
reformatoryspank
L'assistante d'espagnol :
j'étais dans un lycée réputé, une "boite à Bac" comme on disait. La discipline y était de rigueur et les heures de colle nombreuses... mais personne ne parlait de châtiment corporel, bien que des rumeurs disaient que madame le Censeur aurait donné des fessées dans son bureau à des élèves récalcitrants. Mais personne n'en pouvait témoigner. Bien sût on avait tous vu des élèves, filles ou garçons sortir de ce bureau tant craint, les larmes aux yeux, mais rien d'autre. Nous étions dans les années 1978 - 1980 dans une ville de province, dans le centre de la France. Mes copains et mi avions l'habitude de chahuter les filles, nous étions une petite bande de garnements, peu enclins au travail... Ce jour là, dans l'escalier qui menait aux étages et aux classes, devant moi je vois une fille en jupe plissée... je ne sais pas ce qui m'a pris mais je lui ai soulevé la jupe et on a tous vu sa culotte rose... une grande culotte toute rose en coton. Elle s'est retournée, et m'a décroché une gifle phénoménale avant que j'ai eu le temps de l'éviter. Pour ne pas rester comme un idiot devant mes copains, j'ai attendu qu'elle continue à monter l'escalier et je lui ai à nouveau soulevé la jupe, dévoilant à nouveau, à tous ceux et celles qui étaient dans cet escalier sa jolie culotte rose.... puis suis parti en courant et suis arrivé dans ma classe où le cours allait commencer. A la fin du cours, nous ne changions pas de classe mais les profs venaient et se succédaient. Et là, notre professeur d'espagnol est arrivé accompagné de celle qui devait être notre assistante, une jeune espagnole. Stupeur quand je l'ai reconnu.... C'était la fille à qui j'avais soulevé la jupe. Elle se tenait à côté de mon professeur d'espagnol, l'air pincé et strict et s'est penché pour parler à l'oreille du prof. Elle est partie de suite après et un quart d'heure après, elle est revenue en classe accompagnée de Madame le Censeur. Là, j'ai su que ça allait barder. Madame le Censeur nous a fait un sermon dans lequel elle nous rappelait la nécessaire discipline, le respect et tout et tout... Puis, elle m'a appelé et m'a demandé de la suivre. Nous sommes allé dans son bureau et elle m'a demandé de m'expliquer sur ce qu'il s'était passé dans les escaliers. Confus, la tête basse je lui ai dit que c'était un jeu et que les garçons jouaient à soulever la jupe des filles pour voir la culotte...Madame le Censeur s'est vraiment fâché, a menacé d'appeler et de faire venir mes parents, je l'ai supplié de n'en rien faire et elle m'a alors proposé de me punir "à sa manière". J'ai répondu tout mais pas mes parents. Elle a semblé satisfaite de ma réponse et m'a demandé d'attendre. Elle a ouvert la porte de son secrétariat et a demandé à ce que sa secrétaire aille chercher l'assistante d'espagnol. Un bon moment après, celle ci est arrivée dans le bureau de Madame le Censeur, qui lui a expliqué que j'avais reconnu ma faute et accepté de recevoir la punition méritée. L'assistante a demandé ce qu'était cette punition, Madame le Censeur a répondu tout naturellement "une fessée déculottée bien sûr" ! j'étais debout, mains dans le dos, je n'en croyais pas mes oreilles, j'avais les jambes qui tremblaient et sans doute une expression de peur sur le visage car la Censeur m'a dit alors qu'il fallait y réfléchir avant, que j'avais gravement nui à la pudeur de l'assistante et que puisque que j'avais montré sa culotte à tout le monde, il était normal que je lui montre la mienne. Bref, en un mot comme en mille, j'allais recevoir la fessée. je vis l'assistante d'espagnol s'asseoir sur une chaise pendant que Madame le Censeur prenait place face à elle dans une autre chaise. Elle m'a demandé de venir près d'elle. Je n'avais plus reçu de fessée depuis le collège et j'avais à la fois peur et à la fois l'envie de crier et de partir en courant, mais mes jambes et ma bouche étaient agitées de tremblements tellement j'avais honte de ce qui allait m' arriver. la Censeur me pris par le bras me mena jusqu'à elle et défit ma ceinture puis me baissa le jeans. J'étais là, en slip devant la Censeur et l'assistante. Elle me plia sur ses genoux, j'avais les mains au sol, les fesses bien tendues. Madame le Censeur commença alors à me claquer les fesses, l'une après l'autre, à une cadence régulière mais crescendo, de plus en plus vite, de plus en plus fort, à ce point que je n'ai pas pu me retenir de gémir. Je voyais l'assistante qui souriait sur sa chaise, visiblement contente de ce qui m'arrivait. Puis la fessée s'est arrêtée et je me suis dit ouf, ce n'était pas si terrible que ça finalement. Mais mon espoir fut vite déçu quand j'ai senti des doigts saisir l'élastique de mon slip, puis un air frais sur mes fesses et enfin je me retrouvais les fesses à l'air, déculotté. A ce moment, la secrétaire de la Censeur est entrée dans le bureau demandant si Madame le Censeur voulait bien prendre un appel téléphonique. Celle ci me releva prestement, et je me suis retrouvé les fesses et le sexe visibles de ces trois femmes. je peux dire que j'avais aucune érection, rien, mais là je me suis senti humilié comme jamais. J'ai voulu cacher mon sexe avec mes mains mais Madame le Censeur m'a ordonné de mettre les mains sur la tête ce que j'ai fait et je suis resté comme ça sus le regard de la secrétaire et de l'assistante pendant que Madame le Censeur prenait la communication. Puis à peine raccroché, elle revint vers moi, repris sa place et recommença à me fesser sévèrement. je n'en ^pouvais plus, de douleur, de honte, et je me suis mis à pleurer comme un gamin. Au bout d'un bon quart d'heure la fessée cessa. je fus relevé et mis au coin fesses nues mains sur la tête. Madame le Censeur demanda à l'assistante d'espagnol si elle trouvait que k'avais été assez puni et celle ci répondu froidement que chez elle j'aurais eu droit à la lanière, ou la ceinture et que la fessée aurait été donné devant toute la classe. A ce moment, j'ai compris que cette petite et jeune espagnole était tout sauf gentille ! elle s'est approchée de moi, toujours au coin et m'a donné six ou sept violentes claques sur les fesses et a dit "bah ça ira pour aujourd'hui". J'ai pu me rhabiller et revenir en classe. en chemin j'ai croisé d'autres élèves qui m'ont à leur tour vu sortir du bureau en larmes.... Mes copains et copines m'ont demandé ce qui s'était passé, je n'ai rien dit, mais au cours d'espagnol suivant, l'assistante n'a pas pu s'empêcher en faisant l'appel de me demander tout fort "alors, tes fesses sont toujours aussi rouges ?" je ne vous dit pas la honte quand tout le monde a compris ce qui m'avait été infligé ni les questions et les réflexions après le cours !!!
4 personnes aiment ça.

eurekat777
Gentillet...
J'aime
10/09/25

reformatoryspank
gentillet ? ça se voit que ce n'est pas toi qqui a vécu ça !
J'aime
11/09/25
Elle est black. C'est ma pute. Je l'ai acheté avec des compliments, lié avec mes mots. Elle a dit oui... Elle se retrouve nue devant moi et se demande ce qu'elle fait là, devenue esclave d'un négrier debout devant elle qui exhibe sa supériorité en demeurant vêtu et en déshabillant plus encore la nudité de cette chose qu'il inspecte de haut en bas. Elle avait dit oui pour un rencontre qu'elle croirait sensuelle, pour les trois ou quatre positions du kamasutra, les plus romantiques, qu'elle s'etait inventées, qu'elle avait prévisualisées durant ces deux derniers jours. Elle avait aimé mon élégance, ma déférence. Elle était rassurée par l'amitié que je lui offrais et par le désintérêt affiché pour sa couleur et ses formes... on a beau aimé ce qui fait notre singularité on est mal à l'aise avec le regard des autres, qu'il soit flatteur à l'excès ou condescendant. Elle est sublime et se croit laide ou croit encore celui ou ceux qui le lui ont fait croire. Elle est là devant moi nue et revis son humiliation ancestrale... de nouveau elle ne s'appartient plus, de nouveau elle baisse les yeux, de nouveau elle n'a pas assez de mains pour cacher ses intimités, son sexe, ses seins, ses larmes.... Elle se réfugie dans ses luttes, dans ces rares instants où elle s'est sentie forte... quand elle a enfin pu fuir, quand elle aide et soigne d'autres blessés... blessés dans leur corps car elle ne pourrait secourir sans s'effondrer ceux qui le sont dans leur coeur. Elle aurait du suivre cette petite teigne délicieuse, rieuse, cette che guevara3 qu'elle avait repéré et à travers qui elle se reconnaissez un même courage, un même combat... sans jamais monter au front tant elle était fatiguée, résignée. "Que disait elle déjà ?", "ha oui ! Racisme, c'est du racisme" et ça l'est, l'humain est ainsi, rabaisser pour se sentir plus fort, moins faible... répertorier classifier pour se sentir appartenant, pour se sentir moins seul... s'approprier pour avoir ou être, pour se sentir moins pauvre, moins con. ....................................................... ............... Je suis là avec ma perversion, mon empathie et mon envie de concilier, de transcender les siennes, les miennes... toutes nos contradictions. Je l'oblige à se regarder avec mes yeux impassibles qui l'inspectent, qui l'introspectent. Je la submerge de ressenties contradictoires, de rages mêlées, de capitulations latentes... Je me soigne de mon humanité qui m'invite insidieusement à vouloir posséder, taxinomer, souiller la nature. Mon regard n'est pas bienveillant... ni malveillant, j'écarte ses mains pour qu'elle ne se cache plus derrière sa pudeur, derrière sa résignation. Je la couvre d'un drap, me déshabille lentement, couvre mon sexe de mes deux mains et lui offre le même pouvoir de me voir.
1 personne aime(nt) ça.
Vous risquez d'être déçu par la suite eurekat777... J'ai effectivement fini par rencontrer cette panthère noire... Oui ce récit était une fiction qui lui a plu et qui nous a rapproché. Quelques mois plus tard, après de longs échanges épistolaires, nous avons voulu nous voir... Je veux bien publier le récit qui a suivi cette rencontre mais elle a pris une toute autre tournure... 😜
A 61 ans, j'apprends encore.
Je vais la voir et comme à mon habitude je ne m'attends à rien d'autre que le plaisir de notre rencontre et la certitude de pouvoir faire face à tous ces micros scénarios apocalyptiques qu'on élabore au fur et à mesure que le jour de la confrontation approche. C'est encore plus vrai quand on est un homme, un vieux de 15 ans son aîné.
A partir de 50 ans, on est censé bander mou, être sage, et n'avoir plus rien à prouver ni à découvrir... alors on part de loin puisqu'il faut se défendre avant de se vendre... puis on la rencontre, elle, comme d'autres avant elle, et, en même temps qu'on se sent rajeunir, on découvre une nouvelle orientation à sa propre vie. J'apprends encore... et j'en suis heureux
J'ai toujours accepté et été profondément convaincu que la pénétration (quelque soit l'antre) n'était pas une nécessité... sans jamais avoir eu l'occasion de mettre en pratique cette théorie...
On est ami épistolaire depuis de longs mois et on a conscience que notre libido n'est pas tant titillé par l'autre (surtout la sienne et c'est on ne peut plus compréhensible au vu de mes allures disparates et déclinantes). Je ne sais si c'est à cause de mon genre, ou de mon âge, mais c'est à moi qu'il appartient de forcer le destin et de proposer une rencontre, non sans la rassurer au préalable en précisant "en tout bien, tout honneur", " ça va de soit", "promis, voyons nous et promenons nous main dans la main sur une plage près de chez toi", "juste nous voir et donner à tous nos plaisirs innocents et épistolaires une odeur, une texture, une réalité"...
