L'Urolagnie (Uro) dans le BDSM

L’urolagnie, dans le cadre du BDSM, désigne les pratiques érotiques construites autour de l’urine. Que ce soit à travers l’acte de recevoir, de donner, ou simplement de jouer avec, l’uro invite les partenaires à explorer un domaine où les notions de contrôle, de soumission, de plaisir et parfois de honte s’entremêlent. Si cette pratique reste un tabou pour beaucoup, elle représente une expérience unique d’abandon et de connexion pour d'autres.

L'uro comme moyen d'exploration du contrôle et de la soumission

Pour le partenaire dominant, l’acte de "donner" l’urine peut symboliser un contrôle total sur le corps et l’espace de l’autre. C’est une manière d’affirmer une supériorité ou une autorité sur le soumis, renforçant ainsi le lien de pouvoir qui unit les deux partenaires.

Pour le ou la soumis(e), accepter ou recevoir ce type d’interaction peut être un acte d’abandon profond. Cela implique souvent de dépasser les barrières psychologiques liées à la honte ou au dégoût, et de se livrer entièrement au dominant. Cet abandon peut générer un sentiment puissant de libération, une mise à nu émotionnelle qui renforce l’intensité de l’expérience.

Cependant, il est essentiel de souligner que cette pratique, comme toutes celles qui se pratiquent dans le BDSM, repose sur un principe fondamental : le consentement mutuel. Rien ne peut se faire sans une discussion ouverte et honnête entre partenaires pour s’assurer que chacun est à l’aise et en accord avec les limites posées.

L'uro, une pratique emprunte de symbolisme

L’uro peut aussi être vu comme une manière de jouer avec les tabous sociaux. Dans de nombreuses cultures, l’urine est perçue comme sale ou impure, ce qui confère à cette pratique une dimension subversive. Participer à des jeux uro, c’est parfois choisir de défier ces conventions, de redéfinir les normes de ce qui est acceptable dans l’intimité et d’embrasser des aspects souvent négligés ou rejetés du corps humain.

L’uro peut même devenir un rituel sensuel ou sacré, où l’urine est considérée comme une extension intime du corps. Le fait qu’elle soit chaude, humide, et qu’elle provienne directement de l’intérieur du partenaire la rend intensément personnelle et organique. Ces caractéristiques peuvent intensifier le sentiment de proximité physique et émotionnelle entre les participants.

Dépasser le jugement : entre liberté et respect

Comme pour toutes les pratiques sexuelles, l’uro divise. On peut aussi y voir une forme d’expression sexuelle enrichissante, tandis que d’autres ne parviennent pas à dépasser leur dégoût ou leur incompréhension. Ce contraste illustre parfaitement la richesse et la diversité des expériences humaines.

Actons que la sexualité est un territoire profondément personnel. Ce qui est tabou pour l’un peut être source de plaisir pour l’autre, et l’important est de respecter ces différences. Personne ne devrait jamais être jugé pour les pratiques qu’il ou elle choisit d’explorer, à condition que celles-ci soient menées dans un cadre sain, consensuel, et informé.

Pour celles et ceux qui envisage de pratiquer l’uro, il est crucial de se documenter et de communiquer ouvertement avec ses partenaires. Les discussions autour des limites, des attentes et des règles d’hygiène sont indispensables pour garantir une expérience sûre et épanouissante. Dans le cadre de cette pratique, comme dans toute relation BDSM, la confiance mutuelle est la clé.

L'urolagnie est une invitation à l’ouverture d’esprit

L’urolagnie dans le BDSM n’est pas une pratique qui convient à tout le monde, et c’est parfaitement acceptable. Cependant, son existence nous rappelle que la sexualité humaine est infiniment complexe et que les frontières du désir sont souvent plus floues que ce que l’on croit. Plutôt que de condamner ou de rejeter, il est peut-être plus enrichissant de chercher à comprendre les motivations et les plaisirs qui se cachent derrière de telles pratiques.


