Cogitum
Ah la fellation, c'est beau...
cet acte silencieux,
où elle ne pipe pas mot
et c'est tant mieux.
#odealafellation
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Good_girl
Est-il besoin de la faire en grande pompe?
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18/04/24
Cogitum
@Good_girl je vois que nous sommes sur la même longueur... d'onde 😁
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18/04/24
MisterTaurus916
Pas trop silencieuse j'espère, qu'elle ne s'endorme pas non plus 😜
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18/04/24
Good_girl
Silencieuse ou pas... On n' "aspire" qu'au bonheur de l'autre dans ces cas là.
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18/04/24
Good_girl
Vachement moins poétique mais tellement pragmatique, je vous laisse sur cette pensée...
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18/04/24
Cogitum
Du coup ça passe "crème"... 🤭
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18/04/24
Good_girl
Non d'une pipe, c'est bien drôle tout ça🙈
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18/04/24
Cogitum
Merci d'égayer mon poème, je ris depuis tout à l'heure tout seul dans mon bureau, comme un gland 😁
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18/04/24
Good_girl
Comme un gland..... Je vous aurais plutôt imaginé vous léchant les babines, et là... Télescopage d'images .... Merci à vous surtout, je ricanne aussi de mon côté🙈
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18/04/24
MisterTaurus916
Du moment que les boules ne sont pas pipées, l'inspiration finira en concert à tue-tête 😁
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18/04/24
Ah, la jouissance...
faire le plein des sens,
apothéose du chemin
parcouru à quatre mains...
#jouissance
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Quel délicieux chemin qui ne doit pas être remis au len-deux-main ;-)
Madame, votre croupe est flatteuse !
annonça de but en blanc le Monsieur,
Ne voulez-vous pas poursuivre un peu ?
Par exemple, avec vos appas de gueuse ?
Toucher vos seins me ferait plaisir...
Vous n'y pensez pas ? répondit-elle ;
vos envies sont bien sûres d'elles
et êtes en plein délire !
Un soufflet envers le malotru
accompagna cette semonce ;
et le drôle eut ainsi sa réponse ;
Moralité : "Un cul vu n'est pas paire due."
#lerespectnestpasmort
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J'ai embrassé ses lèvres,
elles étaient douces et parfumées
entre ses cuisses je murmurais
et c'était le plus doux des rêves.
#odeaucunni
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J'avais fini par devenir serein
osant prudemment souffler
après ces périodes de chagrin
et d'angoisses mêlées
Oui, parfois la vie vous baise
à n'importe quel âge, ne vous déplaise
et le crabe, ce petit con
était venu foutre le boxon
C'était il y a sept ans
je me souviens encore
de cette période hardcore
où je luttais vaillamment
opérations, chimios, vaste programme
et en plus mon cœur a failli lâcher
foutu combo, c'était un drame
mais je me suis accroché
j'ai fini par être tranquille,
à recommencer à voir la lumière
osant, c'était une première
à faire la paix avec mon corps fragile
le reprenant en main, jour après jour
patient comme toujours
en en prenant soin
pour de meilleurs lendemains
et me voilà de nouveau
aux prises avec un truc pas beau
détecté tout récemment
je suis verni, vraiment
je pense à mes filles,
il faut que je tienne le coup
pour elles avant tout
et pour la famille
je suis prêt à me battre
à ressortir l'artillerie lourde
le combat sera âpre
mais la maladie en restera gourde
bientôt je saurai
quelle tactique adopter
et ce sera la curée
je serai sans pitié
vivement le jour, ma foi
où tout ça sera derrière moi
j'ai hâte de profiter
avant de me faire enterrer.
#foutueviedecon
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De tout cœur et comme dit le film Trainspotting 2, Life Life Life !!!
Arfff, navrée mais cela me fait trop écho pour que je ne réagisse pas et je comprends mieux pourquoi cela cogite autant dans votre home.
Alors je vais être brutale mais non pas une VIE de con, car vous êtes en vie et contrairement à moi vous avez la meilleure raison au monde de vous battre VOS FILLES. J’ignore leur âge mais elles sont votre force, votre soutien, vous avez leur amour inconditionnel. Alors oui c’est dur moralement et physiquement, les traitements sont difficiles mais quel bel exemple vous montrez à vos filles, votre force, votre courage, votre ténacité et un témoignage de votre amour envers elles.
