que cela s'arrête et j'ai trouvé très pertinente votre décision de tout faire pour que cela continue :
"Alors je me raisonne, je me dis qu’il ne tient qu’à moi d’agir pour que cela n’arrive pas,
en me montrant plus chienne, plus salope, plus soumise que toutes les autres,
en le laissant explorer avec moi tous les champs du possible,
pour que nous continuions ainsi, à jouir l’un de l’autre."
SI j'ai fait référence au côté éphémère, c'est principalement par rapport à une remarque de Soumetsmoi, j'aurais du la citer pour éviter tout quiproquo.
Soyez la première personne à aimer.
Pas de souci, Cher Apprentiesclave.
Cela m'aura permis de préciser ce que je ressens.
Par contre, si je puis me permettre une remarque, dont vous ferez l'usage que vous voudrez, n'abusez pas trop des majuscules comme vous le faites.
Que vous écriviez Maîtresse, oui, cela fait partie des usages.
Mais systématiser les majuscules ne se justifie pas.
A mon sens
Soyez la première personne à aimer.
Hugin
#17
Je prend note de votre remarque et vous n'êtes pas la première personne à me le dire.
Au départ c'était juste une personne, mais comme plusieurs me l'ont dit, je vais envisager de revoir mon opinion la dessus.
Merci pour votre remarque chère FemmeFemelleEsclave et le tact dont vous avait fait preuve.
Soyez la première personne à aimer.
Merci La Secrétaire.
Moi aussi, dans mon quotidien, je suis tout sauf soumise, et encore mon maso.
Et pourtant, je le suis, je veux l’être avec lui.
Pour lui
Soyez la première personne à aimer.
Dépendance - post scriptum
J'ai publié ce texte en juillet.
A l'époque, depuis mars, depuis le début du confinement, je vivais chez celui auquel j'avais choisi de m'offrir, deux ans auparavant.
Pour moi, c’était une manière de tester la vie à deux, qui plus est dans une relation BDSM, une relation dans laquelle il serait à la fois mon compagnon et mon Maitre, mais en conservant toujours la possibilité pour moi de revenir en arrière.
Parce que cet acte si banal que de m’installer chez lui, de vivre avec lui, de partager sa vie, signifiait un changement total par rapport à ce que j’avais connu jusqu’alors, cette vie facile qui était la mienne, dans laquelle je n’avais de comptes à rendre qu’à moi-même.
Un risque.
Celui de m’engager, de sortir enfin de mon fonctionnement égoïste d’adolescente gâtée.
J’ai accepté.
Pour voir.
Lui, c’était son désir depuis longtemps que nous nous lancions dans cette aventure commune, la vie à deux.
Pourtant, jamais il ne m’avait mis la pression, ni exigé, ni menacé.
Il se contentait de proposer, d’attendre.
Que je murisse, que je grandisse.
Enfin.
_______________
Quand j’étais ado, la vie m’apparaissait comme le champ illimité de tous les possibles.
C’est sans doute la raison pour laquelle j’ai si longtemps refusé de m’engager.
Pour maintenir ouvert le champs de tous ces possibles.
Mais la vie, il m’aura fallu du temps pour le comprendre, ce n’est pas une autoroute rectiligne.
Ce sont aussi des chemins de traverse, des bifurcations que l’on prend ou pas.
Se fermant ainsi d’autres possibles.
En même temps vivre, même s’il m’aura fallu du temps pour le comprendre, ce n’est pas rester toujours une ado gâtée.
C’est aussi choisir, renoncer à certains possibles pour s’engager. Vraiment. Pleinement.
Et je mesure aujourd’hui qu’il est bon parfois de grandir.
_______________
Après le confinement, il y a eu l'été, nos vacances ensemble.
Cette intimité, cette complicité qui s'était créée entre nous durant ces mois de vie commune.
Cette découverte de lui dans son environnement, son quotidien.
Le plaisir de me réveiller à ses cotés, le corps encore meurtri de ce qu'il m'avait fait subir durant la nuit,
et de pouvoir admirer son corps endormi, son sexe au repos qui quelques heures avant m'avait conduit jusqu'aux étoiles.
Ce désir, ce besoin de lui, toujours plus fort.
Alors, le confinement terminé, la vie reprenant un cours plus ou moins normal (plutôt moins d’ailleurs, merci le Covid !), les vacances finies, il m'a fallu choisir.
Continuer comme avant, garder mon appart, en vivant chacun de notre côté, pour ne partager que des moments de plaisir éphémères.
Demeurer ce que j'avais toujours été, libre, indépendante, décidant seule de ce que serait ma vie.
Ou au contraire accepter cette dépendance, dont je ressentais l’impérieux besoin pour tenter de construire avec lui quelque chose, un nous qui ne soit pas seulement l’addition de deux je.
Me remettre en cause, m'engager.
_______________
Vivre à deux est une aventure.
Parce que rien n'est jamais acquis.
