
###BANNI###Maîtresse Luna
Alice gémissait fort.
Mais fort.
Décidément, la troisième roue de notre carrosse avait trouvé sa place !
Côté Thomas, c'était un peu plus compliqué. J'avais arrêté de jouer avec son bâillon. Plus de gorges profondes, mais il étouffait toujours bien un mélange de gémissements, grognements, pleurs…
Mon mari était toujours attaché à 4 pattes, immobilisé sur une structure métallique. Des pinces à tétons tiraient ses mamelons vers le bas, un masque l'aveuglait et sa queue était toujours enfermée dans une cage, une tige vissée dans son urètre.
Et puis surtout, ma queue factice vibrait au fond de son cul.
Je venais moi aussi compléter ce tableau avec ma tenue de cuir et de latex, mes bottes longues, agenouillée derrière mon mari en le tenant par les hanches… pas étonnant que notre squatteuse gémisse autant !
Thomas semblait en difficulté. Pas encore à chercher une porte de sortie, mais clairement pas à prendre son pied non plus… je décidais de continuer à accentuer la torture. D'abord, parce qu'il avait un réel penchant masochiste que je lui avait promis un jour d'explorer ensemble. Il voulait souffrir (pas dans l'immédiat vu comme il se débattait, mais ça s'est son problème), il allait être servi !
Comme pour l'insertion du gode, je ne pris pas de pincettes quand je commençais à le pilonner sans retenue. Bon, pour être tout à fait honnête, c'était autant pour satisfaire mon excitation vorace que pour alimenter son prétendu masochisme !
Les vibrations couplées aux à-coups brutaux du gode ceinture firent monter en moi des vagues de plaisir à une vitesse inégalée.
Alice semblait sur le point de basculer. Moi aussi, je réalisais soudain. Ça allait trop vite, il fallait faire quelque chose.
J'arrêtais les aller-retours d'un coup, et lui lançait brutalement un “STOP” sonore.
Ses mains, une enfoncée dans son décolleté malaxant un sein et l'autre dans sa culotte, se figèrent. Ses yeux semblaient perdus, comme si elle prenait subitement conscience de ce qui était en train de se passer. Je gardais mon air sévère, pour maintenir une prestance de domina.
Bon, en vrai j'avais toujours un gode qui me vibrait au fond de la chatte, donc l'air fâché ne devait pas ressembler à grand chose ! Cela dit, ça avait l'air de marcher.
“Je t'avais dis de me demander avant de jouir.
Mais je n'ai pas…
Oui, tu n'as pas, mais oses me dire que tu allais te retenir!”
Elle ne répondit pas et prit un air penaud, presque triste. Comme si la magie était rompue, comme si je m'apprêtais à la mettre dehors. Mais j'étais bien trop excitée pour ne serait-ce qu'envisager d’arrêter !
Thomas, lui, avait l'air de ne plus en pouvoir. Il ne prêtait pas attention à notre discussion, enfermé dans son monde. Sa tête se ballottait de gauche à droite en sanglotant doucement. Honnêtement, masochisme auto-proclamé ou pas, je ne pense pas qu'il tirait le moindre plaisir de la situation à cet instant.
Alice non plus. Avec son air penaud, elle semblait sur le point de se rhabiller et de partir.
J'eu soudain une vague de culpabilité qui balaya la montée de mon plaisir autant que mon excitation. J'étais en train de perdre le contrôle.
Fuck.
Respire, 1 2 1 2.
Ok, “Fake it ‘till you make it” comme disent les ricains.
Il était temps de réorienter la situation direction plaisir.
Le calme de la situation actuel agissait déjà sur Thomas. Pour le laisser redescendre en douceur de ses montagnes russes, je commençais par Alice :
“Descend les vibrations de mon gode au minimum s’il te plait.”
Elle obtempéra, calmée par mon ton posé.
“Ne t'inquiète pas ma chérie, je t’assure que tu vas avoir l’occasion de profiter encore de la situation. Fais moi confiance et je te promets un orgasme à en tomber dans les pommes…” je dis en lui tendant la main.
Un air rassuré s'imprima sur son visage, puis elle attrapa ma main après une seconde d’hésitation.
Je l'attirait vers moi et la fis descendre à genou. Puis, je passais un bras autour de sa taille et la plaquait contre moi pour l'embrasser à pleine bouche. Elle se laissa faire en poussant même un gémissement de plaisir.
C'était la seconde fois que j'embrassais Alice ce soir… et une femme en général. Je dois avouer que je n'étais pas déçue. Tout était plus doux : ses lèvres, ses mouvements, le goût légèrement sucrée de sa salive, sa langue delicate…
Elle avait maintenant une main posée sur ma joue et l’autre qui caressait doucement mes cheveux. Une des miennes était toujours plaquée dans son dos pour l'approcher de moi, l’autre glissée dans son pantalon pour caresser ses fesses.
Lorsque nos lèvres se décollèrent, nous étions hors de souffle. Nos mains continuaient leur travail, pendant que nous calmions nos respirations. Front contre front, bouche à quelques millimètres l’une de l’autre.
Je remarquais à ce moment que Thomas ne pleurnichait plus du tout. Il semblait plus calme, sa respiration était régulière, sa tête plus droite… Non, après réflexion sa tête n'était pas droite, elle était dévissée vers l'arrière, à essayer de capter les sons de nos ébats.
Il avait l'air d’avoir repris un peu de la contenance, je décidais donc de l’inclure un peu plus dans notre instant câlin.