Alors je ne sais pas vous, mais moi le crabe je préfère le dégustez à la mayonnaise et je n’en ai jamais raté une de ma vie et je vous en prépare une quand vous le souhaitez.
Je n’ai plus grand-chose à offrir mais mon oreille vous est acquise et ma main tendue si vous le désirez.
Je vous glisse un texte que j’avais publié sur le mur G à mon retour car quelqu’un sur le site avait perdu son père du crabe et cela m’avait profondément touchée.
Bien sûr si tout ceci vous indispose n’hésitez pas à supprimer mon com, je n’en prendrais pas ombrage du tout.
Tout mon soutien dans ces moments de nouveau particulièrement difficiles mais….. jour après jour votre combat vous rapproche d’une VIE à CONjuguer d’abord au présent pour pouvoir le faire au futur. Rien n’est plus que parfait dans la vie sinon on s’ennuierait trop. Il est impératif que vous viviez pour l’amour inconditionnel que vos filles vous portent et pour pouvoir vivre ce que vous désirez à tous les temps quel que soit le temps restant.
DSL pour le pavé.
A toi Cancer
Être pervers et venu des bas fonds,
Petit à petit tu accapares notre tréfonds.
Insidieusement en nous tu t’installes,
Pour y cracher et peaufiner ta cabale.
Sale bête qui s’acharne sur nous,
Et qui voudrait nous voir au fond du trou.
Mais nous t’affronterons s’il le faut à genoux,
Car nous te disons NON et notre âme restera debout.
Nos proches, nos amis et ton ennemi la vie nous entourent,
Dans ce si long parcours escarpé dont tu es le vautour.
Non, notre heure n’est pas encore venue,
Et nous te combattrons s’il le faut à mains nues.
Toi qui nous ronge parfois jusque dans notre sang,
Nous ne cesserons jamais de te montrer les dents.
A chacune de tes avalanches,
Nous relèverons nos manches.
Tu peux t’acharner toi le tueur fou,
Nous te rendrons coup pour coup.
Une à une de tes vicieuses pinces nous nous libèrerons,
Et c’est dans les bras de la vie que nous retournerons.
Et même si tu nous voles à tout jamais notre avenir,
Notre espoir et notre présent, eux, tu ne pourras ravir.
Et quand épuisés, presque à terre nous t’aurons vaincu
C’est avec fierté que nous resterons en sursis de toi.. le crabe cocu.
Ah oui, je t’ai pas dis, mais nous t’avons été et resterons infidèles
Avec ton ennemi la vie que tu ne sais que salir et briser les ailes.
Eh toi Cancer !! Oui c’est bien toi que j’interpelle,
Tu as perdu, disparais, tu peux ranger ta pelle.
Tu sais quoi cancer, tu nous auras rappelé l’essentiel,
C’est que l’existence n’a pas de prix et qu’elle est si belle.
Malgré toi, la vie s’insinuera de nouveau en nous,
Cet adversaire valeureux dont tu es si jaloux.
Et même si ton alliée la mort nous emportait au firmament
Nous continuerions à vivre pour ceux qui nous aiment éternellement
Quoi que tu dises ou fasses tu vois finalement tu as perdu
Car la vie elle est pour toujours dans nos cœurs même fendu
Alors merci à Vous la Vie, de nous rendre si forts et d’être si belle
Gardez nous près de vous, nous jouirons de vous et vous resterons fidèles.
@Corsée merci pour vos mots, qui me touchent particulièrement et qui résonnent si justement... J'ai trouvé en moi il y a sept ans une force insoupçonnée qui m'a permis d'être serein dans toutes ces épreuves. Je suis en train de la ressortir des cartons ; et avec elle ma capacité d'auto-dérision et mon humour si particulier. Je suis désormais bien armé pour affronter à nouveau les temps à venir...
Je passe moi aussi des moments pas facile. Mais il y a bien assez de force pour vous en envoyer un peu ..
Foutues nuitées
passées à gamberger
le lit est trop grand
une fois dedans
les pensées brutales
sont comme un lion menaçant
et moi je suis devant
sans défense et à poil
la peur de me faire bouffer
sans autre forme de procès
est décidément intenable
j'en ai trop sur le râble
vivement des jours meilleurs
histoire que je goûte au bonheur
au moins une fois dans ma vie
et d'être enfin serein
avant que tout ne soit fini.