Honnêtement, sincèrement, (juré, craché, la vérité si je mens), je savais pouvoir me contenter de ce peu (qui déjà était inespérable pour moi), je savais aussi que ce peu pouvait déboucher sur du plus... (mais ça, je préférerais le tenir secret, afin de ne pas l'effaroucher, et pour ne pas m'illusionner). Évidemment que son corps parfait, que son joli minois, que sa tendresse évidente avaient déjà eu raison de mon innocence affichée... Évidemment, je l'ai prise dans toutes les positions, je l'ai soumise à toutes mes perversités dans mes spasmodiques fantasmes vagabonds et nocturnes, évidemment j'oubliais aussi vite toutes ces projections quand je m'imaginais réellement face à elle.
Malgré ces semaines passées à trouver ensemble un créneau pour nous voir, j'ai tout de même la sensation de l'avoir peut être, insidieusement contrainte à me recevoir ce lundi... pour deux nuits... en tout bien, tout honneur...
Je suis arrivé, avant qu'elle ne rentre, devant son perron et elle ne s'est pas empressée de sortir de sa dacia... Un mètre zéro deux... bon d'accord j'éxagère... Je ne pensais pas que c'était si petit 1m56... comment peut on être si minuscule et si élégamment proportionnée ?
Je me l'a voyais déjà assise sur mes genoux, moi en soutane, lui donnant l'absolution contre trois pater noster et quelques attouchements. Je trouvais que cette perspective collait bien avec mes cheveux gris. Évidemment, plus je me rapprochais d'elle, plus je me sentais redevenir ce gentleman qui jure et qui crache de vertueuses promesses et c'est d'un vertueux baiser sur la joue que j'ai balayé ma dernière pensée cochonne.
Elle me précède pour m'ouvrir son autre antre presque plus intimes que les trois que je convoite, et c'est avec avidité que j'en profite pour comparer le rebondi de ses joues basses avec celui de son bonnet qui oscille entre le C et le D. Je me lèche les babines et me frotte les mains en loucedé, mon naturel revient au galop, malgré son accueil très amical, pas du tout coquin. Mon cœur et ma queue se donnent la réplique. Les deux veulent profiter... le premier de l'instant, l'autre des possibilités, et je dois me faire violence pour jouir d'être juste là.
Nos premiers échanges sont presque banals. Quand ses mots se veulent prudents et distants, les miens sont rassurants et enveloppants, mais le langage de mon regard doit exprimer les pensées sous-jacentes de ma queue car il ne lui faudra que peu de temps avant qu'elle ne la bride en précisant clairement "on ne fera pas l'amour tous les deux"...
Je sens ma queue se recroqueviller, mon orgueil se blesser, ma déception me submerger, mon cerveau en ébullition, cherchant à retrouver un peu d'aplomb en se remémorant mes vertueuses envies de promenades littorales... et ce n'est qu'après d'éternelles secondes que je parviens à lui redonner mon sourire et que mon regard d'abord lubrique, puis effrayé se mue, incognito, en acquiescement.
Par cette déstabilisation passagère, je prends conscience que la petite fille s'avère finalement être aussi une grande dame.
Des lors nos conversations devinrent plus fluides et plus profondes, faciles et
décomplexées, et ce sera sereinement que nous redécouvrerons nos tendresses passées, jusqu'alors seulement épistolaires. Il me vint très vite l'envie irrésistible de me lever, de m'approcher et de lui signifier mon envie "de te serrer dans mes bras" et c'est avec un sourire tendre qu'elle me tend les siens, et c'est avec sa voix douce qu'elle me murmure "je ne veux juste pas de pénétration..." je m'abandonne contre son buste, mon corps et mon esprit semblent se vider de tout leur poids...
Je ne débanderais pas ces trente six heures, je n'ejaculerais, ni ne pénètrerais aucunes lèvres mais je serais rempli d'elle au sens propre comme au figuré... oui elle voulait être initiée au pegging...
Deux nuits inoubliables, pleines aussi, de tendresses et de complicité, de caresses et d'expériences athipiques, et surtout pour moi une nouvelle occasion d'être fier... fier d'avoir joint mon crédo à mes actes, fier d'avoir appris encore, appris d'elle, que l'amour se conjugue aussi avec des abstinences, avec d'autres couleurs et que ce qu'on ne fait pas donne plus de place aux possibles... MERCI mon captain, ma panthère naine💋❤️
En final, vous vous étendez sur ce que Vous ne faites pas, sur ce que vous regrettez de ne pas avoir fait mais j'ignore (presque) tout de ce que vous avez fait... À quel rythme et de manière détaillée... Pourquoi ?
J'aime
09/09/25
Notre relation n'était pas axée sur le BDSM eurekat777, seul mon premier récit en avait la couleur. La seule chose que nous n'avons pas fait fût la pénétration. Par contre nous avons passé deux jours à explorer d'autres aspects de nos sexualités. La féminisation, le pegging, les jouets (j'avais amené les miens), le martinet aussi ( de manière softissime)... On a davantage été deux gouines complices qui s'amusaient... 🤗
J'aime
10/09/25
Et pourquoi n'osez vous pas le développez ici en laissant le lecteur juger qui a dirigé qui, à quel moment et quel acte relevait ou non de D/s... Vous en avez trop dit pour vous arrêter au milieu du gué... Poursuivez, je VOUS prie...
J'aime
10/09/25
Un si beau cadeau
Mon maître m’accorde un très beau cadeau…Ayant une famille nombreuse les moments intimes pour une séance sont parfois compliqué à trouver donc depuis un moment je lui propose de partir durant tout un week-end dans un endroit loin de tout. J’ai trouvé une location sans aucun voisin et avec une piscine tout ce dont il avait besoin.
La séance durera du vendredi départ de la maison jusqu’au dimanche 16h sur le chemin du retour. C’est donc le moment de prendre la route l’ordre m’a été donné de ne mettre que des dessous de mon choix, mon peignoir en satin , mes talon aiguilles et de faire un maquillage très prononcé avec mon rouge à lèvres « rouge pute » comme il l’appelle. Dans mes bagages pas beaucoup plus de quoi changer mes dessous plusieurs fois, une tenue pour rentrer à la maison de quoi me laver, me maquiller et rien d’autre. Il n’y aura pas de sortie les repas si tant est qu’ils soient pris sont des plats préparé à l’avance. Ha si l’essentiel les accessoires: le bandeau en satin, ainsi que le long foulard avec lequel il aime m’attacher ensuite la plume, le fouet, la cravache, le paddle, les pinces tétons, les 3 plugs, les menottes poignets et chevilles enfin le plus important à ses yeux mon collier et ma laisse.
Nous prenons la route la Clim est à fond j’ai froid… dans un premier temps je ne dis rien mais au bout de quelques kilomètres je m’en plains monsieur s’arrête brusquement sur le bas côté baisse son pantalon et son caleçon m’ordonne une fellation il m’attrape par les cheveux et me force d’aller le plus loin possible il me précise de laisser une marque avec mon rouge à lèvre pour avoir un repère après quelques aller retour il retire ma bouche de son sexe vérifie que mon rouge à lèvres a bien laissé une trace ça ne lui convient pas il me demande de refaire… revérifie il dit que c’est mieux il remonte son pantalon et me préviens de ne plus me plaindre car je serais bien contente lorsque je serais sous ses mains d’avoir moins chaud. Je ne dis plus rien du trajet je n’arrive pas à savoir si c’est l’angoisse ou l’excitation qui me tient en alerte. A quelques kilomètres d’arrivée il me dit de me remettre du rouge à lèvres et de m’attacher les cheveux.
Il me donne ses instructions: quand nous arriverons il ira ouvrir la porte, et à se moment là j’irai dans l’entrée aligner les accessoires comme je le fais habituellement à la maison à genoux je l’attendrai la tête baissée les mains sur les cuisses. Il se gare, ouvre la porte et je m’exécute. Sans un regard pour moi il rentre les valises et les provisions il fait le tour de la maison ouvre les fenêtres regarde la piscine et il revient vers moi.
Il me remonte le visage afin que je le regarde prend le collier et me demande si je suis prête je lui répond oui avec un signe de tête. Il me met mon collier puis délicatement il attrape la laisse l’attache a l’anneau de mon collier il tire dessus pour vérifier que tout va bien durant tout ce temps nos regards ne se sont pas lâché…
Il baisse son pantalon et son caleçon et tire sur la laisse pour me signifier que je dois lui faire une fellation (je sais que c’est ce qu’il adore) il devient plus pressant il veut une gorge profonde il veut que j’améliore la marque de tout à l’heure mais j’ai des remontées acides et à plusieurs reprises je m’étouffe je lui tape donc 2 fois sur la cuisse c’est le code pour relâcher la pression.
Il s’arrête donc pour le moment il défait mon peignoir regarde ma tenue et la me gifle assez fort il déteste ma tenue je connaissais sa réaction c’est pourquoi j’avais mis ce string et se soutient gorge rouge en similicuir très fin et il déteste le similicuir…. lorsqu’il me voit esquisser un petit sourire en coin il comprend que je l’ai fait exprès… sa réaction ne se fait pas attendre il me relève violemment me gifle de nouveau et arrache le tout je suis nue à présent il me traine dans le salon m’assoie sur le canapé et m’oblige de nouveau à une gorge profonde et malgré les bruits de régurgitation et mes étouffement il continue de m’obliger à aller toujours plus loin jusqu’à ce que je craque mes larmes coulent et mon maquillage avec puis je tape 2 fois il relève mon visage essuie une larme et me dit « c’est bien ». J’ouvre la bouche et il me crache dessus je lèche ce qui n’est pas rentré dans ma bouche… je suis toute trempée il me voit me dandiner il glisse ses doigts dans ma chatte et glisse à mon oreille un humm d’approbation… il m’ordonne d’aller au toilette me rafraîchir et surtout de m’essuyer Il faut que ça soit sec.
Pendant ce temps il commence à ranger les provisions je ressors j’ai essuyer le maquillage qui avait coulé il se retourne, il est en colère et me demande qui m’a autorisé à faire ça? Je répond que personne ne m’y a autorisé il se rapproche de moi je baisse instinctivement les yeux et la tête pour ne pas offrir mon visage à une nouvelle claque il m’attrape par les cheveux pour m’obliger à le regarder et en plongeant son regard dans le miens il me dit « tu es à moi et tu ne fais que ce que je t’ordonne de faire!!! C’est bien compris? » je répond rapidement « oui, pardon Maître ». Il relâche mes cheveux. Il enlève le collier, il me propose d’aller à la piscine pendant qu’il prépare l’apéro « elle est fraîche » me prévient-Il. Je sais qu’en réalité je n’ai pas le choix il faut que j’aille dans la piscine son ton et le fait d’avoir enlevé le collier ne me laisse aucun doute malgré les apparences… Alors je me plonge dans l’eau froide nue il vient il est en caleçon il se penche pour attraper un de mes tétons et constate qu’il est bien dur comme ils les aiment…. Malgré moi je plisse les yeux de plaisir. Il tire dessus pour me faire comprendre de sortir de la piscine il m’embrasse en jouant avec mes tétons. il m’offre une coupe de champagne nous trinquons j’avale ce liquide qui me réchauffe de l’intérieur. Il m’amène vers le transat il me fait allonger sur le ventre je n’avais pas vu mais il a ramené le collier, la laisse et le fouet… il s’installe à cheval sur mes fesses il me remet le collier sans trop le serrer il passe ses doigts entre ma nuque et le collier il tire dessus ma tête suit le mouvement mon souffle devient court ho mon dieu que j’aime ça!!!!! Il me connaît tellement… il attrape le fouet relâche la pression sur ma gorge et d’un coup le bruit claque sur mon dos je ressens la chaleur un léger gémissement m’échappe il s’approche de mon oreille son souffle chaud m’excite et il me glisse: « je croyais que l’on avait loué un endroit pour que tu puisses t’exprimer librement? » Il se redresse et le coup atteint mes fesses un gémissement plus profond sort de moi… au 3eme est destiné encore à mon dos un cris arrive je n’ose pas le regarder le 4eme puis le 5eme toujours sur mon dos me font pleurer j’avais tellement froid il y a encore quelques minutes et à présent je rêve de retourner dans la piscine… 6eme, 7eme sur mes fesses je le supplie mais il me rétorque « c’est toi qui aimes avoir des marques? Tu vas être servi » j’arrête de compter parfois il me fait croire qu’il va fouetté afin de me faire réagir ça l’amuse visiblement beaucoup…. Puis un moment il s’arrête comme si tout d’un coup il n’y avait plus d’intérêt le froid me ressaisit il me voit grelotter il va me prendre mon peignoir le frottement du tissus me brûle mais je me détends….
