Gangbang et Abattage FRANCE

Je m'appelle Anouk, j'ai 26 ans. Je suis brune, 1m67 pour 49 kg. J'ai signé, il y a 1 an, un contrat avec mon maître, dont voici le contenu (les paragraphes les plus importants) : - Je suis le vide-couille de mon maître et des hommes qu'il souhaite à disposition constante. - Je dois jouir en silence sans quoi je serai punie. - Je dois être nue en permanence (exception : lors des sorties et des visites de nos familles). - Aucune violence physique ne sera exercée. Aujourd'hui, mon maître a décidé de jouer avec moi. Il m'a lancé le défi suivant : « Fais moi jouir dans ta bouche en moins de 4 minutes et tu seras récompensée. Tu n'as le droit d'utiliser que ta bouche, et je ne veux rien entendre » Pour lui montrer mon obéissance, je défis son peignoir avec ma bouche. Il avait très envie de me châtier car il l'a noué très serré et il m'est compliqué de le défaire uniquement avec ma bouche. Je perdis la moitié du temps imparti à atteindre sa verge. Une jolie bite, qui atteint les 20 cm en érection et de 5cm de circonférence. Je commençais par lui lécher son gland en donnant de petit coup de langue le long de son frein en sachant qu'il aimait cela. Je descendis par la suite le long de cette longue verge veinée jusqu'à atteindre ses couilles que j'aspirais avidement et suçais comme il me l'a appris. Je remonte et prend son sexe en bouche et le fais pénétrer le plus loin possible au fond de ma gorge. Je lui faisais subir ce traitement pendant le reste du temps imparti, mais le faire jouir en 4 minutes est mission impossible, il est très endurant et d'une maîtrise exceptionnelle pour se retenir de jouir. Je perdis donc mon défi, et il m'indiqua que j'allais donc être punie. Il me fit allonger sur la table du salon, et me mit dans sa position préférée : allongée sur le dos les genoux pliés et les jambes écartées au maximum. Pour me faire tenir dans cette position, il m'attacha les jambes aux pieds de la table. « On va commencer par t'épiler correctement, je veux avoir une chienne présentable cette après-midi » Cette phrase était pleine de promesse, mon maître allait sûrement me livrer à des hommes choisis par ses soins. Une fois qu'il m'a totalement épilée, il me laissa sur la table avec l'ordre de ne pas bouger. Je restais dans cette position pendant 2 heures. Avec soulagement, j'entendis la porte d'entrée sonner. Mon maître alla ouvrir et salua nos invités et les invita à rentrer dans le salon. Je pus ainsi remarquer une dizaine d'hommes faire leurs entrées. Je ne connaissais qu'un seul de ses messieurs, Tony : un grand black, qui est garde du corps et qui a une queue énorme. La dernière fois qu'il m'a baissé, il m'a enculé à sec et ma rondelle se souvient encore de son passage. Mon maître indiqua aux hommes qu'il pouvait se servir de moi comme il le voulait. Je suis leurs vide-couille pour le reste de la journée. Je savais donc que mon maître avait vérifier qu'ils étaient cleen pour les laisser se vider en moi. Tous se déshabilla, et je pus voir Tony mener l'assaut vers moi. Il ne pris pas la peine de me faire sucer sa queue et l'inséra d'un seul coup au fond de ma chatte. Je ne pus retenir un cri de douleur, et mon maître m'a informé que si je ne me taisais pas, je la prendrais au fond de mon cul à sec pendant 10jours. Cette menace a été très efficace car je n'émis plus aucun son jusqu'à leur départ. Tony toujours en moi, me pilonnait avec force. Pendant ce temps un autre homme, vient près de ma bouche pour se faire sucer. Il avait une belle bite, comme tous les hommes présents. Tous avaient des queues de plus de 20cm et dont la