#debranchersoncerveau
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Pudique, mais audacieuse….
•
Habillée de ma nudité
Je me réfugie dans ma pudeur
Tel un papillon
Qui ne veut pas qu’on l’effleure
•
Il m’aura fallu un soupçon d’audace
Et une farouche ardeur
Pour franchir ce cap
Pour créer ce jeu
D’ombre et de lumière
•
Se montrer audacieuse
Arrêter d’hésiter
Oser se lancer
Profiter de l’occasion qui se présente
Et poser avec noblesse
•
On peut se sentir vulnérable
De se montrer ainsi dépouillée
De n’avoir jamais osé montrer tant d’intimité
Mais ne dit on pas que la vie
Est une aventure audacieuse
À qui sait s’en saisir
Tout en y prenant du plaisir…
•
#texteperso
Pietà
La vierge à son enfant de la croix descendu
Soutenait le corps mort gisant entre ses bras
Mon corps était vivant oh nouvelle Pietà
Quand mon Maître attentif dans ses bras m'a tenu
Je venais de manger de la merde à son cul
Quand l'amour débordant me prit me souleva
Et de mon âme nue cet aveu extirpa
"Je vous aime." puis des pleurs moi le nouveau Jésus
Mon Maître alors m'a pris comme on prend un bébé
Et m'a donné bonheur disant "Je te protège"
Moi dès lors je savais que j'étais protégé
Le Temps cet immobile et l'espace en absence
C'est mon corps qu'il caresse et mon cœur qu'il allège
C'était notre pietà l'osmose en fut l'essence
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L’aban(don) …
•
L’abandon de soi
Le don de soi,
Dans le lâcher prise
Se détacher d’hier
Pour renaître aujourd’hui
Et se tourner vers demain
Dans la sérénité
Et la confiance
Des mains qui se tendent
Et à qui tu offres
Qui tu es
Ce que tu es …
•
Se délester de ce qui te tiraille
Se sentir plus légère
S’autoriser à se laisser porter par cet autre
S’abandonner à lui tout entière,
Se sentir en sécurité
•
Se sentir éthérée comme le souffle de l’alizé,
Comme une plume 🪶
Qui se détache d’un plumage trop serré
Et laisserait ainsi passer
Au travers cette fêlure
Un peu de lumière
Ouvrir le passage
À l’autre, pour l’autre, pour soi
Soulagée d’avoir osée
S’aban(donner),
Tel un acte de foi….
•
#texteperso
#photoperso
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Lancez un débat sérieux
et agitez-le bien,
vous verrez sous peu
qu'il y en aura toujours certains
qui n'y comprendront rien.
Moralité : "Tant qu'il y a de l'avis, il y a des poires."
#mangez5fruitsetlegumesparjour
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Tellement vrai, et de plus en plus dans le monde hyper-connecté où nous vivons
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27/03/24
SOUVENIR N°5
Une belle soirée de fin d'année dans Paris …
Il fait beau, un été indien bien tardif ...
Tu t'es habillée sexy, comme j'aime.
Et cela te va si bien : une robe courte près du corps pour le mettre en valeur et laissant voir la large bande en dentelle de tes bas lorsque tu t'assoies, un décolleté permettant à la dentelle du haut de ton soutien-gorge d'être visible, des talons hauts, et un trench-coat léger que tu n'as pas fermé.
Tes longs cheveux bruns ondulés encadrent ton visage dont le maquillage est présent mais sans vulgarité. Seul le rouge de tes lèvres contraste avec ton teint, la couleur de tes cheveux, ta robe et ton trench noirs, et s'harmonise parfaitement avec le cuir rouge de la ceinture qui serre ta taille.
Un seul détail pourrait éveiller l'intérêt d'un initié : ce large collier en dentelle que tu portes avec fierté autour du cou, affirmant ainsi à tous ton appartenance.
Nous allons dîner comme prévu dans ce petit restaurant. On nous place dans la deuxième salle, il n'y a qu'un autre couple présent. La femme te regarde avec un œil sévère : jalousie de ta beauté, de la sensualité que tu dégages, ou compréhension de la relation qui nous unit ? Peut être tout cela en même temps …
Tout au long du repas nos doigts se touchent, nos regards se cherchent, nous imaginons la suite de la soirée.