Je recommençais donc à imprimer un mouvement de balancier avec mes hanches, mais cette fois-ci tout doucement, sensuel. Et il recommença à gémir, mais cette fois-ci de satisfaction.
Son cul s’était habitué à la présence, et le léger mouvement associé au vibration semblait faire son travail.
Alice enleva son chemisier, son soutien-gorge et se glissa derrière moi. Elle avait sa poitrine qui irradiait de chaleur posée sur le haut de mon corset, ses tétons collés contre mon dos. Elle caressait mes seins par-dessus mon corset. Après avoir balayé mes cheveux d'un côté, elle commença à s'activer en léchant mes lobes d'oreilles, en embrassant mon cou, tout en gémissant de plaisir.
Elle calqua les mouvements de son bassin sur les miens et rapidement, c'est elle qui imprimait le rythme et baisait le cul de mon mari.
Leurs gémissements semblait s’accorder, monter et descendre au même rythme.
Je réalisais alors que les miens aussi.
Nous étions dans une situation extrêmement sensuel. Tous les 3 tirant un plaisir relatif de la situation, mais avec des stimulations trop légères pour basculer dans un orgasme.
Je décidais de modifier la dynamique, pour aller encore plus loin.
Sans crier gare, j'enroulais une poignée de ses cheveux dans ma main et tirait en arrière. Elle poussa un petit cri de surprise, arrêtant immédiatement ses mouvements de hanches. Par réflexe, ses mains vinrent se poser sur les miennes pour se protéger.
“Enlève ça tout de suite.”
Elle obtempéra.
“ ne t’arrête pas, continu…”
Elle recommença à pétrir mes seins en imprimant de petits coups de hanche. Thomas s’était crispé lorsque notre changement de dynamique avait commencé, de peur des conséquences sur sa situation. Je gémissais doucement, profitant du pouvoir qui transpirait de Cette situation. Après quelques instants à profiter de cette puissance, je repris la parole :
“ je t'ai promis un orgasme ma chère, et je compte bien te l'apporter. Mais pour ça, je veux que tu t'abandonnes à moi complètement…”
Elle ne prononça pas un mot mais hocha la tête de haut en bas avec véhémence, tirant au passage encore plus sur sa belle chevelure blonde. Peut-être qu’elle était un peu maso aussi tiens.
“que tu t’abandonnes, comme lui”
Là, la tête s'arrêta de bouger. Clairement, elle ne semblait pas emballée.
“je te rassure, je ne compte pas en arriver là. Mais je te veux à ma merci, je veux que tu abandonnes tout contrôle…”
Elle hésita encore quelques instants, puis recommença à hocher la tête.
Thomas, aveugle, n’entendait que mon discours. Il tendait toujours l’oreille, subissant encore les mouvements du gode dans son fondement.
Je lâchais subitement Alice, ma nouvelle soumise, et lançait mon premier ordre :
“déshabille-toi”
Elle se leva, se tint droite devant moi et enleva son jean et son tanga.
Première fois que j'observais une femme nue, vraiment observait.
Mon dieu qu'elle était sexy. Son tatouage tribal s'enroulait entre ses seins puis descendait jusqu'a son bas ventre. Ce symbole primaire contrastait avec ses cheveux blonds et ses yeux bleux transparent, lui procurant une aura de force et de vulnerabilité entremélée…
Je continuais à imprimer un léger mouvement dans le fondement de mon mari, comme un métronome qui marquait le rythme de notre soirée. Je caressais ses testicules, en regardant Alice droit dans les yeux. Thomas gémissait de plaisir.
“Prends les pinces sur ses tétons et met les sur les tiens”
Elle obtempera en décrochant les 2 pinces qui torturaient mon homme depuis maintenant plus d’une heure. Il poussa un long grognement de douleur. Elle poussa un petit gémissement de plaisir.
Puis se releva, bien droite, un air de défi dans les yeux, son regard vissé dans le mien.
L'air était chargé d'une tension palpable… Thomas devait être en train de maudire le masque qui bloquait sa vue !
Je retirais la chaine qui faisait trôner la clé de la cage de chasteté sur ma poitrine et la jetais au sol aux pied de ma soumise.
“Libère-le”
Elle prit clé et se pencha vers les menottes immobilisant les poignets de Thomas. Il sursauta lorsqu'elle lui saisit pour les retourner, cherchant un cadenas. Ne trouvant rien, elle regarda les chevilles. Idem. Et la elle vit le petit cadenas qui pendouillait sous les bourses de mon homme. Elle ouvrit grand les yeux. Je lui souris et hocha lentement la tête. Elle se saisit du cadenas et tourna la clé. Lorsqu’elle commença à tirer sur la gaine pour l'enlever, Thomas serra les mains et poussa un long grognement dans son bâillon. Elle sursauta et arrêta son geste, étonnée.
“ vas-y franco ma belle, il n’y a pas de bonne manière de la faire de toute façon.”
Après avoir tiré malgré les grognements appuyés, elle découvrit la longue tige qui habitait l’urètre de ma victime. Ses yeux s’ouvrir en grand, sa bouche était entre-ouverte figée dans une expression de surprise.
“il a été courageux hein… il a bien mérité une petite caresse pour le féliciter!”
