Je vais laisser tomber la partie After et parler plutôt de Drop. Je connais, ils sont très fréquents pour moi et ne dépendent pas forcément de "l'intensité" de la séance. Mettre des mots sur ce qu'il se passait en moi au niveau des hormones à été salutaire pour moi, je comprends. Et puis, petit à petit, les drops s'intensifiant et se faisant de plus en plus fréquents, j'ai "accepter" cet état de "tristesse", de "mou", de "vide". Je VIS mon drop, je l'accepte, je le prend, il fait parti du game, il est l'autre versant de la pièce. Il mérite toute mon attention. Je pourrais dire que j'en joui au même titre que les marques que je portent. (Pourquoi être fière d'elles et pas de cette dépression ?). Il faut dire que je suis très bien entourée lors de mes drops, rarement physiquement, mais mes amis sont là. On s'appelle quand je rentre, quand je me réveille le lendemain, des messages sont échangés jusqu'à ce que je dise (c'est bon, c'est passé).Je peux bien entendu appeler à tout moment celui ou celle avec j'ai "joué", ce sont des partenaires plus que réguliers, ce sont les seuls.Et si un nouveau partenaire devait entrer dans mon cercle, il serait déjà à minima, un ami de longue date. Il m'arrive bien entendu de recevoir le drop d'une amie, de certaines amies, quand ce sont leurs premiers, le fait d'expliquer et de rassurer est très important, elles comprennent et "attendent" plus sereinement que cela passe. Quand elles sont un peu plus expérimentées, elles savent que je suis là et que ma tasse de thé et mes cookies sont prêts si elles ont besion dans la nuit (de toute façon je me lève grignoter souvent la nuit alors ..., tu ne me dérangeras pas au contraire je ne serais pas seule pour m'empifrer). Bref, l'on ne parle pas assez du drop et souvent les gens confondent avec l'after, merci Libellule donc pour l'ouverture de ce post.Et mon thé n'est jamais très loin, donc, tu sais où me joindre. Belle route à toi, profitte, Bises.
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