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Bonjour à tous et à toutes,

En vue d'un article consacré à ce sujet sur mon blog ( http://www.objetsdeplaisir.fr ), je cherche à recueillir des propos de personnes appréciant la douche dorée (en tant que receveur ou donneur) ou d'autres pratiques impliquant de l'urine.

Le but n'étant pas de sombrer dans la psychologie de comptoir, mais plutôt d'en parler de manière décontractée, d'expliquer ce que vous trouvez amusant ou excitant dans cette pratique, et de confronter divers points de vue.

Quelques exemples de questions, je compléterai au fur et à mesure (en espérant que du monde participe à la discussion)(mais des suggestions de questions sont également les bienvenues) :

Qu'est-ce qui vous attire dans l'urophilie ? Est-ce plutôt le côté soumission/humiliation, ou la substance en elle-même (par exemple, le fait que l'urine soit socialement considérée comme "sale") ?

Quel genre de pratiques impliquant des jeux avec de l'urine avez-vous/appréciez-vous ? (parce que bon, il y a quand même une flopée de variantes possibles, et en apprécier une sorte ne veut pas dire les apprécier toutes).

A quelle fréquence à peu près ? Anecdotiquement ? Juste pour tester ? Régulièrement ?

Votre réaction lorsque le jeu est terminé ? A la douche illico presto, ou pas nécessairement ?

D'autres idées de questions ?

Merci d'avance à ceux et celles qui participeront à la discussion Smile

Elle.
Dernière modification le 12/08/2013 13:59:43 par objetsdeplaisir.
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Empire
#1
Je ne vais évidemment pas faire une généralité de mes propos.
Mais je vais commencer par répondre à votre question par une autre question:
Et vous, le pratiquez-vous?
Si vous faites parti de 95% des gens, vous me répondrez : non.
Donc voici ma réponse:
L'urine de ma Reine est un trésor. Réellement. Et je le prend comme tel.
Je le chéri. Parce qu'elle m'offre ce que très peut de femme offre.
La fréquence ne dépend pas de moi. Mais à chaque fois qu'elle me l'offre, je l'en remercie...
Mais je ne serais pas complet sans évoquer la nature de ce cadeaux: Il n'est pas naturel pour une Femme d'uriner sur, ou dans la bouche d'un homme. C'est ce montrer dans une position qui peut, pour les gens "vanille" paraître humiliante.
Aussi, lorsqu'elle le fait pour la première fois, elle me montre qu'elle n'a pas peur de mon jugement. Qu'elle à suffisamment confiance en mon regard pour savoir qu'elle va pouvoir s'exposer ainsi.
Voyez vous, c'est un moment de partage extrêmement intime et privilégié.
Je n'ai aucune appétence pour le goût, encore moins pour l'odeur de l'urine en général. Mais j'aime passionnément passionnément le goût de la sienne, l'odeur, la chaleur...
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#2
Bonjour !
Tout d'abord, merci pour cette réponse.
Pour répondre à votre question, oui, je pratique l'urophilie de temps en temps avec mon partenaire. Dans les deux sens, mais le plus souvent en tant que donneuse, dans le cadre de jeux de rôle de domination/humiliation. Donc avec un côté nettement moins "sacré", et parfois même un peu puéril.
C'est peut-être moi qui m'imagine des trucs, mais je n'ai pas l'impression que l'ondinisme soit si rare que ça. Par contre, les approches et les perceptions diffèrent d'une personne (ou d'un couple) à une autre. D'où mon envie de confronter divers points de vue.
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#5
soumachin a dit...

Bonjour je suis un soumis j aime la pratique uro. C est le cote soumission qui m attire


Déjà pratiqué ? Si oui, dans quelles circonstances ?
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Salima
#7
supernooty a dit...

En ce qui me concerne, c'est un fantasme que je cherche à assouvir.
J'aimerais sentir l'urine d'une ou plusieurs femmes me couler sur le corps et remplir ma bouche. Pourquoi ? je ne sais pas mais j'en resens l'envie.
Je regrette qu'il soit si difficile de rencontrer des femmes qui accepteraient ce genre de pratique.


