
FsAlr66
c'est elle qui m'ouvre.
- bonjour, entre !
dès qu'elle a claqué la porte :
- à quatre pattes comme une bonne chienne !
elle prend la laisse et tire un coup sec sur mes couilles.
- avance devant le miroir et regarde toi, salope !
elle soulève ma jupe et me donne des coups de laisse sur le cul.
il arrive et se met à genoux, une belle bosse au niveau de mon visage.
- déballe mon homme et fais le jouir dans ta gueule de pute.
elle tire sur la laisse de temps à autre.
- suce, branle, excite ses couilles !
il gicle.
- avale et t'arrête pas. il va rebander. nettoie bien.
à peine il s'est retiré qu'elle me roule une pelle interminable. pendant ce temps, il me malaxe le cul, me claque, enlève mon plug et là elle s'arrête.
- encule moi cette chienne en chaleur chéri !
j'ai à peine râlé sous le coup de forçage qu'elle me plaque la bouche sur sa chatte béante.
- broute, salope !
j'étouffe un peu.
- elle molli la pute. claque là un peu !
- tire la langue à fond, traînée. t'aime pas ma chatte ?
pour que je réponde, elle me tire par le cheveux.
- si, c'est bon.
- tu me regarde dans les yeux et tu dis "votre chatte est délicieuse, madame."
je répète.
- et la queue de mon homme, elle est bonne ?
- la queue de votre homme me fait beaucoup jouir, madame.
- belle salope et déjà bien dressée. broute encore.
quand il s'est à nouveau vidé, elle me remet la queue dans la bouche.
- c'est moi qu'il va sauter maintenant. fais lui une trique de cheval.
quand il est prêt à nouveau, elle me fait mettre à genoux et m'attache les mains dans le dos et y fixe la laisse tirée au maximum pour que je m'arrache les couilles à chaque mouvement.
il la prend en levrette, puis l'encule. ils sont à moins d'un mètre de moi. je ne peux m'empêcher de faire les mêmes mouvements que lui où elle selon le moment.
quand ils s'arrêtent, elle me détache et me fait mettre debout.
- tu t'apuie sur la table et tu te regarde bien.
elle va dans un tiroir tirer un martinet et, méthodiquement, frappe sous différents angles. souvent, les lanières touchent les couilles.
- tend bien ton cul, salope. c'est moi qui décide quand m'arrêter.
...
- casse-toi !
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Marc Nancy
Beau récit. J aimerais beaucoup vivre ça
J'aime
02/07/25
Comme elle a dit : collier serré à la base des couilles, la laisse-chaîne passée par dessus la nuque. Rien d'autre qu'une djelaba , et des sandales. Le trou bien lessivé évidemment.
Je sonne.
Elle ouvre, glaciale bien sûr, se recule juste un peu pour que j'entre et claque la porte. Ça veut dire "À poils". Elle prend la laisse, enfile la dragonne à son poignet et tire juste un coup sec. Ça veut dire "Tu m'appartiens"... En me tirant les cheveux, me fait mettre en chienne et pointe le doigt sur le martinet qui m'attend, langoureusement étendu sur la table basse. Je vais le prendre dans ma geule, pour lui tendre, non sans prendre dans les couilles des nouvelles de qui-commande. La correction est sévère mais pas violente. Assez pour avoir envie que ça cesse. Pas trop au point de regretter d'être venu. Ensuite, mains liées dans le dos au chevilles, bâillon et plug bien enfoncé. Elle allume l'écran et défilent les scènes, filmées dans cette même pièce, de mecs dans le même costume que moi,avec une bite dans chaque bouche. Là, il y a le son. Les queutards dont on voit pas les visages font assauts de commentaires, d'insultes et rigolent bien chaque fois que du sperme déborde. Elle, on l'a voit qui passe dans le champ, joue du martinet entre deux pilonnages, toujours muette et fermée. Moi j'ai les couilles, la bite et le cul en feu. Je lèche à fond la boule du bâillon comme un gros gland, fais mon possible pour faire bouger le gode à force de contraction. Puis, d'un seul coup, de quelques gestes rapides, elle me libère de tout, mains, chevilles, bouche, couilles et cul, m'attrape par les cheveux et me jette à poil sur son palier, fait tomber mes fringues à mes pieds et claque la porte. Je me couvre le plus vite possible et, trop content de ne croiser personne, fuit le risque d'être houspillé par des gamins, parce qu'elle doit être connue la marquerelle.
Moi, je sais maintenant comment elle recrute ses putes.
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Comme elle a dit : collier serré à la base des couilles, la laisse-chaîne passée par dessus la nuque. Rien d'autre qu'une djelaba , et des sandales. Le trou bien lessivé évidemment.
Je sonne.
Elle ouvre, glaciale bien sûr, se recule juste un peu pour que j'entre et claque la porte. Ça veut dire "À poils". Elle prend la laisse, enfile la dragonne à son poignet et tire juste un coup sec. Ça veut dire "Tu m'appartiens"... En me tirant les cheveux, me fait mettre en chienne et pointe le doigt sur le martinet qui m'attend, langoureusement étendu sur la table basse. Je vais le prendre dans ma geule, pour lui tendre, non sans prendre dans les couilles des nouvelles de qui-commande. La correction est sévère mais pas violente. Assez pour avoir envie que ça cesse. Pas trop au point de regretter d'être venu. Ensuite, mains liées dans le dos au chevilles, bâillon et plug bien enfoncé. Elle allume l'écran et défilent les scènes, filmées dans cette même pièce, de mecs dans le même costume que moi,avec une bite dans chaque bouche. Là, il y a le son. Les queutards dont on voit pas les visages font assauts de commentaires, d'insultes et rigolent bien chaque fois que du sperme déborde. Elle, on l'a voit qui passe dans le champ, joue du martinet entre deux pilonnages, toujours muette et fermée. Moi j'ai les couilles, la bite et le cul en feu. Je lèche à fond la boule du bâillon comme un gros gland, fais mon possible pour faire bouger le gode à force de contraction. Puis, d'un seul coup, de quelques gestes rapides, elle me libère de tout, mains, chevilles, bouche, couilles et cul, m'attrape par les cheveux et me jette à poil sur son palier, fait tomber mes fringues à mes pieds et claque la porte. Je me couvre le plus vite possible et, trop content de ne croiser personne, fuit le risque d'être houspillé par des gamins, parce qu'elle doit être connue la marquerelle.
Moi, je sais maintenant comment elle recrute ses putes.
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Comme elle a dit : collier serré à la base des couilles, la laisse-chaîne passée par dessus la nuque. Rien d'autre qu'une djelaba , et des sandales. Le trou bien lessivé évidemment.
Je sonne.
Elle ouvre, glaciale bien sûr, se recule juste un peu pour que j'entre et claque la porte. Ça veut dire "À poils". Elle prend la laisse, enfile la dragonne à son poignet et tire juste un coup sec. Ça veut dire "Tu m'appartiens"... En me tirant les cheveux, me fait mettre en chienne et pointe le doigt sur le martinet qui m'attend, langoureusement étendu sur la table basse. Je vais le prendre dans ma geule, pour lui tendre, non sans prendre dans les couilles des nouvelles de qui-commande. La correction est sévère mais pas violente. Assez pour avoir envie que ça cesse. Pas trop au point de regretter d'être venu. Ensuite, mains liées dans le dos au chevilles, bâillon et plug bien enfoncé. Elle allume l'écran et défilent les scènes, filmées dans cette même pièce, de mecs dans le même costume que moi,avec une bite dans chaque bouche. Là, il y a le son. Les queutards dont on voit pas les visages font assauts de commentaires, d'insultes et rigolent bien chaque fois que du sperme déborde. Elle, on l'a voit qui passe dans le champ, joue du martinet entre deux pilonnages, toujours muette et fermée. Moi j'ai les couilles, la bite et le cul en feu. Je lèche à fond la boule du bâillon comme un gros gland, fais mon possible pour faire bouger le gode à force de contraction. Puis, d'un seul coup, de quelques gestes rapides, elle me libère de tout, mains, chevilles, bouche, couilles et cul, m'attrape par les cheveux et me jette à poil sur son palier, fait tomber mes fringues à mes pieds et claque la porte. Je me couvre le plus vite possible et, trop content de ne croiser personne, fuit le risque d'être houspillé par des gamins, parce qu'elle doit être connue la marquerelle.
Moi, je sais maintenant comment elle recrute ses putes.
Soyez la première personne à aimer.
Salope, tu te lessive bien le cul, un bon ramonage.Tu te plantes ton gros plug. tu enfile les bas, le string, la jupe. Un tee-shirt bien moulant. T'oublie pas le collier aux couilles, la laisse passée derrière la nuque. Rajoute une couche de fringues normaux pour arriver.
Je sonne. Il me fait entrer sans un mot. Dès la porte fermée :
- En tenue, les mains dans le dos !
...
Clac (les menottes)
- A genoux ! Tu veux ma bite ?
- Oui, s'il vous plait.
- Suce !
- Délicieux
- Chienne !
- Oui. Je suis une sale petite chienne avide de belles queues.
- Tu la voudrais bien dans l'cul, hein ?
- Trop bien !
- Plus tard. Là tu me fais jouir dans ta gorge de pute. J'y touche même pas. Défonce toi.
- Han ! Bien ! Encore ! Tu vas prendre ta dose.
...
- Avale bien tout, salope. Tu a aimé ?
- Génial.
- Tu mérites ta fessée. Appuie toi sur les cuisses et tend ton cul.
...
-Reste comme ça. Je vais m'enfiler une bière.
Un long temps d'attente, le cul toujours dressé vers la bite bien dure tant attendue, les yeux fermés à rêver.
...
- Bien ! Tu recommences à me donner la trique.
- Très honorée.
Il prend la laisse et tire un coup sec. Je gémis.
- Ça fait mal ?
- Non. Le plaisir de vous être agréable Maître.
Coups de martinet sur les fesses et les couilles.
- Tu jouis d'être en de bonnes mains ?
- Oui. Dressez votre petite chienne s'il vous plait Maître.
- Avance à genoux vers le canapé.
...
- Grimpe !
Il retire brutalement le plug.
- Bien dilatée ! Tu veux que je t'encule ?
- Oui, défoncez-moi par pitié.
- Déguste !
...
- Bonne pute. Nettoie ma queue !
Je lèche la bite encore dure, les poils. Y'a plus rien mais j'attends les ordres pour arrêter.
Coup de martinet.
- Bouge pas ! Je vais vider la capote dans ton écuelle.
...
Il revient poser l'écuelle au milieu de la pièce.
Va boire ! J'ai ajouté un doigt de vodka.
Je me traine jusqu'à l'écuelle et lappe.
- Ça t'intéresse une autre bite en plus, salope ?
- Bien sûr.
- J'appelle un copain.
...
- Regarde moi ce cul mon grand ! Testé, validé.
J'ai bientôt l'honneur de sucer l'invité pendant que le Maître me travaille le trou aux doigts et au gode.