Je te dis que tu es belle, excitante, sexy, bandante, que j'ai envie de toi, de te prendre, de te baiser, partout, ma salope …
Tu me dis ton envie de me sucer, de me sentir dans ton cul, d'être prise à 4 pattes, de te sentir chienne …
Je pense à ton cul qui mouille lui aussi à peine je le pénètre, à la jouissance que la sodomie te procure à chaque fois …
Tu es si vicieuse et pourtant toujours timide, réservée. J'aime ce contraste.
Je te dis de venir à coté de moi pour prendre le café, mais d'enlever d'abord ta culotte et de me la donner.
Ton string est trempé de ton humidité. Je te vois rougir et baisser les yeux.
En suivant ton regard, j'arrive sur la table où l'autre couple dîne un peu plus loin de nous. La femme te regarde me donner ta culotte d'un air choqué.
Cela me fait sourire, j'aime l'effet de la gêne, de la honte que cela produit sur toi.
Comme je te l'ordonne, tu lèves ta robe avant de t'asseoir à coté de moi, dévoilant ainsi tes jambes gainées de tes bas.
Je t'écarte les jambes pour caresser ton sexe à la peau si douce, si fine, parfaitement épilé.
Ta fente est trempée, tu me regardes droit dans les yeux, la bouche entre-ouverte, un léger voile dans ton regard, concentrée sur ton plaisir.
Je passe et repasse sur ton clitoris, dur et si sensible.
Très vite tu te raidis en poussant un soupir de jouissance, puis en laissant ton corps reposer contre moi.
Tout c'est passé si vite, presque en silence.
A l'autre table, la femme ne cesse de demander à voix plus ou moins base à son compagnon de ne pas tourner sa tête vers nous, alors que celui-ci n'a qu'une envie, celle de se rincer l'œil et de profiter du spectacle que nous offrons.
Nous nous levons et partons du restaurant, ton visage est rouge d'excitation mais aussi de la honte d'avoir ainsi été exhibée.
"Depuis que je vous connais, j'ai l'impression de devenir tellement vicieuse" me dis tu en rougissant les yeux se baissant ….. "Mais j'aime ça" ajoutes tu dans un soupir.
"J'ai justement envie d'être sucé, là maintenant, ma petite chienne, voir ta bouche s'arrondir autour de ma queue, te voir boire mon sperme, et t'entendre me dire merci".
Tu me regardes bouche ouverte et l'envie se lit dans tes yeux.
Je te pousse sous un porche resté ouvert, comme par hasard.
Notre soirée ne fait que commencer …
Pour notre plaisir …
Propriété de GreyFondor, copie et usage interdits
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De jolis souvenirs Mister Grey.. Il est agréable de te suivre dans ces méandres érotiques...Belle journée GreyFondor ...
Bonjour GreyFondor
Un texte joliment erotique, merci et belle fin de journée à vous
Bonjour Diab. Pour toi aussi belle journée, et à se rencontrer un jour dans les soirées de notre groupe parisien !
Revoilà le printemps
et son cortège de fruits
qui ne demandent, tentants,
qu'à être cueillis,
les savourer avec délice
les sentir qui glissent,
caresse somptueuse
frissons à la chair soyeuse
s'enivrer de leur parfum
goûter leur sens divin
Ah, qu'il est bon de réveiller
nos sens fascinés
ode au bonheur
en jouir jusqu'à pas d'heure,
c'est la saison des fruits
Dame Nature, je vous remercie.
#printemps
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Sortie du volcan dans ta robe de feu
Tu enflammes mon esprit de tes jeux
Une aura éclatante brille autour de toi
Une luminosité d’ange qui flamboie
Chacun de tes regards m’embrase
Je m’enflamme à toutes tes phrases
Je t’attends en enfer sur des braises
Prisonnier dans une gangue de glaise
Mon cœur t’appelle du fond de la terre
Ma tornade, mon ouragan, mon mystère
Je me nourris de la beauté de ton âme
Mon univers, ma lumière, ma femme
Diab pour sa Lotine…
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Ah, nuit profonde
dans laquelle je devrais
tout à fait serein
être plongé en ton onde
mais au lieu de ça,
ta tempête me nuit
dormir je n'y arrive pas,
foutue insomnie.
