
Maîtresse Luna
Tout a commencé alors que je parcourais les annonces sur un site dédié à la domination féminine :
Recherche un vrai soumis jeune et encore puceau pour séances régulières à mon domicile.
Ayant conscience que sa place est à mes pieds sous mes ordres, et que ses désirs ne sont d'aucune importance.
Je garderais ton sexe en cage, tu feras subir toutes les humiliations possibles pour mon seul plaisir, attends toi à être sodomisé, giflé, lécher tout ce qu'il me plaira, et bien sûr faire bon nombre de mes tâches ménagères ...
Soit bien conscient qu'il n'y aura rapport entre nous, et ta petite queue restera enfermée et ne connaîtra jamais le plaisir de la chair ...
Si cette annonce t'attire, contacte-moi pour en discuter...
Il n'y avait pas de photo, pas d'âge, tout juste était-il indiqué qu'il s'agissait d'une femme vivant près de Reims. Quelquechose dans cette simple annonce m'attira, et je décidais de tenter de prendre contact, mon profil correspondant malheureusement à l'attente. Ainsi je lui fis un mail me décrivant comme un jeune homme de 23 ans encore puceau, situation que je mettais sur le compte d'une grande timidité.Habitant à quelques kilomètres de Reims. Totalement novice dans le domaine de la domination féminine, mais très attiré par ce genre de pratique depuis longtemps.
Ce n'est qu'après avoir envoyé un mail que je me rendis compte de ma bêtise, l'annonce datée de 2 ans! Il était peu probable que la personne qui l'avait écrit ne cherche encore du monde ...
A ma grande surprise, je reçus une réponse, il y eut quelques échanges de mail, puis plusieurs sessions de chat. J'appris qu'elle avait recruté plusieurs personnes, mais que ça ne s'était pas bien passé, et avait renvoyé tout le monde un an après, je n'eus pas plus de détail. Néanmoins, cela lui manquait, et elle décida de refaire un test avec moi seul. Ma future maîtresse s'appelait Jennifer et était âgée de 27 ans, blonde avec un très beau visage, de corpulence et de taille moyenne d'après sa photo. Durant nos échanges, elle avait insisté sur l'expérience proposée, à savoir l'absence de toute relation sexuelle, avec elle ou une autre, la mise en cage permanente de mon sexe, et que seules ses envies comptaient. Elle me questionna beaucoup sur la réalité de mon pucelage, et finit par me proposer de se voir en vrai.
Pour rester discrets et préserver nos vies privées, elle me demanda de réserver un hôtel, et d'y amener du thé glacé afin de discuter autour d'un verre. J'avais été prendre les clés (ou devrai-je dire la carte) de ma chambre d'hôtel, préparé la collation, et reçu un message de sa part m'informant de son arrivé, elle était à quelques pas de l'hôtel et me demanda d'aller la chercher à pied pour la conduire dans la chambre. C'est au moment où je la vis qu'une bouffée d'angoisse me prit, je ne savais pas du tout comment réagir et je n'y avais pas pensé avant! Que lui dire? Devais-je lui faire la bise? La seule chose que l'on avait convenue était que je devrais toujours la vouvoyer. Heureusement, le courant passa bien, et elle semblait plutôt à l'aise, elle prit les devants et s'amusa de ma gêne.
Dans la petite chambre d'hôtel, nous avons discuté de ses attentes, de mes limites, avons refait le point sur ce que serait cette relation. C'est avec satisfaction que je me suis aperçu que nous étions sur la même longueur d'onde. Il était prévu pour que nous nous revoyions pour officialiser mon nouveau statut « peut-être encore à l'hôtel au début », mais à terme elle m'indiqua avoir de la place chez elle. Il n'y aura pas de vie commune, et les séances seront les week-ends, selon ses envies et sa disponibilité.
Elle me donna une longue liste, il s'agissait de toutes les pratiques femdom existantes, « Il y a beaucoup de choses que je ne ferais pas, mais je tiens à connaître tes goûts, et puis j'aurais peut-être envie de tester certaines choses dans le futur ». Il y avait 3 colonnes à côté de chaque pratique :
Je refuse catégoriquement cette pratique
J'accepte cette pratique
Cette pratique me fait très peur, mais je l'accepte
Je devrais lui rendre ce document rempli à notre prochaine rencontre.
Après m'avoir questionné une énième fois pour que je lui garantisse que non, jamais je n'avais eu de relation auparavant, et que oui j'été bien un puceau, elle me demanda si elle pouvait filmer nos séances en ayant nos visages masqués. J'acceptai sa demande sous réserve que cela ne soit pas diffusé, cela m'inquiète, mais elle semblait beaucoup y tenir. Elle avait une belle voix, agréable à écouter, sembler toute « gentille », mais je me rendis compte quelques heures plus tard qu'au final elle avait dirigé la conversation d'un bout à l'autre, et déjà là, j'eus plus l'impression de discuter avec mon « supérieur », et non d'égal à égal. En guise d'au revoir elle m'interdit toute masturbation jusqu'à notre prochaine rencontre.
C'était le jour J, je reçus le message le matin même, une semaine après notre rencontre à l'hôtel. Je n'avais pas eu de ses nouvelles depuis, la règle était claire, sauf urgence, ou pour prévenir que je ne serais pas disponible à certaines dates (je devais donner la raison et elle avait le droit de refuser mon absence), je ne devais jamais la contacter, c'était elle qui me préviendra si elle a besoin de me voir.
Bonjour Cedric, je pense que le courant est bien passé entre nous, si tu as toujours envie de m'appartenir on peut officialiser les choses comme convenues la semaine dernière. Oseras-tu franchir le pas ? Si oui, pense à ramener du thé et les délicieux biscuits de la dernière fois, et viens à 14H00 à l'adresse suivante :
Physiquement je ne m'étais pas spécialement préparé, j'avais lu que certains venaient épilé, ou avec des cadeaux, mais Jennifer m'avait dit de venir tel quel, et que même si elle appréciait de temps à autre un petit cadeau ce n'est pas ce qu'elle attendait de moi. Je me retrouvais, fébrile, devant l'interphone de son immeuble, je sonnais, et après une attente qui me parut interminable j'entendis sa voix :
-Oui?
-Heu bonjour c'est Cedric.
-Je suis au cinquième.
Après avoir monté les étages sans ascenseur, je me retrouvais devant sa porte, toujours aussi mal à l'aise je frappe, elle ouvre la porte, mais ne s'écarte pas pour que je puisse entrer :
-Bonjour Jennifer ... Vous allez bien?
-Moui, mais tu es en avance, attends un peu je reviens.
Je me retrouvais seul dans le couloir, d'après ma montre il était 13h58, je n'eus à attendre que 2 minutes avant qu'elle m'invite à entrer, mais les secondes furent interminables.
-Bien retire tes chaussures par contre, pas trop dur les 5 étages à pied?
-Non ça va, je vois qu'il n'y a que cet appartement à l'étage.
-Oui, je suis au calme comme ça, et les planchers sont épais on n'entend pas ceux du dessous, c'est pour ça que je l'ai choisi. Vient on va boire le thé et je vais t'expliquer comment on va fonctionner.
C'était un grand appartement avec 2 chambres, les 2 chambres et le couloir communiquaient avec la salle de bain, l'une des 2 chambres servirait de salle pour nos jeux. Il y aura toujours un magnétophone qui enregistrera nos conversations, et lorsqu'elle nous filmera nous porterons une cagoule. Après avoir parlé quelques minutes et fini notre thé, elle se leva, je fis de même:
- Aller suis moi, tu n'as pas oublié de remplir la liste?
-Nonnon elle est là.
-Bien donne-la-moi, tu t'es branlé cette semaine?
-Non non bien sûr, j'ai obéis.
Elle était àcôté de la porte de salle de bain :
-Quand tu viendras tu iras directement dans cette pièce.
Je la suivis à l'intérieur.
-Le fonctionnement est simple, dès que tu entres tu fermes la porte et tu démarres le petit chronomètre ici, il sonnera au bout de 5 minutes, à ce moment, ni après ni avant, tu entreras ici.
Elle ouvrit la porte de la salle de jeu, qui était en fait une belle chambre au volet fermé, équipé d'un lit ainsi que d'un fauteuil.
-Lorsque tu arrives, tu fermes la porte derrière toi, tu mets tes mains derrière le dos, et tu te places ici dans le coin. Tu attends ensuite mes ordres, si je ne suis pas là, si je ne te dis rien tu attends, 5 minutes, une heure ou toute l'après-midi s'il le faut. Tu ne fais rien sans en avoir reçu l'ordre que ce soit dans cette position d'attente, ou dans nos jeux, tu ne feras que ce que je te dirai c'est bien compris?
-C'est très clair.
-Quand je n'aurai plus besoin de toi, tu repars dans la salle de bain, et même procédé, tu attends 5 minutes et tu pars directement. Durant ces 5 minutes, tu te prépareras, c'est-à-dire que tu te déshabilles, sous-vêtements inclus bien sûr, tu mets tes vêtements ici, elle désigna une poubelle vide, et s'il y a quelque chose sur ce porte-manteau bleu tu le mets. Tu as également le droit de te servir des w.c. durant ces 5 minutes. Tu as tout compris?
-Oui, heu juste une question concernant les toilettes, pour y aller comment fait-on?
-A toi de ne pas trop boire avant de venir, tu y as droit uniquement en arrivant et en partant, de même tu n'auras accès à rien ici, si tu veux boire sert toi du lavabo. Ces 5 minutes sont ta seule liberté, en dehors tu ne fais que suivre mes directives.
-Très bien j'ai compris.
-Alors c'est parti, je t'attends.
Je fermais les portes et enclenchais le chronomètre, je jetais un coup d'œil sur le fameux porte-manteau bleu et constatais que rien n'avait été ajouté, il était resté vide. Je me mis à nu et attendais derrière la porte que les 5 minutes soient passées, je me sentais rougir, j'étais nu, chez quelqu'un que je connaissais à peine, et aller me dévoiler comme ça. Ce qui ne m'empêcha pas d'avoir le sexe dur comme la pierre. La situation était terriblement gênante pour un timide comme quoi, mais en même temps cela m'exciter comme jamais. Le chronomètre sonna, et tremblant presque de peur j'entrais dans la chambre, referma la porte et me posta dans le coin indiqué les mains derrière le dos. Jennifer me jaugea avec un petit sourire, je vis ses yeux s'attarder longtemps entre mes jambes.