- Elle est prête. Fais la bramer.
Ça tarde pas que je pousse des jappements.
- T'es bruyante ma petite chienne. Prends ton bâillon !
J'ai alors deux bites bien dures. Je branle de la gorge au rythme des coups dans le cul.
En expert, mon Maître se recule un peu quand je manque de m'étouffer.
Son copain est si endurant que j'ai ma giclée dans la gorge alors que mon cul jouit toujours. Je respire, avale un peu, respire,...
Quand enfin mon cavalier se retire, je m'effondre sur les cuisses, épuisée.
...
- Tu préfères lequel poupée ?
- C'est dur à dire. Si je choisis, je deplais à mon Maître,soit en vexant, soit en blessant son invité.
- Intelligent mais tu me déplais en ne répondant pas.
Le mec est assis sur un fauteuil droit. Les mains sont attachées aux accoudoirs. Il est tout habillé. Je retire mes chaussures, mes chaussettes, ma chemise. Je suis en bas noirs, jupe noire et débardeur noir. Sous la jupe, un string, et sous le string, une belle bite en silicone. Je me tourne devant lui prends des pauses soulève la jupe. Il commence à gémir, grogner, me traiter de salope, tout ce que j'aime. À genoux j'ouvre sa braguette et dégage sa bite et ses couilles du slip.
- Je te fais pas beaucoup bander on dirait.
- Suce-moi salope!
- Tu es bien pressé.
Je me relève. Tends mon cul vers lui. Je soulève la jupe, dégage un peu le string pour jouer avec ma bite en silicone sous ses yeux. - Tu vois ce que j'aime? Tu peux faire aussi bien ?
- Tu vas voir salope ce que je vais te mettre. Je me remets à genoux, lui prend la bite dans la main, dégage le gland et commence à léchouiller.
- Petite pute tu m'excites un max. J'ai trop envie de te la mettre.
- Il va falloir durcir un peu pour ça mon grand.
Je continue à lécher puis je gobe, je branle doucement. Tu peux gicler plusieurs fois? - Sans problème sale pute.
Alors je le pipe vraiment, le branle jusqu'à ce qu'il gicle dans ma gorge. Je le regarde dans les yeux en léchant mes lèvres avec son sperme. D'un seul coup, je lui roule un palot avec ma bouche pleine de son sperme. Il suffoque un peu et puis se prend au jeu. J'attrape sa bite dans ma main et la serre fort. Quand je me retire de sa bouche :
- Tu aimes ton sperme, dis pas le contraire.
- J'avais jamais goûté salope mais c'est pas mal. Détache moi, que je te prenne comme tu mérites sale pute.
- Attends encore.
Je recommence mon manège : petite danse avec mon cul sous ses yeux, va et vient de la bite en silicone. Puis, tout doucement, je renverse le fauteuil pour qu'il ait la tête sur le sol. Alors j'enlève le la bite en silicone et lui tend mon cul à lécher. Il va goulûment, jusqu'à me faire japper un peu. Je relève le fauteuil, le détache lui tend les liens et pose moi-même mes mains sur les accoudoirs. C'est son tour de m'attacher. Il tarde pas à m'enfiler.
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Elle est black. C'est ma pute. Je l'ai acheté avec des compliments, lié avec mes mots. Elle a dit oui... Elle se retrouve nue devant moi et se demande ce qu'elle fait là, devenue esclave d'un négrier debout devant elle qui exhibe sa supériorité en demeurant vêtu et en déshabillant plus encore la nudité de cette chose qu'il inspecte de haut en bas. Elle avait dit oui pour un rencontre qu'elle croirait sensuelle, pour les trois ou quatre positions du kamasutra, les plus romantiques, qu'elle s'etait inventées, qu'elle avait prévisualisées durant ces deux derniers jours. Elle avait aimé mon élégance, ma déférence. Elle était rassurée par l'amitié que je lui offrais et par le désintérêt affiché pour sa couleur et ses formes... on a beau aimé ce qui fait notre singularité on est mal à l'aise avec le regard des autres, qu'il soit flatteur à l'excès ou condescendant. Elle est sublime et se croit laide ou croit encore celui ou ceux qui le lui ont fait croire. Elle est là devant moi nue et revis son humiliation ancestrale... de nouveau elle ne s'appartient plus, de nouveau elle baisse les yeux, de nouveau elle n'a pas assez de mains pour cacher ses intimités, son sexe, ses seins, ses larmes.... Elle se réfugie dans ses luttes, dans ces rares instants où elle s'est sentie forte... quand elle a enfin pu fuir, quand elle aide et soigne d'autres blessés... blessés dans leur corps car elle ne pourrait secourir sans s'effondrer ceux qui le sont dans leur coeur. Elle aurait du suivre cette petite teigne délicieuse, rieuse, cette che guevara3 qu'elle avait repéré et à travers qui elle se reconnaissez un même courage, un même combat... sans jamais monter au front tant elle était fatiguée, résignée. "Que disait elle déjà ?", "ha oui ! Racisme, c'est du racisme" et ça l'est, l'humain est ainsi, rabaisser pour se sentir plus fort, moins faible... répertorier classifier pour se sentir appartenant, pour se sentir moins seul... s'approprier pour avoir ou être, pour se sentir moins pauvre, moins con. ....................................................... ............... Je suis là avec ma perversion, mon empathie et mon envie de concilier, de transcender les siennes, les miennes... toutes nos contradictions. Je l'oblige à se regarder avec mes yeux impassibles qui l'inspectent, qui l'introspectent. Je la submerge de ressenties contradictoires, de rages mêlées, de capitulations latentes... Je me soigne de mon humanité qui m'invite insidieusement à vouloir posséder, taxinomer, souiller la nature. Mon regard n'est pas bienveillant... ni malveillant, j'écarte ses mains pour qu'elle ne se cache plus derrière sa pudeur, derrière sa résignation. Je la couvre d'un drap, me déshabille lentement, couvre mon sexe de mes deux mains et lui offre le même pouvoir de me voir.
Soyez la première personne à aimer.
essée par la mère d'une copine
j'avais 20 ans, je sortais avec une fille, et j'allais souvent chez elle, on jouait ensemble.... sa mère était veuve et très autoritaire, elle me faisait un peu peur et elle menaçait souvent ses filles, devant moi, de leur donner la fessée... alors j'ai demandé à ma copine si c'était vrai que leur mère les fessait sa soeur et elle. Elle me répondit que oui, et qu'en général les fessées étaient données lorsqu'il y avait du monde à a maison afin que ce soit plus humiliant. Elle s'y était faite et supportait sans trop rien dire...je n'en revenais pas, mais elle me disait qu'elle n'avait pas le choix.
Un jour, en fin d'après midi, je ne sais plus pourquoi, on était dans le garage et j'ai soulevé sa jupe et lui ai donné deux claques sur sa culotte... En fait je devais être venu la chercher pour sortir, c'était l'été, et on devait aller faire un match de tennis tous les deux.. Elle était en famille, sa mère, sa grand mère, une de ses tantes et ses enfants (un garçon et une fille, des jumeaux)...
Nous n'avions pas vu que sa mère était aussi au fond du garage occupée à chercher du vin... Mais elle m'a vu soulever la jupe est claquer les fesses de sa fille..... Elle nous a demandé de la suivre au salon. Il ya avait toute la famille.... et la mère a annoncé à tout le monde ce que j'avais fait... j'ai compris tout de suite que ça allait barder pour moi. Mais c'est d'abord vers ma copine qu'elle est allée. Elle l'a saisi et courbé sous son bras gauche, a relevé sa jupe et lui a administré une cuisante fessée d'une trentaine de claques sans s'arrêter, remontant sa culotte entre ses fesses pour bien les dégager.... Françoise s'est laissé faire alors que ses cousins et cousines se moquaient d'elle "la grande fifille qui reçoit la fessée " etc etc... La mère de Françoise a cessé la fessée, a coincé la jupe de ma copine dans l'élastique de sa culotte pour bien montrer les fesses rougies et l'a mise au coin. Puis elle s'est retournée vers moi.... je n'en mener pas large, et j'ai tout se suite compris quand elle a pris une chaise pour s'y asseoir en m'indiquant de venir la rejoindre. j'ai dit non, j'ai protesté... Elle s'est levée, m'a flanqué une claque sur la joue et m'a agrippé le bras me le tordant pour me faire allonger en travers de ses genoux.
et elle a commencé à me fesser sur le short, et sur les cuisses, je ne supportais pas ... ni cette fessée devant tout le monde ni même l'idée de me faire fesser à on âge.
et elle a continué malgré mes protestations et mes grossièretés envers elle. Puis elle a pris le haut de mon short et a entrepris de me le baisser, ce qu'elle parvint à faire malgré mes tentatives pour l'en empêcher. J'étais là, en slip blanc, devant toute la famille de ma copine, en train de montrer ma culotte et de recevoir la fessée, !!!! elle a tout de suite pris l'élastique de mon slip et avant que je comprenne elle m'a déculotté devant tout le monde.... comme n gamin ! et la fessée a repris de plus belle... j'ai vu que ma copine ds'était retourné et profitait elle aussi du spectacle.... quand elle eut fini de me fesser la mère m'a relevé, je tenais à peine debout, je me suis reculotté en hate et elle nous a dit à Françoise et à moi qu'on pouvait maintenant partir jouer au tennis !
avant de monter dans la voiture, ma copine me dit alors "on voit sur tes cuisses malgré ton short que tu as pris la fessée il y a les marques des doigts de ma mère !"... j'ai été pris d'un frisson et j'ai pleuré.... on a quand même été faire notre partie de tennis et je me disais que les gens devaient deviner ce qui m'étais arrivé, c'était troublant....
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Un weekend end à Saumur
Sur un site web consacré à la fessée, j'ai rencontré un couple dont le mari 70 ans et la femme 62 m'ont proposé après bien des échanges de messages de venir passer un weekend chez eux. Ce n'est pas trop loin de chez moi alors j'ai accepté. Je savais en gros ce qui m'attendait. Je devrais servir tout le weekend à table eux deux et leurs invités... et subir chaque fois que nécessaire, une fessée déculottée. Rien que cela déjà me plaisait beaucoup....
Lorsque je suis arrivé, j'ai découvert une ferme, assez peu rénovée et fort vétuste. Le couple en question était bien conforme à ce que j'imaginais avec les photos échangées. Lui gros en partie chauve, une casquette vissée sur la tête, elle, les cheveux gris blanc, pas mal foutue sous une robe au genoux. très sèche, elle dégageait un certain charme d'autrefois. Elle me dit qu'elle avait enseigné toute sa carrière dans une école privée. Lui avait été agriculteur, en retraite. On est entré. J'avais emmené un petit bagage léger, ne voulant pas m'imposer.