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A propos du groupe
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Diaper35370
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à boire sans modération
Melanie
Ce matin du mois de mai, je me donne pour mission de terminer les travaux dans ma maison secondaire. Je dois fixer une gouttière, ainsi que d’installer une lumière extérieure devant la porte d'entrée. La caisse d’outils en main, je m’avance jusqu’à l’abri. C’est alors que je l’ai vu. Oui, la vieille voisine désherbant son allée. Le cul haut perché dans un pantalon noir qui lui moule le fessier comme une seconde peau. Mon excitation est à son comble. Je suis convaincu que, sans cette apparition, je n’aurais jamais eu l’idée que j’ai eue. Ni une, ni deux, je sors de mon terrain. Je m’engage sur le chemin, jusqu’à arriver devant son portail. D’un coup d’œil, je m’aperçois que la voiture du mari n’est pas gérée comme à son habitude devant le garage. Une aubaine pour moi. Sans m’annoncer, je pousse le portillon et fonce jusqu’au jardin où se trouve Claudine, toujours en train s’affairer à désherber. J’ai là devant moi, la vision de son cul, épanoui dans un pantalon en tergal noir. Un drôle de tenue pour désherber ! Cela lui fait, un large et bien rond fessier. Ne pouvant pas me contrôler, je suis submergé par un réflexe pervers. Celui de poser ma main sur son derrière et de la palper. Me foutant comme de l’an mil, du risque que je prenais, mais surtout des retomber qui aller s’en écouler. Mais, à ma grande surprise, Claudine tourne lentement sa tête, elle me contemple de ses yeux perçant bleus azure derrière sa paire de lunettes. Elle me sourit dans un état d’euphorie. Comme si elle s’attendait, ou espérait cette caresse de ma part. Elle va jusqu’à m’encourager à continuer. Enfin, c’est comme ça que je l’ai pris ! Puisqu’elle n’a posé aucune résistance. Juste elle se redresse avec une souplesse inouïe pour son âge. On parle là, d’une femme qui a passé les soixante-dix ans tout de même ! Elle m’attrape par le poignée et m’entraîne avec elle à l’intérieur de chez elle. à peine la porte d’entrée fermé, sans réfléchir emporté par mon excitation, je glisse un doigt dans le sillon, en essayant de le creuser le plus loin possible. Me rendant bien compte que le tissu est doux, mais également élastique. Que je peux le faire s’infiltrer dans la raie. Je fais passer son chandail rouge par-dessus sa tête, et dans l’élan dégrafe son soutien-gorge. Je me suis dit que je devenais de plus en plus pervers. Et que surtout, j’allais de plus en plus loin ! Cela ne m’empêche pas de me mettre à lui pétrir les seins. - Ça à l’air de te plaire, dis-moi ? - C’est que je me demandais jusqu’alors, si un jour, j’aurai la chance qu’un homme, un vrai s’intéresse à moi ! - Et bien ton vœu vient de se réaliser ! Ma main abandonne sa poitrine pour glisser jusqu’à son ventre dodu, dévalant jusqu’au bas de ses hanches. J’appuie mes doigts sur la saillie de son pubis. Je suis surpris par l’impact que ça a eu sur elle. Elle délire complètement, alors que je ne suis même pas encore sur son sexe, mais simplement sur le renflement de sa motte. Elle a une sorte de spasme très violent. L’espace d’un instant, dans une sorte de test, je m’écarte d’elle. Voilà qu’elle me jette un regard suppliant. Je ne suis pas vraiment surpris. - Tu n’as pas peur que ton mari débarque ? - Il est parti à la chasse pour la journée. - Qui part à la chasse perd sa place ! - Aller voisin, donne-moi du plaisir, j’en ai tant besoin ! Grâce au tergal, la fente de la voisine est particulièrement marquée. On aurait dit que sa vulve cherche désespérément à en happer le tissu. Ça lui rentre bien au milieu, et ça fait quelque chose de tout à fait obscène. Qui en tout cas, me donne envie de voir ce qui se passe dessous. - Elle est de quelle couleur la culotte que tu portes ? - Elle est rouge. - En quelle matière ? - En tulle… - Cela te dit de me la montrer ? - Ce serait avec plaisir, fait-elle en se défaisant. Je profite que son pantalon soit à ses chevilles, pour amener mes doigts a effleuré le devant de son slip. Je savais que ce que je lui avais fait, l’avais excitée, mais je ne m’attendais pas pour trouver une culotte était autant maculée. Elle a de plus en plus de mal à garder le contrôle d’elle-même. Je ne reconnaissais jusqu’alors pas très bien cette femme. Seulement qu’elle était la gentille voisine, que j’apercevais toute timide à souhait dans son jardin au côté de son mari. Je glisse ma main entre sa peau et l’élastique de sa culotte. Tout de suite, je suis émerveillé par sa forte pilosité, mais aussi, par sa fente mouillée. La violence de sa réaction m’a pris de court. Elle a ouvert la bouche et elle a poussé des gémissements, et des sortes de cris brefs, rauques, inarticulés, en même temps que ses yeux se révulsaient. - Oui… Oui, touche-moi… Je ne tiens plus… baise-moi… Je tire sa culotte vers le bas. Elle est collante. Voir sa forte pilosité