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#22
Vous dites : "Si la sodomie sans douleur est possible et parfaite pour une pratique "plaisir", il me semble qu'elle doit pouvoir se décliner sous d'autres formes pour une pratique domination, c'est à dire permettre à la personne dominante de pouvoir exprimer la marque de sa domination. Il est possible de jouer sur les durées, les différentes manières de pénétrer, sur la survenue contrôlée, répétée ou frustrée du plaisir.
Ma Maîtresse et moi travaillons à cela, pour qu'elle ait à sa disposition toute la palette du possible, du douloureux contraint au cadeau du plaisir pur et tendre."
Si c'est une dominatrice elle doit apprécier le douloureux contraint à imposer au soumis en jouant sur la grosseur des godes sur la durée de t'intromission, voire le faire sodomiser par un homme devant elle pour l'humilier.
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