Le Monsieur, Monsieur Paul, m'a tout de suite mis à l'aise. :" ici ce sera des vraies fessées, pas des fessées d'amateurs comme tu as du en recevoir" Il m'a demandé si j'acceptais, bien sur j'ai dit oui !!! quelle question !!!
il m'a servi un verre pendant que sa femme Madame Louisette est sortie de la grande salle. Elle est revenue alors que je finissais mon verre de vin blanc, avec toute une série d'objets dans les mains : martinet, paddle en bois, paddle en cuir, canne anglaise, badine, etc... je n'en croyais pas mes yeux ! et au milieu de tout ça j'ai vu des godes... elle a suivi mon regard et m'a dit "Paul ne peut plus alors on fait avec". J'étais sidéré par tant de liberté de langage et de pratique.... alors que j'avais été servi d'un deuxième verre de vin blanc, je fus conduit à ma chambre du weekend. Un lit en fer, une place, une armoire et c'est tout.
Comme je demandais où se trouvaient les toilettes, je les vis sourire et ils ne me répondirent pas. Revenus à table, et ayant bu mon troisième verre de vin blanc, Madame Louisette me dit qu'elle était très contente de ma tenue vestimentaire, très scolaire : culotte courte en velours très courte à raz les fesses, tenue avec des bretelles, longues chaussettes grises, et soulier noir. Elle me dit alors qu'il faudrait bientôt vérifier si dessous c'était aussi bien... je rougis et ne dis rien. Puis, j'ai eu envie de faire pipi... je demandais à nouveau les toilettes et Madame Louisette m'a répondu que non, je n'irai pas aux toilettes, je n'avais qu'à me retenir encore. J'ai insisté, et là, j'ai pris une claque sur la joue. je me suis levé d'un bond, et là, une claque sur les cuisses. je me suis rassis et nous avons parlé de mes expériences de fessées, de qui m'en avait donné, de comment, etc etc...je me tortillais sur ma chaise, serrant ma main droite sur mon sexe au travers de la culotte courte... je voyais bien leurs échanges de sourire je savais comment ça allait finir et c'est arrivé. N'en pouvant plus j'ai senti que je faisais pipi à la culotte... bien sur, ça a coulé, inondant ma culotte courte et ruisselant le long de ma chaise. Monsieur Paul s'est levé, m'a pris le bras droit, et m'a courbé sur la longue table en bois. calmement, avec des gestes très maîtrisés, il a saisi le paddle en bis et a commencé à l'appliquer au travers de la culotte courte en velours trempée. Puis au bout d'une vingtaine de coups, il a dégrafé mes bretelles, a fait tomber sur mes chevilles la culotte courte mouillée et a dévoilé ma culotte blanche en coton. il m'a alors couché sur ses genoux et m'a appliqué sur la culotte une magistrale fessée à la main. Ces mains étaient de vrais battoirs, tellement elles étaient rêches et caleuses. Enfin, il m'a baissé la culotte et Madame Louisette a dit que la couleur de mes fesses lui plaisait bien. Elle a dit à son mari de stopper la fessée car sinon "il ne tiendra pas le weekend le pauvre garçon". J'ai été mis au coin et mains sur la tête.
Au bout d'un quart d'heure, Madame Louisette m'a dit que je pouvais me reculotter j'ai demandé à me changer elle a refusé d'un sourire cruel. Je l'ai ensuite aidé à préparer le repas du soir. Et quand j'ai mis la table, j'y ai mis pour 8 personnes. J'étais transi, j'allais servir 8 personnes et prendre des fessées devant eux tous ? moi qui ai toujours aimé recevoir des fessées déculottées en public, j'allais être servi !!!!
les invités sont arrivés, tous de leurs âges sauf... deux d'entre eux. Une jeune femme de 25 ans environ et un jeune homme de 30 ans environs. Là, j'étais soudain moins fiérot... Ils ont tous les deux regardé avec attention ma tenue, et se sont adressé des regards et des sourires complices.... L'une des invités leur a dit que ce soir ils risquaient bien de voir ce qui arrivait au vilain garçon quand il n'était pas sage....j'ai rougi et les deux jeunes aussi... Ils avaient été amenés ici chacun par un des invités du couple. j'ai servi l'apéritif et l'un des invité a dit que ça sentait le pipi... Monsieur Paul a dit tout simplement "ben oui le Julien a pissé dans ses culottes". Gros éclats de rire chez ces habitués visiblement des soirées du couple... Quand je me penchais sur la table basse pour prendre le plateau et servir les gâteaux apéritifs, je savais que l'on voyait la naissance de mes fesses, faut dire que Madame Louisette avait remonté mes bretelles autant que possible pour bien dégager mes cuisses... une femme a même dit qu'on voyait un bout de ma culotte et que c'était charmant....
Au moment de passer à table j'ai desservi et ouf pas d'accident, je n'ai rien renversé. Puis j'ai servi à table. Quand je servais les assiettes à chacun, j'ai senti des mains qui me palpait les cuisses, les fesses, une main s'est même glissée sous ma culotte courte pour toucher ma culotte, ça m'excitait vraiment. Pis, une des invités a dit que son assiette était froide. Là, ce fut un grand silence. Monsieur Pal m'a demandé d'aller près de la dame en question, une grosse femme vulgaire, trop maquillée et parlant fort. Elle a reculé sa chaise, m'a couché sur ses genoux et m'a administré une fessée à la main au début doucement puis très très fort... Un homme a dit qu'une fessée ça se donnait cul u alors elle m'a relevé, a enlevé mes bretelles a baissé ma culotte courte et tout de suite m'a déculotté. j'étais là, le zizi à l'air, pendant, et les fesses offertes. Elle m'a recouché sur ses genoux et a repris la fessée à la main. Quand elle cessa, j'avais les fesses en feu. Me relevant j'ai croisé le regard de la jeune femme, elle baissa la tête mais n'avait rien perdu du spectacle. Le jeune homme lui, avait sa main droite sous la table je devinais ce qu'il faisait ! Au fromage, là encore nouvelle bêtise de ma part. Le Monsieur qui releva ma faute ne pris pas la peine de demander quoi que ce soit, il se leva d'un bond, me courba sur la table, me baissa la culotte courte et remonta ma culotte en coton entre ems fesses. Il avait bien entendu comme tout le monde vi les accessoires que Madame Louisette avait laissé à la vue de tous, il alla s'emparer du paddle en cuir et me cingla les fesses avec une rare violence, j'ai gémit, je me suis mis à pleurer contre ma volonté, ça sortait tout seul... il m'a laissé pantelant, je n'arrivais pas à me relever après sa fessée et les commentaires ont fusé "celui ci il résiste bien, on va voir bientôt jusqu'où"... Un autre homme s'est levé et a pris sa ceinture, il vint à moi, me déculotté sèchement et me donna de la ceinture une bonne vingtaine de coups. j'étais effondré, je ne sentais plus mes fesses, elles n'étaient plus qu'un amas rouge et violet. comme je me relevais enfin et voulu me reculotter, ce me fut interdit par Madame Louisette qui me dit que je finirai de servir le repas comme ça, culotte aux chevilles. Marcher n'était pas facile et pas question de faire tomber quoi que ce soit. Lorsque j'ai servi le dessert et me suis approché de la jeune femme, j'ai vu qu'elle regardait mon zizi tout petit ... elle rougit... quant au jeune homme lui, toujours une main sous la table ! et il fut vu ... par une dame aussi sèche que grande... Alors Monsieur Pail s'est levé, est allé direct dur le gars, et a bien vu en le levant de force la bosse qui déformait son pantalon. Il bandait et se caressait, jouissant de mes fessées reçues. Monsieur Paul, aidé par un autre homme l'on prestement mis en caleçon, puis cul nu, il a été courbé sur la table, juste à côté de la jeune femme et il a reçu la canne anglaise directe... il a crié, il a pleuré beaucoup, il a supplié. Une des dames lui a dit alors "je t'avais prévenu, ici ça ne rigole pas et je t'avais dit que les vilains garçons on les punissaient comme ça, tant pis pour toi"... j'ai assisté à sa fessée sans broncher, puis j'ai continué à servir le dessert. Le garçon fut autorisé à s'asseoir mais pas à se reculotter. Je ne savais pas quoi penser... pourquoi elle et lui étaient là en fait ? pour me regarder prendre des fessées? pour en subir aussi ? Après le repas, les deux jeunes et moi avons été faire la vaisselle. Nous nous sommes reculottés, sans rien demander. La jeune femme nous observait et me demanda "alors ça fait quoi ? tu aimes ? je lui ai dit la vérité. Oui, j'ai été marqué très tôt par la fessée, que j'en avais en fait toujours reçu, même à mon âge et qu'il m'en fallait régulièrement. La fille a rougi et a voulu voir l'état de mes fesses... je me suis déculotté et lui ai montré. Elle poussa un Ohh en voyant mes fesses marquées et rouge vif. Et elle se mit à pleurer. je ne comprenais pas pourquoi alors je l'ai prise dans mes bras et les réconforté lui disant que ça ne risquait pas de lui arriver à elle.. Elle me répondit que si, car elle avait fait une faute grave et si elle était là c'était aussi pour être puni. Je n'en revenais pas...
Nous fûmes appelé au salon, et Madame Louisette s'est levé. Elle a expliqué à tout le monde que j'étais en fait un sale morveux qui à mon âge faisait encore pipi à la culotte et que j'aimais recevoir des fessées cul nu devant tout le monde, et que ce weekend j'allais en recevoir tellement que ça allait me passer. Ensuite elle regarda le jeune homme et dit 'lui, si il est là c'est parce qu'il a volé dans le magasin de Madame Michelle, il a été pris sur le fait et il a eu le choix : la gendarmerie ou la fessée"... puis se tournant vers la jeune femme, elle dit "si Nadège est là ce soir, et demain, c'est qu'elle aussi a commis un délit. Cette jeune institutrice s'est permise de donner la fessée déculottée à la petite fille de Madame Simone. Elle est là pour voir ce que cela fait que de se faire déculotter et fesser, ainsi elle ne recommencera plus je pense".
Nadège puisqu'enfin je connaissais son prénom, se mis à pleurer et à demander pardon. En vain. Madame Louisette se leva doucement, puis vint se placer face à Nadège. Elle lui dit "ici, nous sommes un groupe de personnes qui avons toujours connu 'autorité et la juste punition Moi même lorsqu'enseignante j'ai donné des fessées cela a toujours été pour des bonnes raisons, pas pour un rien comme tu l'a fait. Alors maintenant tu vas te laisser faire et tu tires bien car sinon, une plainte et ta carrière est foutue.Et ton directeur d'école, ici présent est de mon avis, ainsi que tes collègues. Nadège allait donc se faire fesser devant son directeur et peut être des collègues ! incroyable mais tellement jouissif !!! C'tait tellement fort que j'en ai fait un petit pipi dans ma culotte...