Surtout quand cette vie s'intègre dans un fonctionnement qui n'est pas la norme.
Mais j'ai choisi.
Choisi pour la première fois de ma vie de me lancer dans l’aventure, de prendre des risques, en assumant pleinement ma « dépendance » à lui.
Non pas financière, cela n'a jamais été un enjeu.
Mais affective, psychologique, physique, sexuelle.
Alors, je lui ai enfin fait ce cadeau qu'il espérait depuis le début de notre relation.
Celui de m''engager enfin, comme lui l'avait fait, bien longtemps auparavant, sans jamais m'imposer ses choix.
En me laissant le temps d'évoluer, de m'accepter pour finalement décider.
Pour lui rendre un peu de ce qu'il m'avait donné sans compter.
Quand j'ai restitué les clés de mon appart,
quand nous avons transporté chez mes parents les derniers meubles que je voulais conserver,
quand pour la dernière fois il m'a baisée dans cet appartement vide dans lequel j'avais vécu des années qui avaient malgré tout été belles,
alors, étrangement, je n'ai rien ressenti que le sentiment paradoxal d'une autre liberté.
Celle de vivre enfin, d'avoir décidé, choisi, sans contrainte de sa part ni de quiconque,
de poursuivre mon chemin à ses côtés,
pour devenir ce que je voulais être,
sa compagne dans la vie, son esclave la nuit.
_______________
En relisant mes mots de juillet, je n'ai rien à rajouter ni à retirer.
A l'époque, mon texte et ce mot de « dépendance » m’avaient valu des critiques de la part de certains, qui considéraient que ce terme, dépendance, ne pouvait que traduire une relation malsaine, toxique.
Je n’ai jamais vécu comme telle ma « dépendance » à lui.
Parce qu'une dépendance n'est jamais toxique, malsaine, lorsqu'elle repose sur un désir partagé, la confiance, le respect.
Si, j’ai quand même quelque chose à rajouter, un regret.
Celui d'avoir attendu si longtemps avant de décider,
en le laissant porter seul tout le poids de ce qu'il attendait que j'accepte enfin de construire avec lui.
Nous.
________________
Je sais, Maxime, que longtemps, ce « nous », tu as été le seul à y croire.
Mais désormais nous sommes deux, non seulement à y croire mais à vouloir le faire vivre ensemble.
Merci pour cela, pour ta patience, ta confiance en moi, celle que tu m’a donnée en toi, et surtout en moi.
Pour m’avoir enfin libérée de la Laure d’avant.
Pour devenir celle que grâce à toi je suis devenue.
Non plus une ado égoïste mais simplement une femme, débarrassée de ses doutes et de ses vieux démons.
Fière désormais de partager ta vie.
Pour ton plaisir et le mien.
Et même si c’est important pour toi autant que pour moi, ce n’est plus seulement de sexe dont il est question entre nous désormais.
Mais bien de toi, de moi, de nous.
Merci, Maxime, de m’avoir rendue dépendante à toi.
Et surtout, merci de m’avoir permis de t’aimer.
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Dernière modification le 24/10/2020 08:13:36 par FemmeFemelleEsclave.
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Sir-byke
#21
Toujours vos mots forts, puissant, sans détour.
Le partage de ce que vous êtes, votre chemininement, une mise à nue de vous sans tomber dans les travers.
C'est touchant, poignant, une belle déclaration d'amour aussi.
Ce mot si fort qu'il vous était impossible à concevoir, dire.
J'aime ce que vous exprimez et la façon dont vous exposez le rôle de Maxime.
Il joue pleinement son rôle de Dominant en étant à vos côté et libérer la femme.
Patiemment, il vous laisse faire votre chemin, en étant clair sur ses intention et sans vous imposer quoi que ce soit.
Il est bon aussi de mettre l'échelle de temps, et oui, ce temps si précieux, mais vous exprimez une évidence, l'épanouissement du couple BDSM ou pas se fait sur le temps. Rien ne se fait en un jour et surtout pas l'épanouissement perzonnel.
Maxime n'a pas cherché à vous imposer sa vision, il vous a suggérer la direction qu'il voulait prendre et il vous a laissé votre totale liberté.
Vous avez décidé de vous lier à lui, avec le renoncement aussi d'une partie de vous, mais avec cette vie devant vous.
Il a su vous donner confiance dans la vie, le futur, dans vous, dans vous deux.
Je vois une relation de construction, pas de destruction, et c'est à mes yeux le plus important.
Un beau témoignage de ce qu'une relation apporte, doit apporter.
Belle continuation à vous 2.
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Merci, Cher SirByke.
Oui, le BDSM, peu importe ce que l'on met derrière chacune des lettres de l'acronyme, les parts respectives de domination, de soumission, de SM pur et dur, c'est comme ça que je le vois aujourd'hui.
Une voie dans laquelle on choisit de s'engager, un cheminement, une construction,
Tout sauf quelque chose qui nous détruit.
Tout le contraire même.
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