Alice sorti de sa torpeur et commença à doucement caresser les bourses de mon mari. La pointe de ses longs doigts fins dansaient sur ses testicules, puis vinrent glisser le long de son sexe qui commencait a se tendre. Puis sans crier gare, elle s'amusa à lui pincer un testicule. Lorsqu'il s'agita dans ses attaches en grognant, elle sourit.
Quelle salope décidément !
Je décidais qu'il était tout de même temps d'orienter les sensations de mon mari vers le plaisir.
Sous mes consignes, Alice récupéra un petit pouf couvert et le glissa entre les cuisses écartées de notre supplicié. Elle tira ensuite la bite tendue pour la basculer vers l'arrière, écrasée à l'envers. J'avais arrêté temporairement mes aller-retours dans son cul et, quand je repris, sa queue coulissait entre mes cuisses couvertes de mouille… Parfait.
“Vas dans la valise et récupère une paire de menotte en cuir et un bâillon de ton choix. Puis installe le fauteuil devant ma salope de mari et reviens me voir.”
Elle continua à appliquer mes consignes à la lettre, et après avoir bougé le fauteuil et fouillé dans le sac elle revint avec une paire de menotte meletonné, un bâillon boule simple et… un plug de taille intermediaire en verre.
Je souris, elle sourit.
Il était temps pour moi de retrouver temporairement un peu de mobilité. après avoir défait les sangles qui tenaient mon gode-ceinture, je les attachaient autour des cuisses de mon homme pour le maintenir en place. Puis, avec un soupir d’excitation et de deception mêlé, je laissais glisser ma partie du gode hors de mon intimité. Des filins des mouilles glissèrent le long de mes cuisses…
Je me relevais, les genoux endoloris d’être restée longtemps en place. Elle me dépassait toujours d’une bonne tête. La situation pourrait sembler être inversée : cette grand blonde et son tatouage brutal me surplombant d’une tête pourrait clairement passer pour dominante, mais nos regards ne laissaient place à aucun doute.
Je claquais des doigts et pointait mon index vers le sol. Elle se mit immédiatement à genou, les mains croisées dans le dos, les cuisses écartées. Je relevais légèrement ma jupette en latex et pointait vers mes cuisses souillées de cyprine.
“Nettoie ça, et ne perd pas une goutte”
Thomas secoua sa tête en rugissant, en un ultime effort pour se débarrasser de son masque. En vain. Son sexe était tendu, il semblait sur le point d'exploser.
Alice sortie sa langue et commença a lecher une goutte de cyprine à mi-cuisse. Puis, elle remonta directement à l'entrée de ma chatte, glissa sur une lèvre et se rua sur mon clitoris. Une onde de choc me traversa le corps. Je lui saisis une poignée de cheveux rnet lui tira la tete en arrière.
“Dis donc, c'était pas vraiment ça la consigne si?
Pardon madame…
Pas de madame, moi c'est Sarah.
Pardon Sarah…
C'est mieux… tu y crois mon chéri, elle s'est ruée sur mon clitoris cette salope!”
Thomas se lança dans une supplication inintelligible à travers son bâillon. Il donnait des coups de bassin dans le vide, vaine tentative de satisfaire son envie de jouir. Mais ce n'était pas encore ton tour.
Je guidais Alice en la tenant par les cheveux. Sa langue s'aventura partout sur mes cuisses et même sur mon periné, jusqu'à toucher mon œillet… mais plus de ma chatte. Je l'écartais, tirant toujours sur ses cheveux. Elle me regardait en gardant sa bouche entrouverte.
“ c'est bien ma chérie, garde cette belle bouche ouverte”
Je lui enfonçait le plug en forçant ses lèvres et commença un mouvement de va et vient pour la faire saliver. Elle s'appliqua, en me regardant bien dans les yeux. Le bruit de ses succions couvraient presque les supplications de mon supplicié.
Tournes-toi”
J'étais de plus en plus à l’aise à faire claquer des ordres dans l'air.
Elle se retourna à 4 pattes et attendit. Je me baissait derrière elle et flattait sa croupe… elle ronronnait de plaisir. Je glissais alors 2 doigts dans sa chatte trempé. Elle poussa un petit cri mi-surprise mi-plaisir. Tout en m'activant dans sa chatte, je commençais à lui lécher la rondelle. Je jouais avec la pointe de ma langue, la dardant pour percer doucement ses défenses, puis balayant de haut en bas… je recommençais à mouiller et elle gémissait de plus en plus fort.
“Le plug s'il te plaît chérie”
Thomas chouniait pendant qu'Alice me tendais le plug entre ses cuisses. Je continuais à laisser mes doigts s'activer en appuyant le plug sur sa rondelle. La regarder s'entrouvrir doucement, sur fond de gemissement sonore, avant de se faire absorber avait quelque d'envoûtant…
Je l'accompagnait jusqu'au fauteuil précédemment installé pour la préparer pour la suite. Je lui attachais les mains dans le dos et la baillonnait. Puis, j'écartais ses cuisses et les immobilisais avec une corde.
J'avançais ensuite son fauteuil pour que son intimité soit juste devant le visage de mon mari en rut. Son nez était à quelques millimètres de son clitoris. Je pris une poignée de ses cheveux et lui frottais le visage contre son intimité.
Les deux semblaient en feu. La frustration d’être si proche, mais de ne rien pouvoir faire à cause de son baillon… Après tout ce qui venait de se passer, les deux n'en pouvaient plus.