Il m’invite à rentrer dans le salon où il a dressé l’apéro il m’offre une nouvelle coupe de champagne et se met à grignoter en me regardant il me demande de me tourner et de faire glisser mon peignoir afin de voir son œuvre sa réaction ne laisse aucun doute « hummmm ha oui quand même! » je remonte mon peignoir et je m’assois du moins je vais tenter et là je comprends que les prochaines heures vont être douloureuse….
Nous continuons à grignoter et lorsque la bouteille de champagne est terminée il retire le collier. nous allons à la douche nous faisons ça régulièrement à la maison je connais le rituel tout d’abord il se lave les cheveux et je lui lave le reste du corps. Je le branle sous couvert de le laver, il se rince habituellement c’est lui qui me lave mais là il me retourne et m’oblige à tendre mon cul, il me pénètre de manière tellement abrupte que je pousse un cri c’est tellement douloureux!!! Je sens sons désirs démultipliés.
« Met toi à 4 pattes sale chienne que tu es, dépêché toi »
« oui Maître » Je m’exécute il s’accroupi et me pénètre de nouveau je suis obligé d’allonger mon buste pour offrir une trajectoire moins rude et ne pas avoir trop mal.
« t’aime ça hein salope? »
dans un gémissement « oui Maître, mais j’ai mal! »
lui de plus en plus énervé: « ta gueule t’es qu’une pute bonne à baiser »
Après avoir joué avec mon petit trou il se retire et regarde son œuvre en le caressant et parfois il rentre un peu son index… il rince son sexe gonflé puis il me dit de me remettre à genoux.
Je lui offre mon visage bouche ouverte afin que sans rien dire il est le choix de m’honorer là où il le souhaite. Il se finit sur mon visage je lèche quelques gouttes…
la douche terminée nous allons nous coucher j’ai le droit de poser ma tête sur son torse le dernier signe de bienveillance de la journée. Il s’endort Sans un mot.
La nuit sera courte pour moi je ne peux pas m’allonger sur le dos, il est trop douloureux. j’ai envie de pleurer qu’il ne m’est rien dit de ce qu’il pensait de ce que nous venions de vivre bien, mal, plaisant je ne sais plus…
je me réveil tôt en ce samedi sans doute les rythmes de la semaine ou ce week-end est peut être trop intense à quoi bon y réfléchir? Ça ne changera rien.
Je me fais un thé, je met mes écouteurs à fond et je danse, je danse pour évacuer mon anxiété…. de savoir si je suis à la hauteur!
Je sens son regard sur moi je garde encore un peu les yeux fermés quand je les ouvre je vois son regard féroce. Je viens vers lui tends ma bouche pour un baiser qu’il me donne sans sourciller. Je lui fais son café nos regards se maintiennent mon sourcil gauche remonte un léger sourire pour lui poser cette question silencieuse alors il se passe quoi maintenant? Il sourit de toute ses dents il me dit que ce matin nous irons à la piscine histoire de se dégourdir et de se détendre…
Nous faisons quelques longueurs et alors que je m’arrête contre le bord de la piscine pour me reposer il me rejoint nous sommes tout les 2 nus j’ai très envie de son sexe dans le miens j’envoie la main pour le masturber mais il m’arrête avec un tchip désapprobateur !!! Je m’arrête immédiatement « Pardon Monsieur!!! » lui dis-je en baissant le regard. Il m’écarte les jambes avec un geste écartant mes genoux il commence à me caresser le clitoris il sait que c’est ce qui peut me faire partir… je lui signifie que je ne tiendrai sûrement pas longtemps il me dit que je peux mais je me reprends j’ai besoin d’attention… il comprend en un regard il me fait sortir de la piscine il me porte jusqu’au transat il m’allonge m’embrasse, descend avec sa langue en s’arrêtant sur mes seins mon vagin se contracte mon clitoris est électrique il continue arrive en bas et me fait un cuni comme il sait si bien le faire sa langue joue avec mon clito et ses doigts s’enfonce dans ma chatte puis avec un autre doigt il joue avec mon anus hummmmm je sens que vais partir alors je joui dans de longs cris!!!!! Il relève la tête viens m’embrasser et il me dit « goûte ton jus comme il est bon!!!! ». Il se met à califourchon sur moi ses genoux sur mes bras relever pour m’empêcher de bouger et m’enfonce sa verge dans la bouche au début tranquillement puis il vas plus vite et plus profond j’ai du mal à respirer des larmes coulent mais je sens son excitation il grogne de plaisir alors je prend sur moi… il se finit au fond de ma gorge ça me brule mais c’est tellement bon de lui faire plaisir!!! « C’est bien ma petite chienne tu as bien subi » je souris avec une certaine fierté de l’avoir fini ainsi.
Il se lève et me dit que je peux aller me préparer cela signifie douche, dessous et maquillage. Il accepte que je sois pieds nu.
J’opte pour un ensemble bleu électrique en dentelle c’est la couleur de l’année… un shorty avec une certaine transparence qui met mes fesses en valeurs enfin je trouve le soutien gorge est des plus classique mais trop point n’en faut pour Monsieur il aime aussi quand c’est simple. Pour le maquillage je fais simple aussi je me remettrai du fard à paupières ce soir pour le repas enfin si il me le permet….
De retour dans le salon il est sur son téléphone sûrement sur un de ses sites qu’il affectionne tant… il ne me regarde même pas. Je lui demande comment il me trouve il lève les yeux « ouais ça va mais là je suis occupé, je discute. »
Je lui répond un peu tristement « bien Monsieur » je m’occupe en remettant de l’ordre, j’écris Puis je réchauffe un repas, il me dit de manger seule il est toujours occupé. Il me délaisse, peut être que j’ai fait quelque chose qu’il ne lui a pas plu, peut être qu’il trouve que je ne suis pas à la hauteur…. De la torture pour moi mon cerveau n’arrête plus.
Plus tard Il vient m’embrasser le front je lui demande si tout va bien? Il me regarde avec un sourire narquois et un regard pétillant de malice « ouais ouais » il sait ce que je ressens!!! J’essaye de prendre le contre pied je vais l’ignorer à mon tour! Il me propose de faire une sieste j’accepte mais je lui tourne le dos.. « ha très bien dit il tu es prête à assumer? »
je me retourne les yeux remplis de larmes « Non pardon Monsieur ».
« Trop tard, le mal est fait tu as une croix et tu seras puni en conséquence » il m’appose une croix avec son doigt sur le seins droit.
Il se tourne à son tour et s’endort.
Lorsqu’il se réveil je sens sa colère il me regarde avec son regard noir, je tente de détendre l’atmosphère mais rien n’y fait tout est sujet à remontrances. Le reste de l’après midi se passe ainsi sur fond de tension et moi j’essaie d’être inexistante mais nous ne sommes que deux ici son attention ne se porte que sur moi et surtout sur ce que je fais mal ou plutôt comme il souhaite que je le fasse.
18h sonne il veut que nous prenions une douche. À peine entré dans celle ci il m’ordonne de me mettre à genoux. Je m’attends à devoir lui faire une fellation mais non je sens un liquide chaud me couler dessus j’ai un mouvement de recul mais il me gifle et me dit: « tu as voulu faire ta belle tout à l’heure? Et ben voilà ce que tu mérites !!!! Tu es à moi et je te marque salope que tu es! tu vas faire ce que je veux, comme je veux et surtout quand je veux! T’as compris sale pute? »
Je réponds avec des sanglots dans la voix « oui maître » nous avions soulevé cette pratique lors de notre dernière discussion concernant le contrat j’avais dit peut être. Mais la je suis prise de court et je n’apprécie pas le châtiment. Quand il a eu fini il me regarde droit dans les yeux, m’invite à me relever il m’embrasse et me demande de me laver la punition et la leçon sont terminées.
Lorsque je sors l’atmosphère est plus détendue il m’offre une coupe et propose de faire le repas j’accepte. Il voit que je n’ai pas apprécié mais il fait comme si ne rien n’était et moi pareil.
Le repas terminé il me propose de passer dans la chambre, il va prendre une douche pendant ce temps je prépare les « jouets » dont les plugs que nous n’avons pas encore utilisé… lorsque qu’il rentre dans la chambre il me retrouve à genoux avec les accessoires à côté de moi la tête baissée et les mains sur mes cuisses. Il étudie mes choix: le collier, la laisse, les menottes poignets et chevilles, le fouet et les plugs il sourit s’imaginant sûrement ce qu’il va me faire subir. Comme à chaque fois il me relève le visage afin de voir mes yeux lorsqu’il me met mon collier il m’entrave les poignées derrière mon dos et les chevilles en vérifiant que tout est bien en place… et il me couche sur le côté il me dit « tends bien ton cul ma belle salope tu as pris tes jouets préférés? Je vais bien m’occuper de ton petit trou… » je sais que je vais subir et pourtant je cambre mes reins pour lui offrir ce qu’il me demande.
Il prend le plus petit des plugs il le lubrifie et l’introduit délicatement je suis soulagé de sentir ses mouvements doux il joue un peu avec, il prend des photos introduit sa bite dans ma chatte bien humide se retire et retire le plugs il prend le second le lubrifie à son tour et me le met de manière plus directe ça me fait un peu mal mais une fois entré le plaisir est là de nouveau il me pénètre mais juste bout de sa verge il prend toujours des photos il retire un peu le plug c’est douloureux il me dit de ne pas bouger qu’il veut des souvenirs il fait des va et vient avec le jouet pour mieux me dilater dit-il… il fait quelques va et vient mais il me dit qu’il ne sent pas assez le plug… il l’enlève et attrape le troisième et là il me l’enfonce très doucement mais à sec j’ai mal je me tord il prend toujours des photos et même de mon visage pour se rappeler de ma douleur une fois complètement introduit il joue à le retirer, le remettre le laisser rentrer seul. Il me détache les poignées et les chevilles me met ma laisse et m’ordonne de me mettre à 4 pattes il me traite de sale chienne il me promène dans la chambre il prend des photos de moi à 4 pattes avec mon plug dans le cul…. Ça a l’air de beaucoup lui plaire il me dit que ses amis des sites vont beaucoup aimer. Il me prend je suis toujours à 4 pattes il me filme et me dit d’aboyer comme une petite chienne je couine plus que j’aboie il attrape le fouet et me foudroie avec il me dit « aboie sale pute, tu vas aboyer comme la putain de chienne que tu es je veux que mes amis sache comme je t’ai bien dressé!!!! » alors j’aboie plus fort.