-Eh bien je te fais de l'effet on dirait, tourne-toi ... Bien, tu as un beau cul, oui parfait même, je me ferais une joie de le violenter ... Remets-toi face à moi ... Ta queue est mignonne ... Je mouille rien que de penser à ce qu'elle subira ... Niveau taille bon ... C'est dans la moyenne, moyenne basse, mais rien de trop trophonteux... Par contre il me semble à vue d'œil que ... Attend je vérifie ...
Je la vis fouiller quelques secondes et ressortir une règle, elle vint mesurer mon sexe.
-Ah oui j'ai l'œil! C'est bien ce qui me semblais, tu as officiellement le plus petit sexe que j'ai vu chez un homme! 8 millimètres plus petit que le précédent record!
Elle s'accroupit et mit son visage juste devant ma verge, et lui parla directement ...
-Pauvre petite chose, regardez la toute vaillante! Pourtant jamais aucune femme n'a voulus'occuper d'elle! Jamais de petits bisous, de coup de langue, elle n'aura jamais connu de minou tout chaud et humide .... Toute dressée et pourtant elle finira encagée, elle n'aura de moi que des coups sur ces mignonnes petites testicules ... Elle ne pourra cracher son sperme visqueux et puant que si rarement ...
Jennifer se redressa et me parla.
-Bon après effectivement en bas c'est plutôt médiocre, mignon, mais bon ... Mais voit le bon côté des choses, aucune femme n'a jamais été frustrée avec, et de toute façon elle ne te servira plus donc ce n'est pas bien grave. Enfin heureusement qu'il me reste une cage de taille small.
Elle retourna s'asseoir.
-Bien je vais lire chaque pratique décrite sur la liste que je t'ai donnée, et les réponses que tu as mises, tu me confirmeras oralement ton choix.
Je ne vais pas tout retranscrire ici, j'avais coché la case d'acceptation sur presque toutes les pratiques, sauf tout ce qui concernait l'humiliation publique, le piétinement, les marques définitifs, saignement, scatophilie et autres pratiques extrêmes que Jennifer m'expliqua après coup ne pas tout apprécié non plus. Elle fut déçue que je refuse de boire son urine.
-Et bien mon petit puceau nous voici arrivé à la fin, tu as accepté beaucoup de choses, j'apprécie, a-tu une remarque?
-Oui, simplement je suis totalement novice et il faudra quand même y aller progressivement.
-Oui bien sûr c'est ce qui a été convenu, j'aime les 2 pratiques que tu acceptes, mais qui te font peur ah ah. Le ballbusting et le fisting! On a peur pour ses bouboules et son ptit cucul?
-Oui ... Je trouve la douleur sur les testicules vraiment très violente, et le fisting heu disons qu'il m'impressionne.
-Je n'en doute pas, mais ne t'inquiète pas j'en tiendrais compte, on ira très doucement, mais je te garantis que tu te prendras violemment mon poing dans ton fondement et que tu en redemanderas!
J'ai dû ensuite lire à haute voix le contrat de soumission nous liant, Jennifer respectera mes limites, moi je lui devrais fidélité,obéissance et interdiction stricte de retirer ma cage. Un mot de passe de sécurité fut défini, si je disais le mot « vert » tout s'arrêterait immédiatement. J'ai également eu droit à un long questionnaire sur moi, à quel âge j'ai commencé la masturbation, combien de fois par semaine, sur quoi, à qui je pensais, comment se sont déroulé mes relations avec les femmes, comment ont elle toute refusé de me fréquenter ... Je ne sais pas jusqu'à quel point un visage peut devenir rouge, mais je devais être au maximum. Pour terminer, j'ai dû me mettre à genoux devant elle, et signer le contrat, elle le scanna et m'en envoya une copie.
-Bien, maintenant que tu es à ma disposition mon ptitpuceau, je vais prendre une petite photo pour te souvenir de comment tu étais à tes débuts, comme convenu je ne prendrai pas ta tête. Oh c'est dommage on dirait que ta petite quequette toute mignonne est rentrée dans sa coquille!
Effectivement tout cela avait duré un certain temps, et mon érection s'était calmée. Mais il avait suffi d'y faire allusion pour qu'elle soit de nouveau au garde à vous.
-Eh ben voilà c'est mieux!
Jennifer pris une photo de moi en entier de face et de dos, sauf la tête pour ne pas qu'on puisse me reconnaître et une photo de mon sexe.
-Ah on va faire une dernière photo ... À quatre pattes, voilà, mets ta tête au sol, comme ça oui, et maintenant écarte bien tes fesses ... C'est bon remet toi debout. Bien maintenant je vais t'apprendre 2 choses essentielles que tu devras toujours faire impérativement juste avant de venir ici. Première chose, épilation intégrale, je t'ai acheté un petit kit pour débuter, et seconde chose le lavement anal, ça va pas être très glamour, mais je veux être sûre que tu t'y prennes bien.
C'est ainsi que j'ai appris à m'épiler entièrement, quant au lavement anal ... Vous imaginez les bruits que cela peut provoquer ... Avec Jennifer juste à côté pour me surveiller je crois avoir atteint un nouveau stade dans la honte.
-Bien, après tant d'effort je vais refaire les 4 photos de toi, le changement à débuter ah ah! Petite petite on se réveille aller aller!
A ces mots une puissance érection revint immédiatement.
-Elle est bien obéissante ... clic ... Tourne-toi ... clic ... De face ... Avec tous ces poils en moins elle fait presque plus grande dit donc ... clic ... Aller hop par terre comme tout à l'heure et écarte bien ... De ce côté ça ne change pas grand-chose ... clic ... Pas très poilu le puceau, tant mieux pour toi tu iras plus vite à t'épiler! Aller dit au revoir à ta queue, tu ne vas plus la revoir avant un bon moment... Tu attends QUOI?!
-Heu pardon heu aurevoir petite queue ... Tu vas me manquer ...
Jennifer revint avec une cage de plastique rose, et un drôle de cadenas.
-Le cadenas est numéroté, et moi seul ai la clé, en cas d'urgence une simple pince coupante suffira, tu vois l'arceau est en plastique dur. Avec le numéro et la clé impossible pour toi de retirer le cadenas sans que je le sache, et que ce soit clair, si tu retires la cage considère notre relation comme terminée. Tu as la possibilité de couper le cadenas facilement, car on ne sait jamais ce qui peut arriver, mais pour autant même si c'est justifié je doute de te pardonner, c'est bien clair ça?
-Oui, retrait du cadenas strictement interdit, et même en cas urgence je romps la confiance.
-Bien ... Tu trouves ma tenue provoquante?
Ma maîtresse était habillée normalement, toujours un peu sophistiquée, c'était son style, mais jamais vulgaire.
-Non pas du tout vous êtes habillé normalement.
- Alors pourquoi bandes-tu autant? Tu ne seras pas soulagé, mais encagé, et jamais ton bout de viande misérable ne me pénétrera. Pourquoi suffit-il que je siffle pour que tu sois au garde à vous? Qu'est-ce qui t'existes à ce point?
Au lieu de se calmer, mon érection se fit plus forte que jamais.
-Je n'en ai aucune idée, je ne me contrôle pas.
-Ah ah, serait-ce le simple fait qu'une femme daigne regarder ce que tu as entre les jambes qui t'existe à ce point? Pour un puceau c'est compréhensible ceci dit. Aller va dans la baignoire et met toi à genoux, je vais renvoyer ta petite nouille d'où elle vient.
Un jet d'eau glacé vint très vite à bout de cette érection. Jennifer filma la mise en cage, elle était assez petite et je mis du temps à m'y habituer, une fois terminé elle m'informa qu'elle m'enverra les photos et la vidéo pour que je garde un souvenir, puis me regardant droit dans les yeux elle finit :
-Maintenant dehors, je t'appellerai quand j'aurai besoin de toi.
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Slutty - soumiss1966
J'adore, Merci.
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2
25/05/25

LeKinkyToy
Plutôt chanceux ce Cédric de trouver une personne sérieuse de cette manière ahah 

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1
29/05/25

soumisjeff
merci pour ce joli récit

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Il y a 22 heure(s)
Merci folioli d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
c'est sain la masturbation, les hommes se branlent, les femmes se touchent, c'est trés délicat, il n'y a pas que la pénétration, à vos idées.........hummmmm
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Il n y a pas que la pénétration en effet.
L effleurement de la peau ,le souffle dans la nuque, le baisser charnel. Bref tout ce qui peux éveiller....
moi je prends plus de plaisir en me touchant et toucher mes partenaire que pénétrer
Pour moi c'est être caresser, masturbé en simultané avec une pénétration, cela facilite le travail du dominant je n'ouvre plus facilement
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28/05/25
La masturbation est un art
Se caresser, chercher son plaisir, sentir son érection entre ses doigts, se faire jouir c’est narcissique et tellement bon
Caresser sa partenaire, trouver ses zones sensibles, sentir son sexe s’irriguer de plaisir, la voir vibrer et s’abandonner est très jouissif
Se laisser caresser, sentir une main empoigner sa queue, se laisser aller, c’est divin
Se masturber, masturber sa partenaire ou la regarder faire ou se laisser se faire masturber par elle procure un immense plaisir
Peut-être un jour j’aurais envie de masturber un homme pour connaître la sensation de tenir et de faire jouir une autre queue que la mienne
Je sais pas, on verra
En tout cas, la masturbation procure un plaisir exq
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Bonjour Jn novice
Je suis d accord avec vous , j ai les mêmes ressentis que vous, se laisser caresser sentir les mains de ma Reine sur moi et me laisser envahir est un sentiment d abandon tellement bon, les mains ont un pouvoir tres excitant
Et j ai aussi ce fantasme comme vous d avoir envie de masturber un homme pour connaître la sensation de tenir et de faire jouir une autre queue que la mienne, cela doit etre une drole de sensation, et je sais que cela plairait a ma Reine
Bravo en tout cas pour votre écrit, c est inspira nt
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Alice gémissait fort.
Mais fort.
Décidément, la troisième roue de notre carrosse avait trouvé sa place !
Côté Thomas, c'était un peu plus compliqué. J'avais arrêté de jouer avec son bâillon. Plus de gorges profondes, mais il étouffait toujours bien un mélange de gémissements, grognements, pleurs…
Mon mari était toujours attaché à 4 pattes, immobilisé sur une structure métallique. Des pinces à tétons tiraient ses mamelons vers le bas, un masque l'aveuglait et sa queue était toujours enfermée dans une cage, une tige vissée dans son urètre.
Et puis surtout, ma queue factice vibrait au fond de son cul.
