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Théory
#15
Deuxième séance :
Après la première séance donc, nous avons pas mal discuté. La parole était bien plus aisée.
J'aime bien comprendre les gens. Savoir d'où ils viennent, où ils en sont et où ils iront. Je pose beaucoup (trop?) de questions. L'intérêt aussi, c'est que ça laisse peu de place à l'autre pour m'interroger (malin le type).
Au fur et à mesure qu'elle se dévoilait, une question tournait en moi.
"
- Mais qu'est-ce que tu attends de moi !?
"
Je ne comprenais pas ce qu'une personne comme elle pouvait vouloir de moi. J'étais de la petite monnaie comparé à ceux qu'elle avait connu.
Je l'ai joué petite zézette et n'ai pas posé la question. Néanmoins, je me suis promis que j'allais en profiter. Sur le plan de l'agréabilité (déjà) mais aussi de son expérience. Ayant toujours été avec des débutantes, débutant moi-même, cette fois-ci je pourrai me reposer sur ses bases solides.
Nous convînmes de planifier la prochaine séance pour dans trois jours. Il me fallait un peu de temps pour mettre un plan sur pied (j'adore quand un plan se déroule sans accros) et faire quelques emplettes.
Je reviendrai sur l'achat "d'ustensiles" mais j'ai un gros coup de gueule à passer. Et croivez-moi (c'est fait exprès), ça va ruer dans les brancards. Y'en a qui vont trembler au sommet.
Chez une femme, il y a toujours une partie de son corps qui m'obsède. Non pas que le reste m’indiffère, mais il y a toujours une partie, en particulier, qui m'attire irrésistiblement.
Chez Marie, c'était ses cuisses; et par extension, son divin fessier.
Chez Frédérique, c'était ses seins.
Oui, bon, je ne suis pas très imaginatif ces coups-là mais je vous assure que des fois ce sont des parties moins sexualisées. J'vous jure !!
De cette obsession découle forcément une attention particulière. Et qui dit attention particulière remis à nos jeux, veut dire pleins d'idées à mettre en pratique.
Dooooonc, arrive le jour J (qui n'est pas forcément un Jeudi d'ailleurs).
J'avais saisi quelques trucs sur Fred (heu... on va garder Frédérique finalement), sur Frédérique. Cela me permit de lâcher un peu la bride. Le jour précédent la séance je la contactai donc, lui laissant un petit message contenant les instructions sur le rendez-vous. L'heure, le lieu, rien de folichon.
Je terminai néanmoins le message par un petit "Au fait,..." tout à fait innocent.
Je suis assez déçu de ne pas l'avoir dans mon fil mais en voici la substance.
"
Au fait, c'est bien beau d'être désirable nue, mais si tu n'es pas capable d'être désirable habillée, je vais devoir de traîner nue dans la rue. J'ai une réputation à tenir moi, je suis connu dans le coin.
"
Oh le petit fils de pute, me direz-vous.
Alors de un, vous ne connaissez pas ma mère. Et de deux, attendez. Je viens de vous dire que j'avais commencé à saisir des trucs.
Elle ne répondit pas.
Le jour J, je patientai tranquillement sur la place l'attendant.
Bon, peut-être que je n'étais pas si tranquille que ça. Peut-être que l'absence de réponse avait induit un doute terribleeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee.... sauf qu'elle débarqua à l'heure pile. Un style garçon manqué sexy juste à tomber. Je suis incapable de vous dire le nom des frusques mais c'était hallu... parce que vraiment j'étais scotché ...cinant. Hallucinant.
Elle me regarda d'un air satisfait et si elle m'avait sorti un "tu pourrais faire un effort" avec mon jean , mon pull et mon blouson de moto suranné, je n'aurais rien dit tellement ça aurait été de bonne guerre.
Mais elle ne dit rien.
Arrivés dans la chambre, elle me fit asseoir sur le lit et commença à se dandiner, se frottant innocemment à moi, s'effeuillant lentement. Elle portait en dessous une lingerie des plus appréciables. J'étais émerveillé. Comme un enfant à qui on aurait annoncé que c'était ce soir Noël.
Elle finit en petite tenue, à quatre pattes par terre, avançant vers moi, remontant entre mes cuisses.
Je suis très émotif et j'ai du mal à cacher mon excitation. Ca se voit comme une bosse au milieu du front. Sauf que là, la bosse n'était pas sur mon front. (hihi)
Je la félicitai pour son initiative et ses apprêts. Je mis en évidence le sac en papier que j'avais amené.
"
-Je ne suis pas venu les mains vides, non plus.
"
J'étalai les objets sur le lit.
Badine,
Pinces,
Corde,
Cordelette,
Poids.