Il pose son téléphone s’introduit plus violemment en moi il retire le plug et se branle sur mon trou du cul dilater et il joui dessus… il a l’air satisfait récupère son téléphone prend encore quelques photos puis me laisse la je finis par me relever pour aller a la douche.
Je me couche mon cul encore endolori et je finis par m’endormir il vient plus tard me rejoindre car le lendemain il est à côté de moi.
Je le regarde dormir puis je lui caresse le torse il ouvre un oeil dégage son bras pour que je puisse me mettre sur son torse « comment vous sentez vous ce matin? » me demande t’il? Je répond que mon anus et mon dos son un peu douloureux mais que ça va. Il me serre un petit plus fort et m’embrasse puis commence à me caresser d’abord les seins il est très délicat puis il descend jusqu’à mon entre jambes me titille le clitoris et introduit 2 doigts dans mon vagin je gémi de plaisir il me dit de venir s’empaler sur lui, son sexe est droit je fais ce qu’il me demande mais en lui tournant le dos je me penche alors en avant ainsi il a une vue directe sur mon anus je sais qu’il aime bien ça et il dit « humm cette vue est vraiment belle ». Je me retire et frotte mon petit trou sur son sexe il gémi à sont tour mais lorsque j’essaye de d’aller plus loin il me dit non! C’est un ton sec sans appel…. Il se lève sans un mot va se faire un café, je reste déçu seule dans ce grand lit.
Il m’appelle il veut que l’on nage avant de ranger afin de prendre la route. Je m’exécute nous nageons pendant une demi-heure environ puis il sort, va prendre sa douche je vais le rejoindre mais il ne me laisse pas faire il finit et sans un mot il quitte la salle de bain encore une fois je reste impuissante. Je pleure je ne veux pas que ce week-end finisse ainsi… je passe mes derniers dessous, je me maquille de manière légère, nous rentrons à la maison…. Je commence à ranger il rentre dans la chambre me regarde, avec son regard sombre et son ton sec il me dit de mieux me maquiller il lui reste quelques heures…
Nous finissons de ranger et il me demande de laisser le collier et la laisse dehors, de ne pas plus m’habiller de garder mon peignoir sur le siège mais pas sur moi. Il me met mon collier et ma laisse, nous prenons la route ce n’est pas la même qu’à l’aller. Je suis mal à l’aise d’être en dessous sans rien d’autre sur moi j’ai l’impression que tout le monde le voit. Au bout de quelques kilomètres il prend un petit chemin qui s’enfonce dans un bois. J’ai appris qu’il ne faut plus poser de questions alors je ferme les yeux et je me laisse transporter. Il se gare, fait le tour de la voiture ouvre ma portière attrape la laisse je le suis sans aucun mot. Je vais lentement car je suis pieds nus mes talons hauts sont restés dans la voiture. Au bout de quelques minutes il s’arrête regarde autour de lui et semble satisfait. Il me fait mettre face un arbre entoure la laisse autour du tronc et la rattache au collier. Je suis attaché il me dit de mettre mes mains sur le tronc et de tendre mes fesses, et d’un coup je sens le paddle s’abattre sur ma fesse gauche un gémissement sort, mes mains se crispe sur l’écorce de l’arbre. Plusieurs coups suivent avec la même intensité des râles sortent malgré moi de même que la cyprine qui trempé mon string. Il s’arrête, dégage ma chatte humide et me pénètre sans aucune délicatesse il tire sur le collier je suis à deux doigts de jouir ou de perdre connaissance je ne sais plus trop, il détache la laisse me retourne je tombe à genoux et il enfonce son phallus gonflé au fond de ma gorge quelques va et vient et il joui à l’intérieur de ma bouche, j’avale goulûment sa semence il se retire mon corps lâche et je me retrouve à moitié allongé.
Je reprends mon souffle et mes esprits il me regarde son regard est presque décontenancé de ce que nous venons de vivre et de se que j’ai essuyé. Il me demande si ça va avec un ton bienveillant je répond avec un large sourire que rien ne pourrait aller mieux…. Il m’aide à me relever il m’embrasse sur le front je me blottis contre son torse quelques minutes son téléphone sonne….
Le réveil il est 16h la séance est terminée!
8 personnes aiment ça.
Un peu trop viril et macho à mon goût cérébral sensible émotionnel et sensuel mais si 😭 les femelles aiment cela, pardonnez moi de blasphèmer ainsi... Meã Culpa
Un peu trop viril et macho dites vous eurekat777😊
tout cela dépendra des attentes et limites convenue lors des ententes entre le dominant et la dévouée peut être n est ce pas votre façon idéal que d apprécier la relation mais ne sommes nous pas tous différents 😉avec des attentes bien distinctes ce qui peut être excitant pour l un et le pousser au lâcher prise peut être une peur panique pour l autre ,le tout étant que chacun sache écouter et surtout entendre et respecter les limites de l autre afin de crée une parfaite harmonie lors de ces échanges ,certain et certaines sont bien plus en attentes de ce genre relation par des fantasme ou désir réel De les concrétiser afin de vivre le réel lâcher prise et pouvoir s abandonner au plus profond de leur envies
Un désir d appartenance ce défini par bien des manières suivant la personnalité,la confiance et la relation crée qu en dites vous ?
Après quelques heures de train, passé à attendre patiemment, pour une fois, elle grimpa dans son auto pour partir aussi tot en direction de sa propriété.
Une maison, au milieu des bois, dans un coin d'Ardèche.
Apres 2h de route, les voilà parfaitement isolé, sur un terrain de centaine de mètre carré, fait de roche, de bois et de bâtisse en pierre.
De nuit, il l'a fit descendre de la voiture.
Elle fit le tour du vehicule pour se retrouver de lautre cote de sa vitre, côté conducteur.
"Donne moi tes vetelents"
Nue, il lui mis son collier favori. Lourd et associé à une chaîne lourde.
"Marche devant".
De nuit, elle marcha sur le granite dur, la terre sablonneuse d'Ardèche, éclairée seulement par les phares de la volkswagen qui la précèdé.
Au bout de plusieurs minutes, a grimper difficilement, elle aperçut une grande bâtisse dominant la montagne.
Aussitot arrivé, il l'amena dans la salle de bain de la dépendance.
La tenant par la chaîne, il la passa à la douche.
Toujours soucieux de pouvoir l'encule quand bon lui semble, il lui fit faire un lavement.
Deux doigts en elle, ils se levèrent pour parcourir la propriété
Immediatement, il l'amena a la grande cave, en pierre vouté.
Lui triuvant un anneau a ras du sol, il l'attacha le cou forcement a ras du sol.
A quatre pattes, il écarta les fesses pour s'y plonger centimètre par centimètre.
Il se faisait tard, il etait l'heure d'en finir et de se coucher.
A coup de grand aller retour dans son cul, docile et accueillant, il ne tarda pas à défaillir.
Pour retarder lecheance, il sortait reguliermeent pour admirer son trou se formant étape par étape.
La tete contre le sol, tenue par le cou, enchaînée dans une cave au fond d'une propriété ardechiuse, elle se faisait ouvrir le cul.
Atteint par l'extase, il resta la, une minute a souffler a regarder le resultat.
Puis la laissant la; le cul en l'air et ouvert, attachée et sans issue.
Il éteint la lumière et alla se coucher.
3 personnes aiment ça.
Étrange récit hard, on ne peut plus direct, sans aucune poésie ni créativité, texte brut, plutôt violent... Je trouve dommage de ne pas prendre plus de soins de ce texte comme de cette proie... Cela gâche tout... Je découvre ce type de récits... Pour les amateurs du genre... Triste...
J'aime
07/09/25
La soumise qui aime lire ce genre d'histoire apprécie les approches directes, sans florilège.
J'aime
07/09/25
Je 🍀 pense aisément que vous avez raison... Je viens de lire un autre écrit d'une autre catégorie "long" sur ce site et je suis probablement hors sujet... Belle journée...
J'aime
07/09/25
Tôt le matin; alors que le soleil n'avait pas encore réchauffé l'air;
Il revient pour ouvrir la cave.
Elle était resté la, au bout de sa chaine, le cul s'étant refermé doucement.
Sans la relever; il la détacha et la fit marcher a 4 pattes jusqu'à la maison. Il fallait faire le tour par l'extérieur, écorchant genoux et mains sur les pierres et les plantes et le sol ardéchois.
Passant devant l'allée centrale, séparant les deux habitations, il l'a fit se relever, face au mur, dos à son maître. Avec le tuyau d'arrosage, directement issu de la source d'eau claire et froide, il se mit à l'arroser.
Apres une nuit, nue dans la cave, un réveil très matinal, il fut étonnant de voir sa peau rougir encore de froid. Rajoutant de la pression au jet, il l'a fit s'accroupir pour d'abord lui asperger le visage, puis faisant parcourir au jet un long tracé sur son corps, il lui écarta le cul pour lui masser la rondelle avec ce jet glacial.
Il ne pu résister a lui asséner une fessée ferme, sur son cul rouge et saisi par le froid.
Le jet fini par être dirigé exclusivement sur son sexe, mélangeant la force du tir, la morsure du froid et la chaleur qu'un clitoris malmené peut procurer.
L'air pathétique, tremblante et transi dans sa chair, il l'a laissa entrer dans la maison pour la première fois, la ou au cœur du salon, l'attendait une cheminée pleine d'un feu réconfortant.
Installée entre la cheminée et un fauteuil, il lui remplit la bouche de son sexe, aussi vite qu'il en avait envie. Elle pu profiter des flammes sur son dos, sur ses pieds, pendant que sa bouche, c'est lui qui en profité.
"Suce tant que tu veux rester là".
2 personnes aiment ça.
Tôt le matin; alors que le soleil n'avait pas encore réchauffé l'air;
Il revient pour ouvrir la cave.
Elle était resté la, au bout de sa chaine, le cul s'étant refermé doucement.
Sans la relever; il la détacha et la fit marcher a 4 pattes jusqu'à la maison. Il fallait faire le tour par l'extérieur, écorchant genoux et mains sur les pierres et les plantes et le sol ardéchois.
Passant devant l'allée centrale, séparant les deux habitations, il l'a fit se relever, face au mur, dos à son maître. Avec le tuyau d'arrosage, directement issu de la source d'eau claire et froide, il se mit à l'arroser.
Apres une nuit, nue dans la cave, un réveil très matinal, il fut étonnant de voir sa peau rougir encore de froid. Rajoutant de la pression au jet, il l'a fit s'accroupir pour d'abord lui asperger le visage, puis faisant parcourir au jet un long tracé sur son corps, il lui écarta le cul pour lui masser la rondelle avec ce jet glacial.
Il ne pu résister a lui asséner une fessée ferme, sur son cul rouge et saisi par le froid.
Le jet fini par être dirigé exclusivement sur son sexe, mélangeant la force du tir, la morsure du froid et la chaleur qu'un clitoris malmené peut procurer.
L'air pathétique, tremblante et transi dans sa chair, il l'a laissa entrer dans la maison pour la première fois, la ou au cœur du salon, l'attendait une cheminée pleine d'un feu réconfortant.
Installée entre la cheminée et un fauteuil, il lui remplit la bouche de son sexe, aussi vite qu'il en avait envie. Elle pu profiter des flammes sur son dos, sur ses pieds, pendant que sa bouche, c'est lui qui en profité.
"Suce tant que tu veux rester là".
2 personnes aiment ça.
Elle travaillait à son bureau. Mail, clients, fournisseurs, compta, banque.
Débordée. Concentrée.