Alors Nadège en pleurs, fut installée sur les genoux de Madame Louisette qui remonta lentement sa jupe, pour dévoiler à tout le monde moi y compris, une magnifique grande culotte blanche à petites fleurs en coton.... une vraie culotte de gamine.... Madame Louisette commença la fessée directement à grandes claques rapides et fortes... je voyais bouger les fesses de Nadège, je la voyais pleurer je l'entendais crier... puis au bout d'une trentaine peut être plus, de claques, la fessée prit fin... Madame Louisette attrapa l'élastique de la jolie culotte et commença à la baisser. Nadège mit sa main pour empêcher la déculottée mais la déculottée vint et Nadège pleura encore plus, elle était visiblement effondrée, de douleur et d'humiliation. La fessée repris pour un bonne vingtaine de claques et Madame Louisette la releva lui demandant de se pencher sur la table du salon jambes écartées. Là, on pouvait voir les lèvres de son sexe, c'était féérique... Puis Madame Louisette a pris le martinet et a cinglé les cuisses et les fesses de Nadège, qui avait cessé de pleurer, elle gémissait comme absente. Lorsque la fessée fut finie, Madame Louisette lui dt que la prochaine si il y avait prochaine fois, ce serait pire, ce serait comme ce que j'avais reçu.
Puis le jeune homme vit arriver son tour, le vrai... Un gros homme le pris en main, le déculotta aussi vite qu'il s'était levé et le courba lui aussi sur la table du salon. Il pris le paddle en bis et le frappa jusqu'à ce que les cris du gars soient trop fort... ses fesses passaient du rouge au violet et je voyais qu'il allait finir par avoir les fesses en sang. Ce qui arriva. Il fut mis au coin.
Puis, il fut décidé que tout le monde allait se coucher. Et rendez vous demain matin. N'ayant pas été aux toilettes de la journée, je demandais à nouveau les toilettes et je pris une baffe. Madame Louisette et une autre femme me conduisirent à ma chambre, me déshabillèrent entièrement et je fs allongé sur lit. je vis la dame prendre dans l'armoire une couche culotte et elle me l'a mise. Je fus couché, sans un "nonne nuit" en couche culotte. Je n'ai pas insisté, j'avais bien top mal aux fesses pour s=risquer d'en prendre une autre. Il y eut des bruits, des cris, des pleurs, j'entendais de loin.. pis 'endormi.
Le dimanche matin je fus surpris de voir Nadège venir me réveiller et ouvrir les volets. Elle me dit qu'elle avait dormi ici et qu'on lui avait demandé d'aller me réveiller. Je me suis levé, oubliant que je portais une couche culotte... Nadège la regarda, me regarda et me dit "elle est pleine et ça pue"... dans la nuit j'avais fais pipi et caca dans ma couche culotte.... Elle me sourit et me dit qu'elle aussi en portait une. Je lui demandais de me la montrer elle me dit que de toute façon j'avais tout vu de son intimité la veille alors oui, elle leva sa jupe et mon montra sa couche qui elle aussi semblait pleine de pipi.... Je lui demandais si on lui avait proposé de la changer, elle me dit que non et n'avait pas osé l'enlever de peur de la fessée.. On est descendu dans la cuisine, Madame Louisette y était. Elle nous regarda et dit : "ça ne sent pas la rose ici"... elle vint vers moi, me baissa le short que j'avais mis par dessus la couche et me l'enleva. Puis elle enleva la jupe de Nadège on s'est retrouvé tousles deux en couche pleine dans la cuisine sans rien d'autre... On a eu droit à un bol de café et Madame Louisette nous a dit d'aller aider Monsieur Paul dehors. On a bien été obligé de sortir comme ça... ça faisait un drôle d'effet de marcher en canard avec la couche pleine, ce n'était pas désagréable du tout. et je trouvais Nadège sexy en couche culotte. Et là, en arrivant près de Monsieur Paul je vois que celui ci avait un appareil photo et nous prenait en photo. Je cru défaillir car la fessée oui j'aime ça, les couches culottes pourquoi pas mais les photos c'était pas prévu ça... je le lui ai dit et là, il nous apprends que la veille toutes nos fessées ont été filmés et prises en photos. Véridique...
Douche froide, la vraie. Comment un weekend de plaisir à recevoir des fessées et à regarder une nana se prendre des fessées tourne en une seconde en désastre...
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hier, je suis allé sur Périgueux,à la rencontre d'un fesseur connu sur site internet. il s'est défini comme ancien instituteur et m'a précisé vivre en couple avec un jeune soumis qui serait présent lors de ma venue... j'ai dit chouette, je vais être fessé devant quelqu'un et assister aussi à une fessée !!! j'ai pris la route, habillé comme demandé, c'est à dire mon petit short noir très court à ras les fesses, une culotte blanche coton bien enveloppante, chaussettes blanches et tennis aux pieds.
Arrivé à l'adresse donnée je constate qu'i s'agit d'un immeuble das une cité... j'appelle donc le monsieur et lui demande où je dois aller pour me rendre chez lui. Il m'a dit "bouge pas de l'entrée, ne parle à personne, je descends"... il y avait des allers venues dans le hall de l'immeuble, des gens qui sortaient, d'autres qui rentraient et moi, avec mon petit short, les cuisses bien visibles de tous... une grosse dame est passée avec son cabas sous le bras et a dit en me voyant "eh ben, cui la il a pas peur !"... alors je lui ai demandé pourquoi j'aurais à avoir peur, elle m'a répondu qu'avec les jeunes qui trainaient par là et leur mentalité, je risquais d'en prendre plein !... plein de quoi je ne savais pas car elle est partie faire ses courses... me laissant dans l'appréhension... j'ai entendu des pas dans les escaliers de l'immeuble et trois jeunes sont arrivés m'ont regardé, ont rigolé, m'ont traité de ... et m'ont demandé qui je venais voir. A ce moment, un homme costaud, la soixantaine bien tassée est arrivé, les jeunes se sont écartés... il m'a dit "je t'avais dit de parler à personne" ! et il me pris par le bras, e courba et me flanqua une fessée retentissante sur les cuisses et les fesses... ça résonnait dans le hall on aurait cru qu'il y avait des micros tant ça faisait caisse de résonance ... je commençais déjà à crier sous la fessée quand il a commencé à me descendre le short. Là les jeunes se sont esclaffés et ont commencé à me traiter de tous les noms d'oiseaux, et à se foutre de moi... l'un d'eux a commencé à se caresser à travers son pantalon de jogging... je le voyais bien, en face de moi... les autres se sont placés derrière moi pour profiter du spectacle. Le bruit a attiré des habitants de l'immeuble, je ne savais plus où cacher ma honte... une femme a ouvert sa porte et a regardé, a dit "ben celui la il fera plus de connerie", une autre est venue voir de près et à éclater de rire en me voyant, puis est repartie, et au moment où le fesseur me baissait la culotte, la grosse femme est repassée,le cabas plein de ses courses et m'a lancé un "je t'avais dit que tu allais en prendre plein" !!! elle m'a vu le sexe nu, les fesses déjà rouges et les yeux pleins de larmes...et elle a monté les escaliers... La fessée a repris, et le jeune qui se caressait a sorti son sexe et vint me le mettre devant ma bouche, il m'attrapa par les cheveux et m'obligea à ouvrir la bouche, son sexe sentait le pipi, il était long et fin, j'ai été obligé de le sucer alors que je pleurais sous la fessée autant de douleur que d'humiliation. Quand la fessée s'est finie, les trois jeunes racailles et le fesseur m'ont éjecté dehors, et sur les marches, alors que je tentais de me reculottas, ils ont pissé sur moi tous les quatre.
je suis parti en courant, et me suis réfugié dans ma voiture, puis je suis parti sans rien demander d'autre ... quelle humiliation, une des pires que j'ai connu en tant que fessé.
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La fessée du 14 juillet.
C’était cet été, il faisait chaud, très chaud, et je dialoguais sur un site web avec un monsieur qui me disait aimer donner des fessées aux garçons indisciplinés quel que soit leur âge. Lui en avait 73. Il aurait largement pu être mon père. Et puis au fil de la conversation, c'est devenu plus chaud, plus intense et j'avais envie de le taquiner, alors je lui disait des "pas cap', des même pas peur, ..;" alors il s'est fâché bien sur, et il est monté en pression, me donnant l'ordre de venir chez lui pour recevoir la fessée largement méritée. Je n'avais rien à faire ce jour là et j'ai décidé de lui dire oui. Il m'a bien prévenu que une fois arrivé, je n'aurais rien à dire, rien à demander, rien faire sinon me soumettre à lui et à ses fessées, où que ce soit. J'ai dit banco et j'ai pris ma voiture. Des fesseurs j'en ai connu beaucoup, vraiment beaucoup, et en fait bien peu ont été à la hauteur de mes attentes, de mes espérances, alors je me suis dit, on verra bien. Je suis arrivé après environ une petite heure de route dans un petit village en fête, il y avait des gens sur la place, des gamins qui jouaient et crier dans les rues, un 14 juillet quoi ! A peine arrivé, je descends de voiture, vêtu d'un petit short très court façon culotte courte, en velours, et dessous une culotte blanche en coton comme exigé, le reste, tee shirt et chaussettes de tennis. Je me dirige vers sa maison et là j'entends des gamins dirent "tiens il va chez le père fouettard" ... j'en suis resté un peu surpris quand même. au petit portillon, je sonne et je vois arriver un fort gaillard d'1m90 au moins, et bien ses 100 Kg. Il est habillé en bleu de travail. il ouvre et me fait entrer sous le regard amusé des gamins. S'en apercevant le monsieur leur dit d'aller voir ailleurs sinon gare à eux. Ils déguerpissent aussitôt. A peine entré dans sa cuisine, je reçois une énorme claque sur les fesses qui me fige direct ! il me prend par le bras, me pousse vers la table de cuisine, me penche dessus et sans dire un mot commence à me flanquer une énorme fessée sur les cuisses nues et les fesses protégées par le short en velours. Une vingtaine de claque après, il s'arrête, il va se chercher une bière, s'assoie, et commence à boire directement à la canette. je ne sais pas quoi faire alors je ne bouge pas. J'attends. Il se relève enfin, viens vers moi, et d'un geste brusque me descend le short et la culotte à moitié. il regarde mes cuisses, mes fesses, puis il prend enfin la parole et me dit que ce n'est que le début, que je ne suis pas venu pour rien et que, comme je l'ai bien énervé sur le "Chat", je vais déguster grave ! Il prend une chaise, et s'assoie dessus puis e dit de venir vers lui, j'avance à petit pas, entravé par mon short sur mes chevilles, il me couche sur ses genoux et là, je prends une de ces fessée mon Dieu comme rarement j'en ai prise. Les claques n'arrêtent pas de plus en plus en plus fort. Il s'arrête enfin, je suis toujours en culotte blanche, effondré sur ses genoux, il me relève et se lève aussi, il a chaud, il ouvre grand la porte et