Je vis la lumière dans ses yeux. Elle était en terrain connu.
J'avais construit cette séance comme un champ d'expérimentations.
Je voulais comprendre comment elle marchait car si j'y arrivais, cela m'ouvrait des horizons forts réjouissants.
Premier postulat, la douleur est un bon excitant.
Je la fis mettre paumes contre le mur, cambrée et jambes écartées, la badine glissant le long de son corps. Premier contact avec son sexe, rien.
Je la fis rebondir quelques fois sur ses cuisses. L'extérieur puis l'intérieur.
Deuxième contact avec son sexe, mieux.
Je remontai pour m'occuper de ses fesses. On aurait dit qu'elle appelait le bois, se cambrait de trop, sur la pointe des pieds. C'était des cris de contentements que j'entendais. Plaisant.
Puis je remontai sur sa cambrure. Toujours le contentement.
Je lui demandai ensuite un pied. Ce fut plus lent. Les premiers coups le lui firent reculer.
L'attrapant par les cheveux je lui posai un regard interrogateur.
"
- Non, monsieur.
"
Je frappai sous son pied bien plus fort. Elle cria.
Troisième contact avec son sexe. Je m'en doutai.
Je la fis mettre à genoux, assise sur ses pieds. Elle attendit patiemment, les mains sur les cuisses, la tête baissée et ses cheveux remisés sur une épaule. Sans ses tatouages, son anneau, ce truc qui brillait dans ces yeux, on l'aurait cru ingénue. Ingénieuse la petite.
La corde en main, je la laissai dans sa position, tournant autour d'elle, profitant de ce fort beau spectacle.
Les bras dans le dos, je lui attachai les avants-bras l'un avec l'autre, la corde relativement bien serrée.
La saisissant par les cheveux pour lui relever la tête, je jouai de la badine sur son ventre.
Chaque coup,
"
- Merci , monsieur.
"
Après chaque coup, le souffle qui s'accélérait. Moi? Elle? Nous deux. J'y prenais goût tout autant qu'elle.
Ensuite, ses seins. Je l'attendais. J'étais curieux et excité. Plus que d'habitude. Pourquoi? Je ne sais pas.
Elle cria. Plus qu'ailleurs. Pourquoi? Était-elle trop sensible des seins, m'y prenais-je mal? Je le saurai plus tard, il faut faire attention où l'on frappe. Mais elle ne m'arrêta pas.
Quatrième contact avec son sexe.
Concluant.
Une fois terminé, je vins apposer les pinces à ses seins, les pinçant avant, me disant que la première douleur atténuerai celle de la pose. Ce ne fut pas le cas.
Je voulais, à la base, sertir chaque pince d'une petite cordelette avec un plomb de pêche, mais je m’aperçus que la manutention nécessaire à la pose prenait trop de temps. Tant pis. La prochaine fois je préparerai à l'avance.
Je l'aidai à se remettre sur pieds et l'admirai. Je fus frappé par les marques sur sa peau. Je ne m'en étais pas rendu compte mais je n'y étais pas allé de main morte.
Je la trouvai belle comme ça et lui fis part de mon sentiment. Est-ce qu'elle rougit, était-ce un relent d'excitation, un coup de soleil? Vous devinez certainement mon point de vue.
Je la poussai sur le lit, ramenant ses fesses sur le bord. J'aime cette position. Les mains dans le dos la forçaient à se cambrer, faisant ressortir sa poitrine. Dieu est dans les détails comme on dit.
Je commençai à jouer avec son sexe.
Elle n'arrêtait pas de gigoter, comme pour trouver une position différente. Cela la faisait occasionnellement fermer les cuisses, m'empêchant l'accès à son sexe. Je la giflai.
"
- Reste en place.
"
Elle écarta grand les cuisses, me regardant avec un air de défi. Je continuai puis sentis ses cuisses se refermer. Une claque de plus.
Deuxième postulat, elle aime être forcée.
Je saisi les pinces accrochaient à ses tétons, tirant d'un coup sec tout en appuyant.
Elle hurla. (je plains les voisins)
"
- Écarte tes putains de cuisses.
"
Le petit jeu continua. Je la punissais, elle se rendait, un temps, puis se rebellait de nouveau. Encore et toujours.
Je finis par la saisir au cou, serrant à l'en faire suffoquer.
Le manque d'air l'assagît et je pu la faire venir de mes doigts.
La prise à son cou défait, elle me nettoya les doigts avec application.
"
- Nous en avons fini.
"
Je la laissai là le temps d'aller boire un verre d'eau. Dehors il faisait nuit et cela faisait plus de deux heures que nous jouions.
Soyez la première personne à aimer.