Elle n'avait rien entendu venir.
Un sac noir sur la tête, un cordon qui se resserre, une très forte baffe, un coup dans le ventre.
Elle était pliée en deux, ne comprenait pas, ne savait pas, le cerveau qui disjonctait ...
Jetée sur le bureau à plat ventre, jambes écartées liées avec un lien plastique aux pieds de la table bureau, puis les mains de même de l'autre côté...
Que lui arrivait-il ? Elle avait peur.
Elle le sentait derrière elle, sa respiration, aucun autre bruit.
Que se passait-il ?
Puis sa petite jupe est relevée, sa culotte descendue, presque arrachée.
Elle n'arrive pas à parler, à crier. Son cerveau déconnecte.
Elle entend sa règle en métal.
Puis les coups sur ses fesses. Fort. Très fort.
Elle crie. Elle a mal.
Mais pourquoi elle tend ses fesses. Son corps qui réagit seul. Et elle mouille.
Mais pourquoi est-elle trahie par son corps.
Elle se sens sale, se sait chienne, maso.
Mais lui qui est il ? Pourquoi elle ?
Les doigts qui l'a fouillent sans tendresse, dans sa chatte, dans son cul.
Et elle mouille, s'ouvre, se dilate, pousse.
Elle aimerait plus. Encore plus fort, plus sale, plus violent.
Elle aime. Elle se sent tellement salope. Tellement chienne. Tellement pute.
Mais pourquoi. Pourquoi est elle ainsi.
Une queue, directement dans son cul.
Il ne cherche pas à lui donner du plaisir. Juste à en prendre.
Une esclave. Voilà ce qu'elle est.
Le seul bruit qu'il fait est un grognement de satisfaction en éjaculant son sperme dans son cul.
Elle pleure, mais elle aime ça.
Elle aime tellement juste servir, être une esclave, ne pas avoir son mot à dire, elle n'est qu'orifices pour mâle...
Détachée, la cagoule est enlevée.
Le regard hagard, elle le regarde. Puis souris, heureuse, juste totalement heureuse.
Elle aimerait tellement le voir maintenant marquer son territoire, pissant sur sa chienne.
Son maître, son propriétaire ...
6 personnes aiment ça.
Félicitations pour ce récit précis et insuffisamment détaillé à mon goût "comme elle" mais Exprès et court...
J'aime
06/09/25
Elle travaillait à son bureau.
Mail, clients, fournisseurs, compta, banque. Débordée. Concentrée.
Elle n'avait rien entendu venir.
Un sac noir sur la tête, un cordon qui se resserre, une très forte baffe, un coup dans le ventre.
Elle était pliée en deux, ne comprenait pas, ne savait pas, le cerveau qui disjonctait ...
Jetée sur le bureau à plat ventre, jambes écartées liées avec un lien plastique aux pieds de la table bureau, puis les mains de même de l'autre côté...
Que lui arrivait-il ? Elle avait peur.
Elle le sentait derrière elle, sa respiration, aucun autre bruit.
Que se passait-il ?
Puis sa petite jupe est relevée, sa culotte descendue, presque arrachée.
Elle n'arrive pas à parler, à crier. Son cerveau déconnecte.
Elle entend sa règle en métal. Puis les coups sur ses fesses. Fort. Très fort.
Elle crie. Elle a mal.
Mais pourquoi elle tend ses fesses. Son corps qui réagit seul. Et elle mouille.
Mais pourquoi est-elle trahie par son corps.
Elle se sens sale, se sait chienne, maso.
Mais lui qui est il ? Pourquoi elle ?
Les doigts qui l'a fouillent sans tendresse, dans sa chatte, dans son cul.
Et elle mouille, s'ouvre, se dilate, pousse.
Elle aimerait plus. Encore plus fort, plus sale, plus violent. Elle aime.
Elle se sent tellement salope. Tellement chienne. Tellement pute.
Mais pourquoi. Pourquoi est elle ainsi.
Une queue, directement dans son cul.
Il ne cherche pas à lui donner du plaisir. Juste à en prendre.
Une esclave. Voilà ce qu'elle est.
Le seul bruit qu'il fait est un grognement de satisfaction en éjaculant son sperme dans son cul.
Elle pleure, mais elle aime ça.
Elle aime tellement juste servir, être une esclave, ne pas avoir son mot à dire, elle n'est qu'orifices pour mâle...
Détachée, la cagoule est enlevée.
Le regard hagard, elle le regarde.
Puis souris, heureuse, juste totalement heureuse.
Elle aimerait tellement le voir maintenant marquer son territoire, pissant sur sa chienne.
Son maître, son propriétaire ...
21 personnes aiment ça.
Après des centaines de messages roses échangés, après des heures de relations épistolaires brûlantes,
voila enfin ladyy osant s'aventurer dans la vraie vie avec ce partenaire d'écriture.
Un coup de train vers l'ouest; un coup de voiture vers l'est.
Les voilà en terrain neutre, pour explorer des envies cachées.
19h; un restaurant agreable. Des sourires agreables.
Il lui ne lui propose qu'un seul verre de blanc : " j'ai votre consentement éclairé à obtenir, dans quelques heures" dit il.
Elle reponds par un sourire ravageur. Entre les sujets de discussions lambda qui ne font que pâle illusion face au programme qu'il lui réserve, ils discutent calmement, parfois un doigt passant sur une main douce sans trop s'y attarder.
Le serveur apportant le plat principal, elle osé demander : "qu avez vous prévu ?" Sachant bien qu'il est malvenu de gâcher ainsi la surprise.
Etonnanement, il lui repond de la maniere la plus explicite quil puisse.
Il fouille sa poche pour se saisir de son téléphone.
"Vous voulez voir ?"
Elle repond, bien sur par l'affirmative.
"Je veux vous diriger, doucement, mais sûrement pour obtenir de vous ça" dit il en présentant une image X à sa compagne de table, au milieu du salon.
L'image, une femme, nue, allongee par terre, le fraichement ouvert.
Genee par la situation, elle cache au mieux le telephone des autres clients du restaurant, mais toujours intéressée par l'image.
"Ça, pour moi ?"
"Oui, vous, en vous dirigeant Fermement, bien sûr."
Elle rougit doucement, petit à petit, la tension sexuelle prenait tout l'espace disponible sur cette table.
"Comment vous me feriez ça ? D'un coup, ou avec classe comme le genre que vous vous donnée ?"
Il sourit a sa remarque.
"Comme on ouvre le cul d'une salope... " sans la lacher du regard " doucement mais sûrement".
Puis il commenca a detailer le mode operatoire, et elle ecoutait avec envie. Regrettant presque que le plat soit arrivé.
"Tout d"'abord, un petit jouet pour ouvrir le trou, sans effort.
Puis, il faut y passzr biensur un lavage en profondeur, un lavement repeté".
Elle semblait impressionnee par la minutie du gentleman.
"Puis alors que tu seras au centre de la pièce, sur la table, je commencerais par déguster ton cul, l'habituer à la stimulation."
Elle le regardait lui decrire son cul devoré et imaginait le bien que cela lui ferait.
"Puis j'introduirais un Puis deux doigts, généreusement lubrifiés. Si tu montres un peu de résistance lors de cette étape, c'est alors le moment de garder humide et stimulé ton adorable clitoris."
Elle se tordait sur sa chaise, imaginant sa chair chauffée ainsi.
"Ensuite, je vous descendrais par terre, pour te prendre l'anus et te l'ouvrir en rythme.
Pour chaque session de 3 minutes, je te prendrais en photo, l'orifice central de nos jeux, pour te montrer l'evolution, le résultat final".
"Ça.. fait envie" dit elle.
Alors qu'il lui répondait : "Ouvrir un cul si bien présenté, ça se fait dans les règles de l'art".
Alors qu'elle continue à l'écouter lui raconter comment il compte lui ouvrir le cul comme si en gentleman poli, il lui parlait de lui ouvrir la porte, le serveur arriva.
"C'est messieurs, dames vont prendre un dessert ?" Dit il en débarrassant efficacement la table.
Mal a l'aise sur sa chaise trempée, elle semblait avoir fait son choix, pour la prochaine étape.
Il l'a regarda amusé, "Un dessert ?" Dit il en souriant pour la forcer a s'exprimer devant le serveur.
"Non, merci, ca ira, cetait deja bien" dit elle en se tenant le ventre comme pour dire qu'elle etait repu, qu'elle etait pleine. Il l'a regardée se défaire du serveur, en sachant qu'elle était plus proche d'avoir envie de se faire remplir que d'être pleine.
"Le payement se fera au comptoir" dit le serveur en les quittant.
"Vous voulez quon y aille ?" Lui dit il, elle lui répondit de ses yeux lumineux et emplies d'envie.
Il sourit et se leva. Il fouilla dans sa poche et ressorti un petit sachet en tissus doux.
Il posa cela devant elle, sur la table.
"Va enfiler ça, et rejoins moi". Dit il en rejoignant la sortie du restaurant pour régler leur repas.
En attrapant le sachet, elle devina immédiatement à partir de la forme au bout de ses doigts.
Une ogive, finissant par une fine tige et un plat.
Se levant pour aller aux toilettes, elle ouvrait doucement le sachet.
S'enfermant au toilette, elle decouvrait effectivement un joli plug et son petit tube de lubrifiant.
Impatiente, excitee et désireuse de rejoindre son compagnon de table, elle se presse pour s'exécuter.
Elle se deshabillait en vitesse, descendant son tanga, trempée par les échanges précédent.
Elle ouvrit le petit tubes et déposa une noisette de lubrifiant sur deux de ses doigts, d'une main, elle s'écarta les fesses, de l'autre, elle etala le liquide sur sa rondelle encore serrée.
Ensuite, elle remis une nouvelle couche sur la tête, la pointe du plug.
Se l'enfoncant doucement, elle sentit que son cul s'ouvrait lorsque le plug traversait sa rondelle au moment le plus large. Ensuite son cul avala le jouet et le scella ainsi.
En vitesse, elle se lava les mains, remis son tanga et le reste et quitta les commodités.
Elle le rejoint au comptoir. Il l'a vit, alors, encore plus belle ainsi, car il savait qu'elle avait quelque chose en plus, au fond d'elle.
Ils traversèrent ensemble la rue, pour rejoindre sa voiture.
Il savait qu'elle etait doucemebt prise et ca le durcicait terriblement.
Arrivant a sa voiture, une allemande, une volkswagen, il fit le tour pour lui ouvrir la porte.
Retournant de son cote, ils s'installa à sa place.
C'était la première fois, qu'ils étaient tout les deux, seul à seul, en privé.
La tension etait palpable et son sourire ravageur n'arrangeait pas les choses.
"Montrez moi le petit équipement que je vous ai confié".
Un tout petit peu, vraiment tres peu désarçonnée, elle regzrda autour d'elle, autour de la voiture.
Elle se redressa quand même et se metta sur les genoux, sur son fauteuil. De ses douces main, elle fit descendre son pantalon et sa culotte d'une traite.
Trrd aimablement et surtout tres apprecié par le spectateur, elle s'attrapa la fesse d'une main pour écarter son trou et faire apparaître le plug.
Il adorait la vue, il en bandait sans arrêt.
De deux doigts curieux, il caressa sa petite rondelle. Il pousse sur le jouet, il tire dessus par amusement.
De ses deux doigts serviables, il entoura le plug, pour recuperer le reste de lubrifiant débordant de son cul.
Il essuya son cul, puis essuya son doigt sur sa fesse.
Cetait la premiere fois, qu'il rentrait en contact physique avec elle et c'était pour lui caresser la rondelle.
De son autre doigt, il descendit sur sa fente, qu'elle lui présentait généreusement.
