La question est dans le titre.
Ce 10 juin 2023 à 10h20 le nombre de membres était compris entre 64 646 et 142 162. Le nombre exact est probablement plutôt du côté de la borne inférieure, donc disons 80 000, à la louche. Sur ces 80 000, il n'y en a que quelques dizaines qui écrivent régulièrement sur le forum (disons 40 soit 0.05 % ...). On peut monter à quelques centaines si on compte ceux qui écrivent occasionnellement ou une seule fois (disons 400, soit 0.5%).
Les % mentionnés sont peut-être un peu plus élevés si l'on retire les comptes existants mais quasi-inactifs (mais, quoi qu'il en soit, ces % sont faibles).
On peut supposer que sur les 99.5% qui n'écrivent jamais, quelques % aimeraient bien le faire, au moins occasionnellement, mais ne le font pas. Pourquoi? (si vous êtes dans ce cas, bienvenue, c'est l'occasion d'écrire pour la première fois :grinning:).
On peut aussi supposer qu'une partie de ceux qui écrivent très rarement aimeraient bien le faire un peu plus.
Inversement, une partie de ceux qui écrivent régulièrement sont infatigables, jamais à cours d'énergie, jamais découragés malgré des réactions parfois "décourageantes". Quelle est la motivation ?
Je ne donne pas mon point de vue personnel, du moins pour l'instant, pour ne pas orienter les réponses, mais je peux dire que j'ai fait partie (successivement) des différents groupes, d'abord ne contribuant jamais, puis timidement un peu, puis un peu plus, puis, récemment, de moins en moins, donc je peux comprendre différents points de vue. Pour chaque période, je pense en connaître la raison, au moins approximativement.
Il n'y a pas de mauvaise réponse: c'est subjectif, donc votre avis, quel qu'il soit, est forcément le bon.
#Femdom
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Han Dan
Sur un chantier
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02/08/22
Tu as ce désir d'abandon, dobéissance de vénération afin détancher ton besoin de soumission, esclave pour ton plaisir.
Tu te reconnais ? Alors dialoguons. Peut-être te conduirai-je sur ce chemin escarpé mais épanouissant du don de soi aux pieds de ta Princesse .:.
pour des rencontres sympas et sans prise de tête... pas de jaloux svp et pas non plus de mecs qui confondent femmes libertines et service social :)
j'aime bien m'amuser aussi avec un couple si la miss est bi
tout en aimant parfois être docile ou dominante je ne me considère pas comme une "dominatrice" ou une "soumise" cela ne représente pour moi que des situations érotiques .:.
Le soir était tombé. La nuit, promesse de plaisirs épicés, offrait déjà son tapis d’obscurité. Une première bougie sur une table basse en bois illumina soudainement la pièce. La lumière hypnotisait déjà par sa beauté et sa grâce naturelle. Une jumelle l’a rejoignit très vite bientôt suivie de trois autres. Une chaleur nouvelle se dégageait de ce pôle de lumière qui rompait les ténèbres envahissantes.
Se faisaient face deux personnes à la lueur des chandelles. Lui, debout, parfaitement immobile, ne portait rien mis à part une de ces prisons qui le privait d’exprimer son désir. Devant ce tapis lumineux, il attendait son bon vouloir. Elle, debout en face de lui, le regardait avec gourmandise, le détaillant, imaginant mille tourments. Se saisissant d’une longue corde qu’elle gardait doublée en la pliant en deux, elle entreprit de faire, au dessus de son poignet, un tour, puis deux et enfin trois avant enfin de nouer les deux morceaux d’un nœud savant. Le poignet se retrouvait ainsi soumis à la volonté de la corde et par là-même de l’attacheuse. Elle le plaça ainsi dans le dos et le remonta en s’aidant d’un enroulement autour de l’épaule. Lui ne pouvait rien voir de ce qu’elle faisait, mais sentait que la pression ferme de la corde l’immobilisait irrémédiablement sans nul doute. Retenant son souffle, il savait par avance que cela ne faisait que commencer.