Je venais moi aussi compléter ce tableau avec ma tenue de cuir et de latex, mes bottes longues, agenouillée derrière mon mari en le tenant par les hanches… pas étonnant que notre squatteuse gémisse autant !
Thomas semblait en difficulté. Pas encore à chercher une porte de sortie, mais clairement pas à prendre son pied non plus… je décidais de continuer à accentuer la torture. D'abord, parce qu'il avait un réel penchant masochiste que je lui avait promis un jour d'explorer ensemble. Il voulait souffrir (pas dans l'immédiat vu comme il se débattait, mais ça s'est son problème), il allait être servi !
Comme pour l'insertion du gode, je ne pris pas de pincettes quand je commençais à le pilonner sans retenue. Bon, pour être tout à fait honnête, c'était autant pour satisfaire mon excitation vorace que pour alimenter son prétendu masochisme !
Les vibrations couplées aux à-coups brutaux du gode ceinture firent monter en moi des vagues de plaisir à une vitesse inégalée.
Alice semblait sur le point de basculer. Moi aussi, je réalisais soudain. Ça allait trop vite, il fallait faire quelque chose.
J'arrêtais les aller-retours d'un coup, et lui lançait brutalement un “STOP” sonore.
Ses mains, une enfoncée dans son décolleté malaxant un sein et l'autre dans sa culotte, se figèrent. Ses yeux semblaient perdus, comme si elle prenait subitement conscience de ce qui était en train de se passer. Je gardais mon air sévère, pour maintenir une prestance de domina.
Bon, en vrai j'avais toujours un gode qui me vibrait au fond de la chatte, donc l'air fâché ne devait pas ressembler à grand chose ! Cela dit, ça avait l'air de marcher.
“Je t'avais dis de me demander avant de jouir.
Mais je n'ai pas…
Oui, tu n'as pas, mais oses me dire que tu allais te retenir!”
Elle ne répondit pas et prit un air penaud, presque triste. Comme si la magie était rompue, comme si je m'apprêtais à la mettre dehors. Mais j'étais bien trop excitée pour ne serait-ce qu'envisager d’arrêter !
Thomas, lui, avait l'air de ne plus en pouvoir. Il ne prêtait pas attention à notre discussion, enfermé dans son monde. Sa tête se ballottait de gauche à droite en sanglotant doucement. Honnêtement, masochisme auto-proclamé ou pas, je ne pense pas qu'il tirait le moindre plaisir de la situation à cet instant.
Alice non plus. Avec son air penaud, elle semblait sur le point de se rhabiller et de partir.
J'eu soudain une vague de culpabilité qui balaya la montée de mon plaisir autant que mon excitation. J'étais en train de perdre le contrôle.
Fuck.
Respire, 1 2 1 2.
Ok, “Fake it ‘till you make it” comme disent les ricains.
Il était temps de réorienter la situation direction plaisir.
Le calme de la situation actuel agissait déjà sur Thomas. Pour le laisser redescendre en douceur de ses montagnes russes, je commençais par Alice :
“Descend les vibrations de mon gode au minimum s’il te plait.”
Elle obtempéra, calmée par mon ton posé.
“Ne t'inquiète pas ma chérie, je t’assure que tu vas avoir l’occasion de profiter encore de la situation. Fais moi confiance et je te promets un orgasme à en tomber dans les pommes…” je dis en lui tendant la main.
Un air rassuré s'imprima sur son visage, puis elle attrapa ma main après une seconde d’hésitation.
Je l'attirait vers moi et la fis descendre à genou. Puis, je passais un bras autour de sa taille et la plaquait contre moi pour l'embrasser à pleine bouche. Elle se laissa faire en poussant même un gémissement de plaisir.
C'était la seconde fois que j'embrassais Alice ce soir… et une femme en général. Je dois avouer que je n'étais pas déçue. Tout était plus doux : ses lèvres, ses mouvements, le goût légèrement sucrée de sa salive, sa langue delicate…
Elle avait maintenant une main posée sur ma joue et l’autre qui caressait doucement mes cheveux. Une des miennes était toujours plaquée dans son dos pour l'approcher de moi, l’autre glissée dans son pantalon pour caresser ses fesses.
Lorsque nos lèvres se décollèrent, nous étions hors de souffle. Nos mains continuaient leur travail, pendant que nous calmions nos respirations. Front contre front, bouche à quelques millimètres l’une de l’autre.
Je remarquais à ce moment que Thomas ne pleurnichait plus du tout. Il semblait plus calme, sa respiration était régulière, sa tête plus droite… Non, après réflexion sa tête n'était pas droite, elle était dévissée vers l'arrière, à essayer de capter les sons de nos ébats.
Il avait l'air d’avoir repris un peu de la contenance, je décidais donc de l’inclure un peu plus dans notre instant câlin.
Je recommençais donc à imprimer un mouvement de balancier avec mes hanches, mais cette fois-ci tout doucement, sensuel. Et il recommença à gémir, mais cette fois-ci de satisfaction.
Son cul s’était habitué à la présence, et le léger mouvement associé au vibration semblait faire son travail.
Alice enleva son chemisier, son soutien-gorge et se glissa derrière moi. Elle avait sa poitrine qui irradiait de chaleur posée sur le haut de mon corset, ses tétons collés contre mon dos. Elle caressait mes seins par-dessus mon corset. Après avoir balayé mes cheveux d'un côté, elle commença à s'activer en léchant mes lobes d'oreilles, en embrassant mon cou, tout en gémissant de plaisir.
Elle calqua les mouvements de son bassin sur les miens et rapidement, c'est elle qui imprimait le rythme et baisait le cul de mon mari.
Leurs gémissements semblait s’accorder, monter et descendre au même rythme.
Je réalisais alors que les miens aussi.
Nous étions dans une situation extrêmement sensuel. Tous les 3 tirant un plaisir relatif de la situation, mais avec des stimulations trop légères pour basculer dans un orgasme.
Je décidais de modifier la dynamique, pour aller encore plus loin.
Sans crier gare, j'enroulais une poignée de ses cheveux dans ma main et tirait en arrière. Elle poussa un petit cri de surprise, arrêtant immédiatement ses mouvements de hanches. Par réflexe, ses mains vinrent se poser sur les miennes pour se protéger.
“Enlève ça tout de suite.”
Elle obtempéra.
“ ne t’arrête pas, continu…”
Elle recommença à pétrir mes seins en imprimant de petits coups de hanche. Thomas s’était crispé lorsque notre changement de dynamique avait commencé, de peur des conséquences sur sa situation. Je gémissais doucement, profitant du pouvoir qui transpirait de Cette situation. Après quelques instants à profiter de cette puissance, je repris la parole :
“ je t'ai promis un orgasme ma chère, et je compte bien te l'apporter. Mais pour ça, je veux que tu t'abandonnes à moi complètement…”
Elle ne prononça pas un mot mais hocha la tête de haut en bas avec véhémence, tirant au passage encore plus sur sa belle chevelure blonde. Peut-être qu’elle était un peu maso aussi tiens.
“que tu t’abandonnes, comme lui”
Là, la tête s'arrêta de bouger. Clairement, elle ne semblait pas emballée.
“je te rassure, je ne compte pas en arriver là. Mais je te veux à ma merci, je veux que tu abandonnes tout contrôle…”
Elle hésita encore quelques instants, puis recommença à hocher la tête.
Thomas, aveugle, n’entendait que mon discours. Il tendait toujours l’oreille, subissant encore les mouvements du gode dans son fondement.
Je lâchais subitement Alice, ma nouvelle soumise, et lançait mon premier ordre :
“déshabille-toi”
Elle se leva, se tint droite devant moi et enleva son jean et son tanga.
Première fois que j'observais une femme nue, vraiment observait.
Mon dieu qu'elle était sexy. Son tatouage tribal s'enroulait entre ses seins puis descendait jusqu'a son bas ventre. Ce symbole primaire contrastait avec ses cheveux blonds et ses yeux bleux transparent, lui procurant une aura de force et de vulnerabilité entremélée…
Je continuais à imprimer un léger mouvement dans le fondement de mon mari, comme un métronome qui marquait le rythme de notre soirée. Je caressais ses testicules, en regardant Alice droit dans les yeux. Thomas gémissait de plaisir.
“Prends les pinces sur ses tétons et met les sur les tiens”
Elle obtempera en décrochant les 2 pinces qui torturaient mon homme depuis maintenant plus d’une heure. Il poussa un long grognement de douleur. Elle poussa un petit gémissement de plaisir.
Puis se releva, bien droite, un air de défi dans les yeux, son regard vissé dans le mien.
L'air était chargé d'une tension palpable… Thomas devait être en train de maudire le masque qui bloquait sa vue !
Je retirais la chaine qui faisait trôner la clé de la cage de chasteté sur ma poitrine et la jetais au sol aux pied de ma soumise.
“Libère-le”
Elle prit clé et se pencha vers les menottes immobilisant les poignets de Thomas. Il sursauta lorsqu'elle lui saisit pour les retourner, cherchant un cadenas. Ne trouvant rien, elle regarda les chevilles. Idem. Et la elle vit le petit cadenas qui pendouillait sous les bourses de mon homme. Elle ouvrit grand les yeux. Je lui souris et hocha lentement la tête. Elle se saisit du cadenas et tourna la clé. Lorsqu’elle commença à tirer sur la gaine pour l'enlever, Thomas serra les mains et poussa un long grognement dans son bâillon. Elle sursauta et arrêta son geste, étonnée.
“ vas-y franco ma belle, il n’y a pas de bonne manière de la faire de toute façon.”
Après avoir tiré malgré les grognements appuyés, elle découvrit la longue tige qui habitait l’urètre de ma victime. Ses yeux s’ouvrir en grand, sa bouche était entre-ouverte figée dans une expression de surprise.
“il a été courageux hein… il a bien mérité une petite caresse pour le féliciter!”
Alice sorti de sa torpeur et commença à doucement caresser les bourses de mon mari. La pointe de ses longs doigts fins dansaient sur ses testicules, puis vinrent glisser le long de son sexe qui commencait a se tendre. Puis sans crier gare, elle s'amusa à lui pincer un testicule. Lorsqu'il s'agita dans ses attaches en grognant, elle sourit.
Quelle salope décidément !
Je décidais qu'il était tout de même temps d'orienter les sensations de mon mari vers le plaisir.
Sous mes consignes, Alice récupéra un petit pouf couvert et le glissa entre les cuisses écartées de notre supplicié. Elle tira ensuite la bite tendue pour la basculer vers l'arrière, écrasée à l'envers. J'avais arrêté temporairement mes aller-retours dans son cul et, quand je repris, sa queue coulissait entre mes cuisses couvertes de mouille… Parfait.
