Séance cinq (bon, ce n'est pas la cinquième mais c'est plus pour mon classement)Après cet aparté, nous avons continué de plus belle. Elle avait envie d'aller plus loin. Elle me soupçonnait de la ménager (ce qui était vrai). Mais elle voulait tester ses limites, être poussée dans ses retranchements quitte à abandonner, à utiliser le mot de sécurité. Je ne pense pas qu'on entame une session en se disant, "tient, je vais repousser tes limites aujourd'hui".On décide d'appuyer avec une certaine force et c'est "ça passe ou ça casse". Et si ça passe, on appuie plus fort la séance suivante. Et encore, et encore, jusqu'à ce que ça casse ou que l'on abandonne.Je vous ai parlé plus tôt de mon amour de la fellation (et surtout les profondes). Marie n'était pas très à l'aise dans l'exercice. Je choisissai cet angle d'attaque pour la chahuter un peu. Vu son attrait pour la privation d'oxygène, on liait l'utile à l'agréable.J'avais prévu pour l'occasion tout un tas de serviettes, serpillères et un saut. Pas très glamour mais autant être paré.Comme à l'habitude, elle arrivait en avance, se préparait dans la salle de bain et allait se placer devant mon siège.Il est à noté que depuis le début, elle avait dû dépenser une fortune en achat de sous-vêtements tous plus aguichants et sensuels les uns que les autres. Je lui ai proposé plusieurs fois de les lui payer mais elle aimait me faire la surprise et " - Le regard que tu as à chaque fois n'a pas de prix. "Il y avait avec elle ce jeu de séduction constant. Elle voulait clairement me prouver qu'elle m'appartenait à chaque instant et que ses décisions n'avaient qu'un seul but, me plaire.Je n'ai plus à le dire mais c'est quelque chose qui me plaît énormément.Je ne sais pas si dans une relation les efforts doivent être partagés à parts égales, si c'est seulement possible. Mais je voyais toute cette énergie, cette attention qu'elle mettait là-dedans et j'espérai juste m'en montrer digne en continuant ce que nous faisions.Je n'ai aucune idée de comment on entraîne la gorge de quelqu'un. J'ai eu des partenaires extrêmement douées mais je n'ai jamais pensé à leurs demander comment elles en étaient arrivées là. Un manque de curiosité que je payai maintenant.Mais je fis contre mauvaise fortune bon cœur et retroussai mes manches pour me mettre à la tâche.Le début fut laborieux.Ce n'était ni très agréable pour moi, ni très excitant pour elle (et inversement).La pauvre faisait ce qu'elle pouvait.Mais elle n'arrivait à rien si ce n'est de s'étouffer périodiquement et quelques presque rejets.C'est à ce moment là que j’eus l'idée du siècle.Je l'attrapai par les cheveux pour lui relever la tête et la giflai rudement (on était loin de la seconde claque de notre relation et celles-ci ne lui faisaient plus le même effet que la première relatée tantôt)." - Si tu n'es même pas fichue de te servir de ta bouche, il va falloir te trouver un autre utilité. - Oui, monsieur."Elle eu du mal à dissimuler son sourire, ce qui m'indiqua que j'étais sur la bonne voie.La traînant par les cheveux, je l'amenai vers ce qui était devenu notre lieu de jeu.Ses avant-bras furent joints dans son dos et attachés fermement avec cette corde usagée qui lui laissait ces marques si chères à son cœur.Dans sa bouche, je plaçai le bâillon que j'avais fabriqué avec un bouchon de champagne (DIY!). Sans être extrêmement désagréable, il la forçait à garder la bouche ouverte et la matière la faisait beaucoup saliver. La séance durant, elle commençait par avaler difficilement le surplus de salive en des bruits qui, ma fois, ne siéraient pas à une dame en société. Puis, elle abandonnait et laissait le liquide couler hors de sa bouche, le long de son cou et de sa poitrine. J'aimai la voir ainsi.Je l'allongeai sur mes cuisses, les genoux à terre. J'avais pris la douce habitude de la fesser ainsi, comme une enfant pas sage. Je la forçai à relever la tête en lui tirant les cheveux, son corps se arquant pour suivre le mouvement. Ma main s'abattait sans ménagement sur ses deux fesses bien rondes. Avec le temps et l'habitude, sa peau marquait de moins en moins, m'obligeant à redoubler d'effort. Je finissais avec la main douloureuse (pauvre de moi) et elle, les fesses brûlantes mais peu rougies. J'avais dans l'idée de lui faire commencer l'anal mais elle n'avait aucune expérience là-dedans et était très inconfortable avec l'idée. Je profitai de ces moments pour glisser entre ses fesses, sans pénétration, juste un doigt ou un objet histoire de commencer à l'habituer. Cela commençait à porter ses fruits car je pouvais à présent m'y attarder plus longuement, massant son anus de mon pouce sans aucun signe de dégoût ou de refus de sa part.Je la pris sans ménagement, la retenant par les liens de ses avant-bras. Je sentais la chaleur de ses fesses contre mon bas ventre à chaque coup de rein. Une fois accoutumée à la vigueur du geste elle fit entendre des râles de satisfaction, grognant comme elle le pouvait. Je la motivai avec quelques noms fleuris et des claques sur son fessier.Alors que l'intensité augmentait, je m'arrêtai soudainement et la mis à genoux.Me présentant devant elle, je fis tomber le bâillon."- Ouvre la bouche et tire la langue."La saisissant par les cheveux et l'arrière de la tête, je m'introduisis en elle du mieux que je pus.Elle voulu se libérer mais sans ses mains, elle était impuissante.Je me retirai avant que son haut-le-coeur ne se transforme en vomi.Elle haletait, des larmes aux coins des yeux."- C'est tout ce que tu peux faire ?"Je la regardais avec défi.Sans un mot elle ouvrit la bouche et tira la langue, comme la brave soumise obéissante qu'elle était (l'esprit de compétition des fois, j'vous jure)Les tentatives suivantes ne furent guère plus fructueuses. Mais à chaque fois, après avoir repris son souffle, elle ouvrait la bouche et tirait la langue attendant que je la guide.Vous auriez dû la voir. Assise sur ses talons, le menton relevait. Son ventre se gonflant et se rentrant rapidement au rythme de sa respiration. Son buste dégoulinant de bave. Et ses yeux me fixant comme dans le vague, me disant, malgrès la difficulté, c'est tout?Je mis terme à son supplice lorsque je la sentis à bout, attendant passivement un nouvel assaut.Une fois détachait, je la pris sur mes genoux. Elle se blottit contre moi, les yeux fermés, me laissant jouer doucement avec son corps, répondant favorablement à mes caresses, ronronnant presque.
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