Sixième séance (fin) :Je m'assoie dans le siège et écarte les jambe ostentatoirement.Elle comprend immédiatement et s'avance vers moi à quatre pattes.Je ne peux m'empêcher d'admirer sa présence d'esprit, malgrès l'excitation, l'envie.La voir s'approcher de moi ainsi, telle un félin, ses seins balançant, les poids accrochés aux pinces accentuant le mouvement rajoute la goutte d'eau qui fait déborder mon vase de patience."- Mais dépêche-toi, bordel!"Et merde, elle a gagné. Je la vois sourire. C'est discret, à peine un sourire en coin mais on sait tous les deux qu'elle a gagné.Enfin entre mes cuisses, elle prend un temps infini pour déboutonner mon pantalon et l'enlever ainsi que le caleçon. Mais ça y est. On y arrive.J'ai sûrement déjà dû évoquer mon amour des fellations. Ce que je vais vous conter là confine (hou le choix de mots malheureux) au génie.Je ne dis pas que c'est LA solution miracle, allez pas me taxer de menteur si ça ne marche pas sur M/monsieur mais si preuve il doit être fourni, je veux bien donner mon corps à la science.Ça doit être, de mémoire de moi, la meilleure fellation jamais reçu en terme de sensation pure (hors contexte).Sans rentrer dans l'anatomie de ma personne qui n'en intéressera que peu, mon point faible est la base de mon pénis, pas le bout.Alors quand elle me saisie la base à pleine main d'une prise ferme et assurée, j'étais déjà pas loin de flancher.Tout en gardant sa prise sur mon sexe, elle commença par le faire glisser sur son visage, avec une lenteur étudiée, le geste méticuleux. Puis, sa langue vint caresser la hampe.On était dans une économie de mouvements assez nouvelle pour moi.Habituellement, on est plus dans la surenchère. De langue, de dents, de bave, de va-et-vient.Là, si j'avais droit à un coup de langue par tranche de 30 secondes c'était le bout du monde.Sans me quitter du regard, elle venait titiller le bout, appliquer ses lèvres pour une succion, passer ses dents, rien de plus. Elle me fit l'honneur de descendre vers mes testicules, les léchant et, alors que je ne m'y attendais pas, les mordit doucement. Saloperie. La douleur me fit faire un bon, me sortant de ma torpeur lascive. Elle me regarda, de ses grands yeux en amande, attendant une réaction de ma part mais j'étais beaucoup trop épuisé pour réagir. Cela signa sa victoire définitive par KO.Elle continua donc son traitement.Avez-vous déjà ressenti ça, ce moment où l'excitation devient trop forte pour que la jouissance se manifeste? Les femmes y sont peut-être plus assujetties que les hommes, je ne sais pas. Une amie avait ce truc. Rien à faire. Il fallait attendre et laisser retomber la pression puis remonter dans les tours et là, paf, ça pété comme un bouchon.Ça m'était déjà arrivé plus jeune mais c'était au final assez rare.Il y a quelques années, quand j'ai reconsidéré ma sexualité, je me suis retrouvé dans cette situation plus régulièrement.Je dois bien avoué que cette sensation est enivrante. Vous n'êtes plus là à essayer de contrôler, voir de retenir votre jouissance mais vous la recherchez. Ça devient comme une obsession. Le pire étant quand au final vous n'avez pas d'autre choix que d'abandonner et de laisser retomber le soufflé. J'en étais à ce point. Chaque stimulation était une véritable torture. Imaginez, vous êtes en train de vous noyer, plus d'oxygène et là, on vous tend une bouteille. Vous inspirez goulûment mais il n'y a que le minimum vital, arrêtant votre un inspiration en pleine course.Et bien ses coups de langue c'était ça.Je ne suis pas du genre très expressif durant l'acte mais là, on pouvait m'entendre gémir dans toute la pièce (et c'est Mme qu'on aurait félicité si un voisin était venu se plaindre du bruit).Je ne sais pas combien de temps j'endurai ça. Je me souviens seulement de mes mains plantées dans les accoudoirs et de ses yeux, hypnotisant, plantés dans les miens.Alors que je pensai devoir