décuple mon désir. Puis elle laisse échapper une sorte de lente et longue plainte. L’indice le plus troublant, cependant, est le fait que sa fente s’humidifie à vue d’œil. J’ai même pensé un instant qu’elle s’est pissée dessus. Une odeur forte me monte au nez. Un relent que je connais bien, celle des sécrétions. Je plante mes doigts dans la fente. Les enfonçant aussi profond que je le pouvais. Elle se fige, bouche ouverte. - Que c’est bon les doigts d’un homme ! Elle me tend son derrière. Je parcours sa croupe. Elle est rattrapée encore une fois par des spasmes, se met à hurler. - Ça se passe quand je suis très excitée… Je la travaille dans cette position très longtemps. J’amène mes doigts sur la boursouflure de son sexe, appuyant, creusant. Je me penche, pour mettre ma bouche à hauteur de son sexe. Je lape ses sécrétions. Elle libère une rasade de ses sécrétions mousseuses et blanches. Je plonge de la bouche et de la langue dessus avec l’idée de tout avaler. Le goût est succulent. Dans une sorte de contradiction, ma langue sur elle, la fouille, la travaille. J’ai comme souvent à cet instant, renoncé à me poser des questions, arrivant à ce qui est mon envie ultime. Mon regard trouve le sien. Dans lequel je lis une sorte de provocation. Un appel qui me dit clairement « Oui je veux que tu me baise, à présent ». Mais il n’est pas question, ma queue est propriété privée. Alors je continue à stimuler sa chatte avec ma langue. C’est comme ça pendant plusieurs dizaines de secondes. Le temps que je réalise qu’elle pisse une fois encore. Un jet plus puissant qui sort d’entre ses lèvres. Sous mon regard fasciné, Claudine se vide. De ce même jet régulier. Avant d’envoyer, au terme de sa miction, des giclées plus puissantes pour venir se perdre sur mon visage. - Oh… Oh ! Quelle honte, je m'excuse. Ça se produit quand je suis en transe ! - Tu sais, ce n’est rien du tout ! - Tu vas me dire que ce n’est pas la première fois ? - Ni la dernière, si tu veux savoir ! À ce moment, la coquine empoigne mon sexe à travers mon jean et le presse fortement. - En voilà des manières ? - Cela te dérange qu’une vieille femme comme moi te touche ? - Tout le contraire ! Mon sexe prisonnier de sa main a un sursaut. Je la dévore d’un regard fiévreux pendant qu’elle me caresse au travers l’étoffe. - Je peux ? Me fait-elle. - Tu as envie de la voir. - Tu sais ces derniers temps, j’ai eu droit à celle de mon mari. - Oui, je vois… D’un geste sûr, elle fait jaillir ma verge et l’enferme entre ses doigts. Elle commence très doucement à me branler. Je vois briller un éclat dans les braqués sur les miens. Avant que je ne comprenne, elle descend à mes pieds. Sa langue humide parcourt mon gland. Puis tranquillement, visite chaque millimètre de ma queue raide. Elle se penche un peu plus et applique le même traitement à mes couilles. Sa langue remonte jusque sur mon gland. Ses lèvres s’ouvrent et sa bouche emprisonne très lentement ma queue. Je me vois progressivement disparaître. Elle enserre la base de mon pénis et me branle au même rythme qu’elle me suce. Je suis étonné par son savoir-faire. J’ai même la lucidité de me poser la question à savoir si son mari avait droit au même traitement ? Je commence à divaguer. Grommelant des oui encore, à tout-va. Elle cesse parfois de me pomper pour me lécher de nouveau. Puis elle reprend un peu plus vite. Son autre main se porte à mes couilles qu’elle pétrit délicatement. Comme j’aime. Je suis parcouru d’une décharge électrique qui me tétanise. J’ouvre mes yeux affolés pour la voir avaler ma semence dont je me vide jusqu’à la dernière goutte dans sa bouche. Le lendemain j’ai le plaisir de voir Claudine me rejoindre, mais là chez moi. - Je te dérange ? - Pas du tout. Je devine que ton mari est absent ? - Non, il est à la maison. Je lui es dit que j’allais en course. - Tu aimes que je te branle, hein ? Dis-le, Claudine ! - Oui… Oui, avec ta bouche ! Je soulève l’ourlet de la robe qu’elle porte et m’aperçois qu’elle a omis de se mettre une culotte. -C’est pour aller plus vite… Je ‘accroupis à ses pieds. J’écarte les lèvres grasses de mes doigts. Son clitoris et ses petites lèvres sont gonflés. - Tu veux que je te mange la chatte ? Je pose sa jambe droite en appuis sur mon épaule. Je place ma bouche contre sa fourche. Claudine a la vulve détrempée. Ce qui dise que les vieilles ne mouillent pas, ont bien tort ! Je bois à sa source. Aux soupirs que j’entends, je comprends que je suis sur le bon chemin. D’une main, je caresse voluptueusement ses fesses, et de l’autre, je joue avec ses seins lourds, après l’avoir enfouis sous son chandail. