A propos du groupe
Hamadryade
Créateur
Sur ce groupe nous vous proposons de poster vos écrits, fantasmés, réels, imaginaires, crus, pudiques, longs, courts, en prose, en vers, en verlan (mais en français lisible et intelligible par pitié).
Régulièrement de nouveaux thèmes vous seront offerts, vous pourrez d'ailleurs aussi en proposer vous même dans le sous groupe prévu à cet effet, et vous pourrez donc offrir à tous la lecture de vos mots, bande d'obsédé.e.s textuelles que vous êtes ;)
Pas de concours, pas de gagnant, pas de perdant, pas de limite de temps.
Un sous groupe par thème choisi et chacun.e participe comme et quand il ou elle le souhaite. Pour le plaisir des beaux mots et des gros mots, pour le plaisir des sens titillés, des pensées livrées, des vers offerts qui se dégustent avec les yeux et le cerveau.
Laissez courir vos doigts sur les claviers, régalez nous de vos envolées littéraires.
Rêves de femme
Bonjour et ravie de rejoindre ce groupe. Je viens de poster un premier texte. J'espère qu'il vous plaira et qu'il vouos donnera envie d'en lire d'autres.
Soyez la première personne à aimer.
MisterTaurus916
Jamais rassasié de quête, ce sera avec plaisir !
J'aime 03/08/22
Rêves de femme
La ceinture Un long moment elle est restée songeuse les yeux braqués sur les tourniquets du grand magasin qui les exposaient. Insouciante du brouhaha ambiant et de la foule des badauds qui la bousculait. Pendant des heures, elle avait couru les boutiques en quête du cadeau idéal qu'elle voulait offrir à P. pour son anniversaire. Se désespérant d'enfin le trouver. Elle avait bien sûr commencé par aller dans ce sex-shop où ils avaient l'habitude de se rendre. Mais tout ce qu'elle y avait vu lui avait paru si convenu. Si conventionnel sous l'apparent non-conformisme que ces objets affichait. Elle voulait quelque chose d'original susceptible de l'étonner. Quelque chose qui lui soit intime et en même temps qu'ils puissent partager. Quelque chose qui la lui rappelle à chaque instant. Quelque chose qui soit à elle tout en étant à lui. Et là soudain, il lui semblait avoir enfin découvert ce qu'elle recherchait. Un objet si classique pourtant, si courant mais que, se rendit-elle soudain compte étonnée, ils n'avaient encore jamais utilisé. Peut-être à cause de cette banalité qui maintenant en faisait, à ses yeux agrandis d'émotion, toute la rare valeur et l'investissait d'une charge sensuelle peu commune. D'un doigts hésitant, elle fit pivoter le tourniquet le plus proche faisant défiler les ceintures. Les unes très large en cuir brillant et rigide, d'autres au contraire fines et flexibles. Les unes affublées de d'épais ceinturon qui la firent frissonner de crainte, d'autre de boucles discrètes. Certaines en cuir tressée. Laquelle choisir? Elle alla indécise de tourniquet en tourniquet, caressant du bout des doigts les ceintures qui se déployaient, serpents tentateurs, devant ses yeux. A la recherche de l'objet rare qui comblerait ses souhaits. Ses désirs aussi. Comparant les largeurs, les formes, les couleurs, la souplesse aussi. Intransigeante sur la qualité du cuir qui se devait d'être d'une bonne facture. Enfin son choix se porta sur une ceinture d'environ 3 cm de large taillée dans un cuir souple de couleur fauve et ornée d'une discrète boucle dorée finement filigranée. Un moment, elle fit glisser entre ses doigts la mince lanière flexible, appréciant la douce texture du cuir, sa finesse. Oui, il n'y avait pas de doute! C'était celle-ci et nulle autre qu'elle voulait pour eux. Elle est maintenant devant lui. Elle lui tend avec un sourire radieux le paquet. Un peu anxieuse sur sa réaction. Elle le regarde ouvrir avec soin le paquet qui l'enferme. Prenant son temps. A son tour il la regarde alors qu'il sort la ceinture de son emballage. Il lui sourit. Lui dit qu'il est heureux de son choix. Que c'était très exactement ce qu'il désirait pour eux. Il a imperceptiblement insisté sur le "eux" et elle a frémit tout aussi imperceptiblement. Il lui dit qu'il n'en attendait pas moins d'elle. Le ceinture se balance entre eux, lien intangible qui les unit et les fait vibrer à l'unisson d'impatience. Elle le regarde passer l'extrémité tranchée vif de la ceinture dans la boucle métallique et glisser sa main dans l'anneau de cuir ainsi formé. Sans la lâcher des yeux, il fait lentement glisser sa main restée libre tout au long de la lanière de cuir comme s'il voulait en apprécier la flexible rigidité. Elle le regarde faire en frissonnant d'émoi. Brusquement, son bras se détend en arrière et d'un rapide coup de poignet il fait siffler dans les airs la courroie de cuir la faisant sursauter. Elle le regarde maintenant apeurée. Mais elle ne bouge pas. Seuls ses yeux se sont agrandis et brillent davantage. Elle sent au fond de son ventre se nouer une boule d'appréhension. Puis il lui demande de se déshabiller. " C'est bien pour cela que tu m'a offert cette ceinture" lui demande-t-il comme saisi par