Si vous avez du mal à trouver, c'est sans doute parce que c'est une pratique très intime ; du coup "cherche femme pour douche dorée", ça ne le fait pas trop. En gros : on ne pisse pas sur le premier venu. Et on ne se fait pas pisser dessus par le premier venu. Je pense que pour beaucoup d'amateurs, il faut qu'il y ait un désir intense pour l'autre, l'envie de l'inonder de nous, de le "marquer" autant que de lui donner nos fluides, toute notre chaleur intérieure. Donner ses fluides... c'est aussi de ça qu'il s'agit. On lui pisse dessus, parce qu'on n'a pas des litres de foutre ou de mouille à lui donner, mais ça en tient lieu...
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#8
Cool, de nouvelles réponses, merci !
Si jamais je fais un article sur le sujet, je peux vous citer ? (anonymement, bien entendu)
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#11
Je pense que je vais bientôt avoir de quoi faire un article en rassemblant (anonymement, bien entendu) les réponses Smile
Merci à tous !
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Hector
#12
Wondersalope a dit...

J'ai été surprise de découvrir à quel point c'est sensuel et intime, et au final pas du tout dégoûtant.


C'est vrai que sur le moment, dans l'excitation du moment, l'acte ne dégoûte pas. Mais c'est une loi générale dans les pratiques sexuelles (pensons par ex au contraste entre le comportement habituellement si délicat et facilement dégoûté par les odeurs, le manque apparent d'hygiène, etc. de nombre de jeunes femmes actuelles et ce à quoi ces mêmes jeunes femmes peuvent se livrer lorsqu'elles font du sexe) :

"Lors des relations sexuelles, l'excitation l'emporte sur le dégoût, selon une étude néerlandaise

The Huffington Post | Publication: 14/09/2012 07:20 Mis à jour: 14/09/2012 17:10

RELATIONS SEXUELLES - Le sexe est peut-être l'un des plus grands plaisirs de la vie. Pourtant, l'acte sexuel implique tout un tas de manifestations qui dégoûtent d'habitude la plupart des gens: sueur, sécrétions et odeurs corporelles, pour ne citer qu'eux.

Une petite étude néerlandaise, publiée ce mercredi 12 septembre, a cherché à comprendre quels sont les ressorts psychologiques qui peuvent conduire les femmes à se livrer volontairement, voire même avec enthousiasme, à l'acte sexuel, malgré ces détails peu séduisants.

Les résultats, présentés en ligne dans le journal PLoS ONE, révèle que l'excitation annihile le sentiment de dégoût et facilite ainsi l'envie qu'une femme peut avoir à faire des choses que toute autre femme, non excitée, trouverait tout simplement répugnant.

Trois vidéos différentes testées

"Les femmes, [lorsqu'elles] sont sexuellement excitées, sont plus enclines à toucher et à faire des choses qui, autrement, les répugneraient", explique, au Huffington Post, Chairmaine Borg, co-auteur de cette étude et chercheur au département de psychologie clinique et de psychopathologie expérimentale de l'Université de Groningen, aux Pays-Bas.

Pour mener leurs études, Borg et ses confrères ont étudié les réactions de 90 étudiantes universitaires, réparties en trois groupes égaux: ils ont demandé au premier groupe de regarder un film érotique "destiné aux femmes", on a donné à visionner au second groupe une vidéo de sports extrêmes, destinée à susciter une excitation, mais pas de nature sexuelle ; enfin, le troisième groupe s'est vu projeter une video d'un train, sensée les garder dans une disposition neutre, loin de toute forme d'excitation.

Cookies placés près de vers de terre

Puis, toutes ces jeunes femmes ont reçu une liste de 16 tâches à accomplir, dont la plupart d'entre elles étaient volontairement rebutantes. On leur a demandé ainsi de boire une gorgée d'un jus dans lequel se trouvaient de (faux) insectes, d'essuyer leurs mains dans un mouchoir sale ou encore, de mordre dans des cookies placés près de vers de terre vivants. On leur a demandé également de se prêter à plusieurs exercices d'ordre sexuel, comme lubrifier un vibromasseur.

Les femmes issues du groupe dont on avait préalablement "excité" le regard ont déclaré avoir trouvé toutes ces tâches, celles peu ragoûtantes comme celles de nature sexuelle, moins dégoûtantes que les femmes des deux autres groupes. Elles ont aussi été celles qui, statistiquement, se sont le mieux livrés à tous ces exercices, suggérant ainsi que l'excitation sexuelle, non seulement, diminuait les sensations de dégoût, mais affectait aussi directement la façon dont les femmes réagissaient et étaient prêtes à se comporter.