abandonner, mon sexe toujours aussi dur commençait à me faire légèrement mal, elle l'engloutit en entier pour la première fois. Avec la lenteur des autres gestes, elle me positionna à l'entrée de ses lèvres et commença la descente, petit à petit, avec une facilité presque décevante. Lorsqu'elle arriva en bas, ses lèvres tirant pour aller chercher les derniers millimètres de peau, je sentis ses dents sur la base.Au contact, je fus pris d'un tremblement qui aurait fait pâlir l'Etna dans ses plus belles années.Je ne cherchai même pas à retenir l'éjaculation, trop heureux de voir la délivrance arriver.Elle resta là, mon sexe au fond de la gorge pendant que je me déversai en elle.Il me fallu quelques minutes avant que mes mains arrêtent de vibrer, mes oreilles de bourdonner, que je reprenne le contrôle de ma motricité et que je sente de nouveau mon visage.Ouais, tant que ça.Elle resta là, bien docile, laissant ma queue redevenir flaccide dans sa bouche. Elle finit de me nettoyer et me rendit l'engin tout propre et repassé.Elle affichait (Frédérique, pas ma bite) ce regard satisfait de qui se sait vainqueur. Regard que je devais faire disparaître.Mais elle avait gagné et elle le savait.A moins que.Je la fis s’asseoir sur mes genoux, l'embrassant avec une tendresse exagérée. Ma main s'égara entre ses cuisses dans ce que l'on pourrait appeler un royaume aquatique.Déjà mon demi moi faisait mine de vouloir se réveiller (l'avantage de la jeunesse?) et je le mis à profit."- Tu en as envie?"Sa main s'égara sur mon sexe pour me branler vigoureusement.Quand tout fut en ordre de bataille, elle pivota pour me chevaucher. Je l'arrêtai."- Si tu veux jouir, tu n'auras droit qu'à ça aujourd'hui."Du doigt je lui désignai ma cuisse.Elle me regarda avec un mélange "azy, t'es sérieux mec?" et de "oh bordel, il est sérieux!"J'assistai alors au spectacle le plus jouissif du monde.Son regard pivota de mon sexe dur, entre ses mains à ma cuisse et inversement. Elle lâcha prise et vint se positionner de manière pouvoir se frotter sur ma cuisse.J'imagine qu'il ne doit pas être aisé de jouir comme ça. En tout cas, elle n'y parvint pas malgrès les ardeurs qu'elle y mit.Je contemplai le spectacle, me masturbant pour lui donner le change. Si j'avais été vache, j'aurais joui une deuxième fois histoire d'enfoncer le clou.Attendez...Je SUIS vache.Voyant qu'elle n'y arriverait pas, je la fis s'allonger sur le lit, les cuisses relevées et écartées. J'approchai mon sexe du sien, la caressant et me caressant. Je continuai ainsi à me branler, venant taquiner le bord de ses lèvres de temps en temps. Je finis par venir sur son ventre puis lui fis nettoyer mon sex avec la langue.Quand je lui signifiai la fin de la séance, son visage se décomposa.Alors, qui est-ce qui a gagné, hein!?Je fixai immédiatement le prochain rendez-vous à dans trois jours. Espérant, lui dis-je qu'elle soit dans de meilleures dispositions pour notre plaisir à tous les deux. Ce soir-là, nous discutâmes énormément. De ce qui venait de ce passer, des effets que cela avait sur nous. Elle me confia adorer cette frustration. Chose que je pris comme un compliment (ça en était un) et je la complimentai sur son taillage de pipe digne d'un travail d'orfèvre.Elle me promit de ne pas jouir durant ces trois jours, voulant se réserver pour quand elle se montrerai digne de recevoir ma queue.Cette phrase me hanta toute la nuit. Le fait d'avoir Frédérique contre moi en cuillère n'aida pas non plus.Malgrès la soirée passée, je dû batailler fortement avec moi pour que ce moment de dignité ne soit pas cette nuit. Je me réveillai néanmoins le sexe coincé entre les deux fesses de la dame et après de menues préparatifs, je la pris par le cul de bon matin. Elle m'accueillit par des cris, non pas de douleur, mais bien de plaisir et je la vis batailler pour ne pas se toucher de peur de jouir.
1 personne aime(nt) ça.