largeur n'était pas inférieur à 4cm. Aucun d'eux ne prit la peine de me toucher. Je suppose qu'ils avaient reçu des ordres de mon maître, et que seul mes trous devaient faire l'objet de toutes les attentions. Tony, toujours en moi, en eu marre de ma chatte et se décida de s'attaquer à ma rondelle. Me rappelant la dernière fois qu'il m'a prise par là, je me crispai car je savais que sa queue allait avoir du mal à rentrer. Une gifle sur les fesses de sa part, me rappela que j'étais un vide-couille et que je devais accepter tous ce que ses hommes voulaient me faire. Je me détendis un peu et je sentis sa queue s'enfoncer en moi. Il y allait doucement, enfonçant l'extrémité de son gland pour m'ouvrir avant de l'enfoncer brutalement en moi jusqu'à la garde. Heureusement que ma bouche était prise par une queue, sinon je ne pense pas que j'aurais pu me retenir de crier. Il commença alors un va et vient puissant sortant entièrement en moi et me repénétrant avec force. Je failli lâcher ma sucette ce qui me valut un reproche de mon maître Tony me pilonna ainsi pendant plus d'un quart d'heure et fini par se répandre au fond de mon cul. Les autres hommes prirent le relais très rapidement, aucun d'eux ne voulu rendre hommage à ma chatte. Cependant, j'eus plusieurs orgasmes silencieux qui me laissaient pantelante. Les hommes m'ont baisé pendant plusieurs heures, sans aucune interruption. Vers 22 heures, mon maître, a décidé pour conclure cette journée de me faire prendre en double pénétration. Il fit donc tirer des petits papiers aux hommes afin de savoir qui aurait cette chance. Ils déplièrent leurs papiers et je pus voir le sourire de satisfaction de Tony ainsi que de l'homme (Alex) ayant la plus petite queue mais dont il savait se servir. Mon maître leur demanda quelles orifices ils choisissaient. Tony choisit ma petite chatte, ce qui me surprit car il ne jure que par la sodomie, laissant mon cul à Alex. Alex me détacha de la table et s'allongea sous moi. Il pris son sexe et l'introduisit directement dans mon cul avec facilité après avoir pris plusieurs éjaculation au fond de mon trou. Tony vient se placer entre mes jambes et positionna son sexe à l'entrée du mien et il s’enfonça avec lenteur jusqu'à venir toucher le fond de mon vagin. Les hommes commencèrent à se mouvoir en moi lentement. Ne pas jouir me demanda beaucoup d'effort, et je m’efforçai de faire plaisir à mon maître malgré la difficulté. Alex se répandit le premier au fond de mes intestins mais il resta planté dans mon cul le temps que Tony en finisse lui aussi. Il était tellement excité que 2 minutes plus tard je sentis de puissant jet me fouetter le fond de ma chatte. Ma jouissance, bien que silencieuse se voyait par les larmes de bonheur qui coulait sur mon visage. Je remerciai chaque homme d'un baiser sur leur queue. Mon maître m'emmena dans notre chambre et me mit au lit, pendant qu'il faisait ma toilette intime, je m’endormis épuiser par cette journée intense.

Bonjour le groupe, Veuillez trouver ci-joint la date de nos prochains événements gangbang en région Beaujolais le 20 juin de Midi à 18h00 . Pour plus d'informations et réservée votre venu, rendez-vous sur : gb69.fr Déjà plus de six couples ont réservé lors venue… ça promet d’être chaud, voire très chaud !

Homme en couple avec Femme. Je recherche escapades régulières. Offrir mes fesses imberbes à Hommes et groupes d'hommes. Envie d'être consommé à volonté. No crade. Hyper clean . Sur 68,90 et alentours

Je mets à dispo pour abattage mon esclave thaï le weekend du 07/06 sur Nantes. Détails et photos de l'esclave en MP pour les intérréssés.