un doute devant son regard embué de crainte. "Oui, bien sûr", lui répond-elle d'une petite voix. Alors il lui dit d'ôter d'abord son corsage qu'elle doit dégrafer lentement. Il veut l'admirer. Voir son corps se dévoiler et s'offrir lentement. Voluptueusement. Il ne veut pas de précipitation. Il veut que ce soit elle qui se donne. Il ne prendra jamais d'elle que ce qu'elle veut bien lui donner. Règle tacite entre eux qui seule, il le sait, lui permet de s'abandonner complètement à sa loi d'homme. Il ne doit pas la brusquer. D'ailleurs, il n'en a nulle envie. Pas encore du moins. Tout à l'heure oui, il pourra donner libre cours à sa violence amoureuse. Tout à l'heure, il la forcera à livrer le meilleur d'elle même. Quoi qu'il lui en coûte. Tout à l'heure, il saura se montrer intransigeant et sourd à toute indulgence. Mais pas maintenant. Pas encore. Puis il lui dit d'enlever son soutien-gorge. Elle s'exécute sans un mot. Attentive à le satisfaire. Au fond de son ventre elle sent la boule d'appréhension grossir et l'empêcher de respirer normalement. Soudain, elle se demande si elle a vraiment eu une si bonne idée. Son regard ne peut quitter la ceinture qu'il continue toujours à faire nonchalamment balancer entre eux et qui lui paraît subitement menaçante. Effrayante. Un objet si anodin pourtant. Mais qui soudain est investi d'un pouvoir d'une rare intensité. Puis il lui demande de faire glisser sa jupe le long de ses cuisses fuselées. De ne conserver que ses bas. Un moment, les bras le long du corps, elle reste devant lui. Son buste dénudé se souleva rapidement au rythme de son souffle devenu haletant. Des tressaillements parcourent en petites vagues incontrôlable son ventre et viennent mourir au creux de ses jambes qu'elle a légèrement entrouvertes afin qu'il puisse deviner le sillon bien dessiné de son sexe dépouillé de toute pilosité malgracieuse. Elle le laisse s'abreuver de la vision de son corps à la peau si fine et délicate... Sa peau encore intacte et vierge de toute trace. Parchemin où bientôt viendra s'inscrire un nouveau chapitre de leur histoire. L'instant s'éternise. Comme en suspend entre deux états. Celui où elle est encore elle et celui où elle devient lui... Un prolongement de ses désirs. Et où elle n'a plus d'autre volonté que celle de se soumettre. Instant magique à chaque fois recommencé qui la fait trembler d'impatience et de crainte. Alors seulement il s'approche d'elle. L'effleure d'une main légère. Sur sa cuisse, contre son ventre, elle sent la pression de la ceinture. Elle songe en frissonnant que dans un instant le cuir encore froid et rigide va se réchauffer et s'assouplir à la chaleur de sa chair. Elle est maintenant, comme il le lui a demandé, allongée à plat ventre sur le lit, le nez enfoui dans les oreillers et elle attend. Crispée d'angoisse. Elle a si peur. Mais elle sait que cette peur va disparaître. La ceinture repose enroulée sur son dos. Fardeau léger qui l'oppresse pourtant d'un poids énorme. Méticuleusement, il dispose à sa convenance son corps sur le lit. Là encore, il prend son temps. Il la sent d'abord rétive puis son corps se détend et devient docile sous la chaude étreinte de ses mains qui la pressent tendrement et lui insufflent le courage de ne pas renoncer. Il lui fait écarter les jambes. Largement. Son regard glisse entre ses cuisses grandes ouvertes, s'arrête sur son sexe luisant de désir malgré la crainte qui l'étreint toute entière. La prendre ainsi, maintenant, tout de suite. Un bref instant il caresse cette idée qu'il rejette tout aussi vite. Il lui fait étendre les bras. Les étire. Il la prépare avec soin. Elle est son œuvre et il la veut parfaite. Il la veut toute entière offerte. Il veut son corps tout entier offert. Elle se laisse faire subjuguée. Ne pense plus à rien. Qu'à cette force que ses mains sur elle lui communiquent. Délicatement, il noue ses poignets et ses chevilles aux montants du lit. Suffisamment serrés pour qu'elle ne puisse seule s'échapper mais de telle sorte que la corde ne la blesse pas. Elle lui est gré de cette attention. Elle est maintenant attachée en croix sur le lit. Telle qu'il la voulait. Telle qu'elle le voulait. Corps soumis. Corps consentant. Corps frémissant. Si vulnérable dans sa nudité. Il la fouette. Très doucement d'abord. La ceinture de cuir effleure à peine son dos. Telle une caresse perverse. Malgré tout, il la voit se tendre quand la lanière la touche... S'immisce entre ses cuisses... Touche son sexe, se mouille de sa moiteur et se parfume de la fragrance du musc qui sourd de son corps énamouré. Puis plus fort... Plus vite... De plus en plus fort... Elle remue... Se trémousse... Son corps a pris feu sur le lit. Elle gémit... Supplie... S'arc-boute désespérément sous ce déluge qui fait flamber son corps... et la comble... Demande grâce... Le supplie de cesser... De continuer... Encore plus fort... Encore plus vite... Elle ne s'appartient plus... Son corps s'embrase... Elle