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Théory
#6
Séance trois.
Il y eut seulement six jours entre la deuxième séance et celle-ci. Il y avait comme quelque chose d'inévitable.
Nous nous voyions en dehors des séances et au fur et à mesure de l'approche du jour J elle se montrait de plus en plus impatiente. En public, elle se tenait toujours plus près de moi. Sa main m'effleurait discrètement ou passait dans mes cheveux. Je dus la reprendre à plusieurs fois. A la vue de sa situation, il fallait se montrer discret.
Je ne sais pas si nous avons été "grillé"durant notre relation. Une fois, un "vous êtes trop mignon.". Mais comme nous ne sommes pas des enfants de 7 ans, il n'y eu pas de bégaiement, rougissement et silence gêné. Juste un "Bein toi, non" (médaille de bronze 2016 de répartie aux JO de pékin).
Je pense qu'elle avait beaucoup d'attentes pour cette troisième séance. Déraisonnées au regard du peu de connaissance que j'avais de ses goûts et envies (pour la bonne raison qu'elle était sûrement autant dans l'inconnu que moi). Néanmoins, j'avais décidé de monter d'un niveau pour cette troisième séance. Nous avions jusqu'à présent joué mais je voyais qu'elle pouvait/voulait aller plus loin. Le deal était toujours de garder le mystère sur le déroulement de la séance.
Elle me rejoint chez moi le jour J, impatiente.
Elle se mit en position d'attente sans attendre. Je vis l'excitation dans ses yeux, il ne faut pas être un grand devin sur la finalité du jour.
Je m'assis dans mon siège comme à mon habitude.
Je lui expliquai la notion de mot de sécurité. Les séances allaient s'intensifier et elle devait disposer d'un moyen d'en sortir si quelque chose n'allait pas.
Je lui précisai aussi que le but était quand même qu'elle y trouve son compte et qu'il fallait mieux avancer lentement mais sûrement plutôt que trop vite quitte à en être dégoûtée.
Il lui fallait un mot qui dénote avec ce que nous faisions, qui soit sans appel.
Elle choisit "parpaing" car cela lui faisait penser à moi, à mon travail.
Je suis agent immobilier et il y a tout un tas de mot qui me viendrait à l'esprit avant parpaing.
Bon, elle aurait choisi "stephane plaza", je l'aurai mal vécu.
Mais c'était son choix.
J'avais fabriqué pour l'occasion divers accessoires pour la séance.
Une badine en canne, bien souple.
Un système pour l'attacher et l'écarteler (dans la limite du raisonnable).
Un système d'attache en corde tressée.
Elle se déshabilla et je jouai avec son corps, comme à mon habitude. Pour la préparer, la mettre en condition. Je la sentis très excitée si bien que j'aurai pu la faire jouir assez facilement. Mais ce n'était pas le but actuel.
" - J'ai une surprise pour toi. Tends les bras. "
Elle me regarda interrogative.
Une claque sur ses fesses la motiva un peu plus.
J'attachai chacun de ses poignets avec une attache en corde m'assurant de serrer suffisamment.
" - Tu aimes?
- Oui, monsieur. Merci, monsieur. "
Bingo!
Je lui fixai aussi des attaches aux chevilles.
Je fixai les cordes aux attaches et l'installai dans la position adéquat.
Debout, jambes écartées et les bras tendus vers le haut, elle regardait devant elle fixement.
Je disposai devant elle la badine ainsi que divers objet dont l'utilité ne laissait de place au doute.
"- Avec ou sans ?" lui dis-je en montrant le foulard.
Elle se raidit et me fit signe que ce serait trop.
J'avais ce truc, un espèce de fagot de brindilles. Sûrement un vestige de je-ne-sais-où. Je lui avais enfin trouvé une utilité.
Je le tapotai doucement sur son corps, insistant sur ses seins, son bas ventre et ses fesses. Ponctuellement, j'augmentai la force de mes coups, elle sursautait alors, son corps se contractant.
