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Et profiter si besoin de leur expérience en la matière.
Concernant mon Maître, il n'est évidemment pas question pour moi de pratiquer l'edging sur lui.
J'aime l'idée de me savoir au service de son plaisir et ça n'est pas vision de la soumission que de vouloir le "contrôler".
Me concernant, c'est différent.
Mais soit il n'est pas doué en la matière soit c'est moi qui suis en cause, mais ses tentatives pour m'emmener aux limites de l'orgasme en m'en privant au dernier moment n'ont jamais fonctionné.
Peut-être parce j'ai tendance à partir au quart de tour.
Quant aux plaisir solitaires, j'avoue que ce n'était pas mon truc.
Pour la frustration, me priver de ce que j'aime, c'est à dire de l'acte final, qui consiste à me prendre, quel que soit celui de mes orifices qu'il choisit, c'est différent.
Comme il n'est pas plus envisageable que je le frustre lui, il lui arrive d'y recourir, en assouvissant son désir légitime tout en se passant de moi, en jouissant non pas en moi mais sur moi.
Pas trop souvent, heureusement :smile:
Je déteste quand il se comporte ainsi.
Quand il me prive de lui.
Mais en même temps je l'accepte quand il décide de se "comporter en salaud".
En me refusant ce que j'attends, le plaisir de jouir de lui.
Je ne saurais, moi non plus, me présenter comme expert...
C'est arrivé que Mme le fasse sur moi, lors des rares échanges. D'une manière étonnante je me retiens alors bien mieux que lorsque j'avais moi même décidé de me retenir, mais c'est je digresse. Tant qu'on en est à mes faiblesses, j'ai beaucoup plus de mal à lui interdire de jouir, même si je l'avais décidé au départ, après avoir moi même jouis. Je pense qu'elle le sait très bien... La voir me supplier de jouir, les joues roses et la chatte trempée, ben je craque (presque) obligatoirement après avoir jouis, sinon parfois je résiste !
En effet, même sans la priver d'orgasme, l'empecher de me prendre, ou d'être prise la rend vite complètement folle. Pour peu, elle me violerait. Je lui demanderais si elle déteste aussi lorsque je me comporte en salaud, et la traite en vide couille, un peu plus précisément.
Lorsque tu parles d'échec, concrètement, ça se manifeste comment ? Tu jouis rapidement et ça s'arrête là ? Chez nous il y a ce qu'on pourrait appeler le "coup de lime de trop", si vous me permettez, le point de non retour...
Bonjour tout d'abord à toutes et tous,
Je pense, en tant que soumis, que la chasteté et le contrôle d'orgasme sont deux piliers essentiels du parcours d'un individu sous contrôle.
J'ai en effet expérimenté moi-même qu'en étant en manque de satisfaction charnelle, je deviens bien plus obéissant et à l'écoute. Ma dévotion grandit proportionnellement à ma frustration dans ce domaine.
C'est peut être une idée que je me fait, mais la dévotion et l'intensité de l'obéissance qui augmente avec la frustration, j'ai le sentiment que c'est plus masculin.
Soyez la première personne à aimer.