pleure... Voudrait que cette torture s'arrête... En redemande... Et elle sourit.... Son visage enfoncé dans les oreillers, il ne voit ni ses pleurs, encore moins son sourire qu'il ne peut deviner. Il ne voit que les larges marques pourpres qui maintenant strient son dos et ses fesses et qu'elle arborera tel un trophée de victoire. Il ne voit que son corps qui se balance au rythme de ses coups maintenant déchaînés. Il n'entend que ses gémissements qui psalmodient un chant de bonheur et de douleur. Longtemps il la cingle jusqu'à ce que, épuisé, insoucieux de son dos à vif, il abatte sur elle son corps d'homme. Il s'enfonce en elle qui divague, l'esprit en feu, dans un maelström de souffrance et de ravissement. Il s'enfouit au tréfonds de son corps... Se repaît de la moiteur torride qui l'enveloppe. Il la prend toute entière... La fait sienne... Se l'approprie et se perd en elle... Devient elle comme elle est devenue lui... Unis par le même frénétique emballement des sens. La même euphorie charnelle. Le même désir de faire exulter les corps. Demain, lorsqu'il portera la ceinture autour de sa taille, il pensera à elle... Demain, lorsqu'elle apercevra la ceinture autour de sa taille, elle s'émouvra... Demain, ils recommenceront. Demain, ils reprendront leur quête sans fin. Par Christine Arven (www.revesdefemme.fr)
Jen
Allez du coup je poste un petit acrostiche né d'un "Surprends-moi" lâché par un correspondant. Su… rprends-moi, lui dit-il. Un peu, juste un peu, du bout des lèvres, C’est ça ? En veux-tu plus ? Remplis-moi. Goulue. Ouvre bien ta bouche. Une langue douce, large. Lèche-moi, mordille-moi. Une belle salope. Mêle ta langue à ma queue. Encore, plus vite, plus loin, plus fort. Ne te retiens pas. Titille mon gland. Su…rprends-moi encore. Avale-moi, profondément. Ne ralentis pas la cadence. Savoure. Je ralentis. Coquine. Rythme relancé, soutenu, intense. Il est proche. Encore. Il gémit. Râle. Gicle... Apaisement des sens… en douceur. Retour sur Terre. Elle sourit, heureuse.
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Jen
Autant pour une bonne fellation que pour un texte surprise ^^
J'aime 27/02/19
masque_gris
Partage...
J'aime 04/10/19
vavient
L'ordre venait de tomber, comme un couperet... Lentement, et après s'être retournée, après m'avoir adressé un sourire mutin, qui en disait tellement plus que des mots, elle s'était positionnée sur un canapé, tête en appui sur le haut du dossier, courbée presque à angle droit, et ses deux mains qui la touchaient, ses deux mains qui l'écartaient me montraient le chemin à suivre. Tout aussi lentement, par peur mais aussi peut être pour figer l'instant, je me rapprochais de ces fesses dénudées, splendides collines, courbures parfaites, qu'on ne souhaite que vénérer et surtout pas abimer par un coup de fouet qui serait un sacrilège. Ne pas oublier qui est qui, et qui je ne suis pas, qui elle est et ce qu'elle n'est pas. M'approchant, mon nez, puis ma bouche s'enfoncèrent dans ce terrain repoussant par l'éducation que beaucoup reçoivent, mais exaltant aussi de par le sentiment de franchir un interdit. Bien sur, vous l'avez compris, je parle de ce vallon que peu ont aperçu mais qui ne peut s'oublier pour le soumis ayant ses yeux juste devant. oui, à ce moment, je bascule, je suis un autre, je deviens salope assoiffée de cul, assoiffée de tout ce qu'elle accepte de m'offrir, de sa poitrine de déesse à son intimité à chérir, à nettoyer avec une application parfaite. Et ce soir, je progresse, à pile ou face, je suis le plus chanceux car les deux côtés auront été visité par ma langue agile, souple et gourmande. Assez pavoisé, je me perds...Ma langue sortie lèche délicatement son magnifique anus, "anus" oui, que pourrais je dire d'autre pour elle, pour cette caverne que je ne pourrais jamais posséder par des coups de reins, mais que je dois et devrais désormais honorer des lèvres à la langue ! Alors je parcours minutieusement ce bel anus, je laisse ma langue le contourner, le frôler, puis essayer de le forcer peu à peu, comme si je voulais sodomiser avec ma langue. J'ose croire que Maîtresse aime ma caresse, je veux même m'en persuader, gagner en confiance pour bien faire. Ce moment dure, je suis entièrement soumis, je lèche, je tête, je mange et je la régale, du moins je le désire de tout mon corps, de tout mon esprit. Un moment où mon visage a chaud, ou je transpire par ma conviction à oser. Ce soir, j'ai gouté, j'ai savouré...Pour beaucoup, l'histoire se résumerait à cette phrase : " tu n'es qu'un lécheur de cul" Mais pour moi, j'ai franchi une grande étape...Car ce que je vous raconte la, je ne l'ai jamais raconté ailleurs, car ce que je vous raconte la, c'est simplement sorti de mon imagination, car ce que je vous raconte la, j'aimerais le vivre un jour pour de bon. Et c'est un passé à baigner dans la soumission et l'envie de soumission qui me fait penser que c'est possible, qui l'eut cul ? pardon, qui l'eut cru ?
