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Théory
#12
Avant d'aller plus loin, je voulais faire un point avec elle. Sur ce qu'elle avait aimé, ce qu'elle désirait, ses envies.
La bougresse n'était pas très communicative à ces sujets et je dus faire preuve de finesse pour l'amener à s'ouvrir.
Non pas qu'il fut dur de lui faire dire ses envies mais celles-ci restaient très "bateau" et je sentais qu'il y avait plus. Des choses dont elle avait, soit honte, soit … heu... bein je sais pas.
Mais j'ai une technique pour ça. Je l'utilise souvent avant de coucher pour la première fois avec une femme. Les premières fois... souvent banales ou pas terribles.
En même temps, chaque personne est différente donc il n'y a pas de méthode miracle, de marche à suivre à appliquer invariablement (et tant mieux).
Je disais donc, je commence toujours par discuter un peu. Qu'est-ce que tu aimes, comment tu l'aimes.... bla, bla, bla. Puis je décris ce que moi j'aime. Du plus classique au plus "particulier". J'ai l'impression que sur le plan sexuel, la tendance au "particulier" est souvent mise au secret par honte, par peur du jugement de l'autre ou de son rejet. Perso, aucune femme n'est partie en courant après la liste non-exhaustive de mes pratiques. J'ai eu droit à du "ah ça, non merci" ou du "ah ouais quand même".
Mais comme je précise bien que le but ce n'est pas de tout faire mais bien de connaître un champ des possibles, alors tout va bien. Et des fois, il y a de bonnes surprises.
J'aime beaucoup (trop?) l'anal. Aller hasarder un doigt entre les fesses de madame au premier soir est un peu périlleux, alors que si on en parle avant, ça libère la parole. Certaines qui voulaient tenter sans oser en parler, d'autres qui adoraient ça, bref, c'est que du bonheur!
C'est ce que je fis avec Marie, sans prendre en compte les spécificités de notre relation.
Je voulais l'attacher, la fesser avec toute sorte d'objet, la sodomiser, lui baiser la bouche au plus profond, l'exhiber en public, la mettre au supplice pendant des heures, la soumettre mentalement, la marquer.... et j'en passe.
Il est clair que certaines choses ne seraient pas faisables.
" - Tout ça ?
- Et bien plus dont je n'ai pas encore l'idée. Mais ne t'inquiètes pas, ça viendra.
"
Elle me parla de beaucoup de choses, surtout des questionnements par rapport à son attrait de la chose. Tout comme moi, ses envies venaient de ses lectures, de sa culture .
Néanmoins il en ressortit deux points importants.
Tout d'abord, elle voulait réellement se sentir soumise, dépendante, appartenir à quelqu'un (moi en l’occurrence). Par ce biais, se donner complètement, avoir cette confiance en l'autre qui permet d'être soi-même sans peur (du jugement, du rejet...).
Ensuite, elle voulait être étranglée, asphyxiée.
Elle avait découvert l'effet que cela produisait sur elle lors de précédentes relations vanille (on va dire menthe-chocolat, je préfère) où son partenaire la tenait par la gorge. Elle avait essayé de leurs faire comprendre de serrer plus fort mais ce n'était pas à leur goût. Elle pratiquait cela lors des ses plaisirs solitaires mais ça n'avait pas la même saveur et elle n'arrivait pas à atteindre ce qu'elle désirait.
Elle m'expliqua plus tard dans notre relation qu'elle voulait aussi être "violée". Je le mets ici car c'est plus simple mais cette confession arriva bien plus tard, notre relation bien plus forte et la confiance qu'elle me portait aussi plus importante. J'y reviendrai plus tard car cela me posa beaucoup de soucis. Sur le plan moral déjà mais aussi organisationnel et personnel.
A cette époque, nous passions énormément de temps ensembles. Les séances étaient hebdomadaires car il était difficile pour elle de s'absenter plus de deux heures d'affilé. Néanmoins, tous les moyens étaient bons pour se retrouver. Nous mangions ensembles le midi, elle m'accompagnait au sport....
Je voyais bien qu'elle voulait plus en terme de temps d'attention mais j'étais obnubilé par le fait de ne pas éveiller les soupçons.
Je ressortis donc mon fidèle carnet d'exercices créé lors de ma précédente expérience. C'était des choses toutes bêtes du style aller travailler sans sous-vêtements (ce qu'il m'était facile de vérifier le midi), prendre des photos d'elle nue, j'en passe et des meilleures. Ça ne prend pas beaucoup de temps à réaliser et ça permet de rester dans l'excitation de la chose entre deux séances.
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