Je me réinstallais donc derrière lui et réintroduit le gode ceinture double dans mon vagin. Je libérais enfin Thomas de son bâillon, mais lui bloquait la tête en arrière en le tenant par les cheveux. Il tirait tellement dessus qu'ils semblaient prêts à s'arracher… je lui glissait a l'oreille :
“alors mon chéri, elle n'est pas belle notre soumise ? Toi qui a toujours voulu faire un plan à trois…
S'il te plais Sarah…
Mon chéri, tu as ma permission pour la goûter.”
Et j'enfonçais sa tête dans la chatte de notre réceptionniste.
Elle se mit immédiatement à gémir. Thomas était brouillon, il ne savait plus où donner de la tête. Il léchait, suçait, mordillait, du clitoris aux petites lèvres, glissait sa langue dans le vagin, traçait les contour du plug… Alice n’allais pas tenir longtemps, elle poussait de petits cris de plus en plus marqués.
Je decidais que cet orgasme serait aussi le mien et poussait les vibrations du gode ceinture à fond. Thomas gémit de plus belle, sa queue bloquée à l'envers entre mes cuisses était tendue au possible… et je recommençais à le pilonner de plus belle. Cette fois-ci, après s'être habitué à la présence du plug, ça ne le dérangeait plus tant que ça! Probablement que sa bite en train d'être branché entre mes cuisses et la distraction vaginale littéralement sous son nez devait aussi jouer…
Et plus les allers-retours étaient puissant, plus le gode butait contre le fond de mon vagin et decuplait mon plaisir.
Alice n'était pas en reste elle mordait son bâillon et poussait un long cri etouffé. Le visage de Thomas venait buter à intervalle régulier contre son intimité, enfoncant sa langue toujours un peu plus loin dans son vagin. Elle essayait de parler. Je savais pertinemment ce qu'elle demandait, mais je la laissais tout de même galèrer quelques secondes. Puis le la liberais en gémissant :
“Vas y ma belle, fais toi plaisir…”
Et elle explosa.
la tête balancée en arrière, une longue complainte étouffée par le bâillon… et une fontaine de cyprine se déversent sur mon mari.
Une squirter…
A cette instant, Thomas poussa un véritable rugissement étouffé dans la chatte de notre réceptionniste préférée et je sentis son sperme fuser entre mes cuisses.
Ces deux explosions littérales de plaisir me firent basculer. J'explosais moi aussi en un puissant orgasme.
Ouhaou…
Le moment semblait suspendu dans le temps. Alice avait la tête basculée en arrière, Thomas avait le visage enfoui entre ses cuisses, la respiration rauque. Moi effondrée sur son dos…
Mais ce n'était pas finit. J'avais une responsabilité double ce soir.
Je me levais et ce faisant sorti le gode du cul de mon mari d'un coup sec. Il poussa un long grognement etouffé, Alice en poussa un de concert. J'enlevais moi aussi le gode et le saisis.
Je m'approchais d'Alice, la surplombant. Elle releva la tête, les yeux épuisés, et attendit. J'enlevais son bâillon et lui plongeais le gode trempé de ma cyprine dans la bouche.
“Nettoie ça ma petite salope”
Elle s’activa immédiatement.
Je lui baisais la bouche un peu violemment, pour lui faire comprendre que ce n’était pas finit. Je regardais ses yeux s'humidifier d’en air froid et hautain.
Puis, j'arrêtais d’un coup et lui adressa un sourire chaleureux, elle y répondit immédiatement. Le sourire se figea lorsque je lui décrochais les pinces à tétons, puis se transforma en grimace lorsque je les pinçais du bout des doigts.
Je relevais doucement le visage de Thomas et l'embrassais passionnément. Je lui répétais à quel point j'étais fière de lui…
Puis je m’activais pour détacher Alice. Lorsque ses mains furent libre, elle se mit à les passer dans les cheveux de mon mari. Pendant que je lui détachait les cuisses elle prit lui releva le visage et se pencha à quelques millimètres, avant de lui souffler dans le creux de l’oreille avec une voix sensuelle :
“Regarde moi le bazard que tu as mis… vilain garçon! Je n’en ai pas finit avec toi…”
Elle se releva juste à côté de moi. Thomas était en rut, sa queue avait réussi à se libérer du pouf qui le maintenait et il donnait de petits coups de rein. Il bandait à nouveau, ou bien ne s'était jamais arrêté.
La soirée n'était pas finie, pas pour lui en tout cas.
“Tu viens, on va se refaire une beauté ?”
Alice opina du chef et me pris la main. Alors que nous marchions vers la salle de bain en riant, Thomas nous invectivais :
“Non mais attendez ! Attend ! Sarah je déconne pas attend, me laisse pas comme ça… Sarah… s’il te plait !”
Je fermais la porte de la salle de bain.
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soumyvbi
" LE GRAAL " !!!
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05/05/25

LeKinkyToy
Je ne sais pas si cette histoire est vrai ou fictive, mais vous avez un talent d'écriture, je me suis mit à la place de votre mari tout au long de cette lecture !
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12/05/25
Edité
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C'est Dimanche, je suis un peu nouveau, c'est trés agréable, ces sens de vous, les bdsm, hommes, femmes, tout, je suis ici car j'ai cette attirance pour jouer, pour du plaisir, de cette sexualité, avec tout ce vocabulaire et pratiques, j'aimerais le vivre, sans perversité, je me donne du plaisir en solo, je dois être ingenu, je voudrais savoir comment se passe une séance, le pacte, j'en arrive à imaginer, sans le vivre, à regarder des vidéo, et à me toucher, sans réalité, j'aimerais bien connâitre comment on dit les mots, je ne comprends pas le ou la soumise, le dominant ou la dominante, qui fait quoi ?
je suis prêt pour cette aventure humide et fine.......