Oh, je viens de découvrir ce groupe, j'aimerai un organisateur de gangbang sérieux Tous les trous open, pas de violence, pas de capote au moins 10 participants

Sélectionnés pour l’occasion afin de lui faire plaisir – et d’en prendre eux-mêmes au passage – pour cette occasion si particulière. Les deux mâles sauront faire preuve de ténacité et de vigueur pour satisfaire les appétits de la belle trentenaire  J’allais avoir trente ans. Guillaume, mon mari, m’avait préparé une surprise à laquelle je ne m’attendais vraiment pas et, comme vous allez le découvrir, qui aurait tout pour me ravir… Le jour J, alors que je m’attendais à un resto ou un spa, il m’a annoncé qu’il allait me faire un cadeau marquant et qui toucherait à “l’interdit”. J’ai tout de suite pensé à ce fantasme dont je lui parle depuis des mois, le fait de me voir offrir à d’autres hommes (ou de me faire offrir plusieurs hommes pour moi seule, si on renverse la perspective…). Mon premier réflexe a été un léger mouvement de recul car, malgré mon désir, j’avais tout de même quelques appréhensions, vu que je n’avais jamais fait un tel pas, ni réalisé un fantasme aussi fort.« Ne t’inquiète pas, ça va bien se passer, les gars, je les ai bien sélectionnés et tes 30 ans vont être bien marqués », m’a rassurée mon mari. « J’espère bien », ai-je répondu car, sous mes airs timorés, ma curiosité et ma libido étaient piquées au vif. Mais je ne voulais pas montrer trop explicitement mon enthousiasme, du moins pas pour le moment. Pour l’occasion, j’ai revêtu mes plus beaux atours : une sorte de combinaison résille transparente qui enveloppait mes pieds, chaussés de talons, mes seins dont les tétons commençaient déjà à poindre, mon cul et mes cuisses. Cet attirail laissait deviner mes formes et mes tatouages. Je savais que là-dedans, j’étais vraiment une bombe atomique. Ça me donnait confiance en moi. Mon mari m’a menée dans notre chambre où, sur le lit, reposaient deux magnifiques hommes déjà à poil, en train de branler leurs membres conséquents. « Un beau cadeau pour tes 30 ans hein ? Deux beaux mâles. Tu vas t’occuper d’eux ? Ça va m’exciter tout ça », a lancé Guillaume. J’étais debout près du lit et les deux apollons ont redoublé leur branlette en me matant dans ma combinaison sexy, qui était, de manière fort à propos, percée au niveau des fesses et du sexe pour laisser passer tous les délicieux sévices qui m’attendaient. Alléchée par ces deux beaux bruns bien bandants pour moi, je me suis mise à quatre pattes sur le lit pour commencer à en sucer un, le plus tatoué, avec lenteur. Je le gobais avec délectation, recevant sa queue sur ma langue, entre mes lèvres et contre mon palais. J’avais cette sensation de me laisser doucement submerger par le contact de cette peau et de cette tige bien raide qui s’enfonçait dans mon gosier, que je m’appropriais à coups de succions bien dirigées. Pendant ce temps, l’autre mec continuait à s’astiquer le manche tout en caressant mes fesses et en étudiant mes courbes de ses mains, avec un désir palpable, comme pour vénérer chaque centimètre carré de ma peau. Quelle chance j’avais d’avoir ces mecs-là rien que pour moi ! Ma chatte en frémissait de plaisir et les mains gourmandes du type qui me pelotait me communiquaient son désir. Je mouillais par avance, en visualisant mentalement le gang bang à venir, dont j’espérais qu’il me laisserait exsangue, trempée, fourbue de plaisir. L’homme qui me caressait s’est rapproché pour se faire sucer à son tour. Le coquin ne perdait pas le nord ! J’avais alors deux grosses queues qui dansaient sous mon nez, tendues vers moi. J’ai pris la sienne dans ma bouche, toujours goulûment, pendant que le premier guidait ma main pour que je continue à le branler tandis que je suçais son camarade. Mon mari, lui, regardait la scène en se caressant. J’étais tellement reconnaissante de ce cadeau dont je me souviendrai longtemps ! J’aimais qu’il ne soit pas jaloux que je donne ainsi autant de moi-même sous ses yeux, que j’accueille de nouvelles queues bien fermes dans ma bouche qu’il vénérait tant. La situation me faisait d’autant plus mouiller qu’il avait tout planifié pour moi. Je n’avais plus qu’à me laisser aller au grand bal du cul… Puis mon mari est arrivé par-derrière