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Sodomie : pratique avec ou sans levement ? Je voudrais aborder ici un sujet qui n’est pas tabou, je l’espère : La pratique de la sodomie en présence (ou en absence) de matières fécales ! Je pratique avec mes partenaires, masculins, féminins, trans de tous genres, la sodomie et le fist, en leur offrant sans retenue mon intimité anale, aussi profondément et aussi largement que cela se présente … Je pratique auparavant des lavements approfondis (à l’aide d’une douche ou d’une poire anale), précédés souvent d’un jeûne de quelques jours de façon à éliminer toute présence de matières et/ou de l’absorption de comprimés anti-constipation… Malgré cela, très très rarement certes, il arrive que, quelques heures après un examen montrant l’absence totale de matières dans mon intimité anale, se produisent des écoulements à retardement, et d’ailleurs en général particulièrement odorants. Or, à part de très très rares exceptions avec des partenaires qui ne sont pas gêné(e)s par la présence de matières fécales, voire qui n’en sont que plus excité(e)s, je sais et constate que la quasi-majorité des partenaires (dison 999 sur 1000) n’apprécient ni la vue ni a fortiori l’odeur des matières fécales rencontrées lors de pénétrations anales (sodomie ou fist). L’objet de mon message est le suivant, avec ces 2 questions que je vous pose : Quelle(s) pratique(s) utilisez-vous pour éliminer toute présence de matières fécales lors de vos rapports sexuels de type anal avec les partenaires qui vous sodomisent ou vous fistent ? Entre ces pratiques : lavement à l’eau, lavement à la glycérine, médicament anti-constipation - capsule type Microlax, comprimé type Dulcolax -, jeûne, laquelle (lesquelels) a (ont votre préférence ? Merci de me faire part de votre expérience et de votre appréciation sur ce sujet ! Sophya.
Dernière modification le 16/10/2023 15:53:42 par BDSM.
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Eric H a dit...

Personnellement, je me présente toujours nickel devant une Maîtresse, dedans et dehors, par principe.
J'ai entendu dire que certaines d'entre elles préféraient que le lavement ne soit pas fait afin que l'humiliation d'être sale soit au RDV pour le soumis. Question de gôut, c'est un choix...



On peut distinguer sans doute deux grandes catégories: le lavement hygiénique, qui s'effectue avant la séance en vue de ne pas infliger d'irruption indésirable à son/sa partenaire, et au contraire le lavement érotique qui devient une pratique bdsm à part entière qui a de nombreux adeptes des deux sexes et de tout rang.

Dans la klismaphilie (ou clystérophilie —ce sont les deux doux nom de cette discipline), les enjeux et les pratiques peuvent être très différents.
Dans l'exemple d'Erich H, il s'agit en effet de jouer sur l'humiliation de la personne qui —n'ayant pas fait de lavement hygiénique préalable— devra faire face à l'angoisse de ce qui sortira d'elle...

Mais les enjeux et les méthodes peuvent être tout autres... Le lavement peut jouer tout simplement sur l'inconfort (tant physique que mental) de la rétention, et devenir une pratique Sm ou le danger de l'humiliation n'est que latent.

Un exemple? La personne soumise peut par exemple être mise en situation de vie sociale (aller au restaurant, faire une course...) tandis qu'elle contient le lavement qu'on lui a infligé et doit s'appliquer à ne pas "se faire dessus"... Voilà peut s'avérer assez insoutenable pour une demoiselle qu'on aura auparavant pris soin de garnir d'un oeuf vibrant télécommandé à activer lorsque le serveur viendra prendre la commande. Pour avoir déjà fait subir cela à une amie soumise, je peux affirmer que c'est une situation... intéressante! Mais ça marche tout aussi bien dans un contexte de jeux privés, bien sûr.
Lorsque la personne dominante décide de libérer sa victime de cette contrainte oppressante, elle peut tout à fait l'envoyer se soulager aux toilettes, et le lavement a donc été employé sans aucune confrontation aux matières fécales.

Il y a ainsi de nombreux usages non-scatologiques du lavement érotique, qui peuvent aller de choses très douces voire agréables pour la personne qui subit, jusqu'à des choses que certains qualifieront d'extrême (la quantité, la durée de rétention et le liquide employé changent beaucoup de choses). Mais comme rien n'est plus subjectif que la frontière de l'extrême, il appartient à chacun de déterminer la manière qui lui convient de jouer de cette pratique, ou de la cantonner à son usage fonctionnel premier...
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