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Je titille ses tétons érigés, soupesant ses savoureuses masses charnelles. Elle accompagne par divers mouvements de bassin les gâteries de ma langue. C’est un véritable plaisir de la boire. Ses doigts dans mes cheveux se font plus rapaces. Son souffle de plus en plus court. Le nez enfoui dans ses poils rêches, je lape, je lèche sans relâche, je suçote vicieusement son petit bourgeon. Comme la veille, elle explose de nouveau. M’arrose de sa pisse tiède. Dans un long gémissement, tandis que son mouvement de bassin devient plus pressant encore. Je continue à jouer de la langue dans son intimité. Je bois sa pisse. D’un geste brusque, elle repousse ma tête tandis qu’elle continue vocalement de jouir. Toujours debout, son corps tremblant de plaisir, son ventre frémissant, ses seins lourds agités de soubresauts, sa tête lancée vers le plafond. Elle s’apaise peu à peu. Elle prend appui contre mon établi. Les bras le long du corps. Je me contente de la regarder. - Merci ! Me fait-elle. Tu m’as donné en deux fois tout ce que j’ai reçu en une année. - Par ton mari ? - Non… Par mes propres soins… - Aide-toi, et le ciel te viendra en aide ! - Oui… C’est un peu cela, oui ! Amusée, elle soupire, et lâche : - Mais pourquoi ? - Tu veux dire avec toi ? - Oui ! - Une subite envie. - Mais je ne suis pas de la première fraîcheur ! - J’ai toujours été incité par cette catégorie d’âge là. - Et je peux savoir pourquoi ? - Elles font l’amour comme si c’était pour elles, la dernière fois. - Ce n’est pas faux. C’est ce que j’ai ressenti avec toi. Déclare-t-elle, avec un grand sourire, tout en pressant ses seins comme pour me les présenter. - Tu m’aguiches là ! - Viens la mettre entre mes seins. Je place chacun de mes genoux de part et d’autre d’elle, et j’enfouis ma queue bien dure entre ses douces masses molles. C’est divinement bon, de faire glisser mon pénis entre ses seins. C’est exquis, pour ceux qui ne connaissent pas ! Il y a quelque chose d’insolite et sensuel à faire branler sa queue entre deux blocs de chair accueillante et chaude, d’une adorable vieille salope qui aime visiblement le sexe. De se nicher dedans, puis de ressortir afin de mieux renouveler la manœuvre l’instant d’après. Bien sûr, les premiers picotements annonciateurs d’un plaisir proche se font retentir. Je ne cherche même pas à me retenir. Je me déleste, expulsant ma jouissance sur le buste de Claudine. Entre ses seins, sa gorge, son cou, son menton. - Oh oui, arrose-moi de ton sperme…c’est si bon… Très bon… Trop bon ! Quelques minutes plus tard, une fois notre soif sexuelle tombée, voilà qu’elle laisse tomber : - Tu es un gros cochon ! - C’est ce que les femmes cherchent chez les hommes, non ? Qu’ils soient le plus cochon que possible ! Sache qu’avec toi, je voudrais l’être encore plus. - Ah oui ? Et qu’est-ce qui t’en empêche ?
troispoilsx
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pipi, envie!
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A mettre en cage de chasteté son minable petit sexe
J'aime 06/11/25
Petite Souris
Urinoir cherche un urineur sur métropole lilloise pour avoir à boire.
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Antarès
Dommage que je sois si loin... Mais si je passe dans le coin...
J'aime 28/10/25
Diaper35370
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en cas de soif intense !
Diaper35370
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que c'est bon de servir d urinoir
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Diaper35370
ca me donne soif
J'aime 17/10/25
Diaper35370
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bonne douche
Diaper35370
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voila ca j adore ,je kiffe , boire en direct
Wodezue
Bonjour je suis soumis 25 ans . Je cherche une dominatrice/maitresse pour réaliser un fantasme de me faire pisser dans le cul . Cordialement
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Antarès
J'aime beaucoup cette idée
J'aime 10/09/25
Collin35
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Collin35
j adore ,je kiffe
J'aime 27/03/24
Lazarus
Moi aussi !
J'aime 31/03/24
vavient
J'apprécie la position du chien qui soulage son petit besoin
J'aime 09/09/25
Diaper35370
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du plaisir Uro
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vavient
La sécurité du virtuel me permet d'apprécier ces bites qui pissent. J'y trouve quelque chose de fort excitant.
J'aime 09/09/25
Mon dernier festival se termine plutôt bien :) Il y a deux ans festival de music sur talence pour ce qui connaissent, je part avec un groupe de potes et sur places nous rejoignons d’autres personnes , la soirée se passe très bien à base de music , danse , rigolade et grande pinte. Vers 1h du mat on bouge un peu d’endroits et je tombe sur un groupe de fille dont une ne m’ai pas indifférent , j’avais échanger sur un site sm il y a quelques semaines et nous avions finis par boire un verre mais rien de plus. À notre premier regard on s’est rejoint pour discuter , nous avons passé un long moment a parlé de banalités et le sujet sexe revenez très souvent. Elle me demande où j’en suis et m’annonce qu’elle est de plus en plus domina que switch, ce à quoi je rétorque être toujours soumis. Pas longtemps après je lui dit devoir la