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Bonjour le groupe
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Mon Maitre m'avait fait découvrir le edging. Nu dans la cave, attaché en croix, il laissait ses mains parcourir mon corps puis commençait à me masturber. Il savait quand la jouissance était sur le point d'arriver, il cessait tout et passait à tout autre chose. Il me posait des pinces aux seins et/ou des pinces à linges sur le corps, lesquelles reliées entre elles par une cordelette, étaient arrachées d'un coup.
Mon Maitre reprenait la masturbation et s'arrêtait encore avant l'orgasme. Il changeait alors et me fixait un lien aux testicules et y accrochait un petit seau dans lequel il jetait divers poids. Mes testicules s'étiraient mais la douleur était presque agréable. Il reprenait la masturbation et, cette fois, me laissait atteindre la jouissance. Un joli flot de semence jaillit et s'écrasa au sol.
Il me dit alors "tu as craché sans faire d'effort pour te retenir, je vais tout de prendre".
Il repris la masturbation cette fois sans s'arrêter, la jouissance a fait son retour et j'ai éjaculé une assez belle quantité. Mon Maitre ne me laissait pas de répit, il continuait à me masturber. J'ai compris le sens de sa phrase quand un autre orgasme est monté, il n'y avait que quelques gouttes de sperme. La masturbation continuait de plus belle, mon sexe devenait douloureux sous sa poigne vigoureuse. Un autre orgasme arriva et il fut difficile d'extraire deux gouttes. Même l'orgasme, au demeurant agréable, devenait douloureux. Sans même une seconde de pause, il continua à me masturber, mon sexe restait dur dans sa main. Les papillons dans mon ventre annonçait un nouvel orgasme. Cette fois, malgré la sensation de jouir, il n'y avait plus la moindre goutte de plaisir à offrir.
Mon Maitre m'avait fait passé de l'interdiction de jouir à l'assechement total. Mon sexe était rouge et boursouflé, mes testicules tendus sous le poids des divers lest. Il y avait prêt de 1,5Kg, je pense qu'on peut faire mieux.
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SwitchLoicbidu59, pourquoi douter de la véracité de mon récit ? Y aurait-il une pointe de jalousie ?
J'ai juste eu la chance de rencontrer de belles personnes. Même si je suis actuellement en recherche, je ne désespère pas, il y a des Dominatrices et Dominateurs dans mon secteur, c'est juste que le destin n'a pas encore fait croiser nos chemins.
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16/04/25
Bonjour Gérard, c'est tellement beau que presque irréel, merci beaucoup
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Quand nos hormones commencent a nous chatouiller il faut bien répondre a l’appel. C’est ce que j’ai fait il y a longtemps maintenant. J’arrivais à l’âge ou de toute façon il fallait que je fasse l’expérience du sexe solitaire. Tout est fait pour solliciter nos instincts les plus primaires. Que ce soit les clips de musique, les pubs ou les films il y a toujours des moments ou l’on vous plonge dans une tension sexuelle évidente. Naturellement j’avais entendu mes parents quand la porte de leur chambre était fermée. Et les gémissements de maman et les grognements de mon père avaient un effet indéniable sur ma libido naissante. Grande consommatrice de vidéo pornos, j’avais de bonnes idées pour me donner quelques frissons.
Je tenais à rester vierge, pour éviter les remontrances et les ennuis. Déjà suffisamment rebelle, j’accumulais les diverses brimades sur le suivi de mes études, qui pourtant se passaient a merveille.
J’étais rentrée tôt et la maison était vide, bonne aubaine. Je fouinais dans la chambre des parents à la recherche de je ne sais quoi mais je le saurais en le voyant.
Je dénichais plusieurs vibromasseurs et godemiché au fond des tiroirs. Ils me tentaient bien, mais j’imaginais où ils avaient été quand les parents s’en servaient. D’ailleurs je les prenais délicatement entre le pouce et l’index par leur base, mois susceptible d’avoir été enfouie là ou je l’imaginais. Cette fois là je tombais sur un paquer de photos instantanées avec Papa et Maman. Amoureuse de son père c’est un peu toutes les filles qui ont ce sentiment confus. Mais chez moi c’était une obsession maladive je voulais coucher avec lui.
Ces photos étaient particulièrement excitantes et me donnait une idée de leurs façons de faire l’amour. Et c’était édifiant, imagination et tabous brisés semblaient leur aller.
Consultant ces images, ma main était déjà dans ma culotte ou ma fente peu velue semblait déjà humide.
Je rangeais tout et me précipitais dans ma chambre, fermant la porte a clef. En moins d’une minute j’étais nue sur mon lit, à genoux. Je me regardais dans la glace, je ne me trouvais aucun atout qui pourrait attirer les hommes, pas de gros seins, pas de gros cul un visage passable et mes cheveux roux que je déteste. Mais le pire c’est ma toison enfin l’horrible plantation de poils roux sur mon bas ventre qui donne l’impression que je suis sale ou rouillée.