les deux fenêtres de la cuisine, celles qui donnent sur la rue. Il revient il me courbe sur la chaise, et me fait écarter les jambes un maximum...pas facile avec le short sur les chevilles... je le vois enlever sa ceinture, je sais que c'est pour mes fesses,je tremble de peur car il 'a déjà fait très mal, mais j'ai promis de ne rien dire de ne rien faire et de me laisser faire alors je me laisse faire. j'entends des gloussements derrière moi, sans doute des gamins devant les fenêtres ouvertes ! et le premier coup tombe, sur mes cuisses, ça fait mal, ça gifle ça cingle, je cris, je gémis, je sens des larmes monter dans mes yeux. Il continue, et alors que je ne m'y attends pas, il me baisse la culotte d'un coup sec, et la fessée reprend de plus belle, les coups de ceinture me vrillent les fesses, j'entends des rires, des gens qui parlent, qui se moquent, mais je ne vois rien. Je suis là, déculotté devant des fenêtres ouvertes, recevant la fessée et je ne réagi pas. Je subis. La fessée s'arrête. je respire un grand coup et sèche ms larmes qui coulent à flots tant j'ai mal... il quitte la pièce, mais revient vite avec des baguettes de noisetier dans la main... Il me dit que je vais goûter ça et que je vais apprécier leur souplesse !!! tu parles, ça fait encore plus mal que je ne pensais... je sens comme des griffures à chaque coup reçu, je me remets à pleurer à chaudes larmes, rien ne les arrêtent et j'entends toujours des rires derrière moi...Le spectacle de mes fesses écarlates et fouettées par les verges doit être magnifique tant j'entends des "ohhh" des "ahhh".... Puis ça s'arrête. La fessée est finie, il me le dit. Il me prend par le bras et m'entraîne vers sa salle de bains, et me plante devant un grand miroir et me dit "regarde tes fesses'. Je tourne la tête et découvre le spectacle de mes fesses rouges, mais rouges !!! et mes cuisses !!! les marques de la ceinture, les marques des verges de noisetier y sont incrustées limite ça saigne tant j'en ai pris... je suis effaré de l'état de mes fesses... Il m'ordonne de me reculotter, ce que je fais non sans douleur car le coton de ma culotte me brûle, me fait mal... et le short remonté je m'aperçois avec horreur et honte qu'il ne cache pas les marques et rougeurs de mes cuisses... comment vais je partir avec tous ces gens dans les rues, ces gamins qui ont sans doute tout vu ??? J'ai honte, terriblement honte d'avoir demandé et mérité cette fessée. Les fesses me cuisent, les cuisses chauffent... Et là, le monsieur me passe la main dans les cheveux et me dit 'viens, on va aller boire un coup". Il m'entraîne avec lui, on sort de la maison, on va sur la place, là où une buvette est installée pour la journée, là où des gens boivent rient et dansent... je me sens comme un petit garçon qui vient d'être puni et que tout le monde va voir les cuisses rouges ne laissant aucun doute sur ce que le "père fouettard ' m'a fait. dans la rue, les gamins nous suivent et se moquent, je ne dois rien dire, je me tais. Arrivés à la buvette il nous commande deux bières, On est là, debout face à la buvette, on boit ensemble, la fraîcheur de la bière me fait du bien, mais des gens arrivent bientôt derrière nous, j'entends des murmures, des chuchotements, et des rires d'adultes. Un gars dit au monsieur, "eh bien celui là tu l'as pas raté ! il a du t'énerver beaucoup !" et le monsieur répond "oh mais c'est pas fini, je fais une pause mais après il y aura encore droit !". là je dis stop. et je me retourne comme pour cacher mes cuisses zébrées à la vue des gens. je vois alors des hommes, des femmes, de tous âges, et une femme me dit "vous savez, c'est pas pour rien qu'on l'appelle le père fouettard, beaucoup ici y sont passés" !!! je ne sais plus où me mettre et ça rit autours de moi, et ça se rappelle des souvenirs du père fouettard !!! Une femme, jeune, qui vouvoie le père fouettard lui demande si les fesses sont aussi rouges que les cuisses... j'y crois pas, elle veut voir !!! et tous veulent voir. Pour sur comme dit un gars, il est pas d'ici çui là !!! alors le père fouettard me tire par le bras, et dit aux adultes présents, vous voulez voir, ben venez ! ... il 'entraîne derrière la buvette, près de l'église, et là, s'étant assuré qu'il n'y avait pas d'enfants, il me baisse le short et me déculotte complètement pour exposer mes fesses. j'entends des ohhhh de surprise et une femme dit "le pauvre il a du souffrir"... je me retourne, je suis en larmes, je me sens tellement humilié par ce vieil homme, par ces gens qui me regardent.... et là le vieux me flanque deux claques sur les fesses et il me reculotte lui même; me disant que e pouvais partir. J'ai traversé le village en larmes les fesses et les cuisses brûlantes sous les quolibets des gamins "il a pris la fessée euh il a pris la fessée euh ..."
Je monte dans ma voiture, je rentre chez moi...là il me faut me garer, et revenir à pied jusqu'à l'appartement... je croise un jeune couple et j'entends des rires derrière moi.... je monte l'escalier, et je croise la dame du deuxième étage, elle se retourne, et me lance un " e bien on eu droit à sa fessée aujourd'hui ? c'est pas trop tôt, avec le bruit que vous faites et votre impolitesse il y a longtemps que je rêvais de voir ça"... je suis rentré chez moi, n'osant plus sortir !
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Une collègue de travail
L'une de mes anciennes collègues de travail m'a surpris un lundi, alors que j'étais au bureau à faire mon reporting de la semaine, à répondre à un mail explicite, puis que le titre du mail était " alors ta fessée !!!" et que des photos accompagnaient le texte... Elle a lu par dessus mon épaule sans que j'y fasse gaffe puis m'a dit "toi ? tu prends des fessées ? tu aimes ça ? j'aurais jamais cru ça de toi !!!" Je suis devenu rouge de honte d'avoir été ainsi découvert. Elle n'a rien dit d'autre, mais vers le milieu de la semaine elle m'a invité à venir dîner chez elle le vendredi soir... j'étais surpris car on n'était pas très proches, juste des collègues qui se faisaient la course aux résultats... j'ai accepté quand même me disant que ça me ferait une soirée à ne pas être sel et que ça changerait mes habitudes.
le vendredi soir, je rentrais de ma tournée chez les clients et ne pris pas le temps de passer chez moi. j'achetais un bouteille de vin de Bordeaux, du Grave,et me rendis à l'adresse qu'elle m'avait donné. Annabelle m'accueillit avec le sourire et me fit entrer, et me présenta un couple de ses amis présent pour la soirée. Je n'étais pas au courant que ce couple serait là et ça ne me gênait pas... Autant découvrir de nouvelles personnes, ça peut être intéressant. l'apéritif se passa sans histoire,on a bu, bien bu même et on est passé à table... En plein repas, Annabelle a lancé à ses amis " alors il vous plait Julien ? vous avez des points communs avec lui, en fait on a tous un au moins un"... Comme tout le monde levait le nez de son assiette, elle dit tout de go " ben oui, je l'ai surpris en train d'écrire un mail parlant de la fessée qu'il avait reçu le weekend dernier, et j'ai vu les phots !!!".. je suis devenu rouge comme une pivoine, je sentais venir le traquenard... Luc, le mari du couple, me demanda si c'était vrai et sa femme me dit alors "raconte"... Je ne pouvais rien dire, je ne voulais rien dire, j'étais tétanisé par ce que venait de dire ma collègue de travail... "Allez fais pas ton timide" me dit elle "j'ai tout vu et tout lu"... j'ai répondu que ma vie privée était privée et que je n'en parlerai pas devant des inconnus.
Alors Annabelle a repris la parole et m'a gentiment expliqué que ce couple charmant en face de moi, était un couple de fesseur, qu'elle connaissait leurs goûts, mais n'avait quant à elle pas cette attirance mais que elle avait déjà assisté à des fessées qu'ils avaient données...le piège venait je le savais , de se refermer sur moi... Solange, la copine de ma collègue me dit alors, "bon, si tu veux avoir une chance d'y échapper, c'est maintenant, raconte nous tes aventures de fessées"... je voyais une issue possible à ce piège alors je racontais tout... mes envies de me faire corriger comme un gamin, mes expériences dont celles avec Irène, et avec d'autres fesseurs, ils étaient captivés par ce que le leur disait et je sentais en moi monter une envie, un début de complicité... alors quand j'ai vu Luc se lever et s'approcher de moi je n'ai rien fait pour m'enfuir. je lui ai laissé me prendre par l'oreille et me faire me lever. il 'a conduit à sa chaise, qu'il a éloigné de la table il s'y est assit et a déboutonné mon jeans, en prenant soin d'enlever la ceinture. Mon jeans est tombé sur mes chevilles, je suis apparu à eux en culotte blanche à petite fleurs, un modèle féminin que j'aime bien, et ils ont pouffé de rire... il m'a allongé sur ses genoux, et a commencé à m'appliquer une fessée allant crescendo en puissance, jusqu'à me faire venir des "aïe" de douleur... Annabelle n'en perdait pas une miette disant à ses amis " lui qui si autoritaire dans le travail , si sur de lui, ça fait drôle de le voir comme ça mais ça me fait plaisir de le voir se faire humilier par un homme devant moi"... je devins tout rouge autant que mes fesses j'en suis sûr... Luc e fit relever et mettre mes mains sur la tête, pendant qu'il me baissait lentement la culotte, dévoilant mon zizi tout épilé..Solange dit "Oh, une quéquette de petit garçon !!!" elle m'ordonna alors de m'approcher d'elle, et recula sa chaise pour m'étendre sur ses cuisses, les fesses face à Anabelle. Elle reprit ma fessée là où son mari l'avait arrêtée, et me cingla les fesses et les cuisses d'une main puissante, puis, elle prit une cuillère en bis qui était sur la table et continua à me fesser avec jusqu'à ce que mes cris la fassent stopper la fessée... elle me releva, remonta ma culotte et de sa main replaça bien mon sexe dans la culotte et m'ordonna d'aller m'asseoir. nous avons continué le repas comme ça, comme si rien ne s'était passé. A la fin du repas, Annabelle proposa qu'on aille tous en boite échangiste et on y a été dans une seule voiture...Arrivé dans cette boite que je ne connaissais pas, je découvris un espace "bdsm" avec chevalet, table médicale avec trépied, croix de saint André, et des instruments comme des martinets en cuir, ds fouets, des godes, des pinces etc... je dis de suite "non pas de ça, et pas ici"... Solange m'a répondu "t'inquiète pas on est des sadiques"... mais je fus tout de même prestement déculotté et fessé cul nu devant une dizaine de couples, et plusieurs fois cette nuit là... j'ai eu droit au martinet, au paddle en cuir et à la canne anglaise... le lundi quand je suis revenu au bureau j'avais des marques aux fesses que Annabelle a voulu voir et qu'il a bien fallu que je lui montre, et j'avais du mal à poser mes fesses dans mon siège...