laisser 2 minutes pour aller au toilettes ce à quoi elle répond : -viens chez moi j’habite à 5 minutes ça sera plus fun. Je m’éclipse de nos bandes de potes avec rosie et nous marchons rapidement à son appartement. Arrivés devant son hall elle ouvre me laisse rentrer et me stop -F deux choses , la première tu ma dit que tu étais fétichiste l’autre jour et tu aime les dessous féminins ? Interloqué je hoche juste de la tête , je bouge plus et je regarde rosie baissé son string sous sa jupe, elle me le frotte sous le nez et me l’enfonce dans la bouche. -tiens pour que tu ai droit de pisser voici les deux conditions , la première tu ouvre la bouche et tu garde mon string que j’ai depuis ce midi bien dans ta bouche et la deuxième voici la deuxième conditions , j’habite au deuxième étage en face de l’escalier , tu dois être devant ma porte avant moi tu dois être nu sinon tu auras un gage , top départ. Je vois rosie monter les escaliers un à un assez rapidement , je me lance dans un déshabillage express , je jette t-shirt short boxer à mes pieds je récupère tout et j’enchaîne marché trois par trois pour la rattraper. Autant vous dire de suite que j’ai perdu et surtout j’ai failli tomber plusieurs fois. Rosie rigole à la vu de moi arrivant à poils le sexe se promenant. -dommage tu as échoué mais bienvenu chez moi, tu peux enlever le string de ta bouche , as tu aimé ces petits jeux ? -oui rosie j’ai adoré mais tu m’inquiète sur ton gage parce que j’ai vraiment envie de pisser la -t’es joueur ? Tu le fais confiance ? -oui si tu respecte les limites que nous avions fixé l’autre jour en buvant notre verre. -oui t’inquiète , l’autre jour je n’étais pas motivé mais ce soir t’es à moi. Alors rentre , tu a les toilettes à droites mais tu m’attends deux secondes. Je la vois partir dans sa chambre, passe par la Salle de bain et reviens les deux mains derrières le dos. Elle me tend une poire de lavement déjà remplie et me dit -les toilettes sont tout à toi , effectue un premier lavement et tu en fera un deuxième , appelle moi quand le premier est terminé Je m’exécute et la préviens en lui tendant la poire entre le mure et la porte pour la re remplir , de son côté je l’entend mettre de la musique et du bruit comme un déplacement de meuble. Une fois le lavement effectuer elle m’appelle dans le salon et me demande de me mettre à 4 pattes le torse sur le canapé genoux au sol. Elle m’attache les mains dans le dos. -maintenant que je t’ai attaché les mains je vais sortir mes jouets et on va s’amuser, surtout que je viens d’en recevoir un pour nous deux que je rêve de tester. Je la vois revenir avec un sac à dos , elle sort deux godes , un en verre et l’autre en silicone , divers plug et vibro et surtout un double gode rose pale. Je la sent se mettre derrière moi , j’ai la tête bloqué contre le coussin du canapé , je ne vois quasiment rien jusqu’au moment où elle me demande de tourner la tête et j’observe sur la table basse un miroir posé en long , je peux l’observer et me voir dans cette position plutôt confortable. Je sent un liquide bien froid parcourir mes fesses et ma raie , elle enfile un gant en latex blanc pour commencer à me doigter les fesses. Un puis deux puis trois, elle enchaîne avec un gode en verre plutôt agréable. Une fois mes fesses bien élargi, elle me pose devant les yeux le double gode. -F regarde ce qui va nous pénétrer , profite de la scène dans le miroir , aucune photo ou vidéo ne sera prise , bonne enfilade Elle éclate de rire , je sent le gode pointer contre mon œillet , elle pousse et il rentre progressivement, une fois en place , je la voit et la sent venir à 4 pattes derrière moi je sent ses jambes contre les miennes , elle attrape le gode d’une main et l’insère dans ses fesses préalablement lubrifié et l’autre bout disparaît dans ses entrailles également , étant bloqué contre le canapé , rosie commence de long et d’où vas et viens entre nos deux anus , à des moments je sent ses fesses venir contre les miennes. Mon sexe et en érection intense et ruisselle de désir , je l’entend gémir également plutôt fort. Au bout d’une petite dizaine de minutes elle stop nos affaires retire le gode de nos anus et me demande de me redresser en m’enlevant les menottes du dos. -j’ai adoré , et toi ? -rosie c’était merveilleux et la vue incroyable -tu vas maintenant me lécher et si tu me fait jouir avec ta langue tu pourras te vider ma petite salope Elle installe bien confortablement dans la canapé , pose les pieds sur mes épaules se redresse pour m’attraper par les cheveux et me tire jusqu’à son sexe bien trempé. Je m’empresse de lécher se sexe remplie de désir , j’alterne une minutieuse aspiration du clito et des mouvements de vas et viens , je l’entends gémir doucement tout en me regardant , j’aime être dans cette position et putain que j’aime faire un cunni. La sentant prendre son pied je tente un doigtage en simultané de mes coups de langue. En moins de deux minutes je la sent se cambrer agripper redoutablement