Jen
Bonjour et ravie de rejoindre ce groupe. J'aurai juste une petite question. Poste-t-on ici des textes inédits, non postés dans les articles? Et pourquoi privilégiez-vous de publier vos écrits parfois ici, tantôt ailleurs? Merci pour vos réponses!
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Lilo
Je croyais que c'était surtout des partages écrits en fonction de thèmes donnés ce qui n'est pas le cas ni sur le MurG ni dans le partage d'articles. Voilà ou j'y trouve un intérêt 1f642.png
J'aime 26/02/19
Jen
Bon ben mince, je ne sais pas trop alors. Madame la créatrice, si vous voulez m'éclairer!
J'aime 27/02/19
Jen
A relire le descriptif du groupe, j'opte quand-même pour la liberté! Reste ma question sur les redites.
J'aime 27/02/19
Lilo
LIMITES... Il s'agit de ma semaine "reprise en main" suite à quelques débordements et laissé aller de part et d'autre de notre lien. Il est 11h45, Shape est partie faire une course rapide. Je souhaite pouvoir poser ma contrainte du jour au sortir de ma douche et lui envoyer une photo avant son retour. Je dois porter, en sa présence, les boules de Geisha. Je suis comme à mon habitude excitée à l'idée de la vivre et de la partager. Une manière de nous sentir encore plus ensemble, sur le même fil, chacun à un bout. Chacun à sa juste place. C'est une contrainte plaisante et simple. Trop, peut être à mon gout ? Il me l'a précisé en voyant mon visage lorsqu'il me l'a demandé : "reprise en douceur, tu verras bien assez vite pour la suite Lilo." Je sais déjà que je veux le faire sourire, le surprendre. C'est en moi, je ne peux m'en empêcher, le jeu, toujours le jeu. Sérieuse, appliquée, oui, mais avec l'imagination débordante qui court bien plus vite que la réflexion ne peut la rattraper. Et toujours ce plaisir aussi de flirter avec les limites ... J'y suis, positionnement sur le lit, pattes en l'air, mon vernis sur mes orteils est à refaire! Les deux boules brillantes en main. Elles sont fraîches, je les promène sur mon visage, souris à le voir déformé dans leurs reflets, la boule du bas se promène sur une joue, puis sur l'autre. Je la fais rouler sur mes lèvres, l'aspire bruyamment dans ma bouche. Je fini par les balader sur mon ventre. Et là j'ai l' idée... J'en introduis une dans mon anus et l'autre dans mon vagin et lui envoie la photo qui s'impose avec un petit mot moqueur : "Pas de précision sur comment les porter, j'ai fait comme j'ai pu ;) ! ". Je suis comme une gamine, contente de ma bêtise. Et apprécie les sensations que cela me procure un bref instant. Bon, il est tant à présent de remettre le tout au bon endroit. Seulement souci !!! La première boule introduite, à adopté son nouvel étui. J'ai beau tirer sur la ficelle, rien à faire, elle se refuse de sortir. Une suée me gagne lorsque je me rends compte que je ne sais plus rien coordonner de mes efforts pour l'extraire. Mon imaginaire se met en branle. Je n'ose plus tirer sur la cordelette de peur qu'elle ne se casse et que cette foutue boule n'aille jouer au flipper avec mes boyaux. Panique à bord !! Il est 12h10, il va arriver. Je me lève du lit avec cette boule en moi, l'autre pendante et se balançant entre mes cuisse, avec une démarche du style "Kinder pingouin" pour rejoindre mon ami "canard WC" ! J'ai honte et toute seule !! Une fois sur les toilettes, il me faut retrouver mon calme, pour savoir comment pousser. Manœuvre qui semble pourtant évidente pour le commun des mortels dans le besoin, mais si laborieuse pour moi à cet instant. Je ne rigole plus du tout. Je me dis, qu'il va falloir un jour que j'arrête de toujours trouver le petit plus à la con . De drôles d'images et de vagues souvenirs de mes cours d’accouchements me reviennent, ainsi que le pipi en prime sur la main... Je re-pousse, je re- tire et récupère enfin la boule de mon délire. Je suis soulagée et pars seule en crise de rire, gardant tout de même en tête les réprimandes auxquelles j'aurais eu le droit si Shape avait du s'y coller ;)).
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Lilo
Sur le moment ma volonté n'est pas de mal faire, ou d' outrepasser les ordres et demandes ou de sortir du cadre. C'est plus fort que moi, l'amusement et cette petite pointe de provocation priment et prennent le pas sur le reste. Je ne pense plus dans le bon sens ... Et HOP, j'me trompe de trou 1f642.png)
J'aime 28/01/19 Edité
Lotine
Mouhahahaha J'aurais aimé voir la tête de Shape si il avait fallut qu'il s'y colle comme tu dis... N'empêche je vois bien le moment de panique où tu tentes de te raisonner et où quand ça veut pas, ça veut pas.... Juste comme ça ma Lilo, parce que tu as l'imagination débordante, les narines et les trous d'oreilles sont pas conseillés non plus hein ^^
J'aime 28/01/19
Lilo
Bah pas moi.Chez Shape, Il y aurait eu un tout mélangé , l'inquiétude en premier lieu, l'agacement ensuite, et surement la sentence et moi en parallèle une culpabilité terrible de l'avoir déçu et la trouille débile qu'il ne m'aime plus autant.Affreux à vivre, j'préfère utiliser du destop . Pour les oreilles et le nez Bah... comment dire ... euh... Déjà testées avec des petits pois . Bah pas top 1f642.png (je précise, j'ai commencé jeune très jeune à la cantine !)
