Je viens de publier mon article n° 300. j'adore écrire...mais sans forcer. C'est très amusant de créer des personnages, de rentrer dans leurs histoires et de les laisser vivre leurs vies imaginaires.
Avec le recul, c'est étrange, je me demande comment j'ai pu écrire tout cela, sans tabous, sans idées préconçues comme une liberté.
J'aime bien "travesti dominatrice", "cuisses croisées et bien serrées", .. et tant d'autres. Je ne les aimes pas toutes. La raison en est que l'on ne sait pas ce qui va sortir. J'ai essayé IA suivant des idées, mais le résultat est très décevant. Rien ne vaut de suivre ses doigts et de raconter une histoire en même temps que l'on écrit, sans schéma, sans but, juste " voir ". Trop drôle parfois. Il n'est pas possible de tout publier. Même sur un site aussi libre que bdsm.fr.
Non, ce ne sont pas les 300 glorieux spartiates des Thermopiles. Juste des mots. Une seule certitude: la liberté s'use si on ne s'en sert pas. C'est la devise d'un canard que l'on trouve en kiosque. Et j'aime cette devise.
