Pour moi 2 sujets très distincts dans l'après. L'aftercare est immédiat, calin tendresse et autres douceurs. Pas de "debriefing", quand l'un ou l'autre a envie de parler, il le fait, que ce soit le jour même ou un mois après. Pas de photos non plus, ce n'est pas notre truc on préfère vivre les instants plutôt que poser, c'est peut-être générationnel ca 😉Donc pour répondre à la question je ne suis pas accompagnée physiquement lors du drop, mais de toute facon l'être ne change pas les choses. Le tel ne sert à rien non plus (vu que je suis apathique et antipathique) alors on se contente de quelques messages.Le subdrop survient bien après les moments intenses, 1 ou 2 jours après, donc quand je suis de retour chez moi. Il commence généralement la nuit, réveil nocturne, parfois plusieurs, dans un état totalement abattue physiquement et moralement. La journée du lendemain est alors très compliquée, totalement abattue, genre mini déprime et épuisement, incapable de me motiver à quoi que ce soit. Si c'est un jour de travail ma productivité se rapproche de zéro. J'ai un fort besoin de contact physique avec mon maître, de calins, mais comme on ne vit pas ensemble, je dois me débrouiller toute seule en attendant que ça passe.Cependant récemment à la "reprise des pratiques" après quelques mois, le drop m'est arrivé pendant la nuit chez mon maitre. Étrangement, être près de lui n'a rien changé et c'était très désagréable ces sensations de manque de lui, ce chagrin, alors qu'il était juste là (et impuissant). Je pense que l'aspect hormonal fait que sa présence ou non n'aide pas à "faire passer plus vite".
4 personnes aiment ça.