Sixième séance (fin :sweat_smile:) :En fait, ce récit ramène à cela. Ma quête de la compréhension. De l'autre. De moi.Parce que je ne comprends toujours pas pourquoi j'aime ça.Parce que, ayant souvent peur de plonger en moi, je me suis dis que SI je pouvais comprendre chez l'autre, je pourrais l'appliquer à moi (pas bête le type).Et quand on a la chance d'avoir une Frédérique en face, qui te prend par la main (non sans y avoir planté les ongles jusqu'au sang parce que bon, la sensiblerie c'est bon pour les autres...), qui te dit viens, on va aller au fond, tu vas voir, les abysses c'est sympa aussi, et bien on peut se sentir chanceux (un comble pour un plongeur d'avoir peur des abysses, non?).Vous comprenez mieux pourquoi je la vois comme une grande mentor et pourquoi elle a gagné mon respect éternel [(enfin, jusqu'à ce que je meurs).(voir un peu plus)].Alors oui, je pourrais arrêter le récit ici. Le parcours initiatique est terminé. Le corbeau il a rendu le camembert au renard et ils se le partagent autour d'un feu.Mais, de un, j'aime raconter.Et de deux, ça fait un peu FdP (Frais de Port *ici sur le montant HT (Hors taxes)) de s'arrêter en si bon chemin. Et puis je vous vois venir, vous allez comparer. Dans Marie, on est allé jusqu'au bout. Puis il y avait plus de Q (quelqu'un questionne quiconque par quatre fois quémande)...Mais dites-moi, on deviendrait pas accro? Mollo l'asticot, je vais commencer à penser que j'ai quelque talent dans le comptage heuuu.... Hihihi.Donc on continue. Cette séance, qui s'étire, et le reste. Mais commencez à faire votre deuil parce qu'on a dépassé le sacro-saint 50%. Et que la suite, la suite, bein elle arrivera quand elle arrivera (alors vous, on vous donne ça et vous demandez ÇA) Dooooonc, on s'amusait bien.Moi surtout.Je n'y allais pas de main morte sur ses cuisses. Une impression de lâcher-prise, une ouverture de vanne amplifiée par l'accord de Frédérique.Après coup, j'ai un peu culpabilisé. Sûrement pour cela que j'ai passé autant de temps à la masser une fois terminé. Non pas qu'elle s'en plaignit la bougresse.Vint ensuite le tour de son dos. Je me rends compte à quel point les médias peuvent m'influencer. Je crois que je devais avoir 15 ans quand j'ai vu ce film. J'ai depuis longtemps oublié le nom ou l'histoire mais je me souviens avec une certaine clarté de la scène en question. Celle où le protagoniste fouettait avec un rameau d'olivier (la symbolique toussa toussa) le dos de cette femme. Pourquoi? J'en sais rien.J'étais sûrement bien trop jeune pour ce film.Je ne suis pas en train de vous faire le coup de "alors qu'il découvrit un certain aspect de sa sexualité qu'il enfouit, honteux, jusqu'à ses 30 ans. Huuu, ça me fait bizarre dans le pantalon quand le monsieur il frappe la dame.". Pas du tout. Juste que lorsque j'imaginai cette séance, cette image me revint avec force. Moi qui me décris aisément comme quelqu'un d'imaginatif, et bien je reste conditionné par la somme des mes ingestions culturelles.Je la fis donc s’asseoir sur la chaise en inversé.Elle fit basculer ses cheveux contre son épaule découvrant son dos. Dieu qu'elle était belle dans cette position. Je lui fis part de mon constat. Faudra un jour que l'on m'explique ce qu'ont les femmes avec les compliments. De mémoire, je n'en ai connu aucune qui les acceptait sans rechigner. Une grande philosophe m'a dit un jour que c'était pour en recevoir plus encore. A contrario, pour encenser la théorie des genres, les mecs sont plutôt souples là-dessus. Tous ceux que j'ai connu répondaient "ouais, je sais.".Oui, ce n'est pas la réponse idéale non plus, je sais.Bon, vous aurez compris depuis le temps que Frédérique n'était pas très portée sur la sensiblerie. Peut-être qu'elle les (les compliments) refusait par peur de ce que cela pouvait induire, je ne