“Vas dans la valise et récupère une paire de menotte en cuir et un bâillon de ton choix. Puis installe le fauteuil devant ma salope de mari et reviens me voir.”
Elle continua à appliquer mes consignes à la lettre, et après avoir bougé le fauteuil et fouillé dans le sac elle revint avec une paire de menotte meletonné, un bâillon boule simple et… un plug de taille intermediaire en verre.
Je souris, elle sourit.
Il était temps pour moi de retrouver temporairement un peu de mobilité. après avoir défait les sangles qui tenaient mon gode-ceinture, je les attachaient autour des cuisses de mon homme pour le maintenir en place. Puis, avec un soupir d’excitation et de deception mêlé, je laissais glisser ma partie du gode hors de mon intimité. Des filins des mouilles glissèrent le long de mes cuisses…
Je me relevais, les genoux endoloris d’être restée longtemps en place. Elle me dépassait toujours d’une bonne tête. La situation pourrait sembler être inversée : cette grand blonde et son tatouage brutal me surplombant d’une tête pourrait clairement passer pour dominante, mais nos regards ne laissaient place à aucun doute.
Je claquais des doigts et pointait mon index vers le sol. Elle se mit immédiatement à genou, les mains croisées dans le dos, les cuisses écartées. Je relevais légèrement ma jupette en latex et pointait vers mes cuisses souillées de cyprine.
“Nettoie ça, et ne perd pas une goutte”
Thomas secoua sa tête en rugissant, en un ultime effort pour se débarrasser de son masque. En vain. Son sexe était tendu, il semblait sur le point d'exploser.
Alice sortie sa langue et commença a lecher une goutte de cyprine à mi-cuisse. Puis, elle remonta directement à l'entrée de ma chatte, glissa sur une lèvre et se rua sur mon clitoris. Une onde de choc me traversa le corps. Je lui saisis une poignée de cheveux rnet lui tira la tete en arrière.
“Dis donc, c'était pas vraiment ça la consigne si?
Pardon madame…
Pas de madame, moi c'est Sarah.
Pardon Sarah…
C'est mieux… tu y crois mon chéri, elle s'est ruée sur mon clitoris cette salope!”
Thomas se lança dans une supplication inintelligible à travers son bâillon. Il donnait des coups de bassin dans le vide, vaine tentative de satisfaire son envie de jouir. Mais ce n'était pas encore ton tour.
Je guidais Alice en la tenant par les cheveux. Sa langue s'aventura partout sur mes cuisses et même sur mon periné, jusqu'à toucher mon œillet… mais plus de ma chatte. Je l'écartais, tirant toujours sur ses cheveux. Elle me regardait en gardant sa bouche entrouverte.
“ c'est bien ma chérie, garde cette belle bouche ouverte”
Je lui enfonçait le plug en forçant ses lèvres et commença un mouvement de va et vient pour la faire saliver. Elle s'appliqua, en me regardant bien dans les yeux. Le bruit de ses succions couvraient presque les supplications de mon supplicié.
Tournes-toi”
J'étais de plus en plus à l’aise à faire claquer des ordres dans l'air.
Elle se retourna à 4 pattes et attendit. Je me baissait derrière elle et flattait sa croupe… elle ronronnait de plaisir. Je glissais alors 2 doigts dans sa chatte trempé. Elle poussa un petit cri mi-surprise mi-plaisir. Tout en m'activant dans sa chatte, je commençais à lui lécher la rondelle. Je jouais avec la pointe de ma langue, la dardant pour percer doucement ses défenses, puis balayant de haut en bas… je recommençais à mouiller et elle gémissait de plus en plus fort.
“Le plug s'il te plaît chérie”
Thomas chouniait pendant qu'Alice me tendais le plug entre ses cuisses. Je continuais à laisser mes doigts s'activer en appuyant le plug sur sa rondelle. La regarder s'entrouvrir doucement, sur fond de gemissement sonore, avant de se faire absorber avait quelque d'envoûtant…
Je l'accompagnait jusqu'au fauteuil précédemment installé pour la préparer pour la suite. Je lui attachais les mains dans le dos et la baillonnait. Puis, j'écartais ses cuisses et les immobilisais avec une corde.
J'avançais ensuite son fauteuil pour que son intimité soit juste devant le visage de mon mari en rut. Son nez était à quelques millimètres de son clitoris. Je pris une poignée de ses cheveux et lui frottais le visage contre son intimité.
Les deux semblaient en feu. La frustration d’être si proche, mais de ne rien pouvoir faire à cause de son baillon… Après tout ce qui venait de se passer, les deux n'en pouvaient plus.
Je me réinstallais donc derrière lui et réintroduit le gode ceinture double dans mon vagin. Je libérais enfin Thomas de son bâillon, mais lui bloquait la tête en arrière en le tenant par les cheveux. Il tirait tellement dessus qu'ils semblaient prêts à s'arracher… je lui glissait a l'oreille :
“alors mon chéri, elle n'est pas belle notre soumise ? Toi qui a toujours voulu faire un plan à trois…
S'il te plais Sarah…
Mon chéri, tu as ma permission pour la goûter.”
Et j'enfonçais sa tête dans la chatte de notre réceptionniste.
Elle se mit immédiatement à gémir. Thomas était brouillon, il ne savait plus où donner de la tête. Il léchait, suçait, mordillait, du clitoris aux petites lèvres, glissait sa langue dans le vagin, traçait les contour du plug… Alice n’allais pas tenir longtemps, elle poussait de petits cris de plus en plus marqués.
Je decidais que cet orgasme serait aussi le mien et poussait les vibrations du gode ceinture à fond. Thomas gémit de plus belle, sa queue bloquée à l'envers entre mes cuisses était tendue au possible… et je recommençais à le pilonner de plus belle. Cette fois-ci, après s'être habitué à la présence du plug, ça ne le dérangeait plus tant que ça! Probablement que sa bite en train d'être branché entre mes cuisses et la distraction vaginale littéralement sous son nez devait aussi jouer…
Et plus les allers-retours étaient puissant, plus le gode butait contre le fond de mon vagin et decuplait mon plaisir.
Alice n'était pas en reste elle mordait son bâillon et poussait un long cri etouffé. Le visage de Thomas venait buter à intervalle régulier contre son intimité, enfoncant sa langue toujours un peu plus loin dans son vagin. Elle essayait de parler. Je savais pertinemment ce qu'elle demandait, mais je la laissais tout de même galèrer quelques secondes. Puis le la liberais en gémissant :
“Vas y ma belle, fais toi plaisir…”
Et elle explosa.
la tête balancée en arrière, une longue complainte étouffée par le bâillon… et une fontaine de cyprine se déversent sur mon mari.
Une squirter…
A cette instant, Thomas poussa un véritable rugissement étouffé dans la chatte de notre réceptionniste préférée et je sentis son sperme fuser entre mes cuisses.
Ces deux explosions littérales de plaisir me firent basculer. J'explosais moi aussi en un puissant orgasme.
Ouhaou…
Le moment semblait suspendu dans le temps. Alice avait la tête basculée en arrière, Thomas avait le visage enfoui entre ses cuisses, la respiration rauque. Moi effondrée sur son dos…
Mais ce n'était pas finit. J'avais une responsabilité double ce soir.
Je me levais et ce faisant sorti le gode du cul de mon mari d'un coup sec. Il poussa un long grognement etouffé, Alice en poussa un de concert. J'enlevais moi aussi le gode et le saisis.
Je m'approchais d'Alice, la surplombant. Elle releva la tête, les yeux épuisés, et attendit. J'enlevais son bâillon et lui plongeais le gode trempé de ma cyprine dans la bouche.
“Nettoie ça ma petite salope”
Elle s’activa immédiatement.
Je lui baisais la bouche un peu violemment, pour lui faire comprendre que ce n’était pas finit. Je regardais ses yeux s'humidifier d’en air froid et hautain.
Puis, j'arrêtais d’un coup et lui adressa un sourire chaleureux, elle y répondit immédiatement. Le sourire se figea lorsque je lui décrochais les pinces à tétons, puis se transforma en grimace lorsque je les pinçais du bout des doigts.
Je relevais doucement le visage de Thomas et l'embrassais passionnément. Je lui répétais à quel point j'étais fière de lui…
Puis je m’activais pour détacher Alice. Lorsque ses mains furent libre, elle se mit à les passer dans les cheveux de mon mari. Pendant que je lui détachait les cuisses elle prit lui releva le visage et se pencha à quelques millimètres, avant de lui souffler dans le creux de l’oreille avec une voix sensuelle :
“Regarde moi le bazard que tu as mis… vilain garçon! Je n’en ai pas finit avec toi…”
Elle se releva juste à côté de moi. Thomas était en rut, sa queue avait réussi à se libérer du pouf qui le maintenait et il donnait de petits coups de rein. Il bandait à nouveau, ou bien ne s'était jamais arrêté.
La soirée n'était pas finie, pas pour lui en tout cas.
“Tu viens, on va se refaire une beauté ?”
Alice opina du chef et me pris la main. Alors que nous marchions vers la salle de bain en riant, Thomas nous invectivais :
“Non mais attendez ! Attend ! Sarah je déconne pas attend, me laisse pas comme ça… Sarah… s’il te plait !”
Je fermais la porte de la salle de bain.
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Je ne sais pas si cette histoire est vrai ou fictive, mais vous avez un talent d'écriture, je me suis mit à la place de votre mari tout au long de cette lecture !
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C'est Dimanche, je suis un peu nouveau, c'est trés agréable, ces sens de vous, les bdsm, hommes, femmes, tout, je suis ici car j'ai cette attirance pour jouer, pour du plaisir, de cette sexualité, avec tout ce vocabulaire et pratiques, j'aimerais le vivre, sans perversité, je me donne du plaisir en solo, je dois être ingenu, je voudrais savoir comment se passe une séance, le pacte, j'en arrive à imaginer, sans le vivre, à regarder des vidéo, et à me toucher, sans réalité, j'aimerais bien connâitre comment on dit les mots, je ne comprends pas le ou la soumise, le dominant ou la dominante, qui fait quoi ?
je suis prêt pour cette aventure humide et fine.......
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SOUMIS de Mulhouse TOUJOURS NU à votre SERVICE pour MASTURBER ou être MASTURBE à TOUTES mains AGILES ou bouches GOURMANDES...
Soyez la première personne à aimer.