pour tâter mes fesses et ma chatte. Il a constaté mon excitation : « Tu es déjà bien mouillée ma coquine. » Les deux autres hommes faisaient courir leurs mains sur ma nuque et mes cheveux, ils attrapaient ma chevelure pour guider mes mouvements de bouche pendant que je continuais de les sucer alternativement.Ils me tenaient parfois si fermement, qu’ils me baisaient la bouche littéralement, et leur vigueur et leur excitation débordante intensifiaient la mienne, j’avais hâte qu’ils baisent d’autres trous de mon corps. Voyant ma mouille qui commençait à couler, mon mari s’est posté derrière moi pour me prendre brièvement en levrette, faisant coulisser sa queue, que j’adore, dans quelques va-et-vient qui répondaient à mes propres mouvements de bouche sur les bites de nos partenaires. Les six mains étaient à présent partout sur moi, mes hanches, mon cul, mes seins, mon cou et mes cheveux. Je leur appartenais de plus en plus, collectivement. J’étais leur chose et eux-mêmes étaient là pour mon bon plaisir, pour ces bacchanales d’anniversaire. Je ne pouvais plus vraiment cacher mon enthousiasme. Même si toute cette chair obstruait ma bouche active, la cyprine, entre mes cuisses gainées de résille où Guillaume avait plongé, trahissait mon émotion. Il claquait mon cul pendant qu’il me baisait, et je m’ouvrais, mon périnée vibrait et moi-même, je m’affairais à satisfaire tout ce beau monde. Puis il s’est mis lui aussi sur le matelas pour que je le suce, car me voir m’occuper de nos complices de partouze lui avait certainement donné envie. Alors pendant que je le suçais à tour de rôle avec le mec très tatoué, le troisième est venu me lécher la chatte. Guillaume et lui me tenaient les cuisses bien écartées pour qu’il ait accès à ma fente bien ouverte, et je recevais cette langue nouvelle dont je découvrais la texture contre mon clito. Elle me râpait et se déplaçait délicieusement. Les queues se disputaient ma bouche, les corps dansaient autour de moi, et, entre mes cuisses, il y avait cette tête aux cheveux gominés qui prenait si bien soin de mon petit bouton et de ma fente qui s’ouvrait comme un bourgeon qui éclot. Je me concentrais très fort pour ne pas jouir trop vite. Ça aurait été trop facile, et je préférais ménager mon corps pour mieux exploser plus tard.Le plaisir montait dans une vague énorme, prête à déferler dans la chambre, et j’imaginais mentalement ma cyprine inonder la pièce, mêlée à un flot de sperme. Je voulais aussi continuer à donner du plaisir à mes partenaires, car il n’y a rien qui me fait plus jouir que d’entendre le son rauque d’une voix d’homme qui sent le plaisir monter alors qu’une femme expérimentée prend soin de l’exciter avec application… Afin de calmer un peu le jeu, j’ai enfourché un de mes partenaires, les deux autres sont restés à genoux sur le lit, leurs queues toujours offertes à ma bouche affamée. L’homme sous moi donnait des petits coups de reins frénétiques qui faisaient que j’étais agitée de spasmes et que je sautais sur lui par à-coups, m’empalant d’autant plus sur son membre qui plongeait dans les tréfonds de mon intimité. Je bougeais aussi les hanches pour qu’il puisse taper là où ça me faisait du bien, et ce plaisir vaginal, profond, intense, qui naissait au creux de mon ventre, communiquait avec les sensations électriques des frottements de mon clito sur son ventre. Ses coups de queue vigoureux qui me faisaient tressauter, amplifiaient la présence des deux autres sexes dans ma bouche. Avoir autant de queues et de mains pour moi me permettait d’être très active dans l’acte, et c’est cette activité-là qui m’excite dans le sexe. Puis l’homme que je baisais en amazone s’est redressé à genoux sur le lit et ce fut à mon tour de me trouver allongée entre mes trois compagnons de jeu. Leurs peaux, leurs torses et leurs bites dansaient au-dessus de moi et ce spectacle stimulait mes sens d’autant plus. Parfois, mes yeux rencontraient ceux de mon mari et il y avait dans nos regards comme un feu nouveau qui nous embrasait tous les deux, lui de me voir prendre mon pied avec ces inconnus et de lui avoir fait confiance, moi de reconnaissance de me donner cette source d’excitation nouvelle (car c’est bien connu, les femmes sont particulièrement