Bonjour à tous,
Je suis Guillaume 36 ans de Lille (Nord de France). Je suis Dom et je cherche une Soumise. Je suis célibataire depuis 2020 (et oui notre amie covid a eu raison de mon couple) sans enfant.
Voilà pour la présentation basique. Si vous voulez discuter...
🪶 **Quel est le rêve qui vous tient le plus à cœur ?**
Je pose cette question ici, non pour obtenir une pluie de réponses rapides, mais pour peut-être déclencher un écho chez d’autres.
Ce matin, je me suis réveillé encore imprégné d’un rêve à la fois troublant, émouvant et… délicieusement dérangeant.
J’y étais placé dans un **univers de pensionnat**, un peu hors du temps. Pas une école militaire, non… plutôt un lieu feutré, silencieux, chargé de règles implicites, où l’on obéit avec un mélange de crainte et de gratitude.
Il y avait **des figures d’autorité féminines** — douces mais strictes. J’étais réduit à une version plus fragile de moi-même. Peut-être un “moi intérieur”, plus jeune, vulnérable, presque enfantin dans son ressenti. Il y avait des codes, des tenues imposées, des punitions ritualisées.
Une scène en particulier m’a marqué : celle où, sans brutalité, on me prenait par la main pour m’amener au coin. Un coin réel, dans une salle nue, froide, le regard fuyant, les oreilles en feu. Humiliation consentie. Silencieuse. Supportée.
Et plus tard, une autre scène, bien plus vive, plus intense. Une punition douloureuse, méthodique, avec des mots choisis, prononcés lentement, presque comme un soin.
Mais j’en avais les fesses striées de rouge, et la pluie de coups de badine ont tellement brûlé mon arrière-train qu’il n’a pas été possible de m’asseoir par la suite.
Et pourtant… à chaque coup reçu, c’était une brûlure douloureuse, mais bien méritée, et en moi, je ressens une profonde gratitude pour cette expiation.
Je me souviens que quand cela m’est arrivé dans le réel, une part de moi remerciait silencieusement. Comme si, à travers cette douleur, je pouvais offrir quelque chose de moi-même en retour.
Ce n’est pas "juste du BDSM" — c’est plus profond. Une dynamique émotionnelle, un besoin de lâcher prise, de retour à un cadre, à des repères. De me fondre dans un univers où je n’ai plus à décider.
Et dans cette perte de contrôle... je me sens entier.
Et vous ?
Quel est **votre** rêve secret, celui qui vous trouble, vous appelle parfois dans vos songes ?
Pas forcément sexuel. Mais celui qui vous expose. Celui que vous n’avez encore confié à personne.
Je serais touché de lire vos mots.
Dans un post du murgé décrivant une relation dite CNC, j'ai lu dans des commentaires polémiques, le rappel du consentement, de la bienveillance, du respect en étendards éthiques et le safeword et la communication comme remparts aux dérives.
Je ne vois pas comment on peut lâcher prise, et le pouvoir, être sous emprise (parce que sinon je ne vois pas bien à quoi on joue, ou plutôt je verrais bien qu'on joue) en réclamant le respect, la bienveillance et le consentement. Ces 3 composantes doivent être suffisamment digérées, intégrées, assimilées en amont, au niveau de la relation humaine, pour être oubliées au moment de l'expression de sa domination.
Je ne veux pas de sa bienveillance, je ne veux pas qu'elle me respecte et respecte mes limites, je veux son arbitraire et son emprise. Chez nous, pas de limite verbalisée, pas de safeword, pas de scenario à approuver sinon... bah on joue et je ne suis pas dominé. Pourquoi je me soumettrais si elle ne me domine pas ?
Elle ne sait qu'elle a franchi une limite dure qu'après coup, parce qu'à ce moment là, je l'informe, je communique.
Et si elle se plante, si elle dépasse mes capacités, ma résilience, je sors de son emprise. Et comme nous avons une relation humaine en amont de son expression bdsm, où règne la bienveillance, le respect et le consentement, elle s'en rend compte et en tient compte.
C'est la façon dont nous ressentons la domination, son arbitraire qui s'impose. Et puisqu'il faut des cases, je pense qu'on est dans le CNC.
Suis-je vraiment une victime d'une perverse parce que tout se passe au delà de mon choix ?
Edit : En fait, la question posée était purement rhétorique et inappropriée, je sais justement qu'elle n'est pas perverse et que si je lui exprimais mes désirs et mes limites à priori, elle en tiendrait compte et orienterait ses demandes.
Les questions sous jacentes seraient plutôt, est-ce que demander et respecter le consensus ne bride pas la domination, ou ne pas demander ou respecter une limite, est-ce éthique ou pervers ?
Bonjour à tous,
Ma copine me parle depuis quelques temps de son désir d'être dominée. Les discussions avec elle ont piqué ma curiosité et me poussent à explorer ce monde qui m'est inconnu. J'ai cependant peur de faire des erreurs et j'aimerais échanger avec des personnes expérimentées pour éviter que ces temps vécus ne se passent pas bien.
Au plaisir de vous lire et d'échanger avec vous.