Languebleue
#0
Hello la team, j'espère ne pas faire de doublon avec mon post.
Est-ce que certains sont adeptes des mots fort, des mots qui claquent, des mots "crus"
Certains d'entre vous peut-être aimeraient en entendre plus ou pourvoir les dire sans retenues.
Pour ma part, j'en suis fan mais cela reste le temps des ébats, il faut pouvoir reprendre sa place dans la vie de tous les jours.
J'aime employer les mots fort durant mes séances de sexe, parfois pas assez, j aimerais être plus fort, plus dur, en abuser.
Et vous, ou vous placez vous, aimez vous les dire, les entendre, parfois trop peux ?
Lachez-vous, il me semble que cela dort un peu trop.
Soyez la première personne à aimer.
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#1
Bonjour,
Qu'entendez-vous par "mots forts", "mots crus" ?
Un terme se révélant fort/cru de votre côté pourrait ne point l'être du mien. Et inversement.
Nos sensibilités demeurent toutes différentes, comme nos envies et seuils de tolérance. =)
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Absolument. Ça fait partie de nos jeux.
Soyez la première personne à aimer.
SouMichel
#3
Bonjour,
Ce mot pour donner le point de vue d'un homme soumis.
Oui, au cours d'une scène D/s, entendre des mots durs, crus et des qualificatifs humiliants me fait baisser la tête, me donne envie de plier, au sens propre et au sens figuré, et me conduit à obéir "ventre à terre".
Cela fait partie de l'humiliation recherchée et aussi de l'aspect oral et cérébral de la soumission.
A condition aussi que cette attitude (fermeté et sévérité, d'abord du langage) vienne "naturellement" chez le dominateur ou la dominatrice et que cela ne les conduise pas à des excès (crier, gesticuler, etc.).
Mais, il serait bon que des femmes soumises donnent aussi leur point de vue et, si possible, que des dominatrices disent si elles pratiquent aussi de cette façon.
Remerciements, SouMichel
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#4
Bonjour
je partage en partie l'avis de SouMichel
J'aime la vulgarité des mots crus, durs et ça fait en effet parti de l'aspect cérébral, ça m'excite même
Ce sont des mots dans un contexte donné qui prennent un sens particulier
J'aime les entendre, j'ose les dire mais peu en fait
A contrario je n'aime pas la grossièreté d'une personne lambda qui me traite de salope ou de pute
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Pour ma part, je pense comme gitane.
Les mots participent de la dimension cérébrale de ma relation à mon Maitre.
Mais, contrairement à SouMichel, je ne vois rien "d'humiliant" à ce qu'il me traite de salope, de chienne, de pute, de "trou" ou que sais-je-encore.
Puisque c'est ce que je veux être pour lui à ce moment-là.
Pour moi, les mots sont des signes, et ce qui compte c'est le sens que leur donnent l'émetteur et le récepteur à ce moment précis.
Quant aux mots qu'il utilise et que j'utilise pour désigner telle ou telle partie de nos corps ou nos activités partagées, je n'y trouve rien de "vulgaire", aussi "crus" soient-ils.
Le sexe n'a rien de vulgaire lorsque le désir est partagé.
Mais évidemment, ces mots, je ne le accepterais d'aucun autre.
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Pierre Louis
#6
Perso je n’aime pas ça.
Je comprends (j’envie ?) ceux qui s’en délectent … mais c’est pas mon truc. Limite ça me fait sortir du cadre. Sans violence, sans rébellion, mais cela change la tonalité du moment, et c’est perceptible … Par ma partenaire en jeux cruels.
Encore qu’il y’ait mots crus et mots crus. Adaptés au moment, à la situation, ils passent parfois. Reste qu’en ce qui me concerne, l’humiliation passe moins par les mots que par les attitudes ; les situations, les actes, les postures, les ambiances …
C’est ma cérébralité à moi.
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