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Ma passion est la domination, je cultive lArt du SM avec un soumis sachant se livrer dans la complicité et le respect, honoré de passer entre mes mains pour être supplicié et bafoué au gré de mes pulsions, avec raffinement et discrétion .:.
L'assistante d'espagnol :
j'étais dans un lycée réputé, une "boite à Bac" comme on disait. La discipline y était de rigueur et les heures de colle nombreuses... mais personne ne parlait de châtiment corporel, bien que des rumeurs disaient que madame le Censeur aurait donné des fessées dans son bureau à des élèves récalcitrants. Mais personne n'en pouvait témoigner. Bien sût on avait tous vu des élèves, filles ou garçons sortir de ce bureau tant craint, les larmes aux yeux, mais rien d'autre. Nous étions dans les années 1978 - 1980 dans une ville de province, dans le centre de la France. Mes copains et mi avions l'habitude de chahuter les filles, nous étions une petite bande de garnements, peu enclins au travail... Ce jour là, dans l'escalier qui menait aux étages et aux classes, devant moi je vois une fille en jupe plissée... je ne sais pas ce qui m'a pris mais je lui ai soulevé la jupe et on a tous vu sa culotte rose... une grande culotte toute rose en coton. Elle s'est retournée, et m'a décroché une gifle phénoménale avant que j'ai eu le temps de l'éviter. Pour ne pas rester comme un idiot devant mes copains, j'ai attendu qu'elle continue à monter l'escalier et je lui ai à nouveau soulevé la jupe, dévoilant à nouveau, à tous ceux et celles qui étaient dans cet escalier sa jolie culotte rose.... puis suis parti en courant et suis arrivé dans ma classe où le cours allait commencer. A la fin du cours, nous ne changions pas de classe mais les profs venaient et se succédaient. Et là, notre professeur d'espagnol est arrivé accompagné de celle qui devait être notre assistante, une jeune espagnole. Stupeur quand je l'ai reconnu.... C'était la fille à qui j'avais soulevé la jupe. Elle se tenait à côté de mon professeur d'espagnol, l'air pincé et strict et s'est penché pour parler à l'oreille du prof. Elle est partie de suite après et un quart d'heure après, elle est revenue en classe accompagnée de Madame le Censeur. Là, j'ai su que ça allait barder. Madame le Censeur nous a fait un sermon dans lequel elle nous rappelait la nécessaire discipline, le respect et tout et tout... Puis, elle m'a appelé et m'a demandé de la suivre. Nous sommes allé dans son bureau et elle m'a demandé de m'expliquer sur ce qu'il s'était passé dans les escaliers. Confus, la tête basse je lui ai dit que c'était un jeu et que les garçons jouaient à soulever la jupe des filles pour voir la culotte...Madame le Censeur s'est vraiment fâché, a menacé d'appeler et de faire venir mes parents, je l'ai supplié de n'en rien faire et elle m'a alors proposé de me punir "à sa manière". J'ai répondu tout mais pas mes parents. Elle a semblé satisfaite de ma réponse et m'a demandé d'attendre. Elle a ouvert la porte de son secrétariat et a demandé à ce que sa secrétaire aille chercher l'assistante d'espagnol. Un bon moment après, celle ci est arrivée dans le bureau de Madame le Censeur, qui lui a expliqué que j'avais reconnu ma faute et accepté de recevoir la punition méritée. L'assistante a demandé ce qu'était cette punition, Madame le Censeur a répondu tout naturellement "une fessée déculottée bien sûr" ! j'étais debout, mains dans le dos, je n'en croyais pas mes oreilles, j'avais les jambes qui tremblaient et sans doute une expression de peur sur le visage car la Censeur m'a dit alors qu'il fallait y réfléchir avant, que j'avais gravement nui à la pudeur de l'assistante et que puisque que j'avais montré sa culotte à tout le monde, il était normal que je lui montre la mienne. Bref, en un mot comme en mille, j'allais recevoir la fessée. je vis l'assistante d'espagnol s'asseoir sur une chaise pendant que Madame le Censeur prenait place face à elle dans une autre chaise. Elle m'a demandé de venir près d'elle. Je n'avais plus reçu de fessée depuis le collège et j'avais à la fois peur et à la fois l'envie de crier et de partir en courant, mais mes jambes et ma bouche étaient agitées de tremblements tellement j'avais honte de ce qui allait m' arriver. la Censeur me pris par le bras me mena jusqu'à elle et défit ma ceinture puis me baissa le jeans. J'étais là, en slip devant la Censeur et l'assistante. Elle me plia sur ses genoux, j'avais les mains au sol, les fesses bien tendues. Madame le Censeur commença alors à me claquer les fesses, l'une après l'autre, à une cadence régulière mais crescendo, de plus en plus vite, de plus en plus fort, à ce point que je n'ai pas pu me retenir de gémir. Je voyais l'assistante qui souriait sur sa chaise, visiblement contente de ce qui m'arrivait. Puis la fessée s'est arrêtée et je me suis dit ouf, ce n'était pas si terrible que ça finalement. Mais mon espoir fut vite déçu quand j'ai senti des doigts saisir l'élastique de mon slip, puis un air frais sur mes fesses et enfin je me retrouvais les fesses à l'air, déculotté. A ce moment, la secrétaire de la Censeur est entrée dans le bureau demandant si Madame le Censeur voulait bien prendre un appel téléphonique. Celle ci me releva prestement, et je me suis retrouvé les fesses et le sexe visibles de ces trois femmes. je peux dire que j'avais aucune érection, rien, mais là je me suis senti humilié comme jamais. J'ai voulu cacher mon sexe avec mes mains mais Madame le Censeur m'a ordonné de mettre les mains sur la tête ce que j'ai fait et je suis resté comme ça sus le regard de la secrétaire et de l'assistante pendant que Madame le Censeur prenait la communication. Puis à peine raccroché, elle revint vers moi, repris sa place et recommença à me fesser sévèrement. je n'en ^pouvais plus, de douleur, de honte, et je me suis mis à pleurer comme un gamin. Au bout d'un bon quart d'heure la fessée cessa. je fus relevé et mis au coin fesses nues mains sur la tête. Madame le Censeur demanda à l'assistante d'espagnol si elle trouvait que k'avais été assez puni et celle ci répondu froidement que chez elle j'aurais eu droit à la lanière, ou la ceinture et que la fessée aurait été donné devant toute la classe. A ce moment, j'ai compris que cette petite et jeune espagnole était tout sauf gentille ! elle s'est approchée de moi, toujours au coin et m'a donné six ou sept violentes claques sur les fesses et a dit "bah ça ira pour aujourd'hui". J'ai pu me rhabiller et revenir en classe. en chemin j'ai croisé d'autres élèves qui m'ont à leur tour vu sortir du bureau en larmes.... Mes copains et copines m'ont demandé ce qui s'était passé, je n'ai rien dit, mais au cours d'espagnol suivant, l'assistante n'a pas pu s'empêcher en faisant l'appel de me demander tout fort "alors, tes fesses sont toujours aussi rouges ?" je ne vous dit pas la honte quand tout le monde a compris ce qui m'avait été infligé ni les questions et les réflexions après le cours !!!
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j'ai été convoqué par mon fesseur habituel, ce lundi. Cela fait maintenant plusieurs mois que ce monsieur, ancien professeur dans une école catholique me donne des fessées. Chaque fois il me convoque, c'est à dire trois à quatre fois par mois et je dois me rendre chez lui vêtu d'un petit short, d'une culotte coton, d'un polo blanc, de longues chaussettes blanches et de tennis aux pieds. Il me demande chaque fois de lire le mail que je suis tenu de lui envoyer chaque semaine, avec mes bêtises ou manquements de la semaine. Je dois lire la liste à haute voix. Après, bien entendu, selon la gravité de mes fautes, la fessée est plus ou moins sévère.
Lundi, j'ai reçu de lui un mail me convoquant. J'avais oublié de lui envoyer ma liste de fautes hebdomadaires. Je savais que ce serait sévère, mais je m'y suis rendu, la peur au ventre, les larmes au bord des yeux.
A peine arrivé et entré dans son bureau, je constate qu'il n'est pas seul. Sa femme est là, et un de leurs amis aussi. C'est rare qu'il me reçoit en présence d'autres personnes. Come j'hésite à pénétrer plus dans son bureau, il me tire par l'oreille et m'amène devant son bureau. Il s'assoit derrière et commence à me reprocher bien sûr d'avoir oublié d'envoyer ma liste. Il me dit que je l'ai fait exprès. J'ai juste oublié, mais il ne veut pas me croire. Alors, sur le paper booard de son bureau je dois écrire la liste de mes fautes de la semaine, et il commente au fur et à mesure, prenant à témoin sa femme et son ami.
Quand j'ai eu fini, il me demande de lire à haute voix, ce que je m'empresse de faire. Il demande alors à sa femme ce qu'elle en pense et ce qque ça mérite. Sans hésitation, elle répond que ça mérite, les fautes et l'oubli, que je n'ai pas marqué sur le paper booard, une série de quatre fessées de plus en plus intenses. Son ami donne également son avis et il demande à ce que le martinet, la ceinture et le paddle me soit infligé aussi.
Je e rends compte alors que ça va vraiment chauffer pour moi. Je me sens pris d'une peur terrible, d'une appréhension. Pleurer sous la fessée quand il n'y a que mon fesseur et moi, ça passe, mais devant sa femme et son ami c'est autre chose. J'ai l'impression que ma tête tourne, que j'ai des vertiges, je n'entends qu'à travers un brouillard la discussion autour de moi jusqu'à ce qu'une gifle me ramène à la réalité. La réalité elle n'est pas belle, je viens de faire pipi à la culotte. A mes pieds une flaque, mon petit short en jeans est orné d'une large auréole. J'ai honte.
Sans attendre, le fesseur me ^rend le bras, me dirige vers le bureau, et me courbe dessus. Une pluie de claques s'abat sur mes cuisses et mes fesses. A travers le short je la ressens bien cette fessée mais ce n'est rien par rapport à ce qui m'attend. Il dégrafe mon short, qui tombe à mes pieds. Me voici en culotte blanche et rose, devant lui sa femme et son ami. Sa femme dit alors "mais c'est une culotte de fille" ! oui, je porte une culotte de fille, une grande culotte blanche et rose. Sauf que là, elle est trempée, pleine de pipi. Le fesseur me déculotte d'un coup sec, m'enlève entièrement la culotte et me la met dans la bouche. ça sent le pipi. je sais que j'ai dans la bouche mon propre pipi... j'ai honte, très honte, ce n'était pas prévu.
