Lady Spencer, merci pour votre longue intervention et votre plaidoyer ému contre les envies masculines de jardinage aux toilettes... :wink:En introduisant ce sujet assez scabreux, j'ai voulu l'orienter dans une direction un peu plus profonde que sa nature première, et surtout éviter le débat du "Y'en a qui en foutent partout, non mais sans blague c'est pas croyable !", car je doute qu'il y a là matière à domination. Mais force est de constater que c'est (malheureusement encore) là un poncif incontournable, alors il me faut l'accepter.Ce n'est pas tant le regard extérieur sur la position assise qui me titillait que mon propre regard sur mon corps. Vision en l'occurrence ici obstruée ce qui me semble instiller progressivement un changement de perception de soi potentiellement profond. La question de la relation avec l'éducation - dont on perçoit l'évolution sociétale en cours -, et la pratique habituelle soudainement rompue, est intéressante. Je conçois également de plus en plus nettement le ressort de votre désir de domination psychologique : prendre un soumis à la psyché tordue (car nous sommes finalement tous tordus), lui tordre dans un autre sens, et voir si elle reprendra sa position initiale, si elle gardera la nouvelle, si elle oscillera curieusement, ou si elle adoptera d'elle-même une troisième position. Finalement, une dominatrice resterait-elle une grande joueuse dans l'âme ?
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