Mais je suis excitée, mes mains parcourent mes seins, remontent vers mes tétons que je pince et tords assez fort pour me faire pousser un petit cri. Je commence a me caresser les doigts vont et viennent dans mon sexe. Je ne peux pas entrer vraiment dedans, je suis bloquée. Mais mon imagination débordante et mes séances de porno ont donné des idées à la petite salope que je suis. Un orifice n’est pas interdit physiquement. Et je me suis mise a pratiquer la sodomie et j’y prends toujours plaisir. Pour pratiquer il me fallait le bon outil je n’ai trouvé dans la bouteille de Corona au long col. Je sors de sa cachette mon olisbos improvisé et un préservatif. Précaution ? Oui mais surtout suite a ma première utilisation je me suis rendue vite compte que le goulot creux avait tendance a ramener des choses beurkk. Alors un préservatif évitait çà et c’était plus doux.
Je m’étais rapidement rendue compte que les pénétrations anales me donnaient de bonnes et intenses sensations. Et je conjuguais masturbation et sodomie ce qui me donnait de charmants frissons. Je me caressais et commençais à pousser le goulot de la canette contre mon petit trou qui maintenant habitué s’ouvrait facilement, me faisant frissonner et gémir. Tout le col de la bouteille entrait. Je n’avais pas encore osé aller plus loin car c’était bien plus gros. Ce jour-là plus que d’habitude apprès ma découverte des photos des parents. Allongée sur me côté une main sur ma chatte frottant mon clito et l’autre essayant de guider le goulot de la bouteille vers mn petit trou. Enervée mes mouvements se firent brusques. Le goulot encapuchonné par le préservatif ; glissa en avant et comme j’étais bien mouillée et que j’avais appuyé un peu fort le goulot entra dans ma petite chatte. Je poussais un cri, le goulot était entré et totalement. La douleur était un peu forte mais supportable. Je compris tout de suite que ma virginité venait de me quitter sans autre formalité. Ce qui est fait est fait, je poussais donc la bouteille qui coulissait en moi facilement. Le goulot, et le corps de la bouteille écartant mon vagin pénétrais et des frissons inconnus jusqu'alors me parcouraient C’était nouveau et puissant. Je ressortais la bouteille, en effet un peu de sang sur la capote confirmait que je n’étais plus vierge. Je repris la bouteille dans mon sexe humide. Le bruit humide qu’elle faisait était amusant et excitant. J’alternais un coup dans mon anus un coup dans ma chatte. Je me disais qu’il fallait que je trouve une autre bouteille. Une derrière un autre devant voilà une idée qui me plaisait.
Mes gémissements étaient plus fort, et dans mon ventre une sensation plus forte que ce que j’avais ressenti jusqu’à maintenant. Mes doigts trempés avaient du mal à tenir mon gode improvisé j’essuyais ceux-ci sur le lit laissant une belle trace un peu rouge que j’allais devoir cacher.
Mon clito était bien plus sensible et plus gonflé que ces derniers temps. Je me demandais si mon dépucelage accidentel était la cause de ces changements. Mes seins étaient tendus, je me défonçais la chatte avec ma bouteille et montais en moi un orage que je n’avais jamais ressenti.
Et c’est arrivé, brutalement, je n’ai pas pu m’empêcher de crier, alors que j’étais secouée par des spasmes que jamais je n’avais connu avant. A mon humble avis cette fois fut mon premier orgasme véritable. J’avais eu des bons moments mais jamais çà...
Je me jurais que ce n’étais pas fini et ça dure encore heureusement.
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Un partage "d'expérience" joliment détaillé...! Vous avez dû réveiller de délicieux souvenirs, malgré la douleur parfois, de bien des femmes assumant leur goût totalement justifié pour l'auto stimulation...? La masturbation est la meilleure pratique pour connaître son corps et ne doit pas être tabou. Bien à vous toutes...et tous.
Je vis seule avec Vesna, 22ans, que j'ai eue d'un amant d'une nuit que je n'ai jamais revu, elle est apprentie-esthéticienne à mon salon. Nous sommes toutes les deux très « fusionnelles ». Ma relation avec Vesna est à la fois très belle et très émouvante. C'est une relation « totale » aussi bien affective que physique. Cette relation mère/fille doit être pour nous deux une vraie source de bonheur. J'ai Patrice, 51 ans, mari de la voisine d'en face sur le palier. Il passe le matin pour prendre un café/croissant avec nous, je lui fais une fellation (environ deux minutes) ou bien il me saute dans la cuisine debout contre l'évier. C'est en fait un « sexfriend », plutôt qu'un amant. Vesna s'occupe de la table du petit déjeuner.