Le fesseur prend alors son temps, il me caresse un peu les fesses puis commence une magistrale fessée à la main. j'ai mal, je commence à gémir, à gigoter, mais il me tient fermement. Il arrête. Je l'entends dans mon dos, il se déplace, il revient, et un coup violent me frappe les fesses, il a pris une ceinture !
j'ai de plus en plus mal, les larmes perlent sur le bord de mes yeux, je crie, je supplie qu'il arrête, il me répond que je suis là pour expier mes fautes et qu'il est là pour me les faire expier. Alors il continue, il a troqué la ceinture pour un martinet, il me flagelle autant les fesses que les cuisses, je pense illico que je vais avoir des marques sur les cuisses, que ça va se voir, je le supplie d'arrêter. Peine perdue, il continue. Puis, il s'arrête et me conduit par l'oreille au coin.
je reste au coin mains sur la tête pendant un bon quart d'heure. Pendant ce temps je les entends commenter cette fessée. L'ami du fesseur lui dit "tu avais raison, c'est un sacré garnement, il en mérite des fessées et des cuisantes". Sa femme dit, "je vais lui faire essuyer le pipi par terre, et elle s'en va chercher une serpillère. Elle revient, viens me chercher par la main, et m'ordonne d'essuyer. Je le fais volontiers, je ne veux pas en rajouter, confus d'avoir fait pipi à la culotte sans m'en rendre compte.
Après, elle me relève et me conduit à la cuisine pour que je lave la serpillère. Elle me tient toujours par la main, je me sens redevenu un petit garçon.
Revenus dans le bureau, je découvre posés deux paddles, un en cuir, l'autre en bois. Je suffoque, je sais que mes fesses ne vont pas en supporter davantage, alors je supplie, je me mets à genoux, mais rien n'y fait. Je suis relevé, et à nous veau courbé sur le bureau. Mais cette fois, la femme du fesseur et son ami ont fait le tour du bureau et me tiennent chacun un bras, solidement. Il me fait écarter les jambes. Les coups commencent à pleuvoir, je pleure comme un gamin, je n'en peux plus, je crie, je pleure, mon nez coule, je ne peux pas me moucher, heureusement je n'ai plus la culotte dans la bouche je me serais étouffé.
Enfin la fessée s'arrête. S'ils me lâchent, je vais m'effondrer, mes jambes ne me portent plus.
le fesseur me prend alors par le bras, me relève et me ramène au coin, cette fois agenouillé. Les commentaires vont bon train, et ils regardent les photos qu'ils ont prises pendant mes fessées. Ils commentent, ils rient bien fort comme si je n'étais pas là. Ils prennent un thé, et moi je suis toujours au coin. Enfin ordre m'est donné de me relever et de venir devant le fesseur. Il me remet ma culotte trempée de pipi, et mon petit short, il me dit de m'asseoir, et sa femme me fait une leçon de morale, pendant que leur ami me caresse les cuisses, passant sa main sous le short et la culotte.
Enfin, le fesseur me ramène à la porte de chez lui. En passant devant le miroir de l'entrée, je constate que les zébrures du martinet sont bien visibles sous le short et je vais devoir revenir à ma voiture à pieds, faire les 800 mètres qui me séparent du parking. J'ai honte, à nouveau je me mets à pleurer. Il e met dehors, qu'importe mes larmes ! je marche sur le trottoir, je croise des gens, j'entends des rires derrière moi...
Je sais que je n'aurais pas du oublier d'envoyer la liste de mes fautes, je sais que ces fessées je les ai méritées car la liste des fautes hebdomadaires était longue... Oui, il fallait que je sois à nouveau corrigé, je l'ai été, je ne peux m'en prendre qu'à moi.
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J'aime celles dont les pensées sont des plongées suicidaires, en apnée, au plus profond d'elles mêmes, sans penser au chemin du retour, pour aller plus profondément encore. Celles qui se détruisent pour être vraies.
J'aime celles qui s'interrogent sans cesse, sans complaisance, sans, se mentir, celles qui veulent avouer, s'avouer leur monstruosité, détruire leur masque de figure gagnante, défigurer leur image satisfaisante. J'aime celles qui arrêtent de croire qu'elles sont cette belle personne, aimable, charmante, coquine subtile. J'aime celles qui se sont émancipé de leurs créateurs, de ces autres, qui l'ont sculpté à grands coups de regards et de mots.
J'aime celles pour qui, se trouver belle ne suffit plus, pour qui être belle ne suffit plus, pour qui la tendresse, la douceur, la volupté ne suffisent plus, celles qui perçoivent enfin qu'elles sont incomplètes de ce côté là du paradis.
J'aime celles qui sont allé goûter aux morsures de l'enfer, aux griffes de leurs propres démons, celles qui ont osé rêver atteindre l'extase dans la fange, dans la douleur, dans la peur, dans l'horreur.
J'aime ces pensées honnêtes qu'on ne trouve qu'au plus profond des ténèbres.
J'aime celles qui enfin, voient, pleurent leurs laideurs et qui veulent les crier pour les rendre belles, plus belles que la beauté. Celles qui veulent qu'on les aimes pour elles.
Suis je switch, moi qui vous désire sans bander pour vos mots qui me disent que vous vous pensez comme j'aime... sans ménagement.
Suis je dom, moi qui vous désire toutes, pour peu que vos pensées soient abyssales.
Suis je soum, moi qui ne me soucis pas de votre con, de votre cul, moi qui vous aime sans m'imaginer avoir une liaison charnelle. Moi qui suis à chaque fois pris au dépourvu dès que nos échanges suggèrent la rencontre, et que je dois vous enlaidir de vos charmes pour ne plus vous aimer et enfin vous désirer.
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Elle pourrait être ma fille, ma mère, ma copine d'enfance, je me sens bien avec elle... Elle est comme une absence rassurante qui me remplit de chaleur. Je l'ai vu rire et depuis j'ai du mal à la voir autrement. Elle pleure parfois, souvent, seule, et quelquefois, pensant pouvoir cacher ses tristesses, elle toque à ma porte pour échanger des sourires... J'aime, je veux trouver toujours les mots qu'il faut, pour la border, la voir debout... sans la soutenir. Trouver les mots qui ne disent pas, mais qui lui font dire. Je veux remplir ses espaces sombres de mots étoiles, des mots lumières, des mots énergies qu'elle pourrait piocher pour se construire ses propres remèdes... J'aime la penser rire, pleurer, me remplir d'elle... c'est ainsi qu'elle me borde.
Je nous revois faisant l'amour, j'en avais presque oublié mon âge, quand, sortant de sa toison, je levais les yeux vers son juvénile minois qui se régalait de me voir faire... je me sentais la vigueur d'un jeune coq et la perversité d'un vieux bouc, sans me sentir coupable de me trouver cougar et incestueux. Peut-être en est il de même pour elle, peut-être se voyait elle gérontophile ou oedipienne, et y trouvait une raison insolite de s'en réjouir.
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Où suis-je ?... tout est noir... suis-je aveugle ? je ne vois rien... pourquoi je ne peux pas bouger ? Non, je ne suis pas en train de rêver, je sais quand je rêve, dans mes rêves j'ai toujours des super pouvoirs bizarres ou alors je bande... dans mes rèves tout n'a ni queue ni sens ou tout n'est que queues et seins... Où suis-je ?... je suis debout et je ne vois rien, je ne peux bouger, ni un doigt, ni un cil... je sens avoir un corps mais ne peux rien en faire... je pense avoir un corps... comment pourrait-il en être autrement ? j'ai mal au bas ventre et ma poitrine est anormalement lourde. Mes pensées se bousculent et mon coeur s'emballe... je commence à paniquer, je sollicite tous mes muscles pour voir s'il y en a un qui répond... rien... je ne suis pas attaché pourtant, je sentirais des cordes ou des pressions sur mes peaux.
j'en étais à désespérer quand, à deux mêtres, une porte baignée de lumière apparaît... le bout du tunnel ?... Je sens mon pied se lever tout seul... puis l'autre, tout mon corps se met en mouvement avant que je le désire. Je me dirige vers la lumière... suis-je mort ? c'est donc ça la mort ? un esprit qui croit encore avoir un corps ? Je m'approche inexorablement de la lumière d'où une silhouette semble venir me chercher et s'approche au rythme de mes pas...
Marie ??? qu'est ce que tu fais là ? dans ma mort ? tu t'arrêtes au pas de la porte, en même temps que mon corps de l'autre côté du chambranle. Vas tu me tendre la main pour m'emmener vers (demain), vers où ? je suis là comme un con, submergé de questions et de terreur et je pense à l'autre con de Duteil. C'est l'enfer !
Tu me regardes droit dans les yeux et je vois les tiens qui froncent et se rapprochent pour voir plus profond mon âme... mon regard semble être troublé, géné et malgré ma pudeur se baisse et s'attarde sur ton décolleté, sur la naissance monstrueusement généreuse de tes boobs.... MERCI mon dieu, merci mes yeux qui ne m'obéissent pas et me donnent à voir tes lolos... merci et pardon... je jouis de ce spectacle et je me morfond de honte en imaginant ton visage que je ne peux plus voir et qui doit se déformer en désapprobation. Simultanément aux tiennes, mes mains se posent sur mes hanches, sous ton air forcément furibond ( merci Adamo de me faire oublier Duteil). Je les sens suivre langoureusement mes flancs de concert avec les tiennes jusqu'à se caler et soulever mes pecto.... c'est quoi ce bordel ??? j'ai des seins... au moins aussi lourd que les tiens... c'est quoi ce binz ??? bordel de merde, tu souspèse les tiens en même temps que moi... merde je suis toi... ou moi dans toi... je m'entends penser et me lamenter... si seulement cette dernière phrase pouvait être moins métaphorique...
J'y suis... suis pas mouru (ta gueule Srek), suis ton reflet. Je n'avais pas remarqué cette petite trace de calcaire non loin de ta clavicule et c'est ensemble que nos doigts cherchent à l'effacer et se touchent... le contact est froid comme du verre... je suis de l'autre côté de la vitre... du miroir ??? Des fils invisibles ramènent cette main à sa place, à côté de l'autre et toutes deux se régalent à faire ballotter tes gros nichons jusqu'à ce qu'un de tes tétons ne s'échappe de ton corsage. Whaouuuu !!! c'est le paradis !!! Merci de ne pas le remettre à sa place... au contraire tu secoues plus vigoureusement encore tes nibards sans réussir à faire sortir le deuxième... nenculé je bande... du moins je crois que je bande mais je ne sens aucune durceur... j'ai juste mon entre jambe qui se contracte... se relâche et se contracte... merde je fuis... une goutte me mouille l'intérieur d'une cuisse... j'ai chaud ici bas, une petite fièvre humide concentrée dans cette petite zone... une fièvre qui gagne du terrain vers le nord et rentre dans les terres... mes aines et mon pubis frissonnent sous cette chaleur moite, je me cambre et me crispe pour acceuillir ce cadeau. Je me sens concave, ma queue devient calice et je veux mettre le couvercle, je veux recouvrir ton con de ma paume... je vois ta main qui répond à mes désirs... sont-ce les miens ??? Je vois tes doigts qui glissent sous ton slip petit bateau à petites fleurs et je suis comme pétrifié d'attente, suspendu à ta langueur... Mes doigts anticipent, je sens déjà mon humidité, mes lèvres qui s'écartent comme la mer rouge de Moïse afin de créer un couloir. Je sens mon bouton qui veut bander, je sens ton gouffre qui veut m'avaler. Je sens ma paume qui veut te contenir encore un peu, comme un bouchon de champagne qui ne veut pas que toutes les bulles se gâchent... Mes reins frissonnent de froid sec, ma tête, ma nuque, derrière mes oreilles... idem. Je tremble et je mouille, j'ai froid, j'ai chaud, j'entretiens le chaud pour avoir froid.... Continues Marie, ne t'arrêtes pas... frottes moi ton con... pinces toi mon téton... Tu ne fais rien de ce que j'espère et je vais de surprises en surprises, tu connais mieux que moi ce que ton corps veut. Tu t'éloignes de moi et du miroir, c'est entière que je te vois enfin. Tu me fixes puis regardes ta main, tes seins et je te vois te désirer. Tu mordilles tes lèvres et je sens tes dents sur ma bouche... plus fort !!! ho oui !!! soulages mes lèvres en y frayant ta langue.