Bonjour le groupe
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Mon Maitre m'avait fait découvrir le edging. Nu dans la cave, attaché en croix, il laissait ses mains parcourir mon corps puis commençait à me masturber. Il savait quand la jouissance était sur le point d'arriver, il cessait tout et passait à tout autre chose. Il me posait des pinces aux seins et/ou des pinces à linges sur le corps, lesquelles reliées entre elles par une cordelette, étaient arrachées d'un coup.
Mon Maitre reprenait la masturbation et s'arrêtait encore avant l'orgasme. Il changeait alors et me fixait un lien aux testicules et y accrochait un petit seau dans lequel il jetait divers poids. Mes testicules s'étiraient mais la douleur était presque agréable. Il reprenait la masturbation et, cette fois, me laissait atteindre la jouissance. Un joli flot de semence jaillit et s'écrasa au sol.
Il me dit alors "tu as craché sans faire d'effort pour te retenir, je vais tout de prendre".
Il repris la masturbation cette fois sans s'arrêter, la jouissance a fait son retour et j'ai éjaculé une assez belle quantité. Mon Maitre ne me laissait pas de répit, il continuait à me masturber. J'ai compris le sens de sa phrase quand un autre orgasme est monté, il n'y avait que quelques gouttes de sperme. La masturbation continuait de plus belle, mon sexe devenait douloureux sous sa poigne vigoureuse. Un autre orgasme arriva et il fut difficile d'extraire deux gouttes. Même l'orgasme, au demeurant agréable, devenait douloureux. Sans même une seconde de pause, il continua à me masturber, mon sexe restait dur dans sa main. Les papillons dans mon ventre annonçait un nouvel orgasme. Cette fois, malgré la sensation de jouir, il n'y avait plus la moindre goutte de plaisir à offrir.
Mon Maitre m'avait fait passé de l'interdiction de jouir à l'assechement total. Mon sexe était rouge et boursouflé, mes testicules tendus sous le poids des divers lest. Il y avait prêt de 1,5Kg, je pense qu'on peut faire mieux.
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SwitchLoicbidu59, pourquoi douter de la véracité de mon récit ? Y aurait-il une pointe de jalousie ?
J'ai juste eu la chance de rencontrer de belles personnes. Même si je suis actuellement en recherche, je ne désespère pas, il y a des Dominatrices et Dominateurs dans mon secteur, c'est juste que le destin n'a pas encore fait croiser nos chemins.
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16/04/25
Bonjour Gérard, c'est tellement beau que presque irréel, merci beaucoup
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Cette femme particulièrement experte, ancienne entraineuse sportive s’est donné pour objectif de mettre le soumis à son image et de le dresser selon un plan et un programme précis. La sélection a été longue et difficile. L’homme a été intégré il y a seulement 3 mois. Il vit maintenant sous un régime à poigne et a perdu toute autonomie de décision. C’est la première partie de ce récit.
Préparation pour l’entrainement : Un soumis placé sous la coupe d’une dominante doit se préparer pour entrainement physique bi hebdomadaire. Les ordres tombent comme un couperet.
– Tu arrêtes immédiatement tes corvées tu les reprendras plus tard. Tu te changes immédiatement et retires ta tenue NCT (1) . Tu files te préparer en tenue réglementaire : nu, string transparent de sport, bas et porte jaretelles , plug à picots, baskets d’entrainement avec semelles ortho plantaires. Direction face à mon fauteuil de commandement en position de discipline numéro 3 dans 4 minutes. Au trot !!!!!!!!!! Je te rejoins. On va travailler « à la dure » tu en as besoin.
(1) : nu, collier, petit tablier
Mise en route
J’avais annoncé il me semble la station d’attente en position de discipline numéro 3 et non 5, donc c’est une sanction, de plus tes baskets ne sont pas assez serrées, sanction également. Tu noteras tout ça sur ton cahier de discipline avec les motifs de ta punition pour samedi matin. Prends la position 3 immédiatement mais avant tu serres tes chaussures correctement et vite.
– Oui Maîtresse.
Face au fauteuil de commandement utilisé lors des interrogatoires et convocations de discipline
– Bien, tu écartes légèrement les jambes pour je puisse admirer ton pénis en cage courte, bassin légèrement poussé en avant et tu croises tes doigts sur ton crane. On va débuter cette séance bi hebdomadaire par un bon échauffement. Tu as droit aujourd’hui à 50 bonnes flexions jambes bassin comme mardi dernier. Lorsque tu es en flexion, je souhaite des pieds bien à plat, cuisses légèrement écartées et des bras tendus vers l’avant avec tes mains placées en offrande. Tu comptes chaque flexion et tu ajouteras » merci Maîtresse » à voix haute comme d’habitude. Lorsque je siffle tu fais un demi tour réglementaire tout en continuant ton échauffement afin que je puisse voir tes fessiers et tes muscles des mollets au travail. Tu es bien avec ton plug à picots ?
– Oui Maîtresse.
Début de la séance
– Tu te tiens prêt. Au coup de sifflet tu démarres et surtout pas avant. Tu sais que je ne supporte pas. Ensuite quand je claque dans les mains tu augmentes le rythme. Tu vas travailler aujourd’hui selon plusieurs cadences imposées pour bien te modeler et t’habituer à ma discipline.
– Oui Maîtresse.
– Je répète qu’en flexion je souhaite des pieds bien à plat , des cuisses légèrement en écart et ne fais pas cette tête de chien battu tu dois me montrer que tu es heureux avec ta Maîtresse.
– Oui Maîtresse.
– Tu es en plein dressage, il ya 3 mois que tu es ici nous n’en sommes qu’au début tu le sais.
– Oui Maîtresse.
– J’espère que l’année prochaine tu commenceras à fonctionner comme je le souhaite.
– Oui Maitresse.
– Allez !! tu démarres !! Demain tu repasses à la tonte boule de billard comme chaque quinzaine et je regarderai l’état de ton épilation anale. Sans doute aussi une petite visite au speculum pour voir l’état de ton anus.
– Oui Maîtresse.
Séance
– Plus fort lorsque tu dis merci Maîtresse. Je n’entends pas !!! Attention aux sanctions ça risque de tomber à la moindre erreur. Augmentation de la cadence !!!!!!! C’est bien !!! tu conserves ce rythme. Et lorsque tu es en bas tu regardes ta Maîtresse. Pieds bien à plat ! bras mieux tendus ! attention ! Voilà très bien tu es au bon rythme. Tu commences à transpirer c’est parfait. Je souhaite entendre ton souffle et c’est tout. Attention tu vas bientôt tourner , je ne veux aucune erreur dans la façon de pivoter. Tu restes au même rythme afin que je puisse admirer tes fessiers et la base de ton plug. Ton retournement était parfait. STOP ! Maintenant tu retires ton string et on reprend.
Séance suite
– Top départ !! tes bas lycra sont magnifiques et te moulent parfaitement bien c’est ce que je voulais. Ils se marient parfaitement avec tes baskets de danse. Petite information pendant que tu continues ton échauffement , tu ne t’arrêtes surtout pas et tu écoutes Maîtresse : Tu es placé à compter de demain en « mode discipline renforcée » pour 3 semaines afin de bien accélérer ta rééducation. J’ai décidé ce matin que tes demandes de sorties familiales sont toutes annulées car tu es consigné ici en dressage intensif. Tu prendras n’importe quelle excuse pour ne pas aller au mariage de ta soeur. J’écouterai la communication téléphonique. Ce n’est pas mon problème.
– Merci Maîtresse !
– Très bien. Je vais te serrer la vis tu peux me croire car tu en a besoin. Tu es bien avec tes semelles ortho plantaires qui ont été prescrites par la podologue ?
– Oui Maîtresse.
– Dans quelques mois tu seras mieux cambré et je pourrai enfin te faire porter des escarpins talons hauts lors de certaines occasions.
STOP !Maintenant en position pour me faire 50 pompes face au fauteuil.
Non, non, non !! Combien de fois vais je devoir te le répéter ! Tu avances, ta tête doit être au niveau de mes pieds, on dirait que c’est la première fois !! Donc tu auras une bonne sanction pour t’apprendre !!
– Oui Maîtresse , merci Maîtresse.
– Tu prends appui sur tes bras, tu écartes tes jambes, pointe des baskets en équilibre orteils. 50 pompes à rythme variable et ça va marcher au sifflet. Deux coups de sifflet tu accélères le rythme, Trois coups de sifflet rythme athlète , je ferai varier la cadence plusieurs fois pour te tester et t’entrainer à obéir parfaitement. A chaque descente de ta poitrine vers le sol ta bouche vient se poser sur mes pieds pour me remercier du temps consacré à ta rééducation, tu poses ta langue sur mes orteils avant de remonter. Cela tu le sais. Allez au travail !
A 25 on fait une pause de 4 minutes et on reprend.
CHAISE DE TRAITE, annonce faite par la Maîtresse pendant la pause, soumis à genoux face à sa Maîtresse mains sur la tête.
Si tes notes sont satisfaisantes et que tu marches droit et au rythme imposé pendant la période que tu va passer en régime de discipline renforcée tu auras droit d’aller sur le fauteuil de traite. Tu auras droit à une masturbation dans le gros vagin artificiel celui que je t’ai montré et cela pour te dégorger un peu les glandes.
Ce sera la première fois depuis ton intégration chez moi, tu seras resté chaste pendant presque 4 mois ce qui est un bon début pour quelqu’un qui se masturbait deux fois par jour. On fera ça en présence de Dominique qui souhaite assister. Ensuite enfermement immédiat mais cette fois pour 6 mois et en cage courte . On abandonne définitivement la cage standard car j’estime que tu as grand besoin d’être mieux tenu. La cage courte est de plus beaucoup plus élégante. C’est Dominique qui tient à choisir le plug que tu porteras pour cette vidange car une activation anale est importante dans une purge. Elle te fera certainement porter celui qu’elle impose déjà à son soumis. Le soir même tu le sais, ton sperme sera versé dans ta gamelle.Mais attention si pendant la période tu ne fonctionnes pas comme je le souhaite on annule tout et on reporte.
– Merci Maîtresse.
– En place on reprend les pompes !!! Au travail !!!
Reprise des 25 pompes restantes
J’ai dit langue tirée quand tu es aux pieds !! Sanction !! On va enchaîner sur 50 abdo fessiers, ensuite à la douche et reprise de tes corvées. Oui Maîtresse. A compter de ce soir tu ne t’assois plus sur ton petit tabouret bas de cuisine pour t’alimenter. En discipline renforcée tu t’alimenteras toujours à la gamelle pour chiens au sol et près de ton bac sanitaire.
– Oui Maîtresse.
– C’est comme ça et pas autrement !!! Pas de discutions tu le sais.