"Comment vous sentez vous ? J'ai besoin que vous me parliez sincèrement.
J'ai besoin de savoir, d'entendre que vous en avez envie, que vous voulez continuer cette longue soirée de jeu avec moi".
[Ta reponse...]
Quelques secondes après sa réponse, il enfonca son doigt majeur, le plus long qu'il est, dans sa fente déjà bien humide.
Il le ressorti aussi tot pour gouter a l'humidité de cette magnifique chatte glabre qu'il lui tardait de découvrir en détail.
6 personnes aiment ça.
Une belle soirée de fin d'année dans Paris …
Il fait beau, un été indien bien tardif ...
Tu t'es habillée sexy, comme j'aime.
Et cela te va si bien : une robe courte près du corps pour le mettre en valeur et laissant voir la large bande en dentelle de tes bas lorsque tu t'assoies, un décolleté permettant à la dentelle du haut de ton soutien-gorge d'être visible, des talons hauts, et un trench-coat léger que tu n'as pas fermé.
Tes longs cheveux bruns ondulés encadrent ton visage dont le maquillage est présent mais sans vulgarité. Seul le rouge de tes lèvres contraste avec ton teint, la couleur de tes cheveux, ta robe et ton trench noirs, et s'harmonise parfaitement avec le cuir rouge de la ceinture qui serre ta taille.
Un seul détail pourrait éveiller l'intérêt d'un initié : ce large collier en dentelle que tu portes avec fierté autour du cou, affirmant ainsi à tous ton appartenance.
Nous allons dîner comme prévu dans ce petit restaurant. On nous place dans la deuxième salle, il n'y a qu'un autre couple présent. La femme te regarde avec un œil sévère : jalousie de ta beauté, de la sensualité que tu dégages, ou compréhension de la relation qui nous unit ? Peut être tout cela en même temps …
Tout au long du repas nos doigts se touchent, nos regards se cherchent, nous imaginons la suite de la soirée.
Je te dis que tu es belle, excitante, sexy, bandante, que j'ai envie de toi, de te prendre, de te baiser, partout, ma salope …
Tu me dis ton envie de me sucer, de me sentir dans ton cul, d'être prise à 4 pattes, de te sentir chienne …
Je pense à ton cul qui mouille lui aussi à peine je le pénètre, à la jouissance que la sodomie te procure à chaque fois …
Tu es si vicieuse et pourtant toujours timide, réservée. J'aime ce contraste.
Je te dis de venir à coté de moi pour prendre le café, mais d'enlever d'abord ta culotte et de me la donner.
Ton string est trempé de ton humidité. Je te vois rougir et baisser les yeux.
En suivant ton regard, j'arrive sur la table où l'autre couple dîne un peu plus loin de nous. La femme te regarde me donner ta culotte d'un air choqué.
Cela me fait sourire, j'aime l'effet de la gêne, de la honte que cela produit sur toi.
Comme je te l'ordonne, tu lèves ta robe avant de t'asseoir à coté de moi, dévoilant ainsi tes jambes gainées de tes bas.
Je t'écarte les jambes pour caresser ton sexe à la peau si douce, si fine, parfaitement épilé.
Ta fente est trempée, tu me regardes droit dans les yeux, la bouche entre-ouverte, un léger voile dans ton regard, concentrée sur ton plaisir.
Je passe et repasse sur ton clitoris, dur et si sensible.
Très vite tu te raidis en poussant un soupir de jouissance, puis en laissant ton corps reposer contre moi.
Tout c'est passé si vite, presque en silence.
A l'autre table, la femme ne cesse de demander à voix plus ou moins base à son compagnon de ne pas tourner sa tête vers nous, alors que celui-ci n'a qu'une envie, celle de se rincer l'œil et de profiter du spectacle que nous offrons.
Nous nous levons et partons du restaurant, ton visage est rouge d'excitation mais aussi de la honte d'avoir ainsi été exhibée.
"Depuis que je vous connais, j'ai l'impression de devenir tellement vicieuse" me dis tu en rougissant les yeux se baissant ….. "Mais j'aime ça" ajoutes tu dans un soupir.
"J'ai justement envie d'être sucé, là maintenant, ma petite chienne, voir ta bouche s'arrondir autour de ma queue, te voir boire mon sperme, et t'entendre me dire merci".
Tu me regardes bouche ouverte et l'envie se lit dans tes yeux.
Je te pousse sous un porche resté ouvert, comme par hasard.
Notre soirée ne fait que commencer …
Pour notre plaisir …
Propriété de GreyFondor, copie et usage interdits
5 personnes aiment ça.
Tu es si vicieuse et pourtant toujours timide, réservée. J'aime ce contraste... L'envie d'avoir envie...
J'adore vous lire ET pouvoir vous découvrir au travers d'ELLE... Que VOTRE Volonté soit Fête...
J'aime
06/08/25
Tu aimes être ainsi, humiliée, disponible, et ton sexe entrouvert laisse voir déjà son humidité.
Cela te fait honte d'être si chienne, mais tu aimes tellement cela …
Ce soir tu le sais, il n'y aura aucune tendresse, et tu aimes cela car le plaisir sera total, affolant, dévastateur …
Je regarde ton corps magnifique, la finesse de ta taille, tes fesses rondes, tes seins aux pointes arrogantes.Ta peau est si douce. Tes cheveux sont si ...
Tu es allongée sur le lit. Tes mains sont attachées par des liens en soie haut derrière toi, tes jambes sont repliées sur toi en arrière de ton corps, totalement écartées, et retenues par d'autres liens sur les cotés du lit.
Tu ne peux rapprocher tes jambes, les serrer, te protéger.
Je glisse sous tes reins deux coussins. Tout en toi m'est accessible, offert …
Totalement offerte. Totalement ouverte. Totalement impudique.
Je te caresse, doucement, partout. Tu trembles.
Puis les claques tombent sur tes cuisses, sur tes fesses … D'abord doucement …
Je te griffe le ventre, te pince les pointes de tes seins, doucement, puis les étire, violemment …
Toutes les parties de ton corps rougissent, l'une après l'autre, ensemble …
Ton visage n'est pas épargné, et à chaque claque tu pousses un soupir, bouche ouverte.
Tu trembles, tu halètes, tu cherches à faire entrer de l'air dans tes poumons.
Tu cris ton plaisir, comme jamais je n'ai entendu crier, et cela m'électrise.
Lorsque ma main te frôle pour une caresse, tu penses recevoir une tape, et lorsque tu ne t'y attends pas, le coup arrive, sec.
Tu es de plus en plus excitée, affolée, la douleur se mêlant au plaisir.
"Regarde toi, tu aimes être frappée, cela t'excite .... et moi j'aime ton masochisme"
Je te pince le clitoris, je te claque le mont de vénus que tu as si bombé et si peu protégé par l’absence de toute pilosité.
Ta chatte se gonfle encore plus du plaisir d'être ainsi martyrisée.
Tout se mélange, tout s'accélère.
Pincements caresses tapes caresses claques …
Sur la chatte le visage les seins le visage les cuisses la chatte les fesses …
Douleur et plaisir…
Tu vas au-devant des coups que tu réclames, tu pousses à ouvrir totalement ton sexe trempé qui coule.
Même ton anus s'ouvre.
Tu veux être baisée, sodomisée, prise fort. Tu me regardes …
"Oui je suis votre chienne, votre salope, baisez moi, frappez moi, plus fort, je suis à vous" …
Je bande comme un fou, ma queue dure me fait mal, et te voir offerte réclamant plus de violence, me fait tourner le sang.
Et puis d'un seul coup, ton corps se cabre, tes yeux partent en arrière, plus aucun bruit, plus aucun soupir plus aucun cri. Évanouie !
Réduite au silence par la violence de ta jouissance.
Tu viens de jouir juste d'être frappée, pincée …
Orgasme affolant, dévastateur, et chaque fois cela me surprend …
Ton plaisir est total, fou.
Un plaisir totalement masochiste.
Ta chatte est gonflée, rouge, trempée.
Ta poitrine se soulève, ton anus palpite : voilà les seuls signes visibles que tu es en vie !
Alors je m'enfonce dans ton cul dilaté, toujours anéantie par ton orgasme dévastateur.
Je sors et j'entre totalement.
Je te prends de plus en plus fort, cela réveille en toi l'envie, je te regarde dans les yeux, tu pousses tellement sur ton cul qui s'ouvre totalement, tu hurles ton plaisir et cela te déclenche un nouvel orgasme.
Et de me sentir alors tellement serré en toi, je n'en fini pas de me vider dans ton cul en grognant mon propre plaisir.
Je te détache alors, m'allonge à coté de toi, tu me souris.
"Je vous aime" me dis tu.
Nous nous embrassons, et déjà presque endormie, tu te blottis dans mes bras.
Pour notre plaisir.
Propriété de GreyFondor, copie et usage interdits.
4 personnes aiment ça.
Pour notre plaisir, nous sommes à nouveau dans notre chambre.
Et encore une fois, tu es là, attachée et les yeux bandés, étendue sur le lit, les bras en croix, sans repère.
Comme toujours dans ces moments, tu te sens chaude.
Jambes écartées, tu laisses voir ton sexe déjà trempé d’où s’écoule ta mouille.
Et mes doigts qui courent sur ton corps, partout, sur tes seins, sur ton ventre, sur tes cuisses, sur tes fesses.
Les pointes de tes seins sont dures et s’allongent comme pour inviter mes doigts à venir les pincer, les tirer.
Le temps semble s’allonger.
Puis je remplace mes doigts par .....
Je vois ton corps réagir, frissonner.
Chaleur, froid. Comme une brûlure, tu ne sais pas, tu te demandes ce que c’est.
Mais cela t’excite. Tu trembles de peur et d’envie. De plaisir.
Un glaçon,
Un glaçon qui n'épargne aucune partie de ton corps, même les plus intimes, les plus fragiles. L’une après l’autre.
Un glaçon qui fond jusque dans ton intimité, se mélangeant à cette mouille épaisse qui s’écoule de toi.
Cette chaude brûlure que le froid te procure.
La douleur se mêlant au plaisir. La douleur génératrice de plaisir.
Cette chaleur et ce froid qui t'envahissent, te chamboulent, te chavire .....
Et puis d'un coup, tu sens sur ton corps autre chose, une autre sensation.
Un petit choc sur ta peau, puis comme une pointe de chaleur, un picotement.
Puis une autre, Puis une autre. Encore et encore.
Le froid s'éloigne, la chaleur reste, plus marquante, plus précise, en différents endroits de ton corps, partout.
Ces petits points de chaleur qui irradient, puis se rejoignent, les un après les autres, et finissent par couvrir tout ton corps.
Cela te pique, te chauffe, de démange, t’excite, partout, le ventre, les bras, les jambes, les seins, le sexe.
Ce sexe trempé car tu mouilles même le haut de tes cuisses .....
En même temps tu sens une odeur, parfumée.
Cette perception qui s’ajoute à la chaleur qui exacerbe tes envies.
De la fumée ?
Oui, c'est cela, de la fumée. Agréable.
La cire d'une bougie qui coule, tombe sur ton corps, te brûle et te chauffe.
Le chaud, le froid, les caresses .....
Mes doigts qui caressent ton sexe trempé, dégoulinant, trahissant ton extrême excitation.
Ce petit bouton qui déclenche en toi des frissons de plaisir.
Mes doigts qui pincent la pointe dure de tes seins qui se tendent.
Tout en toi se mélange,
La douleur jusque dans le plaisir, juste pour le plaisir, pour ton plaisir.
Et ton corps qui n'en finit pas de réagir.