Le dégoût nous protège

Daniel R. Kelly, professeur adjoint de philosophie à l'université de Purdue et auteur d'un ouvrage intitulé, "Berk ! ou la nature et la signification morale de notre dégoût", qui n'a pas participé à cette étude, explique néanmoins que le sentiment de dégoût est "un prolongement de notre système immunitaire", qui permet aux hommes et aux femmes d'éviter d'être contaminés, en les gardant à distance de tous ces éléments potentiellement porteurs de maladie, tels que les sécrétions corporelles.

"Le dégoût est une émotion, explique-t-il. Il est avant tout là pour nous protéger, nous éviter de manger des aliments qui pourraient nous rendre malades ou nous éviter d'entrer en contact avec des éléments susceptibles de causer des infections. Voilà la mission du dégoût."

David Buss, professeur de psychologie à l'université du Texas, à Austin, et auteur du livre "Pourquoi les femmes font-elles l'amour?", déclare que ce sentiment de dégoût est un "problème immense pour les femmes". "Les femmes montrent plus de dégoût, particulièrement vis-à-vis des choses sexuelles, que les hommes".

Buss rejoint d'ailleurs les explications de Kelly en faisant du dégoût " quelque chose de l'ordre d'un mécanisme de défense psychologique avancé." Et le professeur d'expliquer qu'"il éviterait aux femmes d'avoir des relations sexuelles avec de mauvais partenaires, tels que des hommes qui pourraient être vecteurs de maladies, des hommes qui montreraient de forts signes d'infection potentielle, ou encore des hommes dont l'hygiène laisserait à désirer, etc...".

Le manque d'excitation peut avoir une influence réelle

Les deux experts s'accordent néanmoins sur le fait que ce qui est intéressant dans l'étude néerlandaise, c'est qu'elle suggère que la mission du dégoût, qui voudraient que les femmes se tiennent éloignées de tous aspects potentiellement "dangereux" du sexe, est relayée au second plan lorsque ces dernières sont excitées. "L'excitation sexuelle peut l'emporter sur le dégoût", déclare ainsi David Buss.

Non seulement cela explique pourquoi une femme peut se livrer à des comportements qu'elle n'aurait pas eus si elle n'était pas excitée. Mais comme le soutiennent les auteurs de cette étude, cela pourrait aussi expliquer comment le manque d'excitation pourrait être à l'origine des dysfonctionnements sexuels chez les femmes.

"Ces résultats nous montrent que le manque d'excitation sexuelle peut avoir une influence réelle sur les rapports sexuels, dans ce qu'il modérerait de manière réduite le sentiment de dégoût et n'annihilerait pas suffisament les tendances d'évitement dictées par le sentiment de dégoût", conclut ainsi Chairmain Borg, qui espère que cette étude suscitera des recherches plus poussées dans ce domaine."
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#14
Bonsoir,
Je viens de publier une première partie rassemblant les réponses : http://www.objetsdeplaisir.fr/2013/11/urophilie-1/
Une seconde partie est en préparation.
Merci à ceux et celles qui ont participé !
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#15
Merci encore à ceux et celles qui ont répondu.
La seconde partie est en ligne : http://www.objetsdeplaisir.fr/2013/11/urophilie-2/
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Nanook
#16
Pour ma part, j'ai découvert cette pratique très tard. J'y ai pris un plaisir très fort et très intime. Un sentiment de propriété absolue, un partage fort.
Je recommencerais surement un jour, qui sait...
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slave_marc
#18
A mon tour de vous faire part de ma première expérience uro.
Nous n'avions jamais parlé de cette pratique auparavant avec ma maitresse.
J'avais les yeux bandés, allongé sur le dos à même le sol.
Maitresse était a genoux sur mon visage, pour que je lui donne du plaisir avec ma langue.
Soudain, elle m'a autorisé a me masturber.
Lorsqu'elle a sentit que j'allais éjaculé, elle c'est relevée, puis j'ai sentit son champagne chaud sur mon visage puis sur mon torse. J'avoue qu'a ce moment précis, je ne savais de quoi il s'agissait. Elle m'a arraché mon bandeau et j'ai découvert a cette instant, qu'elle m'avait uriné dessus.
J'ai adoré, pris un plaisir fou, et j'étais très fière d'avoir reçu son champagne.
J'ai pris cela comme un cadeau.
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#19
Bonjour,

Grâce à vos témoignages, j'ai publié une troisième partie sur le sujet.

Encore merci à ceux et celles qui ont répondu.
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#20
quel délice que d'inonder d'urine une partenaire en tenue sexy....
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#21
et de lui faire l'amour lorsqu'elle est encore toute trempée.....
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