mes cheveux et elle gémi de plus belle. Un énorme jet gicle sur mon visage par saccade , rosie a l’air essoufflé , je suis trempé , le bout de canapé également et je ne parle pas du parquet. -putain tom c’était incroyable , c’est quoi cette orgasme de malade ! -rosie j’ai adoré , j’ai tellement aimé que tu gicle sur mon visage -ah ah coquin , va vite chercher le sopalin dans la cuisine et essuie le parquet s’il te plait. Je m’exécute en bon soumis , rosie ne bouge pas le temps de se remettre de son orgasme et s’amuse de ma position de soubrette pour essuyer le parquet. -F comment souhaite tu jouir ? -rosie , j’aimerais aussi jouir si ton visage -avec l’orgasme que tu viens de me donner je ne peux le refuser allez grimpe au niveau de mon visage Rosie est toujours affalé sur le canapé, je l’enjambe pour me mettre au dessus de son visage , je commence à me branler sous les yeux de rosie qui me regarde avec attention -F pas les yeux par contre débrouille toi comme tu veux et tiens ça va t’aider à jouir Rosie commence des vas et viens avec le gode en verre restait sur le canapé , il ne m’en fallait pas plus pour déversé une grosse quantité de sperme , la plus grosse partie sur la bouche et le nez et le reste un peu sur les joues et les cheveux pour les plus fugaces de jets. Pour finir notre soirée nous avons finis dans la douche et j’ai fini par rentrer chez moi. À peine arrivé à destination j’ai reçu un message me disant que la première partie était top ;)
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Dany
Je prêterai plus d'attention au festival à Talence.... 1f609.png
J'aime 07/09/25
très exigeante et sévère, sélective, je pratique toutes sortes de jeux, du soft au hard ; j'accorde une importance primordiale au dialogue, ainsi qu'au respect et à la dévotion. Un chien est façonné à ma manière, je n'accepte et ne fais aucune pratique en rapport avec une sexualité vanille ou au sexe tout court .:.
Antarès
Cherche partenaire féminin aimant prendre des douche dorée. Je suis Donneur uro et fournisseur de champagne naturel. N'hésitez pas à venir me contacter en mp.
Diaper35370
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le plaisir des jeux uros entre mecs
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Antarès
Si besoin je duis EXCLUSIVEMENT DONNEUR
J'aime 01/09/25
Diaper35370
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moi gourmand de pisse avec les hommes !!!
Diaper35370
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jaime regarder un mec me pissé en bouche
Diaper35370
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moi tout ca ,me donne soif , et , à boire sans modération, je cherche donneur du cote du 35 ou 53
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gayscat36
c'est tellement bon de boire direct au robinet
J'aime 08/08/25
Diaper35370
je confirme
J'aime 08/08/25
Painslutfr
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Photo perso en demande n hésitez pas à me contacter
5 personnes aiment ça.
tout un programme auquel je veux bien m’inscrire 😅😆😁
J'aime 26/04/25
alors Painslutfr vous m’invitez ?
J'aime 26/04/25
Passoun
Mais avec un maître régulier
J'aime 26/04/25
Diaper35370
je kiffe jai le meme
J'aime 08/08/25
pietroa
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Toujours pensé à s'hydrater avec cette chaleur
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Diaper35370
a boire sans modération
J'aime 08/08/25
Ondiniste77
Bonjour à tous, Je prends enfin le temps de vous raconter ma première rencontre avec une amatrice de nos plaisirs humide, certainement l'un si ce n'est Le meilleur souvenir parmi mes pratiques à deux. Nous avions commencé par échanger ici, quelques messages, quelques photos, et surtout faire connaissance, parler de tout, durant 3 ans au minimum avant évoquer une réelle rencontre. Nous avions déjà parlé de rencontre, projeté des fantasmes mais c'était simplement dans le cadre de la description de nos rêves les plus intimes. Nous avons construit une réelle complicité et surtout nous avions la même vision de ce plaisir et d'une possible rencontre, malgré le stress d'un coté et de l'autre. Les mecs font les fanfarons et s'imaginent tous prêt au réel, mais malgré tout l'approche d'un moment dont nous rêvons provoque pas mal de stress et de questions ^^ C'était en début d'hiver il y a quelques années, nous avions un créneau un mercredi vers 15h30. Rendez-vous pris dans un jardin public dans Paris, avec principalement l'idée de s'installer dans le parc pour discuter, 1 à 2h environ, et suivant le feeling nous projeter par la suite. L'idée de base n'était pas de pratiquer, simplement rencontrer quelqu'un qui partage notre plaisir et pouvoir se livrer un peu à l'autre, avoir le regard de l'autre qui nous écoute, sentir cette pointe d'excitation d'évoquer nos pratiques etc... Malgré tout je lui avais expliqué que je viendrai avec une envie de pipi, juste au cas ou nous souhaitions aller un peu plus loin, mais sans aucune obligation, sans rien lui imposer. Le temps était magnifique, environ 12 degrés avec un beau soleil, une belle journée "chaude" d'hiver. Nous avions passé la matinée à échanger quelques messages, l'excitation de la rencontre augmentait au fur et à mesure que l'heure du rdv se rapprochait. Je me préparai 2h avant environ en allant aux WC, puis en buvant pas mal d'eau pour être bien hydraté en cas de besoin (peut être trop ? ^^). 