Réflexions :Je crois que dans une relation, il y a toujours un point de bascule. Le moment qui fait qu'ensuite tout roule, qu'on atteint le rythme de croisière.Je crois que cette séance fut notre bascule. Le moment où nous trouvâmes notre point d'équilibre entre ce qu'elle voulait et ce que je pouvais lui offrir, entre où elle pouvait m'amener et jusqu'où j'étais prêt à la suivre.Après cette séance (à vrai dire, lorsque je sorti de son cul ^^), elle m'appela maître. Je ne lui ai rien demandé. En fait, je n'aurais jamais osé. Le fait qu'elle prit la décision de le faire, je le vécu comme une validation de sa part. Cela me rassura et me permit d'aborder notre relation, mes actions, sans la peur de ne pas être à la hauteur.Est-ce qu'elle le fit exprès, est- ce que ce fut naturel?Mon égo voudrait que ce soit naturel, parce que je suis un vrai moi.Mais mon côté fleur-bleue préférerait que ce fut intentionnel car c'est ce que font les mentors et c'est comme ça que je me la représente encore aujourd'hui, une formidable mentor que j'ai eu la chance de côtoyer. Alors peut-être que je me fais des films, peut-être qu'il n'y eut rien de toutes ces intentions que je dépeins. Et même si c'était le cas, l'important c'est qu'à son contact, j'ai beaucoup appris. Sur moi, sur mon côté D, sur mes soi-disant limites.Mais continuons à la dépeindre comme un formidable mentor voulez-vous. Et quand on me demandera où est-ce que j'ai appris tout ça, je répondrai avec une pointe de modestie."- J'ai appris avec les meilleures."Une dernière chose. J'adore que ma soumise m'appelle maître. Bien plus que Monsieur.Savez-vous pourquoi?Parce que devant maître, on peut mettre "mon". Et que ce sentiment d'appartenance, c'est ce que je préfère. Pas les cordes, pas la baguette, pas la cire, pas le sexe.Juste "mon". Voilà.Reprenons maintenant le cours de notre programme.
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