Aujourd'hui, Richard doit venir me rendre visite. Chaque fois que je sors de chez moi, je croise Richard, un adolescent d'environ 18, dans l'escalier comme « par hasard ». De temps en temps ça devenait gênant même. En se croisant, il simule une bousculade au prétexte que le passage est étroit. C'est vrai que l'espace n'est pas très grand mais il en rajoute un peu quand même. En cet instant, sa main traîne sur moi, en particulier il s'arrange toujours pour être placé de sorte qu'elle se trouve sur mon cul et donc il peut caresser mes fesses. Ce qui est gênant surtout c'est que les voisines et autres femmes de l'immeuble s'en sont aperçues. Toute la gente féminine est au courant et fait des remarques sur ce garçon. Il sonne à notre porte. C'est Vesna qui va lui ouvrir et le faire entrer. L'effet qu'elle procure, seins nus, petit tablier et talons hauts est dévastateur. Je viens rejoindre Richard dans l'entrée pour un baiser « pleine bouche » avec mélange de nos langues sans lui demander son avis. Dans l'entrée exigüe, je m'arrange pour laisser traîner me main sur sa braguette. Je sens la sienne frôler mes fesses à travers mon short en cuir. J'aime beaucoup ces caresses. Alors que je lui propose de venir en cuisine, il me fait part d'une forte envie d'uriner auparavant. Il sait où sont les toilettes dont la porte est un rideau plastifié translucide (sorte e rideau de douche) comme toutes les portes et cloisons chez nous. Dans nos toilettes, il y a un petit lavabo, sorte de lave-mains, ainsi qu'une tringle horizontale montée sur roulettes. Sur la tringle, sont pendues des porte-manteaux où sont accrochées mes culottes. De plus, un perroquet est là pour pendre mes tabliers, des tabliers modèle « La Redoute » des années soixante, c'est-à-dire le tablier à bavette en toile cirée souple, uni, lisse. Mon goût pour les culottes date de mes 18 ans environ, lorsque j'ai trouvé une culotte rose de ma mère dans le panier à linge sale de la buanderie alors que j'y jetais mon slip. Là, juste au-dessus, il y avait une culotte rose. Ce n'était pas la première fois que je voyais une culotte de ma mère, mais c'était la première fois que l'une d'elles éveillait en moi un trouble intérêt. Je l'ai portée à mon nez, l'ai longuement humé et j'ai commencé à m'exciter, voir même à me branler. L'entrejambe en était encore humide. J'ai pris en main ma chatte palpitante et me suis masturbée avec volupté jusqu'à l'orgasme. A ce moment, ma mère a frappé à la porte et m'a dit de me dépêcher, le dîner était prêt. En toute hâte, j'ai remis la culotte dans le panier, me suis rajustée et suis montée. Le lendemain, j'ai regardé s'il y avait d'autres culottes dans le panier, mais il était vide et la machine à laver tournait. J'allais devoir attendre un jour ou deux. Quelques jours plus tard en effet, il y en avait deux nouvelles. Je me suis masturbée dans l'une pendant que je portais l'autre à mes narines. J'ai recommencé ainsi toute la semaine. Quand je suis rentrée du lycée, un soir, ma mère était assise sur le canapé en train de lire un livre. J'ai remarqué le titre « Fétiches et adolescentes ». Je me suis retournée pour aller dans ma chambre et ma mère m'a demandé de revenir lui parler dès que j'aurais rangé mes affaires. De quoi traitait ce livre ? me demandais-je. Je n'avais aucune idée de ce qu'était le fétichisme. Quand je suis revenue dans le salon, ma mère a posé le livre et m'a demandé comment s'était passée ma journée. Nous avons discuté pendant un moment puis elle m'a demandé si je savais ce qu'elle lisait. J'ai répondu que non, mais je me doutais que si elle avait besoin de lire des articles sur les adolescents, c'était à mon sujet.
Après avoir raconté tout ceci à Richard, je lui demande « Sais-tu ce qu'est un fétiche ? ». Il me répond qu'il n'en a aucune idée. Je lui explique qu'il s'agit d'un attachement sexuel, généralement à un vêtement porté par une autre personne, le plus souvent du sexe opposé. Je lui révèle qu'après son passage dans nos toilettes j'ai une de mes culottes trempée ou encore un de mes tabliers sur lequel un liquide blanchâtre dégouline doucement en restant collé à la toile cirée. Richard rougit. Voilà qu'il apprend que je sais qu'il se masturbe dans mes culottes ou mes tabliers. « tu sembles avoir un fétichisme pour mes culottes, Richard. J'en ai déjà trouvé plusieurs tachées de ton sperme. Aimes-tu te masturber dans mes culottes, mon chéri ? ». Puis, je poursuis : « Est-ce que tu aimes te masturber dans mes culottes ? Oh, je sais que oui. Il n'est pas difficile de le dire quand on les voit toutes collantes de sperme ou sèches et raides. Dis-moi ce que tu aimes chez elles. Nous pouvons en parler ». Richard se tortille, horriblement gêné, « je veux juste savoir. C'est leur odeur ? Une femme a une odeur qui est censée donner envie aux mâles de s'accoupler avec la femelle. C'est le plan biologique pour la continuation de l'espèce. C'est peut-être pour ça que tu aimes te masturber dans ma culotte ? » Richard est assis là, tout excité, sa bite raidie, rien qu'à entendre le mot culotte. Je suis assise en face de lui, mon chemisier grand ouvert laisse apparaître mes seins. Je me penche en avant, mes jambes s'écartent. La pièce est faiblement éclairée par une lumière orangée tamisée de sorte que Richard puisse quand même voir jusqu'à ma culotte, ma culotte rose quasi transparente. Richard est tellement excité qu'il ne peut que fixer ses yeux vers mon entrecuisses. Je le remarque et je dis à Richard « Ce sont tes culottes préférées, les roses, n'est-ce pas ? » Richard murmure, honteux, « Oui ». J'écarte un peu plus les jambes pour que Richard puisse mieux voir et je lui dis « Regarde bien mon chéri... ». Richard est hypnotisé par ce spectacle, incapable même de penser, haletant. Il en arrive à bander sans se toucher, sa respiration s'accélère, son visage vire au cramoisi..... et voilà qu'il gicle, incapable de se retenir. Son sperme se répand dans son short. « Lève-toi et approche-toi, mon coeur » lui dis-je sur le ton d'un ordre à exécuter, puis « fais-moi voir ce qui s'est passé. Tu as joui dans ton short ? ». Cette fois encore, Richard ne peut que murmurer un timide oui. Il se tient devant moi, tremblant et la tache qui s'étend dans l'entrejambes de son short témoigne de son manque de contrôle... ou d'une preuve du pouvoir que ma culotte a sur lui. Entretemps, j'ai enfilé ma mini-jupe ou plutôt ma micro-jupe tellement elle est courte, une jupe en cuir noire agneau plongé, fermée devant par des boutons pressions qui moule bien mes fesses. « baisse ton short, Richard, ton caleçon aussi. Maintenant » en passant mes mains par dessous ma jupette. Je la relève jusqu'à la fourche. Richard n'en croit pas ses yeux ! Le souffle coupé, il me voit pincer ma culotte de chaque côté pour la faire descendre le long de mes cuisses et mes jambes, ensuite la porter sous son nez pour qu'il la renifle. Pour la première fois, Richard voit ma chatte complètement lisse, telle un savon, entre mes cuisses écartées. Me voici assise les cuisses et les jambes bien écartées avec ma culotte sur mes chevilles. C'en est trop ! Sa queue se dresse à nouveau, impérieuse, pendant qu'il enlève son short.
