Je suis peut-être un peu décalé, mais je sais, pour leur en avoir parlé, que les soumis que je dépucèle en anal gardent un lien fort avec moi. Ceci dit, il leur arrive de me demander de ne pas avoir de préservatif et d'éjaculer en eux, mais ça je ne le fais pas pour des raisons de maladie. Cela génère chez eux une sorte de frustration, et j'ai parfois envie de répondre à leur demande.
Comme dit plus haut effectivement néczssité que ce soit fait dans un cadre sain pour tous et toutes.
Ce qui me fascine vraiment et je pense que c'est pour ça que j'ai mis du temps à l'identifier comme étant un kink (j'ai toujours voulu avoir et porter des enfants) c'est cette capacité cérébrale finalement de se projeter dans quelque chose qu'en réalité on ne souhaite pas forcément. Ou qu'on n'est pas en capacité physique de faire.
Pour ma part c'est bien la notion d'être remplie de et par le partenaire. Un marquage différent finalement que celui des traces.