#inspirationnocturne
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Alors une bonne sieste Cogitum...
https://www.youtube.com/watch?v=FjW3Qq1rKMM
Je suis une femme de caractère, toujours très dominante et très sûre de moi, je n'aime pas que l'on me fasse perdre mon temps. J'inspire un respect naturel de par mon attitude assurée, ma gestuelle, la tonalité de ma voix, mes paroles.
à la recherche de mon prochain soumis .:.
SOUVENIR N°9
A l'heure où j'écris, la nuit est tombée.
Ma plume s’assèche assaillie de fatigue.
Quand reviendras tu non pas hanter mes envies mais mes nuits.
Certains soir, sans avoir aucunement la prétention d'être Guillaume, je sens la présence de ce spleen qui me sert alors d'encre.
Je me souviens il n'y a pas si longtemps ...
Un restaurant sur le toit de Beaubourg.
Ce vin capiteux, charpenté, goulu. Ces ravioles aux truffes.
Et toi, splendide dans cette robe vintage un peu courte, ces chaussures à bride et hauts talons, cette robe mettant en valeur ton corps svelte et ta poitrine aux pointes arrogantes.
Puis le retour à la maison en cette chaude nuit d'été.
A peine entrés, derrière toi, je te serre dans mes bras embrassant ton cou.
Je descend la fermeture de ta robe qui tombe à tes pieds.
Nue, tu es nue, sans aucun dessous, nue toute cette soirée sous ta robe.
Je n'ai cessé d'y penser, de me sentir à l'étroit dans mon pantalon, d'avoir envie de te prendre sur la table où ces chandelles nous éclairaient. Toute la soirée.
Je te retourne vers moi, yeux dans les yeux, et te repousse jusqu'au mur.
Là, de mes mains, lentement, je suis les courbes de ton corps, sans jamais le toucher, ni même l'effleurer.
Et pourtant ta peau frissonne, tes pointes s’érigent outrageusement, ta bouche pulpeuse s’entrouvre.
Tu cherches de l'air, ton envie est là présente et te fait ouvrir tes jambes, pousser vers l'avant ton bassin.
Je t'ai saisie alors par le cou, fortement, sans qu'aucune crainte ne soit présente dans ton regard.
Je t'ai alors retournée face au mur, et tes fesses ce sont naturellement tournées vers moi, tendues vers moi. Comment ne pas les faire rougir de ma main !
Entendre tes soupirs, voir ta peau rougir des traces de ma main.
Puis te retourner à nouveau et pincer tes pointes à les faire exploser.
Combien de temps ainsi avons nous joué, avons nous fait l'amour. Je ne le sais plus.
Mais à la fin, repus de nos échanges, nous nous sommes endormis.
Et le lendemain, la grâce matinée, avec nos envies toujours présentes, les papillons dans le ventre.
Pour notre plaisir ...
Propriété de GreyFondor, copie et usage interdits
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SOUVENIR N°8
Se laisser aller …
Corps contre corps, peau contre peau …
Sentir ses courbes, les enlacer, réchauffer de mon corps la douceur de sa peau …
Son parfum qui enivre mes sens et éveil mes envies …
Dans ce lit ou je ne sais si les draps se tendent ou se plissent en prémices à ce corps à corps …
Mes doigts qui effleurent chaque centimètre de sa peau …
L'arrogance de ses seins, la finesse de sa taille, la moiteur naissante de son entre jambes …
Ce sillon si tentant ou j'aime me rendre et m'y perdre …
Je l'enlace, la couvre, la serre, sans l'étouffer …
La fraîcheur du contact de ses lèvres sur les miennes …
Avant que nos regards se croisent, que nos sourires se répondent …
Lentement, longuement, laisser les tourments de la chair nous envahir …
Crescendo prendre possession de son corps …
Le tourmenter de plus en plus fort et faire monter la chaleur …
Entendre soupirs, râles, cris, abandon …
Les draps se trempant d'elle au fur et à mesure du temps qui passe ..
De ce moment d'éternité en dehors du temps et pourtant si réel …
Quand la violence dépasse le physique et envahit le cérébral …
Jusqu'à ce final en point d'orgue …
Et que le repos nous gagne enfin ...