Les pointes dures de tes seins, ton sexe trempé, la tête qui tangue en tous sens, ta bouche ouverte sur l’air que tu cherches désespéramment.
Tu soupires, tu gémis, tu cries, tu jouis.
Tu en veux plus, et encore.
Juste envie d'être prise, baisée, fort.
Juste le plaisir, encore et encore.
Juste être pincée, tapée, caressée.
Etre soumise, encore et encore.
Ne plus s'appartenir,
Et jouir encore et encore ....
Tu cries, tu râles, tu jouis.
Ton corps fait des bonds. Tu aimerais ne plus être attachée et pourtant c’est cela qui augmente ton plaisir.
Stop, encore, plus fort, oui, non ...
Ma chienne, ma salope, tu aimes n'être qu'un jouet sexuel, m'appartenir ...
Mon sexe qui entre alors dans ta bouche comme un bâillon, loin dans ta bouche, jusque dans la gorge, sans tendresse.
Te voir me sucer, me lécher la queue, puis me voir couler sur ta langue, te voir boire mon sperme, te rejoindre dans le plaisir.
Un moment intense, dévastateur, puissant, charnel, cérébral ...
Pour chacun de nous deux, pour notre plaisir.
Propriété de GreyFondor, copie et usage interdits.
2 personnes aiment ça.
Nous nous sommes rencontrés lors d'une soirée chez des amis communs.
Nous avons beaucoup parlé : le travail, les goûts, la vie ... et ton retour sur Montréal d'ici une quinzaine de jours. Tu étais en stage à Paris depuis une année.
En voulant te ramener chez toi, sans nous en rendre compte nous avons parlé dans la voiture jusqu'à 5h du matin. Nous avons alors abordés des thèmes comme la socio, la psycho, la philo .... et le sexe.
Nous avions tous les deux des libidos fortes qui ne demandaient qu'à s'exprimer, et pourtant, malgré l'envie évidente, nous étions fatigués : ce premier soir juste un bisou sur la joue !
J'avais un déplacement professionnel d'une dizaine de jours : sms après sms, nous nous sommes encore rapprochés, faisant monté l'envie de nous revoir, de nous embrasser, de faire l'amour.
Paris, une belle et chaude soirée d'été indien ...
Enfin ce rendez-vous ...
Enfin ce vendredi soir ...
Enfin te revoir, là devant moi, avec cette envie de te prendre dans mes bras ...
Premier vrai baiser, électrique. Nos corps se collent l'un contre l'autre.
Tu ne peux ignorer la bosse que fait mon sexe en érection comprimé dans le pantalon.
Tu t'ai penché vers mon oreille : "j'ai envie de faire l'amour, là maintenant, tout de suite, j'attends cela depuis que je t'ai rencontré, je ne veux plus attendre"
Juste à coté se trouve un jardin public ouvert. Personne.
Je m'assoie sur un banc, et tu restes debout devant moi.
Je passe ma main sous ta jupe, et là, je touche directement la douceur de tes poils que je découvrirai plus tard aussi roux que ta chevelure, la chaleur et la moiteur de ton sexe déjà trempé.
Pas de culotte.
"Tu es une vraie coquine toi !"
"Tu n'imagines même pas à quel point" me réponds tu.
Tu me descends la braguette du pantalon, afin d'en sortir mon sexe tout heureux de pouvoir enfin exprimer librement son érection.
Tu me branles doucement la queue pendant que nous nous embrassons à nouveau.
Je te caresse toujours la chatte.
Alors, en soulevant ta jupe large, tu t'assoies sur moi pour t'empaler.
Nous continuons à nous embrasser pendant que ton bassin bouge, te soulevant légèrement afin de mieux te laisser retomber.
Je me sens plonger dans ta chatte qui me brûle la queue de toute sa chaleur malgré la très importante humidité du lieu.
Nos lèvres se frôlent, nos langues se caressent, nos yeux ne se quittent pas.
Nous sommes seuls au monde, nous ne pensons même plus dans quel lieu nous sommes.
Je ne sais pas combien de temps cela dura.
Mais c'est ensemble que nous avons poussé le soupir libérateur de toutes nos tensions.
Yeux fermés, nous sommes restés quelques instants enlacés, puis nous nous sommes échangés un magnifique sourire.
C'est alors que nous avons entendu des applaudissements : quelques japonais étaient là, à nous regarder et à nous filmer.
Tout à notre rencontre, nous ne nous étions rendu compte de rien !
Je me suis vite rhabillé, et nous sommes partis en rigolant, main dans la main.
Nous avons alors passé tout le weekend chez toi à faire l'amour.
Que dis-je, à baiser. Très hard. Violent. Non stop.
A peine le temps de grignoter.
Pour notre plaisir ...
Puis tu as pris ton avion pour retourner au Canada, moi la voiture pour aller bosser.
Nous ne sous sommes jamais revu, mais je ne t'ai jamais oublié ...
Propriété de GreyFondor, copie et usage interdits
2 personnes aiment ça.
C'était il y a longtemps, en première année de fac ...
J'avais déjà eu des relations sexuelles, mais vraiment rien de bien exceptionnel ...
J'avais aussi lu quelques livres érotiques.
Je ne l'avais encore jamais remarquée sur les bancs de la fac. Pourtant ...
Grande, mince, de très long cheveux brun, de grands yeux lumineux.
Bref, une fille vraiment très jolie.
Nos regards se sont croisés, un simple instant qui a semblé durer une éternité.
Électrique à vous faire hérisser le poil !
Beaucoup de garçon venait lui parler, elle avait presque une cour.
Nous avons échangé un sourire. Moi, d'un signe de tête, d'un haussement des épaules, d'un geste, je lui ai fait comprendre qu'il y avait vraiment trop de monde autour d'elle. Elle m'a sourit et fait ce petit geste qui signifie "plus tard".
Les jours qui ont suivis, nous avons parlé ensemble, puis nous nous sommes installés cote à cote pour suivre les cours.
Jusqu'au vendredi.
Alors, la tête pleine d'un livre érotique que j'avais lu, je lui ai fait remarquer qu'elle était bien plus belle en jupe qu'en pantalon ...
Et nous nous sommes souhaité un bon week-end.
Le lundi je l'ai vu arriver en jupe longue, et se pencher vers moi pour me dire bonjour en me faisant un petit bisou ..... sur la bouche.
"tu es superbe, même si la jupe est vraiment très longue"
Chaque jour, la jupe est devenue plus courte, nos baisers plus appuyés.
Nous flirtions main dans la main.
Elle avait déjà eu une première expérience sexuelle, mais très courte et peu satisfaisante.
Et pour compenser une certaine solitude, impensable vu son physique, elle faisait me disait elle des rêves érotiques. Aussi je lui passais un de mes livres.
Le lendemain, à nouveau un vendredi, elle me rendit le livre, l'ayant lu en entier dans la nuit, et me dit en devenant toute rouge qu'elle avait beaucoup aimé le lire.
Nous nous sommes installés en haut de l'amphi : il y avait une projection, et donc le noir a été fait.
En nous embrassant, j'ai alors passer ma main sous sa jupe qui cette fois était vraiment très courte.
Sa culotte était chaude et humide, et témoignait de son excitation.
J'ai alors descendu ma braguette, j'ai sorti mon sexe, j'ai pris sa main et l'ai posé dessus.
Puis j'ai passé ma main sur sa nuque afin de la faire aller vers ma queue.
Comme dans le livre que je lui avais passé ...
J'ai senti une petite résistance, et en appuyant un tout petit peu plus sur sa nuque, son corps s'est relâché et j'ai vu sa tête aller vers le bas pour me sucer.
Elle m'a léché le gland, la hampe, d'abord timidement puis avec gourmandise, avant de l'enfoncer dans sa bouche, sa langue tournant et affolant mes sens. J'avais un mal fou à ne pas exprimer bruyamment mon plaisir.
La projection prenant fin, j'ai appuyer très fort sur sa tête pour m'enfoncer dans sa bouche le plus loin possible, et j'ai éjaculé tout ce que mes testicules pouvaient contenir !
Elle a juste eu le temps de tout avaler puis de se redresser avant que les lumières ne soient remises. J'avais tellement poussé loin mon sexe dans sa bouche que quelques larmes avaient coulé de ses yeux.
"ça va ?" lui dis je.
Elle me dit oui de la tête
"tu as aimé ?".
Avec un grand sourire elle me fit encore un oui de la tête.
Nous avons alors séché les cours suivant pour aller chez elle et faire l'amour.
Pendant les quelques mois qui suivirent, nous n'avons pas cessé de coucher ensemble.
Et de lire des romans érotiques !
Elle a fait de nombreuses "première fois", et de ce fait moi aussi : sa première sodomie, sa première fessée, son premier bandeau sur les yeux, sa première baise dans des toilettes, sa première ballade sans sous-vêtement, etc ...
Nous avons ainsi explorer nos corps, nos envies, découvert ensemble notre sexualité.
Pour notre plaisir ...
Malheureusement, son père, qui avait un poste important dans une grosse boite, était muté. Elle a finit son année avant de déménager avec sa famille sur Bordeaux.
En écrivant ce texte, je souris en repensant à cette époque d'insouciance et du bonheur partagé.
J'ai passé ainsi une première année de fac inoubliable.
Pas pour mes résultats d'examens !
Propriété de GreyFondor, copie et usage interdits.
2 personnes aiment ça.
c'est elle qui m'ouvre.
- bonjour, entre !
dès qu'elle a claqué la porte :
- à quatre pattes comme une bonne chienne !
elle prend la laisse et tire un coup sec sur mes couilles.
- avance devant le miroir et regarde toi, salope !
elle soulève ma jupe et me donne des coups de laisse sur le cul.
il arrive et se met à genoux, une belle bosse au niveau de mon visage.
- déballe mon homme et fais le jouir dans ta gueule de pute.
elle tire sur la laisse de temps à autre.
- suce, branle, excite ses couilles !
il gicle.
- avale et t'arrête pas. il va rebander. nettoie bien.
à peine il s'est retiré qu'elle me roule une pelle interminable. pendant ce temps, il me malaxe le cul, me claque, enlève mon plug et là elle s'arrête.
- encule moi cette chienne en chaleur chéri !
j'ai à peine râlé sous le coup de forçage qu'elle me plaque la bouche sur sa chatte béante.
- broute, salope !
j'étouffe un peu.
- elle molli la pute. claque là un peu !
- tire la langue à fond, traînée. t'aime pas ma chatte ?
pour que je réponde, elle me tire par le cheveux.
- si, c'est bon.
- tu me regarde dans les yeux et tu dis "votre chatte est délicieuse, madame."
je répète.
- et la queue de mon homme, elle est bonne ?
- la queue de votre homme me fait beaucoup jouir, madame.
- belle salope et déjà bien dressée. broute encore.
quand il s'est à nouveau vidé, elle me remet la queue dans la bouche.
- c'est moi qu'il va sauter maintenant. fais lui une trique de cheval.
quand il est prêt à nouveau, elle me fait mettre à genoux et m'attache les mains dans le dos et y fixe la laisse tirée au maximum pour que je m'arrache les couilles à chaque mouvement.
il la prend en levrette, puis l'encule. ils sont à moins d'un mètre de moi. je ne peux m'empêcher de faire les mêmes mouvements que lui où elle selon le moment.
quand ils s'arrêtent, elle me détache et me fait mettre debout.
- tu t'apuie sur la table et tu te regarde bien.
elle va dans un tiroir tirer un martinet et, méthodiquement, frappe sous différents angles. souvent, les lanières touchent les couilles.
- tend bien ton cul, salope. c'est moi qui décide quand m'arrêter.
...
- casse-toi !
5 personnes aiment ça.
