Le subdrop peut à la fois être émotionnel et physique. En terme de pure "chimie du corps et du cerveau" c'est quelque chose que j'expérimente depuis une 15 aine d'années dans un autre type d'activités mentalement très prenantes et très exigeantes.
Je me suis rendue compte qu'avec le temps, mon corps et mon mental s'habituent, peut être qu'ils s'accoutument, ce qui me pousse à en vouloir toujours plus, toujours plus intense.
Etant encore novice dans le bdsm, mes deux rencontres/séances bdsm, particulièrement en SM/bondage, je n'ai pas eu de subdrop parce que je ne suis pas "montée" haut ou pas longtemps en terme de sensations/douleurs et donc endorphines, sérotonie, dopamine... d'autant plus que je suis en déficit naturel de ces hormones.
Quoi que, je pense avoir commencé un début de subspace en jeu SM (mais je peux confondre avec la fièvre d'un rhume qui se déclarait sur l'instant), mais pas de drop derrière. Alors peut-être que c'est le corps seul qui s'est exprimé, en déclarant cette fièvre et le besoin de dormir derrière. Mais je fais aussi de l'hypersomnie donc je n'arrive pas encore à différencier ce qui peut être subspace, drop d'un autre phénomène "normal", ou du moins "ordinaire" pour moi.
Et vous avez raison de parler du drop des doms. Leur rôle est aussi intense, et on n'en parle jamais. Il me semble que l'aftercare est utile aux deux parties, tout comme le suivi les jours suivants.
Ma dernière rencontre a été (et est) irréprochable de ce côté là : discussion avant et après la session. Du cidre, des gâteaux après où on a parlé de la session mais aussi de tout et rien. Et il m'a envoyé rapidement après un debrief par mail et un questionnaire <3 sur la base desquels nous poursuivons nos échanges pour la prochaine rencontre. Je pense que sa démarche de débriefing par mail est aussi sa manière, pour lui, de gérer l'après. Et comme je suis très réceptive à cette méthode, et bien ça marche et ça fait office de "care" pour tous les deux.
Ma première rencontre, elle, s'est faite sur le long d'un weekend avec des temps morts entre deux sessions : tourisme, restaus, cafés. La dernière s'est terminée sur un restau au calme en heure creuse. Le fait de passer du temps, de debriefer entre deux anecdotes ou discussions plus triviales, pour moi ça fait aussi partie de l'after care. Comme quoi, ça peut prendre plein de formes différentes.
Je précise que je ne fonctionne pas en relation D/s exclusive, mais avec des playpartners occasionnels.
Je me suis rendue compte qu'avec le temps, mon corps et mon mental s'habituent, peut être qu'ils s'accoutument, ce qui me pousse à en vouloir toujours plus, toujours plus intense.
Etant encore novice dans le bdsm, mes deux rencontres/séances bdsm, particulièrement en SM/bondage, je n'ai pas eu de subdrop parce que je ne suis pas "montée" haut ou pas longtemps en terme de sensations/douleurs et donc endorphines, sérotonie, dopamine... d'autant plus que je suis en déficit naturel de ces hormones.
Quoi que, je pense avoir commencé un début de subspace en jeu SM (mais je peux confondre avec la fièvre d'un rhume qui se déclarait sur l'instant), mais pas de drop derrière. Alors peut-être que c'est le corps seul qui s'est exprimé, en déclarant cette fièvre et le besoin de dormir derrière. Mais je fais aussi de l'hypersomnie donc je n'arrive pas encore à différencier ce qui peut être subspace, drop d'un autre phénomène "normal", ou du moins "ordinaire" pour moi.
Et vous avez raison de parler du drop des doms. Leur rôle est aussi intense, et on n'en parle jamais. Il me semble que l'aftercare est utile aux deux parties, tout comme le suivi les jours suivants.
Ma dernière rencontre a été (et est) irréprochable de ce côté là : discussion avant et après la session. Du cidre, des gâteaux après où on a parlé de la session mais aussi de tout et rien. Et il m'a envoyé rapidement après un debrief par mail et un questionnaire <3 sur la base desquels nous poursuivons nos échanges pour la prochaine rencontre. Je pense que sa démarche de débriefing par mail est aussi sa manière, pour lui, de gérer l'après. Et comme je suis très réceptive à cette méthode, et bien ça marche et ça fait office de "care" pour tous les deux.
Ma première rencontre, elle, s'est faite sur le long d'un weekend avec des temps morts entre deux sessions : tourisme, restaus, cafés. La dernière s'est terminée sur un restau au calme en heure creuse. Le fait de passer du temps, de debriefer entre deux anecdotes ou discussions plus triviales, pour moi ça fait aussi partie de l'after care. Comme quoi, ça peut prendre plein de formes différentes.
Je précise que je ne fonctionne pas en relation D/s exclusive, mais avec des playpartners occasionnels.
Dernière modification le 06/05/2025 18:16:26 par Ekhko.
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