Pour notre plaisir ...
Propriété de GreyFondor, copie et usage interdits
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Silences …
•
Il y a des silences que l’on comprend
D’autres que l’on redoute
Il y des silences que l’on attend
D’autres qui sèment le doute
Ces silences parfois si lourds
Auxquels on ne donne aucun sens
Si ce n’est, on s’en doute
La promesse d’une absence
•
Est-ce ce d’avoir parlé de trop
Que l’on met sa voix au repos ?
Est-ce de n’avoir pas osé
Qu’aujourd’hui on se tait ?
•
Le silence est doux
Et pourtant si bruyant
Il est le vacarme
Des vagues de l’océan
S’échouant sur le rivage
•
Le silence est d’or
Et pourtant si pesant
Il faut savoir l’écouter
Pour s’en imprégner
Lui laisser libre court
Le laisser nous guider
Savoir l’accueillir
Sans faire de bruit …
Comme un rien… Avant un tout.
#perso
#lesilencevautmieuxquelesmots
(Texte posté il y a plusieurs mois sur le MurG)
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SOUVENIR N°7
Pour personnes averties ! 😉😅
On frappe à la porte de ma chambre dans un hôtel parisien.
J'ouvre la porte, et je te vois quasiment pour la première fois : tremblante, le visage un peu rouge de honte.
Tes yeux regardent le sol, avant de venir à la rencontre des miens, puis retournent regarder tes pieds.
Jolie, brune, de beaux yeux pleins de vie, la presque quarantaine bien affirmée.
Tu es nue, totalement nue, comme je te l'avais demandé, comme tu l'avais accepté.
Certains diront …. imposé.
Moi je suis habillé tout de noir.
Je prend tout mon temps pour te regarder, te laissant dans ce trouble qui te fait honte mais t'excite en même temps.
J'attrape alors tes cheveux et te tire pour te faire entrer dans la chambre. Je ferme celle-ci sans relâcher ma prise sur tes cheveux.
Tu trembles. Tu frissonnes.
Je te donne une petite claque sur la joue.
Tu me regardes avec un sourire et dans tes yeux une lueur de défit.
Je te donne alors deux baffes plutôt fortes sur tes joues qui deviennent rouge.
Tu recules contre le mur, bouche ouverte, tremblante, légèrement affaissée sur tes jambes.
Tu me regardes dans les yeux, puis ton regard se porte vers le sol …. soumise.
Ma main descend toucher ton sexe : tu es trempée, sans que mes doigts entrent en toi, ils sont totalement mouillés.
Avec mon pied, je t'écarte les jambes.
Et je le vois, ce bouton turgescent, de la taille d'une noisette, énorme, décapuchonné, rouge, caché par aucune pilosité….. Impressionnant.
Tu m'en avais parlé.
Je le caresse en l'effleurant seulement, mais cela déclenche en toi de nouveaux tremblements, ton visage se crispe, ta bouche s'ouvre.
Alors je le pince plusieurs fois, très vite, surtout très fort : tes jambes sont prises de secousses, elles ne te tiennent plus, tu t'affaisses, accroupit, cuisses ouvertes, presque en silence.
Tu es totalement tremblante.
La moquette est mouillée de la cyprine qui s'écoule de ta fente, comme d'une fontaine.
Tu viens d'avoir ton premier orgasme de la soirée. Déjà.
- - - - - - - - -
Étonnamment, nous avions fait connaissance sur un site bien vanille.
Tu m'avais contacté et malgré le fait que tu habitais à plus de 500km de Paris, je t'avais répondu.
Après un échange de plusieurs mails à parler de nos vies, de nos goûts, musique, lecture, ciné, cuisine, notre conversation a dévié un moment sur la sexualité, nos vécus …
Et puis nos fantasmes.
Nous avions sur ce sujet bien plus de correspondances que nous aurions pu le penser vu le site de rencontre.
Nous avons échangé des photos.
Puis nous avons beaucoup parlé au téléphone. Régulièrement.
Nous passions des soirées, très chaudes, si ce n'est des nuits entières à parler de sexe, à imaginer des scenarii.
Enfin nous allions nous rencontrer : tu avais un séminaire organisé par ton travail sur la capitale. Celui-ci terminé, nous avons convenu de passer ensemble une petite semaine de "vacances" que nous avions tous les deux obtenu.