J'aime 29/01/19 Edité
Diab
ahahaha toujours besoin d'un petit pois chez soi.... plus facile à maitriser qu'une Geisha.....
J'aime 29/01/19
Lady Hydre
Sacré , Lilo , tes boules valent de l'or maintenant , merci pour se sourire matinal 1f642.png
J'aime 29/01/19
Shape
Madame plus sait s' occuper, mais contrainte bien respectée et maîtrisée
J'aime 31/01/19 Edité
Jen
J'ai ri et j'ai flippé avec vous!
J'aime 25/02/19
sensible
Quoi dire ? que dire demain ce soir que dire demain j espère pourvoir dire mais la maintenant je ne sais que dire et pourtant j ais envie de dire dire quoi à qui qui va me dire quoi dire comment dire l envie de dire dire son envie de dire sans que des dires ne comprennent mes dires dire que j écris sa sans vouloir rien dire promit je ne dis plus rien .Sourire
en quête d'une nouvelle relation avec un maître d'expérience. merci pour votre attention .:.
Elle.a
Qu'en termes poétiques tout ceci est fort bien dit :smiley:
sensible
Délire des dires . que dire demain ? ce soir que dire ? demain j'espère pouvoir de dire ? mais la maintenant je ne sais que dire ? et pourtant j'ai envie de dire ?dire quoi à qui ? qui va me dire quoi dire ? comment dire l'envie de dire ?dire son envie de dire ? sans que des dires ne comprennent mes dires ? dire que j'écris sa sans vouloir rien dire ? promis je dis plus rien
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sensible
Waou ,je ne sais pas écrire des pavés . D'un feu de brindilles de mon fantasme, je l'alimentai sans le savoir, ce feu de brindilles devient un feu plus intense en moi, une envie de me bruler de mon feu intérieur, le fantasme passe au réel et mon feu est ardent, tellement fort qui fait peur parfois, nombre d'eaux glacées j'ai reçues pour calmer l'ardeur de mon feu, ils m'ont servi, je calme mon feu intérieur, il est le présent chaud prêt à servir la Dame qui saura se réchauffer auprès de mon feu. Ma Prêtresse connaitra la limite de mon feu sourire .
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nounours_soumis
joli texte
J'aime 20/01/19
sensible
nounours_soumis, merci à toi
J'aime 20/01/19
sensible
e continue ma route mon chemin a la recherche de celle qui serat ma Dame Je décide de m'allonger là au pied de l'arbre fouet, je ne le connais pas mais beaucoup mon ont dit du bien. Je m'installe le murmure de ces fouets fait une douce musique à mes oreilles un fantasme qui ce réveille et adoucit ma fatigue J'arrive à m'endormir , mon âme s'évade sous leurs doux sons . Je suis réveillé par un bruit de claquement, je ne distincte pas qu'elle est le son, je me redresse et reconnais le claquement des cravaches et un plus fort elles sont accompagnées par des plades Je me lève pour suivre ce son il est assez lointain, je marche à sa recherche, un autre bruit m'attire dans une petite vallée je suis un petit chemin qui me fait descendre la montagne et là je m'arrête d un coup pour suivre la danse le bal des pinces, elles sont de toute sorte à linges Japonaise mais leur pincement me fait vibré J'ai une envie de rester la un moment humm Je sais qu'il faut que je reparte mon chemin est long Je continue ma monté toujours a la recherche de la Dame Je fatigue, je voie une drôle forêt je m'approche doucement, je tombe sur des arbres Shibaris leurs liens font un décor magnifique Je me demande comment passer à travers, je m'approche et voie un chemin à travers Je prends en mémoire tout ce je peux des formes que peut créé cet art c'est magnifique . je continue ma route dans cette forêt il y a une petite clairière avec des bruits que je connais je m'en doutais la clairière des plugs godés ceinture qui s'amuse à sonder les petits trous du sol je sens un drôle sentiment, je lève les yeux et admire une nuance de lumière qui m'attire je continue ma route et ma grande surprise je croise un homme je lui demande quel chemin il suit, il me répond celle de la lumière je lui dis mais quelle cette lumière qui me pousse aussi à la suivre il me répond c'est celle de tout soumis cette lumière n'est autre que la DAME à qui tous les bruits des sensations et objet que tu a croiser lui appartienne je sais que il faut que je la rencontre pour lui donner mon âme je sais que le chemin est long j y est déja laisser des larmes et de l épuisement je sais aussi ce que moi j ais envie alors je gravirai toutes les montagnes .