sensibles, sexuellement, aux expériences originales et je n’échappais pas aux statistiques). Cette nouveauté de chair et de sensation me permettait de renouer avec mon corps, ma chatte, mes seins, mon désir de séduire, et c’était extraordinairement bandant. Je sentais mon clito dur comme une bite et ma chatte aussi inondée qu’une piscine. Le mec qui m’avait léchée s’employait désormais à me baiser. Avec sa bite bien dure grâce à mes multiples fellations, il s’affairait, d’abord à genoux entre mes jambes ouvertes, puis derrière moi en cuillère, attrapant fermement ma jambe sous le genou pour s’enfoncer du mieux possible en moi et me cribler de ses ardeurs viriles. La résille de ma combi chauffait sur ma peau. Mon mari se branlait toujours en me regardant, je me demandais comment il faisait pour n’avoir pas déjà explosé devant une scène aussi chaude. Le troisième larron me donnait encore et toujours sa queue à sucer, ce que je faisais tout en lui caressant les couilles, qui étaient agréablement chaudes et douces à manier. Je recevais parfois quelques claques sur mon cul qui m’excitaient terriblement. Je sentais la peau de mes fesses qui rougissait sous ces petits coups bien placés, elle s’embrasait. La queue en moi claquait dans un bruit sonore dont le seul son aurait suffi à me faire décoller. J’avais vraiment l’impression d’être au cœur d’un porno, où ça pompe, où ça suinte, où ça grogne, et j’étais le réceptacle de cette orgie que Guillaume avait eu le bon goût de me préparer. Sans trop savoir comment, je me suis retrouvée à quatre pattes sur le lit, le mec tatoué me prenant à son tour en levrette, pendant que les deux autres continuaient à se faire du bien à l’autre extrémité de mon corps.Cette bite là avait encore une consistance différente, et elle me prenait, elle aussi, bien fermement dans cette position que j’adore. « Je t’avais dit que ce serait bien », a murmuré mon mari, en me regardant prendre mon pied. Et nous sommes repartis dans une nouvelle vague de sensations. Les mains qui se refermaient sur ma chevelure, qui tiraient dessus délicieusement. Celles de l’homme tatoué qui serraient ma taille et la prenaient pour m’enfiler brutalement. Les queues qui me fourraient à l’unisson et étouffaient les cris que je voulais pousser tant c’était bon. Je tâchais toujours de maîtriser le plaisir qui grondait dans ma chatte pour jouir plus tard. La peau de mon cul brûlait, mon sexe était en feu, et je voulais que les choses durent le plus longtemps possible. Je me voyais dans le miroir de notre chambre et cette image de moi, à ce point désirée et désirante, intensifiait mes sensations de volupté. Je me plaisais et j’adorais que mon mec me voie dans une telle posture. En attendant, le ballet lubrique se poursuivait sans relâche. Les choses se dirigeaient vers une pratique que je n’avais jamais expérimentée : la double pénétration. Je me trouvais à nouveau à califourchon sur l’homme qui m’avait léchée, le bassin bien cambré. La bite de l’homme tatoué, debout, m’emplissait la bouche. Et, dans mon dos, à genoux sur les jambes du mec que je chevauchais, mon mari se frayait un passage vers mon cul pour y glisser sa queue bandée. Il l’a lubrifiée, puis l’a poussée doucement dans mon cul. Elle y est entrée toute seule tant j’étais ouverte. Sa queue me limait le trou pendant que celle de l’autre me remplissait la chatte. Leurs deux impulsions faisaient que mon corps tremblait, secoué de toutes parts par leurs coups de queues qui produisaient dans mon bas-ventre une tempête de plaisir. Je squirtais, tant la pression était forte, et je sentais des petits jets s’échapper de moi et couler sur le drap. J’avais de plus en plus de mal à sucer le troisième type car les sensations étaient tellement volcaniques que je ne pouvais plus vraiment réprimer mes gémissements de plaisir. Quand je lâchais sa queue pour gémir, celui-ci se branlait et faisait rebondir ses couilles contre ma langue tirée au milieu de ma bouche grande ouverte, déformée par le plaisir. Je n’étais que trous, béance, réceptacle de ces trois bites qui ravissaient tout mon corps de tigresse. Pendant la double pénétration et ses sensations d’une intensité que je n’avais jamais vécue, Guillaume commentait avec des mots qui amplifiaient