Mais impatient de te rencontrer enfin, j'ai retenu pour ta dernière soirée de séminaire une chambre dans ton hôtel. C'est ce que tu avais espéré sans me le dire.
Juste le risque de ne pas nous plaire au premier regard, qu'il n'y ait pas ce feeling, cette alchimie si nécessaire à l'envolée des sens …
Aussi nous nous sommes croisés vers l'heure du repas dans cet hôtel, sans nous parler, sans nous toucher, juste un regard ….. et l'échange de nos analyses sérologiques ….
Tu es donc venu jusqu'à ma chambre frapper à la porte.
Nue. Toue nue.
- - - - - - - - -
Je t'ai relevée sans douceur par le bras et je t'ai jetée sur le lit.
"À quatre pattes chienne, montre toi"
De toi-même tu te cambres en écartant tes fesses avec les mains.
Aucune pudeur, aucune retenue.
Je regarde ton sexe béant du fait de la position d'où s'écoule encore ta mouille, et ce cul si ouvert par l'habitude des pratiques anales.
"Tu es trempée salope, ton cul est dilaté, cela t'excite"
"Oui Monsieur, et j'en ai honte"
Je te donne une fessée, les tapes sont de plus en plus fortes.
"Donne moi ce cul, bien plus, maintenant"
Tu te mets à trembler, et tu pousses encore plus ton cul vers moi.
Une fesse, puis l'autre puis à nouveau la première …
Tes fesses deviennent rouges, je t'entends renifler et pourtant tu pousses à chaque fois ton cul vers moi, vers cette fessée qui te fait mouiller.
Vers le plaisir totalement masochiste d'une femelle soumise.
Je te claque entre les cuisses. Tu écartes tes cuisses car tu aimes cela.
Ton sexe devient rouge. Ta douce peau, si fine en cet endroit si intime, devient brûlante.
Je n'ai jamais vu une chatte couler autant en continu.
Je te lève alors la tête par les cheveux pour que tu puisses me sucer.
Tu me regardes dans les yeux en t'appliquant de ta langue, de tes lèvres, de ta bouche.
Tout cela explose dans ma tête, me fait bander à en avoir mal : tu m'avais parlé dans tes mails de ce que tu aimais, de ce que tu rêvais, comment ton corps réagissait, tout le temps, à chaque fois qu'on te touche, mais la réalité est tellement plus puissante que le virtuel …
"Ouvres bien ton cul, je veux entrer en toi facilement"
"Oui Monsieur, je ne mérite que d'être prise par là"
Tu t'écartes les fesses des deux mains, ton cul est ouvert, et j'enfonce alors ma queue d'un seul coup, pour la ressortir entièrement, et te pénétrer à nouveau.
En te tenant à nouveau les cheveux, te forçant à cambrer encore plus tes reins.
Je te présente ma queue que tu sens, que tu lèches et suces avec application, malgré le fait qu'elle sorte de ton cul, ou plus sûrement parce qu'elle sort de ton cul.
Et je m'enfonce dans ta bouche, jusque la gorge, en te tenant la tête, jusqu'à la suffocation, jusqu'à te faire couler des larmes, à chercher ta respiration.
Après de nombreux aller retour entre ton cul et ta bouche, je fini par te baiser le cul à grands coups de reins.
Mais je te veux plus ouverte encore.
J'enfonce alors dans ton cul deux doigts, trois doigts, puis quatre, puis c'est ma main qui entre en toi.
Tu te cambres, tu t'ouvres, tu te donnes. Totalement. Entièrement.
Je te défonce alors le cul, entrant et sortant ma main.
Et là tu te mets à trembler, à crier, à hurler.
Le plaisir prend totalement le pas sur la douleur. Mais as tu seulement mal ?
Tu pousses en toi une dernière fois dans un grand silence, puis tu t'affaisses sur les draps complétement trempés de ta mouille, jambes ouvertes. Ton sexe laisse couler son jus très abondamment.
Tu fermes les poings, ton corps se raidi, tu trembles de partout.
Et je t'entends pleurer. Pleurer de jouissance dévastatrice.
Tu soupir fortement, tu cherches de l'air …
C'est ton deuxième orgasme de la soirée, dévastateur, total, si profond qu'il t'a fait pleurer.
