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Théory
#24
Sixième séance (suite) :
Dans la chambre d'hôtel, elle se tient bien droite, nos manteaux jetés sur la chaise.
J'aurais pu, j'aurais voulu la jeter elle aussi, sur le lit, et la prendre sans autre forme de procès. Accusée, écartez les fesses... hihi
Mais ça aurait été la laisser gagner.
Et puis passer à côté d'une formidable occasion de ressentir tout un tas de trucs magnifiés. Qui a dit que les hommes ne pensaient qu'avec leur pénis?
Alors je lui dis.
Je lui dis qu'elle est belle. Parce que c'est vrai.
Que j'aime qu'elle se prépare pour moi. Parce que c'est vrai.
Qu'elle m'a touché dans cette ruelle. Parce que c'est vrai.
Que j'en suis tout chamboulé. Parce que c'est vrai.
Que j'ai juste envie de la prendre, là, tout de suite. Parce que c'est vrai.
C'est vrai aussi que ce n'est pas ce qu'elle veut entendre. Je le sais.
Mais je continue.
Que c'est une vraie chienne.
Ah, on a maintenant une toute autre réaction de sa part.
Que je suis sûr qu'elle aurait voulu que je la prenne dans la ruelle, qu'elle puisse crier son plaisir aux oreilles du monde.
Que ça lui aurait plu que quelqu'un nous surprenne. Qu'il puisse voir la chienne en chaleur qu'elle était.
Bingo, elle trépigne.
Que les chiennes on les dresse, et que seulement lorsqu'elles sont dociles on les félicite.
Je l’attrape par le chignon et la félicite d'avoir créé une poignet si ergonomique.
Je la tire jusqu'au lit et l'y projette. Facile à enlever ces petites robes, un bon point.
D'un coup de pied, j'écarte ses jambes. Elle croit que je vais la prendre. Pourquoi? Parce que j'en ai très envie.
Mais non, je vais chercher la corde et commence à la saucissonner . Aucune recherche d’esthétique ou d'efficience cette fois-ci juste l'entraver. C'est trop serré? Tant mieux.
Elle se retrouve donc sur le ventre, les jambes reliées entre-elles et les mollets ramenés vers les cuisses. Ses bras sont liés entre eux dans son dos et joints à ses pieds par la corde. J'aurais aimé attacher la corde à ses cheveux pour ramener sa tête en arrière mais je en trouve pas comment faire. Pas l'temps de réfléchir.
Je déchire ses bas. Tant pis, je lui en rachèterai d'autres. Son joujou toujours dans son cul, je l'y retire doucement. Je m’enquière de son ressenti et j'ai droit à un de ses soubresauts de bourrin.
Pas de soucis, le joujou atterrit dans sa bouche pour la calmer.
La dame ne semble pas apprécier. Faut dire, je ne sais pas depuis combien de temps il était là celui-ci.
Elle recrache et j'ai droit à une volée d'insultes.
Mais pas de mot de sécurité. Alors je l'y remets, dans son cul.
Mieux?
Oui.
Alors on l'enlève et de nouveau dans la bouche.
Cette fois-ci ma main l'y maintient. Jusqu'à ce qu'elle arrête de se débattre.
"
- Lèche.
"
Une claque. Forte.
"
- Lèche.
"
Le retour. Forte.
"
- Et quand ma bite sortira de ton cul pour venir se fourrer dans ta bouche, tu feras la difficile aussi? Alors peut-être que ça ne vaut pas le coup
"
Je tente et retire le jouet le laissant à un coup de langue de son visage.
Elle finit par s'exécuter, à contre-coeur.
Je pousse le bouchon plus loin.
"
- Et qu'est-ce qu'on dit?
- Merci.
"
Je la giffle.
"
- Monsieur, merci monsieur.
"
Que c'est plaisant. D'agir en confiance.
Je sais qu'elle m'arrêtera si ça va trop loin.
Je sais qu'elle m'avertira si on s'en approche, on en a discuté.
Elle n'aime pas beaucoup ça mais elle a compris que si elle voulait que nous continuions, elle devait me l'accorder, j'en ai besoin. Elle a accepté.
Dans cette position, je n'imagine rien d'autre que de remplacer le jouet dans sa bouche par mon sexe mais j'ai d'autres plans.
Je lui libère les jambes et la mets à genoux au milieu de la pièce.
Profitant de lui poser les pinces aux tétons, je m'occupe de sa poitrine. Quelques coups et mes mains. Sûrement un peu brusques mais elle a connu pire. Si je prends énormément de plaisir à m'occuper de sa poitrine, elle n'est pas en reste. Ma main écrasant son sein, elle y répond par des cris de plaisirs étouffés. Je lui ai laissé le jouet dans la bouche de peur de vouloir remplir ce trou si vide par autre chose (m'voyez).
Je n'ai pas besoin d'un examen attentif pour m'apercevoir que son jus coule abondamment le long de ses cuisses.
La faisant se relever, je la doigte assez vigoureusement. Deux doigts dans le vagin et deux dans le cul.
Je commence à la connaître et reconnais ses ondulations du bassin qui signifie souvent que la jouissance est proche. J'aimerais continuer, l'amener plus proche de la jouissance mais j'ai peur de rater mon coup alors je stoppe là. J'écrase son clitoris à deux doigts pour la sortir de son indolence.
Elle essaie de se dérober en reculant le bassin tandis que cela lui arrache un cri puissant.
"
- Parce que tu crois que je vais te laisser jouir comme cela. Tu es bien égoïste dis-moi.
"
Elle s'excuse gauchement. C'est mignon.
Les rôles sont inversés, à elle d'être dans le brouillard.
Je reste vigilant car je ne suis pas en reste. J'essaie à tout prix d'éviter le contact avec mon entrejambe qui est, ma foi, assez sensible.
Je continue un bon moment à enchaîner ces moments de stimulation et de douleur.
Tout commence à devenir flou. Je n'ai aucune idée de l'heure ou de depuis combien de temps nous y sommes. Seuls ses râles et ses cris marquent le temps passant à un rythme pas toujours fidèle au métronome.
Il arrive un moment où ses cuisses sont trempées. De sa bouche coule un flot de bave qui se déverse sur sa poitrine.
Je finis par retirer le jouet de sa bouche pour le réintroduire dans son habitat naturel (c'est beau la sauvegarde d'espèce en voie de disparition), sa bouche enfin libre.
Alors que je la détache, je l'entends haleter bruyamment.
"
- Dieu que tu es bruyante. Il va falloir trouver de quoi te faire taire.
"
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