Mais que fais tu ? pourquoi t'arrêtes ? Tu te regardes des pieds à la tête et je rougis intérieurement. Tu enlève ton haut et je peux enfin voir tes seins obus, tes seins tendus au dessus de ton bidon mignon... bordel que t'es belle, bordel profites Claudio de ce spectacle sans pareil, de ce strip-tease innocent qu'elle ne croit que pour elle... Ne t'arrêtes pas, montres moi tout... Tu essuis la moiteur sous tes seins et baisse ta jupe et ton slip tout en dévisageant ma chatte. C'est à mon tour de me sentir épier... Mais ! mais que fais tu encore ? d'où sort ce string en dentelle blanches ? Non ! ne te r'habilles pas... pas déjà... Hummmmm ! trop tard, je sens dejà la cordelette qui s'insere entre mes fesses que je devine serrées et copieuses... pénêtres moi de tes doigts au moins... Je suis prête... Non ne continues pas à te vêtir... Hummmm que ce chemisier te va bien, comme il voile et dévoile l'objet de toutes les convoitises... MERDE, j'ai compris... t'as rendez vous... avec un autre... tu t'étais juste mise en appétit... je vais rester sur ma faim... je suis le bourrin souffleur qui prépare le terrain à l'étalon qui va te saillir... Non ne me quittes pas... ne m'enfermes pas dans ce placard noir où mon esprit restera captif dans un corps qui ne m'appartient pas. Regardes toi encore Marie, regardes moi...... j'espère qu'il y aura un grand miroir dans cette chambre d'hôtel...
je ne veux désormais n'être plus que ton reflet... Je prierais égoïstement pour être dans tous tes miroirs.
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Je marche seul. Il fait nuit noir dans cette rue près du marché saint Bruno, les facades, comme des remparts de citadelles sont à peine moins sombres renforçant et contrastant avec cette impression entretenue de liberté dans laquelle me plongent mes solitudes.
Des pensées vagabondes me ramènent à d'autres temps... je venais d'avoir... 16 ans... pourquoi ai-je envie de dire 18 ? Je pense à Dalida et ce n'est plus un hasard depuis qu'elle est devenue l'icône des gays.
C'était cette même rue, une nuit d'hiver, ma première fugue. Encore puceau je voulais voir des culs, des cons, des seins... je me masturbais sur les soutiens gorges transparents de la Redoute.
Les rares fenêtres qui étoilaient l'horizon suggéraient déjà autant d'univers inconnus, cachés, envahissables. Au loin, des silhouettes fantasmées ou incongrues devenaient tantôt une fille, comme moi en quête d'explorations anatomiques, tantôt une mère éducatrice prête à me prendre en main, friande d'infortunes vertues à déniaiser. La brume et le silence étaient propices à mon imagination. Se succédaient en un battement de cils ce couple qui se régalerait de ma frustration en se pavanant et forniquant sous mon nez, ou cette prostituée amoureuse qui me proposait de fuir ensemble son mac et sa vie, ou cette bombasse brune à la pomme d'adam suspecte.
C'est sur cette même rue que je déambule ce soir, je sais pourquoi je suis là, ce sont ces souvenirs que je suis venu retrouver, ces échappées qui m'avaient tant rempli d'autres choses.
Ce soir je viens tester mes couilles et en attendant de voir si j'en aurais, j'invente d'autres silhouettes.
Je sors prendre l'air, rafraîchir la moiteur oppressante de mes lectures et visionnages perverses. Ce retour à mon innocence me rappelle que je suis toujours ce tendre romantique qui s'obsède toujours plus de situations décadentes.
Ce soir je vais enfin avoir le courage d'entrer dans ce club gay et cette rue est un raccourlong préliminarisant. Mes silhouettes fantômes sont devenues effrayantes et c'est bien là que réside la seule différence de mes attentes. Je me rêve disant NON, le désirant plus que tout et être contraint de finir par dire OUI... encore...
Ils sont deux et n'ont rien de rassurant, plus proches de la bête de somme que de la gazelle, des tatouages sur des avants-bras plus gros que mes cuisses.
Je passe près d'eux, les croise tout en retenant ma respiration, les yeux fixant un point à l'horizon. A leure hauteur, pensant les avoir passés, j'expulse mon angoisse et hazarde un coups d'oeil, pas assez bref pour voir qu'ils me dévisagent tous les deux.
-"il nous matte ce cochon" dit le premier à son comparse
-"tu crois qu'il en est" réponds l'autre aquiescant son sous-entendu
"Allons lui demander"
D'une main qu'il claque au mur, son gros bras m'interdit d'aller plus avant tandis que le suiveur empêche ma retraite tout en inspectant mes fesses avant d'en palper une comme s'il s'agissait d'un sein.
-"tu en es ?"
-"heuuu !!! Nnnonnn"
-" hummmm un hétéro, t'en dis quoi toi" ironise celui qui tate toujours mon cul, poussant maintenant sa grosse main toujours plus loin vers mes testicules et toujours plus pres de ma rez.
-"je dis que j'en ai rien à foutre, sa grande bouche me fait déjà bander"
Toute ma chevelure matelasse maintenant ses deux grandes mains et ma tête prise en étau ne peut bouger que grâce à ce marionnettiste. Il rapproche mon visage jusqu'au sien, assez près pour que son haleine me devienne familier, lèche mes lèvres du menton au nez et avant de me faire plier le genoux me donne quelques premières directives.
-"tu sais ce que tu vas faire maintenant ?"
Et sans attendre ma réponse
"Tu vas sortir ma queue sans la toucher, tu vas me la lécher comme j'ai léché ta face en commençant par mes couilles"
Ce disant, comme si ses bras étaient des vérins de tracto pelle il plongea mon crane toujours plus profondément vers sa braguette entraînant avec lui et mon bassin et mon dos obligeant son complice à lâcher prise mon paquet qu'il tenait déjà à pleine main et j'en fus soulagé car je craignais un début d'érection à l'évocation des mots couilles et queue et de mes prochaines obligations. Mes deux genoux à terre je recroqueville au mieux ce que ces deux mâchoires ne contrôlaient pas encore.
C'était sans compter les deux mains désormais libres du non moins colosse compagnon. Me prenant les chevilles il attendit que les bijoux de son ami soit libérés pour les tirer vers lui, m'obligeant à poser mes paumes sur le macadam pour rééquilibrer ma nouvelle posture. D'accroupi je me retrouve à quatre pattes, le nez humant une autre haleine, plus forte, plus désespérante. Derrière moi je le sens s'agenouiller entre mes mollets qu'il écartera jusqu'à pouvoir insérer ses cuisses entre les miennes.
Queue... couilles... mon nez afleur de ces mots... loup y es tu ? Pour lui, derrière moi je n'étais même pas louve, tout juste chienne à qui il retroussa le haut pour chercher les tetons...
Instinctivement je me cambrr pour les lui rendre plus vite accessible oubliant que je ne le voulais pas. Ce qui a eu pour effet de faire durcir cette autre queue contre mon con... oui mon con si j'en crois les descriptions qui vont suivre.
-"wahoo !!! Saïd t'as vu comme elle aime qu'on lui tire les mamelons cette chienne. J'lui donne pas dix minutes avant qu'il ne frotte sa chatte sur ma teub, je vais tellement tirer sur ses tetons qu'elle aura bientôt des seins... non, des pis de vache" rajouta t-il en s'exclafant. Et comme pour joindre ses gestes à sa parole, engagea deux doigts dans mes narines pour renverser ma tête en arrière et m'obliger à ouvrir grand la bouche. Il avait remarqué l'air agacé de Said que je ne léchais que du bout d'une langue que je sortais au minima entre mes lèvres serrées.
Libérée, elle prit de fait une attitude haletante qui me donnait certainement un peu plus l'air d'une chienne attendant son bâton que le sourire de Said confirmera aussitôt. Engaillardi par mon museau de chienne battue il me pince la truffe pour que je garde la gueule béante et flagelle ma langue avec sa verge jusqu'à la faire devenir vraiment rigide.
Je failli m'effondrer quand, Derrière moi, l'autre, pour déboutonner mon futal, appuya son torse sur mon dos. Je voulais me débattre et ne réussis qu'à tortiller du cul, me frottant un peu plus sur son sexe déjà gonflé. Mon cul semblait vouloir remuer une queue invisible et manifester une joie.
Tout doucement, tout lentement, pas trop vite... il prit son temps pour découvrir mes fesses et libérer mon sexe. Ce dernier semblait ne vouloir en faire qu'à sa tête et bander malgré moi. La fraicheur de l'air me faisait voir au fur et à mesure, en temps réel ce que mon bourreau reluquait. Ce tissu glissant sur ma peau sans ma participation... comment dire... hummmm... j'eus envie de laisser faire et savourer cet instant... déshabille moi... pas trop vite... pas tout de suite... sache me convoiter... me désirer.
Je fus ramener à la réalité quand, pantalon et slip sur les genoux un crachat monstrueux atteignit mon anus. Un main entreprit de me masturber pendant qu'un doigts entrait de force et trouvait de suite le point p me faisant lâcher un Haaa d'approbation. Deux secondes seulement de temps d'arrêt avant qu'il n'entame quelques va et vient violents suffisants selon lui pour insérer un deuxième doigts.
Ma bouche était quant à elle déjà pleine par le quart de la teub de Said qui s'acharnait à vouloir toute la mettre malgré mes hauts le coeur répétés.
-"Salope !!! T'as une gorge profonde de salope... dès que j'aurai passé ta glotte... tu seras ma salope... mon vide couille... Robert !!! T'attends quoi pour lui remplir sa chatte de salope ...".... ....
J'arrivais devant le club sans avoir vu le temps passer... déjà là ??? Robert et Said avait disparu de mon fantasme éveillé... je me surpris à les chercher dans mes souvenirs, mais ils n'avaient plus rien de réels... je ne pus néanmoins pas me résoudre à les laisser partir sans forcer mon imagination à les sentir enfin se vider simultanément au fond de ma gorge et de mon cul
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