Je te soulève alors la tête, et te présente ma queue devant la bouche.
"Allez salope, fait moi jouir"
Tu me souris, tes yeux sont humides, et tu me prends dans ta bouche si chaude et aux lèvres si pulpeuses.
Et lorsque j'éjacule, pas une goutte de sperme ne ressort, tu avales tout avec délectation.
Mon cerveau explose de plaisir …
Tu me souris, te lèves puis te mets à genoux.
Et là tu m'embrasses les pieds, et me regardes à nouveau.
Je te caresse la tête avec de petites claques sur le dos, comme avec une chienne.
Et ton regard m'électrise ….
Retour sur le lit.
Après t'avoir bandé les yeux, et attaché les mains dans le dos, je m'assoie pour me reposer et je te regarde, perdue, les fesses rouges et mouillées, allongée sur ce lit d'une chambre d'hôtel.
Notre soirée ne fait que commencer et ce n'est que la première ...
Nous passerons ainsi une semaine ensemble, à visiter Paris, ses expos, ses musées, ses quais.
Toi souvent sans sous-vêtement, et un plug figé dans le cul.
Une semaine à baiser jusqu'à ne plus pouvoir, à te dilater comme tu le rêvais, comme tu l'aimais, comme nous en avions parlé, comme l'esclave que tu as déjà été, à nouveau sans aucune pénétration vaginale, sans pudeur aucune, presque sans limites …
Dans un univers quelques rares fois Vanille, très souvent SM, toujours D/s.
Pour notre plaisir.
Jusqu'à ce qu'on puisse se retrouver …
Vite, très vite …
Peut être …
Malgré la distance …
Propriété de GreyFondor, copie et usage interdits
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Superbe tout simplement, il y a parfois des chemins qui se croisent ..... ! Merci de votre partage, bon week-end à vous GreyFondor....
Je me lance (pas rassurée) :
J'ai bien écrit sur l'espace et le temps
Sur les choses qui tombent, la nature, les couleurs
La pluie, les nuages, les sentiments
Mais ce soir, c'est tout autour de mon corps
Que je vais nouer mes mots, river mon verbe
C'est parti :
Je crois j'ai trop rêvé, devine devine, je suis
Peut-être bien possédée, je crois c'est la folie
Je pourrais t'entendre, tu dis ?
Mon dieu, comme c'est superbe !
Ahh ce n'est pas moi, non ce n'est pas moi
Ce sont ces autres, ceux-là
Qui ont tout abandonné, leur désir, et approche-moi
Je veux promettre, attends attends, écoute-moi
Moi tu sais
Je n'ai que faire du vrai
Si tu t'appelles ma joie
Je ferais foutre en l'air les principes, les lois
Sur le sol, je frapperais, je frapperais
Jusqu'à ce que ta peau tremble comme moi
Moi tu sais
Je suis toujours l'étrangère
Moi qui encore, putain de sa mère !
Tu vois, jamais là où j'en ai l'air
Tantôt ici, tantôt là-bas, tout un mystère
Ah, mais j'en oublie d'être romantique
Mes bonnes manières, prête-moi ta main
Je veux t'emmener avec des liens
Ces chaines ? ah non ce n'est rien
Admire plutôt mes masques vénitiens..
C'est poétique
La paume de ta main
Tes yeux qui suivent le chemin
De mon trouble, mon soudain
Si retenu, et ton sourire malin
Si poétique
Le réel qui se déchique
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Ce qui me fait pleurer
La douleur est immense, la souffrance indicible.
Est-ce le martinet ou sa griffe acérée ?
Est-ce sa main fessant mes cuisses lacérées ?
La cire des bougies, testicules pour cible ?
Est-ce ce qu'il écrit d'injures inaudibles
A ma peau rougissant du sang qu'il fait saigner ?
Ou bien l'introduction rectale des objets ?
Sans doute le tabou au goût inadmissible ?
Non, le mal n'est pas là ! Ce qui tranche mon cœur
Comme un hachoir rouillé déchire os et tendons
A l'abattoir où vont les bœufs mourir de peur,
Comme la chevrotine arrache poil et lard
Au sanglier fuyant sans espoir, moribond,
C'est que mon Maître et moi bientôt on se sépare...
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