Comme elle a dit : collier serré à la base des couilles, la laisse-chaîne passée par dessus la nuque. Rien d'autre qu'une djelaba , et des sandales. Le trou bien lessivé évidemment.
Je sonne.
Elle ouvre, glaciale bien sûr, se recule juste un peu pour que j'entre et claque la porte. Ça veut dire "À poils". Elle prend la laisse, enfile la dragonne à son poignet et tire juste un coup sec. Ça veut dire "Tu m'appartiens"... En me tirant les cheveux, me fait mettre en chienne et pointe le doigt sur le martinet qui m'attend, langoureusement étendu sur la table basse. Je vais le prendre dans ma geule, pour lui tendre, non sans prendre dans les couilles des nouvelles de qui-commande. La correction est sévère mais pas violente. Assez pour avoir envie que ça cesse. Pas trop au point de regretter d'être venu. Ensuite, mains liées dans le dos au chevilles, bâillon et plug bien enfoncé. Elle allume l'écran et défilent les scènes, filmées dans cette même pièce, de mecs dans le même costume que moi,avec une bite dans chaque bouche. Là, il y a le son. Les queutards dont on voit pas les visages font assauts de commentaires, d'insultes et rigolent bien chaque fois que du sperme déborde. Elle, on l'a voit qui passe dans le champ, joue du martinet entre deux pilonnages, toujours muette et fermée. Moi j'ai les couilles, la bite et le cul en feu. Je lèche à fond la boule du bâillon comme un gros gland, fais mon possible pour faire bouger le gode à force de contraction. Puis, d'un seul coup, de quelques gestes rapides, elle me libère de tout, mains, chevilles, bouche, couilles et cul, m'attrape par les cheveux et me jette à poil sur son palier, fait tomber mes fringues à mes pieds et claque la porte. Je me couvre le plus vite possible et, trop content de ne croiser personne, fuit le risque d'être houspillé par des gamins, parce qu'elle doit être connue la marquerelle.
Moi, je sais maintenant comment elle recrute ses putes.
5 personnes aiment ça.
Comme elle a dit : collier serré à la base des couilles, la laisse-chaîne passée par dessus la nuque. Rien d'autre qu'une djelaba , et des sandales. Le trou bien lessivé évidemment.
Je sonne.
Elle ouvre, glaciale bien sûr, se recule juste un peu pour que j'entre et claque la porte. Ça veut dire "À poils". Elle prend la laisse, enfile la dragonne à son poignet et tire juste un coup sec. Ça veut dire "Tu m'appartiens"... En me tirant les cheveux, me fait mettre en chienne et pointe le doigt sur le martinet qui m'attend, langoureusement étendu sur la table basse. Je vais le prendre dans ma geule, pour lui tendre, non sans prendre dans les couilles des nouvelles de qui-commande. La correction est sévère mais pas violente. Assez pour avoir envie que ça cesse. Pas trop au point de regretter d'être venu. Ensuite, mains liées dans le dos au chevilles, bâillon et plug bien enfoncé. Elle allume l'écran et défilent les scènes, filmées dans cette même pièce, de mecs dans le même costume que moi,avec une bite dans chaque bouche. Là, il y a le son. Les queutards dont on voit pas les visages font assauts de commentaires, d'insultes et rigolent bien chaque fois que du sperme déborde. Elle, on l'a voit qui passe dans le champ, joue du martinet entre deux pilonnages, toujours muette et fermée. Moi j'ai les couilles, la bite et le cul en feu. Je lèche à fond la boule du bâillon comme un gros gland, fais mon possible pour faire bouger le gode à force de contraction. Puis, d'un seul coup, de quelques gestes rapides, elle me libère de tout, mains, chevilles, bouche, couilles et cul, m'attrape par les cheveux et me jette à poil sur son palier, fait tomber mes fringues à mes pieds et claque la porte. Je me couvre le plus vite possible et, trop content de ne croiser personne, fuit le risque d'être houspillé par des gamins, parce qu'elle doit être connue la marquerelle.
Moi, je sais maintenant comment elle recrute ses putes.
1 personne aime(nt) ça.
Comme elle a dit : collier serré à la base des couilles, la laisse-chaîne passée par dessus la nuque. Rien d'autre qu'une djelaba , et des sandales. Le trou bien lessivé évidemment.
Je sonne.
Elle ouvre, glaciale bien sûr, se recule juste un peu pour que j'entre et claque la porte. Ça veut dire "À poils". Elle prend la laisse, enfile la dragonne à son poignet et tire juste un coup sec. Ça veut dire "Tu m'appartiens"... En me tirant les cheveux, me fait mettre en chienne et pointe le doigt sur le martinet qui m'attend, langoureusement étendu sur la table basse. Je vais le prendre dans ma geule, pour lui tendre, non sans prendre dans les couilles des nouvelles de qui-commande. La correction est sévère mais pas violente. Assez pour avoir envie que ça cesse. Pas trop au point de regretter d'être venu. Ensuite, mains liées dans le dos au chevilles, bâillon et plug bien enfoncé. Elle allume l'écran et défilent les scènes, filmées dans cette même pièce, de mecs dans le même costume que moi,avec une bite dans chaque bouche. Là, il y a le son. Les queutards dont on voit pas les visages font assauts de commentaires, d'insultes et rigolent bien chaque fois que du sperme déborde. Elle, on l'a voit qui passe dans le champ, joue du martinet entre deux pilonnages, toujours muette et fermée. Moi j'ai les couilles, la bite et le cul en feu. Je lèche à fond la boule du bâillon comme un gros gland, fais mon possible pour faire bouger le gode à force de contraction. Puis, d'un seul coup, de quelques gestes rapides, elle me libère de tout, mains, chevilles, bouche, couilles et cul, m'attrape par les cheveux et me jette à poil sur son palier, fait tomber mes fringues à mes pieds et claque la porte. Je me couvre le plus vite possible et, trop content de ne croiser personne, fuit le risque d'être houspillé par des gamins, parce qu'elle doit être connue la marquerelle.
Moi, je sais maintenant comment elle recrute ses putes.
Soyez la première personne à aimer.
Salope, tu te lessive bien le cul, un bon ramonage.Tu te plantes ton gros plug. tu enfile les bas, le string, la jupe. Un tee-shirt bien moulant. T'oublie pas le collier aux couilles, la laisse passée derrière la nuque. Rajoute une couche de fringues normaux pour arriver.
Je sonne. Il me fait entrer sans un mot. Dès la porte fermée :
- En tenue, les mains dans le dos !
...
Clac (les menottes)
- A genoux ! Tu veux ma bite ?
- Oui, s'il vous plait.
- Suce !
- Délicieux
- Chienne !
- Oui. Je suis une sale petite chienne avide de belles queues.
- Tu la voudrais bien dans l'cul, hein ?
- Trop bien !
- Plus tard. Là tu me fais jouir dans ta gorge de pute. J'y touche même pas. Défonce toi.
- Han ! Bien ! Encore ! Tu vas prendre ta dose.
...
- Avale bien tout, salope. Tu a aimé ?
- Génial.
- Tu mérites ta fessée. Appuie toi sur les cuisses et tend ton cul.
...
-Reste comme ça. Je vais m'enfiler une bière.
Un long temps d'attente, le cul toujours dressé vers la bite bien dure tant attendue, les yeux fermés à rêver.
...
- Bien ! Tu recommences à me donner la trique.
- Très honorée.
Il prend la laisse et tire un coup sec. Je gémis.
- Ça fait mal ?
- Non. Le plaisir de vous être agréable Maître.
Coups de martinet sur les fesses et les couilles.
- Tu jouis d'être en de bonnes mains ?
- Oui. Dressez votre petite chienne s'il vous plait Maître.
- Avance à genoux vers le canapé.
...
- Grimpe !
Il retire brutalement le plug.
- Bien dilatée ! Tu veux que je t'encule ?
- Oui, défoncez-moi par pitié.
- Déguste !
...
- Bonne pute. Nettoie ma queue !
Je lèche la bite encore dure, les poils. Y'a plus rien mais j'attends les ordres pour arrêter.
Coup de martinet.
- Bouge pas ! Je vais vider la capote dans ton écuelle.
...
Il revient poser l'écuelle au milieu de la pièce.
Va boire ! J'ai ajouté un doigt de vodka.
Je me traine jusqu'à l'écuelle et lappe.
- Ça t'intéresse une autre bite en plus, salope ?
- Bien sûr.
- J'appelle un copain.
...
- Regarde moi ce cul mon grand ! Testé, validé.
J'ai bientôt l'honneur de sucer l'invité pendant que le Maître me travaille le trou aux doigts et au gode.
- Elle est prête. Fais la bramer.
Ça tarde pas que je pousse des jappements.
- T'es bruyante ma petite chienne. Prends ton bâillon !
J'ai alors deux bites bien dures. Je branle de la gorge au rythme des coups dans le cul.
En expert, mon Maître se recule un peu quand je manque de m'étouffer.
Son copain est si endurant que j'ai ma giclée dans la gorge alors que mon cul jouit toujours. Je respire, avale un peu, respire,...
Quand enfin mon cavalier se retire, je m'effondre sur les cuisses, épuisée.
...
- Tu préfères lequel poupée ?
- C'est dur à dire. Si je choisis, je deplais à mon Maître,soit en vexant, soit en blessant son invité.
- Intelligent mais tu me déplais en ne répondant pas.
Le mec est assis sur un fauteuil droit. Les mains sont attachées aux accoudoirs. Il est tout habillé. Je retire mes chaussures, mes chaussettes, ma chemise. Je suis en bas noirs, jupe noire et débardeur noir. Sous la jupe, un string, et sous le string, une belle bite en silicone. Je me tourne devant lui prends des pauses soulève la jupe. Il commence à gémir, grogner, me traiter de salope, tout ce que j'aime. À genoux j'ouvre sa braguette et dégage sa bite et ses couilles du slip.
- Je te fais pas beaucoup bander on dirait.
- Suce-moi salope!
- Tu es bien pressé.
Je me relève. Tends mon cul vers lui. Je soulève la jupe, dégage un peu le string pour jouer avec ma bite en silicone sous ses yeux. - Tu vois ce que j'aime? Tu peux faire aussi bien ?
- Tu vas voir salope ce que je vais te mettre. Je me remets à genoux, lui prend la bite dans la main, dégage le gland et commence à léchouiller.
- Petite pute tu m'excites un max. J'ai trop envie de te la mettre.
- Il va falloir durcir un peu pour ça mon grand.
Je continue à lécher puis je gobe, je branle doucement. Tu peux gicler plusieurs fois? - Sans problème sale pute.
Alors je le pipe vraiment, le branle jusqu'à ce qu'il gicle dans ma gorge. Je le regarde dans les yeux en léchant mes lèvres avec son sperme. D'un seul coup, je lui roule un palot avec ma bouche pleine de son sperme. Il suffoque un peu et puis se prend au jeu. J'attrape sa bite dans ma main et la serre fort. Quand je me retire de sa bouche :
- Tu aimes ton sperme, dis pas le contraire.
- J'avais jamais goûté salope mais c'est pas mal. Détache moi, que je te prenne comme tu mérites sale pute.
- Attends encore.
Je recommence mon manège : petite danse avec mon cul sous ses yeux, va et vient de la bite en silicone. Puis, tout doucement, je renverse le fauteuil pour qu'il ait la tête sur le sol. Alors j'enlève le la bite en silicone et lui tend mon cul à lécher. Il va goulûment, jusqu'à me faire japper un peu. Je relève le fauteuil, le détache lui tend les liens et pose moi-même mes mains sur les accoudoirs. C'est son tour de m'attacher. Il tarde pas à m'enfiler.
2 personnes aiment ça.