15h, je prend la route pour la rejoindre, arrivé dans Paris je me gare dans un petit parking souterrain, et je prend le chemin du parc à pied quelques rues plus loin. J'ai maintenant la confirmation j'ai beaucoup trop bu, mon envie a très rarement été aussi importante, au point d'avoir mal au dos et de savoir que je ne tiendrai jamais 1h a discuter dans le parc. J'approche de l'entrée du parc et je la découvre, devant moi, il me reste juste a traverser le passage piéton, mon cœur s'emballe un peu, je crois que je rougis avant même d'avoir échanger un mot, nous nous regardons et une petite tension est déjà palpable. Je traverse la route, nous nous faisons la bise et échangeons rapidement sur le beau temps et d'autre banalités. Nous nous dirigeons d'un commun accord dans le parc, pour nous installer assis dans l'herbe à 5m du chemin environ. Après quelques mots échangés sur notre histoire avec ce plaisir, comment nous avions découvert ces pratiques, nos premières fois en solo, nos dernières fois etc... je fini par lui demander si je peux relâcher un peu la pressions, en lui disant qu'elle peut me dire non mais que je devrais trouver des WC publics dans ce cas car je ne tiens plus au point d'être trop douloureux. Elle a une petite lueur dans ces jolies yeux, et me répond que je peux me laisser aller sans problème. Je suis assis à sa gauche, le sexe dans mon boxer vers elle, je relève un peu mon pull et écarte mon manteau 3/4 pour qu'elle puisse voir la tâche qui ne tarda pas à se former sur ma hanche droite. J'ai eu l'impression de laisser aller que quelques petits jets, mais ce moment fugace a été bien plus long en réalité, et le plaisir de me mouiller sous ces yeux, et ces doigts qui passent sur mon jeans, fût stoppé lorsque je senti la chaleur remonter jusqu'à mon genou droit. Le flot fût tel que mon jeans n'a pas pu évacuer ces quelques gros jets qui ont finalement trempé plus que ma hanche ^^. Nous avons continué à parler quelques minutes, en lui demandant si elle avait aimé mais à la vue de ces yeux et de son visage regardant mon pantalon, je n'avais aucun doute quant à la réponse. Elle me proposa rapidement finalement d'aller jusqu'à ma voiture pour être un petit peu plus discret. Sur le chemin elle se plaça quelques seconde dernière moi et me dit que c'était finalement très visible malgré mon 3/4. Nous avions rigolé et parlé de la situation, qui finalement ne nous dérangeait pas. Nous étions dans notre bulle ondiniste, sans prêter attention aux gens qui nous entouraient. Nous nous sommes dit que c'était tellement agréable et facile à "assumer" à deux. Arrivé à la voiture, après avoir protégé mon siège conducteur, elle assise sur le siège passager, je lui ai expliqué que malgré m'être soulagé en partie, mon envie était remontée au même niveau, regrettant presque d'avoir bu autant. Je lui ai proposé de faire comme elle avait envie de voir, je me remis donc à mouiller mon jeans sous ces yeux part jets plus ou moins gros, sous ces doigts qui caressaient le tissu brillant, puis en ouvrant mon jeans pour qu'elle puisse voir le beau boxer changer de couleur, briller, le jet traverser et mouiller ces petits doigts fragiles, les réchauffer... Finalement elle voulu me voir continuer le sexe sorti ce que je fis pour notre plaisir ^^ je réussis alors à maitriser de petits jets, ou plus gros mais en conservant une pression faible pour qu'il ne soit pas trop haut, l'urine retombait sur mon boxer, entre mes jambes dans une belle flaque, sur mon jeans sur mes cuisses, mais surtout toujours sur ces doigts, qui passaient avec une douceur infinie sur mon gland, coupant le jet par moment. La complicité de ce moment était folle, voir ces petits doigts se balader, me soulager, voir son sourire et des étoiles dans ces yeux, vivre ça a deux... Je ne finis pas complètement de me vider à ce moment là, elle eu envie de le faire également. Après avoir protégé le siège nous avons discuté longtemps avec ma mains entre ces cuisses sur son legging noir en coton, sans qu'elle n'arrive à se laisser aller, une envie un peu trop petite, un stress compréhensible de faire en extérieur, avec ma mains sur son intimité etc... Je lui ais alors proposé de nous diriger vers les wc du parking pour qu'elle puisse faire plus facilement assise sur les toilettes ce qu'elle accepta. Arrivé dans les WC, elle retira son legging pour s'assoir sur les wc en culotte, une culotte en coton un peu enfantine, mais sublime. J'ai alors placé ma mains entre ces jambes et rapidement j'ai pu entendre le petit sifflement caractéristique