Quelques minutes plus tard, l’autre poignet subit le même sort, d’une deuxième corde aussi longue. Les deux gardiennes de coton se rejoignirent alors dans un entrelacement sensuel autour de son buste à lui. Un ballet se dessinait, enserrant davantage encore son buste et ses bras. Fière de ce premier résultat accompli, elle ajouta pourtant une troisième corde à son œuvre qu’elle prit grand plaisir à passer entre ses cuisses, serrant fermement afin qu’il en ressente la morsure à chaque mouvement. Elle ne se départissait pas de son sourire espiègle, tout en restant concentrée sur sa tâche, tournant et retournant autour de lui. Ses mains n’étaient pas pressées et s’amusaient à frôler sa peau. Lui, ne pouvait s’empêcher de la dévorer des yeux en suivant sa progression, en ressentant les tours et détours si électrisants. Elle acheva enfin son œuvre en lui menottant les chevilles d’une nouvelle corde. S’écartant de lui un instant, elle l’admira ainsi paré, prenant le temps d’apprécier le spectacle qui s’offrait à sa vue.
Prise d’une idée soudaine, elle l’abandonna un instant, le privant de sa vue. Elle devinait ses interrogations, ses appréhensions, son excitation. Elle avait choisi cet instant justement pour dévoiler une tenue qu’il ne connaissait pas encore. Il la vit paraître, ainsi vêtue d’une longue robe de dentelle noire fendue sur le côté, dont seule, l’obscurité, pouvait dissimuler quelque chose. Elle avait aussi choisi de porter de très hauts talons gainés de cuir afin de lui emballer les sens ce que ses premiers gémissements confirmèrent. Elle s’approcha de lui, le frôla, encore et encore, suscitant son désir par sa proximité et ses mains s’égarant sur lui. Insaisissable, elle tournait et tournait encore autour de lui telle une prédatrice autour de sa proie, lui faisant humer son parfum si envoûtant. Ce soir-là, elle n’était que sensualité, provoquant de nombreux tourments contre les saillants de sa, si étroite, cage. Impuissant, il subissait sans mot dire, ne laissant échapper que quelques plaintes étouffées.
Satisfaite de ce qu’elle avait provoqué, elle lui détacha finalement les chevilles, afin de l’aider à s’agenouiller devant elle. Evidemment, l’ensorceleuse se plaça tout contre lui, le laissant poser sa joue contre elle. Grisé de l’instant, il ne put se retenir et glissa sur le dos, à terre. Sa proie, ainsi offerte promettait de délicieux jeux. Elle continua à le tourmenter de sa sensualité. Elle savait pertinemment qu’elle l’enchainait à elle, ainsi, bien plus efficacement que le moindre morceau de métal. Elle s’agenouilla finalement à sa tête, l’entourant de ses cuisses. Consciente de l’effet qu’elle provoquait, elle s’en amusait, le laissant si proche d’elle sans l’atteindre. Le temps s’était figé.
Le plaisir illuminait le regard de la belle. Elle ondulait par vagues juste au-dessus de sa bouche. Découvrant délicatement un sein, elle caressa ce dernier, puis, le surprenant, lui fit goûter. La langue timide de l’homme découvrit tendrement le sucré de sa peau, lui faisant clore les yeux gourmands. La scène, hors de la réalité, baignait de cette grâce qui n’est possible que lorsque deux êtres se rencontrent dans le vrai sens du terme. Joueuse, elle dénuda son autre sein et lui imposa le même supplice qu’au premier. Balayant les heures de douleur sous les multiples coups de cravaches, elle lui apparaissait comme le trésor qu’il avait tellement recherché. Inspirée par son chaleureux désir, elle lui fit alors toucher au paradis en le laissant la respirer. Il sentait son plaisir. Son humidité grandissante appelait avec force ce contact désiré.
Le ciel s’emplit d’étoiles lorsque, enfin, il l’atteignit…
Divine découverte…
Cadeau inimaginable…
Communion de deux êtres…
Elle le ressentait, elle vibrait…
Il lui appartenait déjà sans aucun mot émis…
Quelle délicieuse obscurité….
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