sais pas.Cela ne m'empêchait pas de lui en faire part très souvent. Et puis, d'un certain point de vue, faire des compliment à l'autre revient à s'en faire à soi-même, donc bon...Vous vous imaginez bien, malgrès mes nombreuses digressions, que ce fut une excellente séance, pleine de découvertes et de plaisirs.J'en pris énormément à faire glisser la branche feuillue sur son dos et à fouetter ponctuellement. Pas de rameau d'olivier, mais une branche de chêne, ses petites feuilles rappeuses accrochant son grain de peau, la sensation se répercutant dans le bois et dans ma main, puis le coup, cinglant, les marques, très différentes. Ces quinze répétitions passèrent bien trop vite à mon goût. Si je devais revoir ce film, j'y aurais un tout autre regard "Huuu, ça fait bizarre dans mon pantalon... ^^.".Nous étions à la moitié des festivités et je décidai de faire une pause.Je sirotai mon verre d'eau pendant qu'elle attendait patiemment en position d'attente.Vous voyez cette image de l'homme assis dans un fauteuil, un verre de [nom d'un alcool de bonhomme ici] avec une femme allongée à ses pieds?J'adore cette image. Bon, en fait, je déteste. Elle représente ce qui ne va pas dans les aspirations du commun des mortels. Mais avec madame, c'est une dynamique que j'aime. Parce qu'elle est partagée, parce qu'elle n'induit aucune velléité de représentation. C'est une déclaration entre deux personnes. De protection, d'affection, d'échange mutuel.En ce moment, je n'étais point en train d'affirmer quelque masculanirité que ce soit avec mon évian on the rock mais observai les charmes de cette femme, subjugué par tant d'affirmation de son Soi (faut en avoir des balloches pour faire ça) tandis qu'elle, faisait étalage de sa confiance, en elle, en moi. C'est comme une déclaration d'égalité dans cette relation qui implique deux rôles diamétralement opposés et pourtant si complémentaires.Avez-vous déjà vu Mad Men? Une série sur, heu, bein j'en sais rien parce que je ne l'ai jamais vu. Mais y'a ce gars, Jon Hamm, regardez ses mimiques et imaginez vous cela dans ce qui va suivre.J'étais donc là, à boire ma délicieuse eau de provence (#véolia) et je lui fis mine d'approcher. Mon regard se perdant dans la contemplation de mon verre devenu soudainement si intéressant.Ma main gauche se promenait sur ses cuisses toujours rouges allant de temps en temps s'égarer à la naissance de celles-ci, une humidité bienvenue l'y accueillant."- Tu sais ce qui manque à ce délicieux nectar? "Une petite tape sur la fesse et un regard appuyé firent le reste.Elle se pencha par dessus l'accoudoir ouvrant mon pantalon et ses fesses par la même occasion pour me prendre en bouche. On lui rajoutait les talons et la jarretière et on avait le fantasme de la secrétaire dans les années 60."- Voilà qui est beaucoup mieux."Je suis un excellent acteur. En fait, j'aurai pu en faire mon métier si j'avais voulu. Mais comme je n'aime pas le café et que je bois beaucoup trop de thé pour avoir les dents blanches, j'ai préféré m'orienter vers d'autres horizons. (oui, oui, pour moi ce sont les deux conditions nécessaires pour être acteur. Prends ça dans ta face George .C!!)Il m'est arrivé, dans ma jeunesse depuis longtemps consommée de tourner dans quelques pellicules amateurs. Des délires de lycéens puis d'étudiants.Pourquoi est-ce que je parle de ça? Ah oui, si TF1 nous lit...Disons que jouer un rôle est comme une seconde nature chez moi. Voilà pourquoi je parle de jouer au D est pas de l'être, de jouer à l'agent immobilier et pas de l'être...Mais à force de jouer des rôles, ne se perd t'on pas? Hihihi, je rigole, trop simple.Je sais que Frédérique aimait cela. Ça rendait nos séances plus organiques, protéiformes. Parce qu'aussi, ça créait une sorte d'instabilité, ne sachant pas ce qui l'attendait, la surprise