– Oui Maîtresse.
Reprise des corvées
Tu as 5 minutes pour te doucher et tu reviens te présenter ici en tenue de travail NCT pour connaitre ton programme de l’après midi.
Bien !! temps de travail prescrit pour la journée de 13h à 19h soit 6h00. Aspirateur général, carrelage de la cuisine à fond, rangement placards cuisine, repassage, faire mon lit et changer mes draps, nettoyage WC à fond, ranger ce qui est dans l’entrée au garage . A 18h45 inspection. A 19h alimentation à la gamelle, tu mangeras mes restes d’hier avec des compléments alimentaires pour ta musculation et carnet de discipline mis à jour avec les sanctions annoncées ce matin. Tu travailles en NCT comme d’habitude . J’espère pour toi que tu as bien noté ce que tu devais faire.
Pour quelle raison n’as tu pas mis tes sandale Scholl ??? Pas de réponse donc encore une sanction . Et attention j’ai l’intention d’être vache lors de l’inspection. Tu vas en baver crois moi !!
– Merci Maîtresse !
– De plus je vais maintenant t’habituer à sauter d’une corvée à l’autre et retour à la précédente et sans broncher, ce que subissent la plupart des femmes au foyer.
– Oui Maîtresse, merci Maîtresse.
– Demain matin, tu le sais tu as danse rythmique.
– Oui Maîtresse.
18h45 Inspection
Tu restes près de moi pendant l’inspection cahier de discipline en mains. On commence par les WC. C’est bien mais c’est quoi cette petite trace sur le couvercle ? Sanction. Là ou je vais me régaler c’est au niveau du repassage. Tu as vu comment sont pliés les torchons ? C’est à refaire , sanction. Le sol de la cuisine est correct mais tu vas le refaire vendredi et cette fois à la petite brosse. Je ferai comme la dernière fois je ferai l’inspection avec mes baskets de running pleine de terre et tu recommenceras . Je viens de voir de la poussière sous cette armoire . Sanction, tu notes. Tu vas à la gamelle et ensuite tu corriges tes erreurs. Je ferai une nouvelle inspection à 21h00. Demain matin à 9h00 face fauteuil en tenue impeccable pour ta formation hebdomadaire de danse rythmique : bas lycra, string, chaussons de danse, plug de discipline, prothèses mammaires et soutien gorge. Tu te présenteras aussi avec tes baskets de danse et semelles ortho plantaires en mains , je déciderai ensuite. On travaillera durant 4 heures.
– Oui Maîtresse.
Le lendemain 9h00
Tu prends le CD de Rondo Veneziano de la semaine dernière pour te faire réviser, tu l’installes et tu me donnes la télécommande. Retires tes chaussons de danse pour l’instant et tu te chausses avec les baskets de danse et tes semelles ortho plantaires. Tu te mettras en chausson plus tard dans la matinée quand tu seras chaud. Ensuite face à moi en position de discipline.
– Oui Maîtresse.
– J’espère que tu ne vas pas refaire les mêmes fautes que la semaine dernière. Je te préviens je ne vais rien laisser passer. Tu vas marcher au pas c’est le cas de le dire !!
On va commencer par la face 1 . On le refera dix fois s’il le faut, je souhaite de la souplesse et de l’élégance gestuelle. Tu n’as pas attaché correctement la lanière de maintien de tes prothèses mammaires. Approches je vais le faire moi même. Enlèves ton soutien gorge pour que je t’équipe bien. Nous achèterons d’autres prothèses un peu plus corpulentes. J’ai commandé une jupe courte pour compléter ta tenue quand tu danses.
– Oui Maîtresse.
– Un vrai petit rat de l’Opéra …
Allez en piste !! au travail !!!!!!! Temps pour t’alimenter à 13h : 7 minutes et pas de pause. Tu as un gros paquet de corvées jusqu’à 20h pas question de perdre du temps.
– Oui Maîtresse, merci Maîtresse.
-Très bien !! ça va marcher au trot aujourd’hui tu vas déguster !!!!
La leçon
Position de discipline et en vitesse !!!!! Sois très attentif . Comme tu le sais le début du CD comporte une plage de calme durant laquelle tes pieds et tes bras doivent être en position de départ. Le rythme débute au bout d’environ une minute. Tu dois marquer la mesure avec le pied gauche puis ensuite danser sur les deux pieds en respectant le rythme. je serai face à toi et tu fixeras mon bras car je donnerai le rythme. En position !!
J’ai dit pied gauche pointé !!! On y va !!! Non ça ne va pas ! Tu refais la même erreur sans arrêt. Tu ne comprends que les punitions. J’ajoute donc une semaine de discipline renforcée pour que tu sois plus attentif quand j’ordonne quelque chose. On recommence . En position de départ ! De plus tu ne baisses pas la tête, tu regardes mon bras qui te donne le rythme. C’est moi le chef d’orchestre. Fais ressortir un peu la poitrine, voilà c’est mieux. Tu dois pointer le sol avec ton pied gauche. Attention on redémarre. Bien !! Le pied gauche d’avant en arrière qui suit la musique , très bien. Je souhaite entendre le bruit de ta basket qui touche le sol, ce doit être marqué. Voilà très bien. Attention !!! quand tu entends la petite flute tu commences le sautillement et cette fois pied gauche puis pied droit !! Voilà. Et on garde le rythme !! STOP !!! On reprend depuis le départ pour vérifier si tu as compris. Quand tu commences à sautiller pied gauche et pied droit tu dois pousser un peu les fessiers en arrière et plier légèrement les genoux comme si tu me faisais la révérence. Attention !! position de départ. On ira jusqu’à la perfection même si on doit recommencer des dizaines de fois. Comment te sens tu avec tes prothèses ?
– Bien Maîtresse.
– On reprend.
Plus souple !! voilà très bien , pointe de la basket gauche doit taper. Et on y va tu enchaines. Très bien !! Maintenant tu suis bien la cadence. Tu regardes le bras de Maîtresse. La danse rythmique t’apprend à m’obéir c’est merveilleux.
STOP !!! Position d’attente !!!!!!!!!! C’est Dominique au téléphone.
Suite leçon de danse rythmique
Dominique vient prendre le café, elle souhaite assister à la leçon. On reprendra depuis le début en sa présence.
En position d’attente! Je vais lui ouvrir la porte.
Dominique souhaite te voir au travail, nous allons donc reprendre depuis le début. Tu retires tes baskets et tu prends tes chaussons. Mais avant, à genoux viens déchausser Dominique et tu lui embrasses les pieds.
– Oui Maîtresse
– Je le mets en baskets de danse pour l’entrainement.
– Je trouve que les prothèses mammaires que tu lui fais porter le transforment totalement.
– En position de départ et attention Dominique te regarde. Tu démarreras immédiatement dés que j’actionne la musique tu restes pied gauche pointé en attente !!
– Oui Maîtresse.
– Il est en cage courte ?
– Oui depuis deux jours je fais un test.
– Il semble bien s’habituer. On voit bien ses testicules qui apparaissent au travers du string , c’est très beau.
– Il va être mis en régime alimentaire pendant six mois car je souhaite une masse musculaire plus importante, moins de graisse et du sport intensif plusieurs fois par semaine. J’ai commandé un tapis de running sur ses économies pour le faire travailler à ma façon.
Il est en discipline renforcée pour 4 semaines et il rampe. Ses sorties familiales sont toutes annulées, ça lui fait les pieds !!
– Tu as raison il faut sans cesse serrer la vis, ils ne comprennent qu’avec des sanctions continues jusqu’au dressage final. Le mien est presque dressé mais cela a été difficile par moment.
– Je lui ai expliqué que tu serais présente pour sa purge. Il semblait un peu gêné cela m’a amusé. Il avait les oreilles rouges comme un enfant.
– C’est très bon pour son mental et il en est j’imagine totalement déstabilisé à priori.
– C’est amusant, il semble effrayé de vivre ça face à deux femmes.
– Il faut gommer toute inhibition et les former à tout accepter au plan sexuel.
– Oui c’est très bien de l’habituer.
– Il est prévenu que c’est toi qui lui imposeras le plug de ton choix. Tu pourras l’équiper toi même si tu le souhaites.
– Très bien je n’osais pas t’en parler mais pour la symbolique c’est excellent. Je te préviens à ce niveau là je suis très autoritaire, les soumis doivent sentir que ce sont les femmes qui pilotent la bonne introduction dans leur petit anus. Combien de femmes subissent cela sans protester. Tu dois lui apprendre à se donner. J’y tiens beaucoup, j’apporterai un nouveau modèle que j’ai offert à mon soumis. Tu verras, sa particularité c’est sa longueur, mon soumis s’y est très bien habitué. Lors d’un interrogatoire il m’a même avoué aimer le porter. Je trouve cela amusant, il progresse bien. Je ne suis pas étonnée car le massage de la prostate leur procure des sensations extraordinaires. Le tien y passera j’en fais un point d’honneur. Tu peux déjà lui expliquer.
– Tu restes comme ça en attente pied gauche pointé pendant que nous prenons le café.
– Oui Maîtresse !
– Et immobilité totale, attention !!!!!!!!!!!! oui Maîtresse.
Conversation des deux dominantes en prenant le café :
– Moi j’ai du mal avec lui et je n’ai pas l’impression de le faire progresser, je me suis pourtant donné un objectif dans le temps mais j’ai du mal au plan de la discipline. Il n’est pas attentif .
– C’est un fétichiste des pieds et je dois reconnaitre qu’en ce domaine il est parfait comme pédicure masseur. J’en profite chaque semaine, c’est la seule satisfaction que je lui accorde et cela active sa libido. Il adore toucher, soigner et sentir mes pieds. C’est un point positif. Son grand plaisir c’est lorsque j’ordonne un nettoyage complet de mes cinquante paires. Je l’ai surpris un jour à renifler mes chaussures mais il n’a pas été puni. Je pense que c’est important de le laisser vivre ses fantasmes.
– Il n’est là que depuis 3 mois je trouve que tu as bien avancé.
– Tu dis ça pour me rassurer. Hier encore lors d’une inspection je lui ai collé plusieurs sanctions pour des erreurs remarquées dans le travail domestique. Depuis un mois il n’a plus le droit de parler sauf prononcer merci Maîtresse. J’ai pris cette décision dans la colère.