Hamadryade
Merci de prendre vous aussi la plume @Shere-Kahn
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Hamadryade
Bon je révise ma copie, ce thème m'a amené à l'écriture d'un texte bien trop long qui allait finir par ressembler à un minable remake d'Eyes Wide Shut :( Du coup, petite solution de facilité, déloyale je vous l'accorde, je décide de continuer sur la lancée de cet article publié ici en juin 2017 : https://www.bdsm.fr/blog/3763/r%C3%A9cit-fictif-d%E2%80%99un-d%C3%A9but-de-lien-imaginaire/ C'est un peu la faute du prêtre de Pamphile hein ;) (comment se défausser de toute responsabilité face à sa propre fainéantise et son manque d'imagination ^? *** "Sur le chemin nous menant à sa voiture il me glissera à l’oreille 6 mots qui y résonnent encore : “J’avais pris la place du curé” … Et nos premiers instants de Maître et soumise commencèrent ainsi …" Le trajet en voiture se fit dans un silence presque religieux, tendue, impatiente aussi, je rêvais à tous les possibles qui m'attendaient une fois franchie la porte de chez lui. Déjà sa main, légitime propriétaire de mon corps se glissait entre mes cuisses que je ne pouvais ni ne voulais tenir refermées. Il prenait ainsi possession de son nouveau bien, le fouillant à sa guise, en jugeant la réceptivité et la docilité. Sans un mot, les yeux toujours fixés sur la route, il s'insinuait en moi, imprimait la marque de ses doigts sur la chair de mes cuisses, s'appropriant ce corps que j'avais choisi de lui offrir. Le trajet ne fut pas très long jusqu'à son domicile, mais mon désir de lui avait déjà laissé des traces humides sur ses doigts. Présentés à ma bouche, toujours sans un mot, mais aussi sans équivoque possible, j’obtempérais et les léchais consciencieusement, m’imprégnant ainsi de ma propre odeur et du goût légèrement salé de mon intimité. À peine la porte franchie et refermée sur nous, je me mis à genoux devant lui, baisant ses pieds avec dévotion. Il me laissa faire, et après quelques instants il m'invita à me redresser. Je connaissais déjà les lieux, mais c'était la première fois que je pénétrais chez lui en étant sa soumise. Tout me semblait différent, la solennité de l'instant transformait mon regard et mes perceptions. Mes yeux furent attirés par un nouveau meuble, trônant en belle place au milieu du salon. Promesse d'expiation à venir, mon esprit vagabonda, tentant d'imaginer ce qui m'attendait. Le temps de me laisser déposer mes affaires, mon Maître alla s'asseoir dans le salon. Un joli coussin était posé à ses pieds. Lors de nos discussions, j'avais appris à savoir qu'il appréciait boire un thé à cette heure de la journée. Je lui demandais l'autorisation de me rendre en cuisine et, une fois obtenue, je m'employais à faire chauffer l'eau et à préparer la théière. Je revins vers lui tenant le plateau entre mes mains. J'avais simplement déposé ma veste mais, n'ayant pas reçu de consignes particulières j'avais conservé ma jupe et mon chemisier, ainsi que mes talons. Je pris place à genoux sur le coussin, posais le plateau sur la table basse située devant nous, et après avoir réchauffé la tasse, je servis le thé. Je lui présentais sa tasse, tête baissée, bras semi tendus et j'attendis patiemment qu'il la prenne. La chaleur du liquide réchauffait la porcelaine et me brûlait légèrement les mains. Pour autant je ne bougeais pas, attendant, une fois encore, d'obtenir l'autorisation de me servir à mon tour. Nous avons pris le temps de déguster notre thé tranquillement. La conversation repris. Il me félicita pour mon obéissance à ses demandes formulées plus tôt dans la journée par sms. Il me parla de ce moment particulier passé dans le confessionnal. De mes mots, de ce que ces derniers laissaient transparaître de l'acceptation de ma nouvelle condition. Puis brusquement son regard changea, il posa sa tasse, et d'une voix transformée, autoritaire, il exigea que je m'agenouille sur ce meuble découvert à mon arrivée. Un prie-dieu. Il était majestueux, son assise recouverte d'une lourde tapisserie, ses boiseries sculptées, tout en lui rappelait la puissance d'une église que je n'avais jamais porté en odeur de sainteté. J'y pris place, en joignant inexorablement mes mains en une prière à mon Divin. Monsieur vint à côté de moi. Toujours en silence il écarta mes genoux d'une main ferme, l'appuya sur mes reins pour en forcer la cambrure, et releva d'un geste sec jusqu'au haut de ma croupe la jupe qui lui dissimulait mes fesses. Il descendit ma culotte, la laissant, telle une entrave dérisoire, reposer au bas de mes cuisses. Attrapant mes cheveux, il me força à redresser la tête, et dans un souffle il me murmura à l'oreille "Récite !" Réciter ma prière, celle que j'avais écrite pour lui, mots de dévotion et de soumission, mots d'acceptation de ma condition de vestale au service de son Dieu. Ma voix sortie rauque de ma gorge nouée par le désir et la religiosité toute particulière de ces instants. "Mon Maître Vous qui guidez mes pas, Que Votre domination soit établie, Que Votre volonté soit respectée, Que Vos désirs deviennent mes évidences, Que ma vie Vous soit dévolue. Offrez-moi