encore mon plaisir : « C’est bon, chérie ? Tu prends bien là, hein ? » Et je ne pouvais que répondre des « oui » de femelle en rut. Puis ils se sont relayés et c’est l’homme tatoué qui est venu se loger dans mon cul pendant que je chevauchais toujours celui qui m’avait fait un cunni. Leurs deux bites se répondaient dans ma chatte et mon petit trou, les pénétrations se cognaient, s’entrechoquaient dans mon ventre et je m’oubliais totalement, tant le plaisir était puissant. Mon mari avait désormais une vision de la scène sous un autre angle, puisque c’était lui qui se trouvait à présent près de mon visage.Il me regardait me faire défoncer par les deux autres bites tandis que la sienne trempait à nouveau de temps à autre dans le bain de ma salive. Ensuite, je me suis positionnée sur un homme, en équilibre sur les pieds et les mains, dos à lui, pour qu’il m’encule par en dessous, alors qu’il était allongé sous moi. Mon cul le recevait et la sensation de la sodomie irradiait littéralement en moi, alors que je jouais des hanches pour contrôler la longueur de queue qu’il m’infligeait dans mon trou du cul. Le deuxième type s’est rapproché pour se mettre entre mes cuisses et me baiser la chatte en même temps. C’était reparti pour une troisième session de double-péné ! Mon désir d’être baisée jusqu’à l’épuisement était clairement en train de se réaliser. Prise par les deux compères et en suçant toujours Guillaume avec ce qu’il me restait de force, je contenais encore l’orgasme qui montait, qui montait, et qui dévasterait tout, comme une bombe à retardement que j’aurais au creux de mon cul et de mon vagin. Je me tenais difficilement sur les mains, cuisses gainées, visage renversé, bassin cambré, à encaisser tous ces sévices merveilleux. Puis Guillaume s’est écarté pour nous regarder finir et bien imprimer cette image de moi à l’œuvre, dans sa rétine amoureuse. Les deux inconnus me possédaient en même temps sous les yeux de mon homme qui m’avait offerte à eux et qui m’en avait fait cadeau. Je ne connaissais même pas leurs noms et je ne m’étais jamais sentie aussi salope. J’adorais cette performance de nos corps et j’étais, décidément, bel et bien en train de vivre un anniversaire inoubliable… Pour finir, l’homme tatoué m’a prise sur lui, encore en amazone, mais cette fois en me sodomisant, tandis que le deuxième, pour profiter des dernières secondes, car les orgasmes commençaient à se faire pressentir, s’était à son tour placé près de mon visage pour que je le suce. J’aurais bien eu mon compte de bites enfilées ! Ma bouche commençait à fatiguer. Recevant les derniers coups de trique dans mon cul frémissant, j’ai laissé l’orgasme m’envahir, discrètement, car je suçais toujours l’autre, alors j’ai juste gémi en vivant ce moment pour moi. Le plaisir se répandait partout dans tout mon corps. Il avait pris naissance, pour la première fois, dans mon cul malmené pendant de longues minutes. L’homme qui me sodomisait me vrillait de sa pénétration acharnée dans ce grand “clac-clac-clac” pornographique qui achevait de me faire grimper aux rideaux. Je sentais que les deux mecs allaient venir, eux aussi. Alors ils se sont écartés de mes orifices et se sont postés au-dessus de mon visage. Les deux mains sur leurs queues, ils ont éjaculé tout leur foutre sur ma langue, à m’en remplir le gosier ! Guillaume, lui, s’était branlé tout en nous regardant finir et avait éjaculé en plantant son regard dans le mien. J’étais fourbue, collante, le corps repu, épuisée, le plaisir ayant fait son office. « Bon anniversaire ma chérie ! J’espère que mon cadeau t’a plu » a conclu Guillaume. J’ai dit oui, tout en imaginant avec délice ce qu’il pourrait bien me réserver l’année prochaine !

Bonjour je suis une jeune soumise et j’adorerai essayer un gang bang. Pas beaucoup d’hommes pour commencer je ne suis pas sure de pouvoir tous les satisfaire Je suis en région Rhône Alpes Envoyez moi ce que vous aimeriez me faire ( peut être me mastuberai je sur vos envies) Et en fonction je verrai si vous me faites assez envie

Bonjour à tous de normandie y a t il des personnes intéressés pour une soirée weekend

Hetero envie de vivre son depucelage bi avec un gangbang..

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