à tous les tournants. Ça peut en épuiser certains, pas elle.Donc, Don Draper (j'ai trouvé son nom) se faisant sucer.Mais nous n'en avions pas terminé avec les réjouissances alors je l'interrompais dans son geste, trop tôt à son goût, ce qu'elle me fit savoir d'un coup de dents bien senti dans l'engin. Je dû la tirer par les cheveux pour l'en extirper. L'amour du travail bien fait me direz vous.Nous passâmes donc à ses pieds. Expérience que je passerai rapidement vu le peu d'attrait ou d'intérêt qu'il s'en dégagea.Clac-clac-clac, fini. Ouais, bon, un peu déçu.Nous en arrivâmes donc au fessier. Oh divin popotin. Quand je lui annonçai l'objet de toutes mes attentions elle tiqua un peu. Cinquante lui annonçai-je.Sur chaque fesse...Avec mes mains, bien évidement.La mine déconfite, je la fis venir sur mes cuisses, comme une envie de le faire à l'ancienne.Je crois bien que ce fut la première fois que j'administrai la chose de cette manière.Et je crois bien que je ne le ferai plus que comme ça.Quel plaisir de sentir les réactions de son corps à mon contact.Je ne suis pas un maître fesseur (plus maître farceur d'ailleurs sans arbre à percher au passage) mais m'appliquai de toute mon âme, variant les intensité selon une courbe prédéfinie, changeant l'angle d'attaque. Je fis les cinquante d'un coup sur une fesse avant d'attaquer la deuxième.De cela j'appris deux choses.La première (oui, vous me voyez venir) j'adore ça!La deuxième, ouille ouille ouille la mimine, cinquante ça fait long, il va falloir que je me tanne un peu le cuir de la main et me muscle davantage pour ce mouvement pas très naturel dans la vie de tous les jours.J'ai l'impression qu'il y a un truc avec la fessée. Peut-être que ça nous ramène à notre enfance, je ne sais pas. Frédérique se releva la morve au nez et les yeux humides. Je n'ai pas eu l'impression que ce fut plus dur que le martinet, elle prenait d'ailleurs le parti de m'encourager régulièrement malgrès les quelques "sanglots" qu'elle produisit.C'est dans ses moments-là où on a envie de les protéger nos petites choses pas si fragiles que ça. Je la pris dans mes bras, la félicitant chaudement, lui disant à quel point elle était forte et belle, malgrès le maquillage qui coulait "légèrement".Je l'embrassai, pour lui éviter de dire quelque chose que j'aurais dû ensuite lui faire regretter, je commençai à la connaître par cœur ma petite Frédérique.Mais nous étions loin d'en avoir fini.J'empoignai à pleines mains ses attributs douloureux pour la coller à moi et l'embrasser de nouveau, plus intensément."- J'ai envie de toi."Parce que bon, il a faim le Monsieur.Sans autre formalisme, je fis tomber mon pantalon et vint m'asseoir sur le lit, un peu en retrait. Je n’eus pas à lui dire deux fois. Ni une d'ailleurs. Elle vint se positionner sur moi.J'aimerais vous dire que ce fut un déchaînement de passion, que nous enchaînâmes les positions les plus audacieuses mais non.Ce fut assez calme.Moi, en appui sur mes mains, penché en arrière pour lui laisser plus d'amplitude et elle, les mains sur mes épaules, ondulant à son rythme. Nos regards rivés l'un dans l'autre. Si j'en crois le réveil, cela dura une éternité mais je ne vis aucunement le temps passer. Elle jouit plusieurs fois, ce que je trouvai étonnant. Mais sûrement qu'elle en eut besoin, envie ou les deux. (disons les deux)Nous passâmes une nuit courte et agitée, entrecoupée de réitérations de l'acte (prends ça la chambre des notaires!) comme si nous avions du retard à rattraper. Je découvris qu'elle adorait se faire étrangler et elle que je n'étais pas contre quelques griffures et morsures. Nous quittâmes l'hôtel marqués par la nuit de quelques cernes bien senties mais pas que...
Dernière modification le 16/04/2021 00:06:39 par Théory.
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