Je crois qu'on devient réellement qui on est quand on accepte le côté non-universel de " La " personne soumise " ou " de " La " personne Dominante, et qu'on ose apprivoiser ce qui pouvait paraître contradictoire dans un premier temps... C'est juste un avis en passant... :)
bonsoir et merci pour votre réponse, qui me semble parfaitement pertinente. Mais c'est très contre-intuitif pour qui ne connaît pas concrètement le BDSM en fait, puisque tout semble ici assez rigide (il est finalement assez rare si je comprends bien de passer d'un rôle à l'autre, mais je comprends bien que ce n'est qu'un rôle que l'on choisit d'endosser) ce qui me semble difficile conciliable avec la singularité d'une personnalité...
avec un peu de temps et un travail de projection fantasmatique (qui a probablement des limites majeures), je ne pense pas avoir un appétit pour la soumission au point de vouloir endosser ce rôle, mais je ne m'en sens pas très loin, et j'aurais donc un peu de mal à endosser le rôle de dominateur sans me sentir illégitime. C'est un peu pareil au sujet de l'orientation sexuelle, pas d'attirance suffisante pour avoir envie d'un rapport sexuel avec un homme, mais il y a des idées impliquant une femme au milieu qui ne me laissent pas non plus insensible... avoir conscience de la subtilité de ces nuances, tout en assumant une ou plusieurs étiquettes pour orienter ses recherches, c'est vraiment un travail d'équilibriste... et c'est génial que quelques personnes puissent prendre le temps et la peine de me faire part de leur expérience à ce sujet, encore un grand merci à vous toutes et tous