aujourd'hui mon châtiment quotidien, Pardonnez-moi mes offenses, Qui me blessent et me déshonorent, Éloignez de moi toute mes errances, Délivrez moi de mes erreurs passées." Il avait pris place devant moi et dans un geste de pure possession il avait arraché les boutons de mon chemisier et sorti mes mamelles de leur carcan de dentelle. Ses doigts commencèrent à pincer et étirer mes tétons déjà tendus de désir. Je ne pus réprimer un gémissement où la douleur se confondait déjà avec le plaisir. Allumant en moi un brasier que je ne voulais plus voir s'éteindre. "Continue ma douce..." J'obéis, les mots coulaient de ma gorge, tout comme mon désir s'écoulait de mon con. "Car c'est à Vous que j'appartiens, Votre puissance et Votre force, Votre domination et Votre Souveraineté, Me montrent chaque jour le chemin, De ma totale appartenance. Par cette prière que je Vous adresse, Je me soumets à Votre volonté, Je Vous reconnais pour Maître incontesté, Et chaque jour ainsi, à Vous, mon Seigneur et Maître, Je renouvelle mes vœux d'absolue soumission. Vous êtes mon Souverain, Je suis Votre soumise, Je Vous obéis et Vous vénère, Je ne peux exister loin de Vous, Je Vous aime au delà de tout. Je suis à Vous." Mes yeux étaient clos, ma dévotion envers cet homme se mêlait inexorablement à mon désir de le voir outrepasser toutes les limites d'une morale imbécile. À la fin de mon Ave Dominus Nox au Dieu de mes enfers brûlants, il releva mon visage vers lui, glissa un large et lourd collier d'acier à mon cou, et déposa un doux baiser sur mes lèvres. Repassant derrière moi, il me fit basculer vers l'avant. Le corps en appui sur le haut du prie-dieu, cuisses écartées, intimité offerte, il me fouilla brutalement, s'insinua en moi, pénétrant de ses doigts possessifs tant mon ventre que mes reins. Pleine possession, préemption légitime et espérée, envahissement de mon corps pour me découvrir acceptante de ma condition d'esclave de plaisir. L'emprise fut immédiate, la pénétration évidente, mon cul s'offrant à lui, désireux, avide, ouvert. Puis se retirant brutalement, une claque magistrale vient s'abattre sur mon fessier offert. Une seule claque, brutale, bruyante, dure, possessive. Il ne posa pas de laisse à mon collier, mais attrapant mes seins à pleines mains, il me redressa et avec un léger sourire aux lèvres il m'indiqua le chemin de la chambre. Ma jupe retroussée, mon corsage arraché, mes mamelles exposées, toujours en équilibre sur mes hauts talons, ma petite culotte entravant mes pas, je croisais les mains derrière ma nuque et je me dirigeais docilement vers la chambre. Arrivée devant cette dernière, il m'immobilisa d'un mot. Un bandeau vint se poser sur mes yeux, je ne verrais donc pas ce qui m'attendait derrière cette porte. Il passa devant moi, et tirant sur un de mes tétons, il me fit avancer vers l'inconnu. Une fois immobilisée, il se fit un devoir de me dévêtir complètement. La lame d'un couteau vint déchirer la dentelle de mon soutien-gorge, il fit de même avec cette culotte qui entravait mes pas et fit glisser ma jupe le long de mes cuisses. Mes bas eux aussi eurent à subir la lame du couteau. Une fois mise à nue, il me retourna, et m'allongea sur une surface dure et froide en bois. Mes poignets furent attachés en hauteur, mes cuisses écartées et mes chevilles fixées aux pieds de ce que je devinais être une croix. Ma piété, une fois encore était saluée, écartelée sur la croix, suppliciante en devenir. Je sentis alors la douleur d'une première pince qui se refermait sur mon téton, je ne pu retenir un cri de douleur. Une seconde mordit immédiatement après dans l'autre téton. La chaîne froide qui les reliait fut déposée entre mes lèvres, m'imposant de minimiser au maximum mes mouvements au risque de provoquer des douleurs déchirantes dans mes seins. Ainsi immobilisée, offerte, je ne pouvais qu'attendre, espérant tout autant que redoutant, ce qui allait m'être imposé par la suite. Je l'entendis se déplacer dans la pièce, le bruit significatif du déclencheur m'apprit qu'il immortalisait l'instant en des millions de pixels. Il posa l'appareil et continua à évoluer autour de moi. Aveuglée, attachée, même si ma confiance en cet homme était totale, je ne pouvais m'empêcher d'éprouver une véritable appréhension en imaginant ce qui allait suivre. Je lui avais confié lors de nos échanges, ne pas connaître mes propres limites. Non pas que je me refusais à en avoir, mais j'étais incapable de les identifier. Beaucoup de choses m'attiraient, d'autres m'effrayaient, mais aucune ne me semblait pouvoir être posée en limite avant d'en avoir découvert les sensations. La suite m'était donc totalement inconnue. Un chuintement rapide dans l'air m'appris que les lanières d'un martinet allaient s'écraser sur ma peau quelques millisecondes avant d'en ressentir la première caresse sur mes cuisses. Le ballet commença, alternance de coups retenus et plus appuyés. Le martinet courait sur ma peau, la réchauffant, m'échauffant, m'électrisant. Les lanières progressaient doucement vers le haut de mes cuisses, frôlant parfois mon mont de vénus. Puis un premier coup s’abattit sur mon