« Maintenant, je voudrais te voir te masturber... je veux te voir te masturber... montre-moi comment tu fais avec ma culotte ». Richard n'est plus en état de dire quoi que ce soit et c'est sans un mot qu'il enroule soigneusement l'entrejambe humide de ma culotte sur sa bite turgescente et commence à se branler, les yeux rivés sur mon con maternel. Il respire de plus en plus rapidement, ses jambes s'affaiblissent et c'est les yeux exorbités qu'il se met à gicler, nu comme au premier jour devant moi qui sourit... A partir de ce jour, la scène que Richard venait de vivre devant moi devint un rituel auquel il devait s'astreindre à son corps défendant chaque fois qu'il passe chez nous. Après ses cours terminés au lycée, il devait passer à la maison. Voilà qu'il devint incapable de résister à mes volontés. Pendant que je m'installe confortablement dans mon fauteuil, Richard doit se mettre nu. Debout nu devant moi, il doit attendre que je retire ma culotte et lui tende, ce que je ne fais que lorsque, excité par anticipation, il vienne à exhiber en rougissant son sexe dressé. Dès que je juge Richard suffisamment humilié par ce petit jeu, je retrousse ma jupe en souriant et en le traitant de « petit vicieux ». Alors il a droit au spectacle de mes cuisses plantureuses que j'écarte ou resserre au gré de mon envie pour mieux le faire bander. Malgré sa honte, il ne peut détacher ses yeux de mon sexe lisse, qu'il devine doux, dans l'attente avide du moment où, dévoilant ma fente, j'écarte les lèvres de ma chatte en ne quittant pas des yeux son regard hypnotisé. Je lui dis, d'une voix moqueuse : « tu aimes ça, hein, petit pervers, regarder d'où tu es venu... ». Et, haletant et la gorge sèche, Richard ne peut que balbutier en se branlant frénétiquement, mortifié par ma raillerie : « Oh oui, oh oui Madame ! ». Ce scénario comporte de nombreuses variantes mais j'en reviens toujours aux mêmes propos en exhibant ma grotte rose brillante de ma mouille. Quand, n'en pouvant plus devant cette vue et ces paroles, Richard finit par gicler dans ma culotte en gémissant, je le traite une dernière fois de sale petit vicieux avant de tendre vers lui une main impérieuse. Je n'ai pas besoin de dire quoi que ce soit. Je dois alors lui remettre ma culotte toute humide et chaude de son jus encore chaud. Je lui remets alors en prenant mon temps et en prenant soin de bien l'ajuster en la lissant sur ma chatte, avec sur mes lèvres le même sourire ironique.... « Tu penses à quoi toujours, hein, cochon ? ». Lorsque le bruit de la porte d'entrée se faisait entendre à cause de l'arrivée de Vesna, Richard a juste le temps de se rhabiller et de se précipiter dans la cuisine, où il fait semblant de s'occuper à des tâches anodines.
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Est-ce que quelqu'un.e a déjà fait ou subit une longue séance de masturbation / edging en étant attaché.e? ☺️ j'aimerai des retours d'expérience pour me préparer, ici ou en privé. 😉
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Une fellation qui a duré deux heures, avec uniquement le bout des lèvres et la langue d’une soumise, alors que j’étais attaché, regardant mon épouse et Maîtresse se faire mettre par deux soumis puis lécher par le mari de ma fellatrice, te semble-t-il être dans le cadre de ta question ?
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Tellement envie de me faire branler par une inconnue
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Évidemment mais de temps en temps ça fait du bien de faire marcher sa libido 

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11/03/25
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Bonjour je suis marié ma cocu , je ne fais que très rarement l'amour à ma femme, ses amants le font beaucoup mieux que moi. Depuis je suis devenu acro à la branlette, je cherche des hommes ou des femmes pour bon moment virtuel
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Enchanteresse et fétichiste dominatrice ...
Subtil mariage de douceur et de fermeté, de caresses, de punitions et de frustrations.
Pour Moi, la domination ne rime pas avec abattage
mais plutôt avec humiliations, féminisation, lâcher-prise et don de soi...
Sensuelle et exigeante, Je ferai de vous Ma chose, Mon serviteur, Mon valet, Ma chienne... .:.