– J’ai fait la même chose avec le mien au début. Tu devrais expérimenter la communication par paires de gifles c’est très efficace. Tu lui dis très calmement et en souriant de s’approcher et de se placer à genoux bras bien croisés dans le dos . Pour que ce soit encore plus symbolique de ma supériorité j’exige que ces deux genoux touchent mes pieds pour que nous soyons vraiment en contact, son menton au niveau de mes seins à quelques centimètres. Ensuite quand je donne le signal il doit relever la tête et me regarder fixement dans les yeux. Et là ça tombe comme la pluie en hiver. Chez moi, c’est en moyenne 3 fois par jour. Ils sentent ainsi l’autorité physique de leur dominante à la moindre incartade. Par séries de 10 au minimum. Concernant mon soumis cela fonctionne bien il sait que mes paires de gifles répétées peuvent tomber à tout moment même sans aucun motif et même si son travail est satisfaisant seulement pour lui rappeler que c’est moi sa cheffe et que c’est moi qui domine et décide de tout. Il sait que les gifles ne remplacent aucunement les punitions prévues, elles ne sont là que pour éviter des discours inutiles. Chez moi il le sait un soumis doit faire preuve de souplesse totale. Quand je m’absente et que je rentre, après m’avoir embrassé les pieds il prend immédiatement la position et il y a droit et sans motif, c’est un rituel avec moi. Je l’ai parfaitement dressé à ce niveau là.
– Je vais essayer.
– Tu verras ils craignent beaucoup et c’est très vexatoire. Je te conseille aussi de le faire tatouer, je suis étonnée que le tien ne le soit pas.
– Je pensais que 3 mois c’était un peu tôt.
– Pas du tout. Pour le mien c’est fait depuis longtemps et j’ai exigé cela à son intégration : juste au dessus de sa cage de chasteté, sur les fessiers tout près de son petit anus et sous ses pieds au niveau de ses voutes afin que je puisse admirer son matricule et son surnom quand il est en position de prière dans le salon à mes pieds. Comme toi, mon soumis passe à la tonte disciplinaire chaque quinzaine à la grosse tondeuse, c’est obligatoire et cela a été mis en place dés son arrivée.
J’aimerai aussi que tu me montres son fauteuil de purge, j’ai l’intention de m’en procurer un.
– Viens, je vais te le montrer . Il est là , je l’ai acheté auprès d’un artisan spécialisé. C’est en revanche assez couteux.
Voilà , je t’explique. L’avantage avec cette chaise c’est que le soumis est bien assis confortablement et que tu peux l’immobiliser sur le siège au niveau des pieds et des mains. Son pénis et ses testicules sont tenus à la base et sont bien mis en évidence grâce à ce petit volet guillotine que tu peux refermer et même condamner à l’aide d’un cadenas si tu le veux. La Maîtresse peut donc prendre le contrôle total de son sexe et le travailler comme elle le souhaite , au rythme qu’elle souhaite pour simplement traire le soumis sans jouissance. Une bonne traite bien lente de son sperme avec une bonne lubrification à l’huile de massage peut durer de 30 à 40 minutes. Tu peux aussi le masturber si tu souhaites une production de sperme plus rapide avec jouissance. Je lui diffuse juste avant une vidéo pornographique puis je l’équipe avec sa cagoule d’isolement et son bâillon. De plus comme il est assis le plug assure un massage très bénéfique et il est parfaitement stimulé. Il reste ensuite sur la chaise pour être remis sous cage et repartir ainsi pour une bonne période de frustration. Ce sera une première pour lui. Je pratiquais toujours comme cela chaque semestre avec mon précédent qui est malheureusement décédé. Ce dernier il y a plusieurs années est resté chaste près de neuf mois suite à indiscipline.
– C’est très bien j’aime bien ta façon de procéder
– Il est prévenu à chaque convocation hebdomadaire que sa purge peut être repoussée par fraction d’une semaine en cas de comportement qui ne me conviendrait pas.
Si tu le veux bien nous allons retourner dans la salle de dressage pour continuer sa séance de danse rythmique.
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Quand nos hormones commencent a nous chatouiller il faut bien répondre a l’appel. C’est ce que j’ai fait il y a longtemps maintenant. J’arrivais à l’âge ou de toute façon il fallait que je fasse l’expérience du sexe solitaire. Tout est fait pour solliciter nos instincts les plus primaires. Que ce soit les clips de musique, les pubs ou les films il y a toujours des moments ou l’on vous plonge dans une tension sexuelle évidente. Naturellement j’avais entendu mes parents quand la porte de leur chambre était fermée. Et les gémissements de maman et les grognements de mon père avaient un effet indéniable sur ma libido naissante. Grande consommatrice de vidéo pornos, j’avais de bonnes idées pour me donner quelques frissons.
Je tenais à rester vierge, pour éviter les remontrances et les ennuis. Déjà suffisamment rebelle, j’accumulais les diverses brimades sur le suivi de mes études, qui pourtant se passaient a merveille.
J’étais rentrée tôt et la maison était vide, bonne aubaine. Je fouinais dans la chambre des parents à la recherche de je ne sais quoi mais je le saurais en le voyant.
Je dénichais plusieurs vibromasseurs et godemiché au fond des tiroirs. Ils me tentaient bien, mais j’imaginais où ils avaient été quand les parents s’en servaient. D’ailleurs je les prenais délicatement entre le pouce et l’index par leur base, mois susceptible d’avoir été enfouie là ou je l’imaginais. Cette fois là je tombais sur un paquer de photos instantanées avec Papa et Maman. Amoureuse de son père c’est un peu toutes les filles qui ont ce sentiment confus. Mais chez moi c’était une obsession maladive je voulais coucher avec lui.
Ces photos étaient particulièrement excitantes et me donnait une idée de leurs façons de faire l’amour. Et c’était édifiant, imagination et tabous brisés semblaient leur aller.
Consultant ces images, ma main était déjà dans ma culotte ou ma fente peu velue semblait déjà humide.
Je rangeais tout et me précipitais dans ma chambre, fermant la porte a clef. En moins d’une minute j’étais nue sur mon lit, à genoux. Je me regardais dans la glace, je ne me trouvais aucun atout qui pourrait attirer les hommes, pas de gros seins, pas de gros cul un visage passable et mes cheveux roux que je déteste. Mais le pire c’est ma toison enfin l’horrible plantation de poils roux sur mon bas ventre qui donne l’impression que je suis sale ou rouillée.
Mais je suis excitée, mes mains parcourent mes seins, remontent vers mes tétons que je pince et tords assez fort pour me faire pousser un petit cri. Je commence a me caresser les doigts vont et viennent dans mon sexe. Je ne peux pas entrer vraiment dedans, je suis bloquée. Mais mon imagination débordante et mes séances de porno ont donné des idées à la petite salope que je suis. Un orifice n’est pas interdit physiquement. Et je me suis mise a pratiquer la sodomie et j’y prends toujours plaisir. Pour pratiquer il me fallait le bon outil je n’ai trouvé dans la bouteille de Corona au long col. Je sors de sa cachette mon olisbos improvisé et un préservatif. Précaution ? Oui mais surtout suite a ma première utilisation je me suis rendue vite compte que le goulot creux avait tendance a ramener des choses beurkk. Alors un préservatif évitait çà et c’était plus doux.
Je m’étais rapidement rendue compte que les pénétrations anales me donnaient de bonnes et intenses sensations. Et je conjuguais masturbation et sodomie ce qui me donnait de charmants frissons. Je me caressais et commençais à pousser le goulot de la canette contre mon petit trou qui maintenant habitué s’ouvrait facilement, me faisant frissonner et gémir. Tout le col de la bouteille entrait. Je n’avais pas encore osé aller plus loin car c’était bien plus gros. Ce jour-là plus que d’habitude apprès ma découverte des photos des parents. Allongée sur me côté une main sur ma chatte frottant mon clito et l’autre essayant de guider le goulot de la bouteille vers mn petit trou. Enervée mes mouvements se firent brusques. Le goulot encapuchonné par le préservatif ; glissa en avant et comme j’étais bien mouillée et que j’avais appuyé un peu fort le goulot entra dans ma petite chatte. Je poussais un cri, le goulot était entré et totalement. La douleur était un peu forte mais supportable. Je compris tout de suite que ma virginité venait de me quitter sans autre formalité. Ce qui est fait est fait, je poussais donc la bouteille qui coulissait en moi facilement. Le goulot, et le corps de la bouteille écartant mon vagin pénétrais et des frissons inconnus jusqu'alors me parcouraient C’était nouveau et puissant. Je ressortais la bouteille, en effet un peu de sang sur la capote confirmait que je n’étais plus vierge. Je repris la bouteille dans mon sexe humide. Le bruit humide qu’elle faisait était amusant et excitant. J’alternais un coup dans mon anus un coup dans ma chatte. Je me disais qu’il fallait que je trouve une autre bouteille. Une derrière un autre devant voilà une idée qui me plaisait.
Mes gémissements étaient plus fort, et dans mon ventre une sensation plus forte que ce que j’avais ressenti jusqu’à maintenant. Mes doigts trempés avaient du mal à tenir mon gode improvisé j’essuyais ceux-ci sur le lit laissant une belle trace un peu rouge que j’allais devoir cacher.
Mon clito était bien plus sensible et plus gonflé que ces derniers temps. Je me demandais si mon dépucelage accidentel était la cause de ces changements. Mes seins étaient tendus, je me défonçais la chatte avec ma bouteille et montais en moi un orage que je n’avais jamais ressenti.
Et c’est arrivé, brutalement, je n’ai pas pu m’empêcher de crier, alors que j’étais secouée par des spasmes que jamais je n’avais connu avant. A mon humble avis cette fois fut mon premier orgasme véritable. J’avais eu des bons moments mais jamais çà...
Je me jurais que ce n’étais pas fini et ça dure encore heureusement.
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Un partage "d'expérience" joliment détaillé...! Vous avez dû réveiller de délicieux souvenirs, malgré la douleur parfois, de bien des femmes assumant leur goût totalement justifié pour l'auto stimulation...? La masturbation est la meilleure pratique pour connaître son corps et ne doit pas être tabou. Bien à vous toutes...et tous.
Je vis seule avec Vesna, 22ans, que j'ai eue d'un amant d'une nuit que je n'ai jamais revu, elle est apprentie-esthéticienne à mon salon. Nous sommes toutes les deux très « fusionnelles ». Ma relation avec Vesna est à la fois très belle et très émouvante. C'est une relation « totale » aussi bien affective que physique. Cette relation mère/fille doit être pour nous deux une vraie source de bonheur. J'ai Patrice, 51 ans, mari de la voisine d'en face sur le palier. Il passe le matin pour prendre un café/croissant avec nous, je lui fais une fellation (environ deux minutes) ou bien il me saute dans la cuisine debout contre l'évier. C'est en fait un « sexfriend », plutôt qu'un amant. Vesna s'occupe de la table du petit déjeuner.