Quand elle fut prête, je passai à la badine. Derrière elle, je la glissai entre ses lèvres, tirant vers moi.
" - J'espère que tu es prête. "
Mon premier coup claqua dans le silence de la pièce.
Elle laissa échapper un cri.
Je devais faire attention à ne pas laisser de marque irrémédiable. Heureusement pour moi, elle n'était pas habitué et une moindre force suffisait à lui arracher une réaction sympathique.
Je replaçai les pinces sur ses tétons mais sans le poids.
Voyant que mes coups commençaient à laisser des petites stries, je passai à une règle plate en métal, moins à même de laisser des marques sur son corps.
J'alternai les coups puis passai mes mains sur les zones frappées, sentant la chaleur de sa peau sous mes doigts.
Si mes coups la faisaient crier, mes mains la faisaient soupirer.
Je lui fis prendre la position de notre première séance, les bras en arrière et tirés vers le haut. Comme précédemment, j'avais testé les positions afin de me rendre compte de la difficulté de la chose. Si cette position n'était pas dure à tenir, on sortait de là avec des douleurs aux épaules et aux bras si on se soutenait trop avec leur aide.
Ses jambes écartées dévoilaient son sexe et un examen me confirma ce que je soupçonnai voir espérai. Elle était trempée.
Je me concentrai sur ses cuisses, cibles de toutes mes attentions. Je les vis rougir sous mes coups.
Je m'attardai sur l'intérieur.
Après un moment, le son des coups changea. Son excitation coulait sur ses cuisses rendant le clac beaucoup plus humide.
J'alternai les intensités et ses cris de "douleur" se transformèrent en grognements de plaisir.
Elle avait du mal à garder la position, tirant sur les cordes, ses jambes se tordant, se pliant.
Sa peau avait pris un joli teint rouge et je dus cesser avant que cela ne vire au bleu.
Je l'aidai à se relever et la détacha. Elle était chancelante et se tint à moi pour ne pas tomber. J'introduisis deux doigts en elle pour l'achever.
" - S'il te plaît. "
Je pinçai son clitoris pour lui faire sentir mon mécontentement.
" - S'il vous plaît, monsieur. "
Sur mon invitation, elle déboutonna ma chemise, passant ses mains sur mon torse.
Je la saisi par les cheveux, relevant sa tête pour l'embrasser pour la première fois. Elle colla sont corps contre le mien et je sentis la chaleur de sa peau malmenée rayonner.
Sa main se fraya un chemin vers mon entre-jambe mais je la repoussai vers le lit.
Marie s'allongea sur le dos, écartant ses cuisses et ses bras pour m'accueillir.
Je dégageai mon pantalon et vins sur elle.
La pénétration fut plus qu'aisée et elle m'accueillit avec un long soupir.
Dire que nous attendions ce moment est un euphémisme. Je l'ai voulu ainsi et elle l'a accepté.
Ce ne fut pas très long, nous n'en avions pas la nécessité. Mes doigts étaient entremêlés aux siens que je plaquai au lit. Je la dominai de ma force et de mon corps. Elle se laissa complètement faire, cherchant seulement ma bouche de sa langue.
La jouissance arriva très vite. Contrairement à la séance précédente, ce fut intense. Elle se contorsionna, essayant de se libérer de mon emprise. Son corps se arqua et se recroquevillant par phases. Elle me brisa deux doigts dans un spasme de plaisir (adieu l'escalade pendant un mois)
Nous sommes restés comme cela un moment. Je savourai les spasmes qui traversaient sporadiquement son corps. Puis m'allongeant, je la pris contre moi.
Elle regardait l'entrave à son poignet et alors que je voulus lui enlever, elle me fit signe que non. A ce moment là, elle m'appartenait déjà. Je ne le savais juste pas encore.
Après la séance, elle passa un long moment dans la salle de bain. J'appris plus tard qu'elle le passa à se regarder dans le miroir, à admirer sa peau rougie et les marques à ses poignets.
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