sexe, mon tressaillement me fit tirer sur la chaîne entre mes lèvres et la morsure des pinces sur mes seins s'accentua encore. Les coups s’abattaient en un rythme régulier mais de plus en plus appuyé. Immobilisée par les attaches, je tendais malgré tout mon con vers ces caresses, gémissant en accord avec leur danse. Très vite mon excitation me porta à la limite de la jouissance, je ne pouvais retenir les mouvements de mon bassin qui accompagnaient ceux du martinet, je gémissais et le suppliais de continuer, de ne pas s'arrêter. Percevant l'approche de ma jouissance, il cessa brusquement ces divines et douloureuses caresses. Il était trop tôt encore... Ma respiration ne se calmait pas, les mouvements de mon bassin continuaient, indécents, vulgaires, avides. Mon corps réclamait son dû, il voulait sa libération et tentait de l'exiger au mépris de mon humiliation. Mais ce ne furent pas d'autres lanières qui se mirent à m'arracher des gémissements de plus en plus rauques et bruyants. Non le martinet avait été abandonné au profit d'un délice encore plus brûlant. La chaleur de la cire. Monsieur connaissait mon attirance pour ces pratiques, mon amour de ce feu qui coulait sur mon corps et me réchauffait intensément. Il en recouvrit mes cuisses, mon ventre, mes seins, mes bras. J'avais perdu toute retenue et j'ondulais sous la chaleur qui m'envahissait. Et je le suppliais de m'offrir ma délivrance. Et alors que je ne l'espérais plus, alors que j'imaginais devoir subir des heures encore le supplice de la chasteté, il laissa s'écouler sur mon sexe ouvert et avide une grande quantité de cire brûlante. Ma réaction fut immédiate et la jouissance m'envahit m'arrachant des cris synonymes d'un plaisir terriblement intense. Je réalisais que j'avais laissé tomber de mes lèvres la chaîne qui reliait les pinces de mes tétons. Il les avait retirées durant mon explosion et ses mains possessives les avaient remplacées sur mes mamelles. Ses doigts s'y enfonçaient, meurtrissant les chairs, les malaxant, les étirant. Je gémissais, suppliais, remerciais, réclamais encore, réclamais la fin, le priais de continuer. Je ne me contrôlais plus, j'avais abandonné mes repères et laissé choir mes barrières. Il jouait de mon corps à sa guise et rien ne pouvait l'empêcher de continuer ainsi encore et encore. La nuit allait être longue et riche de mille autres plaisirs.
Hamadryade
Whaou, merci Elle.a pour ce texte. J'y retrouve de vrais morceaux de toi et je me prends à imaginer ce prêtre, suspendu à tes désirs, ange déchu tombé en disgrâce mais retenu chez les humains par les liens de ses pensées impies... Pour toi
Hamadryade
Sourire, je fréquentais il y a bien longtemps le 164 boulevard de la liberté dans la même ville ;) Merci pour ce premier texte inaugural de ce nouveau groupe, la lecture est fluide. J'ai apprécié.
Soyez la première personne à aimer.
Elle.a
Tu es là, devant moi, emprunté dans ton jean et ta chemise, sans l'uniforme qui te sacralise. Ta robe est loin, elle t'aurait désigné entre mille, non autorisé à venir discuter en terrasse avec une femme. Le port de ta tête trahit le col romain, cette hauteur, cet orgueil de ta charge. Tout à l'heure, tu seras nu, enchaîné, à 4 pattes. Rien ne te sera épargné de la satisfaction de tes désirs impies. Tu seras fouetté, et ton anus sera fouillé sans ménagement. Je serai Maitresse de ton corps, te contraignant à toutes les positions, à tous les jeux pervers, mais aussi celle de ton esprit, te forçant à descendre de plus en plus bas dans l'exploration de ta jouissance, de l'humiliation de ta soumission. Car c'est ainsi, tu es prêtre et soumis. Mais pas n'importe quel prêtre... Tu as choisi la tradition, la messe en latin, le dos tourné à l'assistance, dans ta soutane qui te désigne comme gardien d'une église qui refuse la modernité pour guider ses fidèles. Et tu es soumis... Tes passions charnelles te mènent à des rencontres loin de ta ville, loin des regards qui te reconnaitraient. Tu cherches cet enfer de l'appartenance à une femme, à lui laisser tous pouvoirs sur toi, sur ta libido, sur tes fantasmes. Tu aimes la douleur, le plaisir, ta chair qui vit sous les coups et les caresses. Ton sexe est libre de contrainte, il tressaute, il coule, il frémit et il explose quand enfin, tu y es autorisé. Pour elle, il n'y a pas de limites à son envie de t'animaliser, à te faire oublier ta condition d'élite spirituelle. Prêtre et soumis... La tête et le corps. Le spirituel et le charnel. L'élévation et l'avilissement. Tu vis double et tu ne peux abandonner ces deux parties de toi. Tu souffres de cette dualité, tu ressens le feu de ta culpabilité quand tu remontes l'allée de ton église, sous le regard des fidèles, quand tu célèbres la messe, quand tu confesses tes paroissiens. Et plus encore seul, à genoux, devant ton Dieu. Prêtre et soumis... Plus qu'homme et moins que chien.
Hamadryade
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Hamadryade
Premières propositions FEU par LIMITES par Shere-Kahn PRÊTRE par Pamphile Ce sera donc le premier thème de ce nouveau groupe
Hamadryade
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