et sentir un flot brulant de liquide intime sur mes doigts, le rêve... Son envie n'était pas énorme, ce n'était pas prévu, mais quel bonheur. Après les dernières goutes et quelques caresses, je me suis léché les doigts devant elle encore assise (nous avions évoqué nos envie de gouter mutuellement peut être un jour par message etc...). Je ne sais pas si elle se rappelle précisément de ce moment mais il me semble qu'elle avait apprécié et que ça lui avait donné envie d'un peu plus ^^ Je me suis finalement reculé pour qu'elle se relève, et une fois debout, j'ai finalement pris l'initiative de lécher sa culotte, ces fesses, sensuellement. Rapidement elle baissa sa culotte pour me donner accès à plus. Je m'empressa alors de lui offrir un anulingus (je savais qu'elle adorait), tout en la caressant. Le lieu n'était pas génial, mais nous n'y prêtions pas attention, le moment lui était tellement sensuel. Son odeur faible d'urine mais très douce, l'odeur de son intimité après une petite journée, tout restera gravé dans ma tête comme étant les meilleurs goût et odeurs de ma vie. Il y eu ensuite un début de cunnilingus debout, mais rapidement quelqu'un frappa à la porte ..... Le gardien du petit parking nous avait vu rentrer dans le parking, certainement vu que nous ne bougions pas de la voiture, puis vu que nous nous étions dirigé vers les WC pour y rester bien trop longtemps... Il aurait juste pu nous laisser tranquilles mais non... Surpris, la première idée fût de tout stopper, attendre quelques secondes puis retourner à la voiture. Je lui ai exposé à ce moment que mon envie était encore importante même si il ne restait presque pas de tissus sec sur moi, et je lui ai proposé de me laisser aller debout devant elle avant de ressortir mais elle préférait retourner à la voiture. A notre sortie des WC personne, ni dans le parking ni devant les WC, c'est sur maintenant c'est juste le gardien qui est venu frapper un coup. Arrivé à la voiture, il est temps de reconduire la demoiselle chez elle. Nous prenons la route, en gardant mon jeans ouvert avec le boxer visible et surtout toujours envie. En discutant pendant le quart d'heure de route, je luis propose de mettre sa main dans mon jeans, qui finalement naviguera aussi dans mon boxer, et à chaque feu ou arrêt assez long, je continuerai de réchauffer ces doigts en discutant et échangeant des regards complices et coquins. Le clou du spectacle fût un jet assez haut le sexe sorti entre ces doigts à un feu, avec au même moment un motard et son passager qui sont arrivé à ma fenêtre conducteur. Heureusement ils n'ont pas regardé dans notre direction mais ce moment provoquât quelques rires ^^. Quelques mètres plus loin je me suis garé pour la reposer, elle mis sa douce main une dernière fois sur moi pour ressentir un nouveau jet frapper sa peau, puis nous nous sommes dit au revoir et séparé, sans idée immédiate de se revoir. Nous avons juste profité du moment présent, de vivre nos fantasmes en partie, d'une bien belle première fois. Pour moi il s'agit du moment d'intimité et de complicité le plus fort que j'ai pu vivre, de sexualité y compris, mais même sans masturbation, ni jouissant, même sans les moments nu, ce fût plus important, impactant, et merveilleux que n'importe quelle jouissance, pénétration etc... Depuis cette première fois j'ai revécu d'autre rencontres, une avec elle, et 3 avec d'autres femmes. La majorité du temps cela s'est limité à moi qui me suis mouillé devant elles, avec ou sans caresses mais sans sexe, et finalement le plaisir est toujours autant présent, ma recherche s'est finalement simplifié, mon objectif étant simplement de partager un moment de complicité, intime, mais sans obligation de rapport sexuel plus important, je dirai même presque en excluant ça, ce qui simplifie aussi le lieu ^^ Voilà ma première histoire, 100% réelle, c'était aussi ma première fois en extérieur pour le coup ^^ le fantasme réalisé et plus grandiose que ce que nous imaginions, maintenant ce n'est plus un fantasme de découvrir ça a deux, mais juste rêve de le revivre dans différentes situations, et de pousser la complicité à d'autres jeux à deux j'espère que ce n'était pas trop brouillon dans l'écriture, il y a du mélange de temps, certainement des fautes mais je n'ai pas le possibilité de relire complètement en cherchant absolument à tout retirer, et pas la possibilité d'organiser mes idées autrement que ci-dessus, étant envahi par des frissons, une boule au ventre, une surdose d'excitation et des souvenirs qui me traversent, qui me percutent... me remémorer cette histoire dans le détail pour vous la livrer me submerge, j'ai fait au mieux pour vous la retranscrire
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Olcas3
Un bien joli récit. Merci. Comme je vous envie....
J'aime 06/08/25
Teddy13
Merci pour le partage de ce moment ! 😍
J'aime 06/08/25
gayscat36
très belle histoire ... j'adore !
J'aime 07/08/25
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