Aujourd'hui, Richard doit venir me rendre visite. Chaque fois que je sors de chez moi, je croise Richard, un adolescent d'environ 18, dans l'escalier comme « par hasard ». De temps en temps ça devenait gênant même. En se croisant, il simule une bousculade au prétexte que le passage est étroit. C'est vrai que l'espace n'est pas très grand mais il en rajoute un peu quand même. En cet instant, sa main traîne sur moi, en particulier il s'arrange toujours pour être placé de sorte qu'elle se trouve sur mon cul et donc il peut caresser mes fesses. Ce qui est gênant surtout c'est que les voisines et autres femmes de l'immeuble s'en sont aperçues. Toute la gente féminine est au courant et fait des remarques sur ce garçon. Il sonne à notre porte. C'est Vesna qui va lui ouvrir et le faire entrer. L'effet qu'elle procure, seins nus, petit tablier et talons hauts est dévastateur. Je viens rejoindre Richard dans l'entrée pour un baiser « pleine bouche » avec mélange de nos langues sans lui demander son avis. Dans l'entrée exigüe, je m'arrange pour laisser traîner me main sur sa braguette. Je sens la sienne frôler mes fesses à travers mon short en cuir. J'aime beaucoup ces caresses. Alors que je lui propose de venir en cuisine, il me fait part d'une forte envie d'uriner auparavant. Il sait où sont les toilettes dont la porte est un rideau plastifié translucide (sorte e rideau de douche) comme toutes les portes et cloisons chez nous. Dans nos toilettes, il y a un petit lavabo, sorte de lave-mains, ainsi qu'une tringle horizontale montée sur roulettes. Sur la tringle, sont pendues des porte-manteaux où sont accrochées mes culottes. De plus, un perroquet est là pour pendre mes tabliers, des tabliers modèle « La Redoute » des années soixante, c'est-à-dire le tablier à bavette en toile cirée souple, uni, lisse. Mon goût pour les culottes date de mes 18 ans environ, lorsque j'ai trouvé une culotte rose de ma mère dans le panier à linge sale de la buanderie alors que j'y jetais mon slip. Là, juste au-dessus, il y avait une culotte rose. Ce n'était pas la première fois que je voyais une culotte de ma mère, mais c'était la première fois que l'une d'elles éveillait en moi un trouble intérêt. Je l'ai portée à mon nez, l'ai longuement humé et j'ai commencé à m'exciter, voir même à me branler. L'entrejambe en était encore humide. J'ai pris en main ma chatte palpitante et me suis masturbée avec volupté jusqu'à l'orgasme. A ce moment, ma mère a frappé à la porte et m'a dit de me dépêcher, le dîner était prêt. En toute hâte, j'ai remis la culotte dans le panier, me suis rajustée et suis montée. Le lendemain, j'ai regardé s'il y avait d'autres culottes dans le panier, mais il était vide et la machine à laver tournait. J'allais devoir attendre un jour ou deux. Quelques jours plus tard en effet, il y en avait deux nouvelles. Je me suis masturbée dans l'une pendant que je portais l'autre à mes narines. J'ai recommencé ainsi toute la semaine. Quand je suis rentrée du lycée, un soir, ma mère était assise sur le canapé en train de lire un livre. J'ai remarqué le titre « Fétiches et adolescentes ». Je me suis retournée pour aller dans ma chambre et ma mère m'a demandé de revenir lui parler dès que j'aurais rangé mes affaires. De quoi traitait ce livre ? me demandais-je. Je n'avais aucune idée de ce qu'était le fétichisme. Quand je suis revenue dans le salon, ma mère a posé le livre et m'a demandé comment s'était passée ma journée. Nous avons discuté pendant un moment puis elle m'a demandé si je savais ce qu'elle lisait. J'ai répondu que non, mais je me doutais que si elle avait besoin de lire des articles sur les adolescents, c'était à mon sujet.
Après avoir raconté tout ceci à Richard, je lui demande « Sais-tu ce qu'est un fétiche ? ». Il me répond qu'il n'en a aucune idée. Je lui explique qu'il s'agit d'un attachement sexuel, généralement à un vêtement porté par une autre personne, le plus souvent du sexe opposé. Je lui révèle qu'après son passage dans nos toilettes j'ai une de mes culottes trempée ou encore un de mes tabliers sur lequel un liquide blanchâtre dégouline doucement en restant collé à la toile cirée. Richard rougit. Voilà qu'il apprend que je sais qu'il se masturbe dans mes culottes ou mes tabliers. « tu sembles avoir un fétichisme pour mes culottes, Richard. J'en ai déjà trouvé plusieurs tachées de ton sperme. Aimes-tu te masturber dans mes culottes, mon chéri ? ». Puis, je poursuis : « Est-ce que tu aimes te masturber dans mes culottes ? Oh, je sais que oui. Il n'est pas difficile de le dire quand on les voit toutes collantes de sperme ou sèches et raides. Dis-moi ce que tu aimes chez elles. Nous pouvons en parler ». Richard se tortille, horriblement gêné, « je veux juste savoir. C'est leur odeur ? Une femme a une odeur qui est censée donner envie aux mâles de s'accoupler avec la femelle. C'est le plan biologique pour la continuation de l'espèce. C'est peut-être pour ça que tu aimes te masturber dans ma culotte ? » Richard est assis là, tout excité, sa bite raidie, rien qu'à entendre le mot culotte. Je suis assise en face de lui, mon chemisier grand ouvert laisse apparaître mes seins. Je me penche en avant, mes jambes s'écartent. La pièce est faiblement éclairée par une lumière orangée tamisée de sorte que Richard puisse quand même voir jusqu'à ma culotte, ma culotte rose quasi transparente. Richard est tellement excité qu'il ne peut que fixer ses yeux vers mon entrecuisses. Je le remarque et je dis à Richard « Ce sont tes culottes préférées, les roses, n'est-ce pas ? » Richard murmure, honteux, « Oui ». J'écarte un peu plus les jambes pour que Richard puisse mieux voir et je lui dis « Regarde bien mon chéri... ». Richard est hypnotisé par ce spectacle, incapable même de penser, haletant. Il en arrive à bander sans se toucher, sa respiration s'accélère, son visage vire au cramoisi..... et voilà qu'il gicle, incapable de se retenir. Son sperme se répand dans son short. « Lève-toi et approche-toi, mon coeur » lui dis-je sur le ton d'un ordre à exécuter, puis « fais-moi voir ce qui s'est passé. Tu as joui dans ton short ? ». Cette fois encore, Richard ne peut que murmurer un timide oui. Il se tient devant moi, tremblant et la tache qui s'étend dans l'entrejambes de son short témoigne de son manque de contrôle... ou d'une preuve du pouvoir que ma culotte a sur lui. Entretemps, j'ai enfilé ma mini-jupe ou plutôt ma micro-jupe tellement elle est courte, une jupe en cuir noire agneau plongé, fermée devant par des boutons pressions qui moule bien mes fesses. « baisse ton short, Richard, ton caleçon aussi. Maintenant » en passant mes mains par dessous ma jupette. Je la relève jusqu'à la fourche. Richard n'en croit pas ses yeux ! Le souffle coupé, il me voit pincer ma culotte de chaque côté pour la faire descendre le long de mes cuisses et mes jambes, ensuite la porter sous son nez pour qu'il la renifle. Pour la première fois, Richard voit ma chatte complètement lisse, telle un savon, entre mes cuisses écartées. Me voici assise les cuisses et les jambes bien écartées avec ma culotte sur mes chevilles. C'en est trop ! Sa queue se dresse à nouveau, impérieuse, pendant qu'il enlève son short.
« Maintenant, je voudrais te voir te masturber... je veux te voir te masturber... montre-moi comment tu fais avec ma culotte ». Richard n'est plus en état de dire quoi que ce soit et c'est sans un mot qu'il enroule soigneusement l'entrejambe humide de ma culotte sur sa bite turgescente et commence à se branler, les yeux rivés sur mon con maternel. Il respire de plus en plus rapidement, ses jambes s'affaiblissent et c'est les yeux exorbités qu'il se met à gicler, nu comme au premier jour devant moi qui sourit... A partir de ce jour, la scène que Richard venait de vivre devant moi devint un rituel auquel il devait s'astreindre à son corps défendant chaque fois qu'il passe chez nous. Après ses cours terminés au lycée, il devait passer à la maison. Voilà qu'il devint incapable de résister à mes volontés. Pendant que je m'installe confortablement dans mon fauteuil, Richard doit se mettre nu. Debout nu devant moi, il doit attendre que je retire ma culotte et lui tende, ce que je ne fais que lorsque, excité par anticipation, il vienne à exhiber en rougissant son sexe dressé. Dès que je juge Richard suffisamment humilié par ce petit jeu, je retrousse ma jupe en souriant et en le traitant de « petit vicieux ». Alors il a droit au spectacle de mes cuisses plantureuses que j'écarte ou resserre au gré de mon envie pour mieux le faire bander. Malgré sa honte, il ne peut détacher ses yeux de mon sexe lisse, qu'il devine doux, dans l'attente avide du moment où, dévoilant ma fente, j'écarte les lèvres de ma chatte en ne quittant pas des yeux son regard hypnotisé. Je lui dis, d'une voix moqueuse : « tu aimes ça, hein, petit pervers, regarder d'où tu es venu... ». Et, haletant et la gorge sèche, Richard ne peut que balbutier en se branlant frénétiquement, mortifié par ma raillerie : « Oh oui, oh oui Madame ! ». Ce scénario comporte de nombreuses variantes mais j'en reviens toujours aux mêmes propos en exhibant ma grotte rose brillante de ma mouille. Quand, n'en pouvant plus devant cette vue et ces paroles, Richard finit par gicler dans ma culotte en gémissant, je le traite une dernière fois de sale petit vicieux avant de tendre vers lui une main impérieuse. Je n'ai pas besoin de dire quoi que ce soit. Je dois alors lui remettre ma culotte toute humide et chaude de son jus encore chaud. Je lui remets alors en prenant mon temps et en prenant soin de bien l'ajuster en la lissant sur ma chatte, avec sur mes lèvres le même sourire ironique.... « Tu penses à quoi toujours, hein, cochon ? ». Lorsque le bruit de la porte d'entrée se faisait entendre à cause de l'arrivée de Vesna, Richard a juste le temps de se rhabiller et de se précipiter dans la cuisine, où il fait semblant de s'occuper à des tâches anodines.
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