Gloup.Que dire ?Si ce n'est que je suis rouge de confusion, en vous lisant, chère Lady, et que j'ai envie de filer me cacher dans un trou.Sinon, chacun écrit avec ses mots, sa sensibilité et, pour moi, au delà du style et du vocabulaire que l'on emploie, ce qui importe c'est le fond et la sincérité.Ce que j'appelle la vérité de l'individu, ce qu'il est au plus profond de lui.Le reste, ce n'est que de la forme, de l'apparence._______________Quant à cette notion de "s'abandonner", qu'aujourd'hui je ressens si fortement, il n'en a pas toujours été ainsi.Que vous, compte tenu de ce que vous êtes, ne la ressentiez pas n'est en rien anormal.Je ne demande pas à mon Maitre de "s'abandonner", ce n'est pas ce que j'attends de lui.Au contraire, ce que j'attends de celui qui me domine, c'est qu'il soit dans son rôle, exigeant mais attentif, soucieux de moi en même temps que de son plaisir à lui.Cela, vos écrits le démontrent, vous l'êtes assurément avec ceux que vous prenez en mains.C'est un sentiment très particulier que celui de s'abandonner.Qui mélange la crainte, incontrôlable parce que physique, parce qu'une cravache qui s'abat sur une poitrine offerte, ça fait mal, et en même temps une sensation de plénitude qui résulte de la confiance, aveugle, que l'on éprouve pour celui qui s'en sert.Il m'a fallu longtemps pour découvrir ce sentiment, l'accoutumer, le désirer.Un seul homme a été capable de m'emmener à ce besoin de m'abandonner ainsi à lui.Et aujourd'hui, oui, ce sentiment si particulier participe pleinement de mon plaisir.
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