Bonjour Gitane, Je ne pratique plus qu'avec mon homme qui est un vrai maso. Je le connais depuis si longtemps que l'on se comprend sans même se parler. Avec des soumis je ne pourrais pas. Non, il me faut un homme comme le mien, un guerrier qui supporte le fouet, la cravache, la badine, la cane anglaise et qui y prend vraiment plaisir. En échange de mes cruels sévices, il m'offre une vie bien agréable et rangée. Les vrais masos ne prennent du plaisir que ce qui pourrait sembler de grandes douleurs mais c'est du plaisir pour eux. Ils en ont même besoin. C'est lors de ces séances que j'ai découvert la jouissance par la peur. Il faut que le maso ait la trouille pour de bon, c'est psychique. Il faut qu'il croit que la domina est devenu folle, que tout l'imaginaire qu'elle raconte est un possible. Aucun danger, ni mise en danger. Juste faire croire, suggérer. Vraiment lorsque mon maso adoré à la trouille, moi cela m'excite aussi beaucoup. C'est très amusant de lire dans ses yeux qu'il a peur. Sa jouissance est entièrement sous contrôle. Et donc associer trouille et possibilité ensuite de jouir, cela aide à conditionner. C'est purement mental. Il n'est pas nécessaire de frapper plus fort que d'habitude. Par contre, il est important de bien raconter l'histoire et de la faire vivre dans l'imaginaire du maso. Bises et bon dimanche.
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