Sondage - pour vous seuls, Messieurs

Bonjour J'ai voté pour la fellation bien que je trouve charme et intérêt à tous vos orifices sans dédaigner vos mains ni rien de ce que vous pouvez nous apporter de plaisir par tous les parties de vos anatomies . La raison de mon vote tient à ce que j'ai remarqué au cours de mes nombreuses heures de vol, que les femmes ont une curiosité certaine à propos de l'éjaculation, ce que je comprends puisque cette dernière se déroule le plus souvent hors de leur vue . A plusieurs reprise j'ai pu constater que si je leur en offrait l'occasion elles acceptaient volontiers de contempler notre moment d'extase (je ne parle pas d'éjac faciale), ce qui m'a donné l'idée de demander que juste après elle me suçote le gland à l'instant ou la sensibilité de ce dernier est à son maximum, sur moi l'effet est génial, à lever les yeux au ciel !

@Snake_zero :smile: Cet effet que vous qualifiez de génial, il ne l'est pas que pour vous. En plus, recueillir jusqu'à la dernière goutte de votre plaisir est une belle façon de lutter contre le gaspillage.

A voté! Mais le choix n'est pas facile. J'avoue que la fellation remporte quand même ma préférence.

A ce stade, c'est la fellation qui l'emporte :smile: Mais bon, ca n'est pas pour autant que je vais sortir de mon "rôle" et tenter de changer les préférences de mon mec. Lesquelles au demeurant me conviennent parfaitement :smile:

La fellation, en ce qui me concerne, uniquement si il y a la pression de la main sur la verge. Cette pratique, dès lors, se distingue nécessairement en matière de plaisir pur. Car le gland est titillé par la langue, excité par la chaleur de la bouche et la main se charge de pressuriser, d'intensifier l'affaire. Du reste, au moment de jouir, le gland devient hyper sensible (du moins le mien) et le fait qu'il soit pris en charge par la langue d'une femme fait la différence. Dans une vagin, on peut jouir très intensément, bien que la partenaire ne se serve pas spécialement de son périnée, et sans qu'elle ait de talent particulier. Je pense qu'il y a une histoire de cerveau reptilien, en particulier lorsque la partenaire est jeune, que l'homme beaucoup moins et que son déterminisme biologique l'accule à se reproduire. J'ai toujours eu des partenaires beaucoup plus jeunes que moi et j'ai constaté que plus la partenaire était jeune, plus mon organisme jouissait, plus mon hypophyse s'enflammait.. Enfin, l'anal: chez moi il peut devenir obsessionnel, surtout si je me retrouve en couple avec une demoiselle qui a usé de ce mode avec de précédents partenaires.. La science a mis en lumière que le prépuce masculin servait de base à évacuer le sperme du vagin d'un précédent assaillant dans le corps d'une femme. C'est dire à quel point les hommes sont des prédateurs qui souhaitent effacer les précédents hommes en repassant sur les territoires de la femme en y inscrivant leur propre matrice.. La sodomie parce qu'elle contourne la nécessité du déterminisme biologique et de par sa position sulfureuse, est plus enivrante dans l'idée pour un homme. Dans un sens, c'est un cran au dessus en matière d'intimité. Néanmoins, paradoxalement, l'ayant pratiqué avec trois femmes différentes, les sensations varient beaucoup d'une à une autre. Et pour ma part, je n'ai pas éprouvé le plaisir attendu. Pourtant, dernièrement encore, j'ai une relation amoureuse qui s'est interrompue très brutalement par le prisme de la famille de la demoiselle. Et bien, le fait de ne pas avoir pu avoir achevé mon rituel de sainte trinité (Vagin, bouche, anus) m'a laissé en frustration durant des mois. Quand je suis amoureux d'une femme, j'éprouve une sorte de besoin d'éprouver son intériorité, de partager cette expérience, comme si elle était de l'ordre du sacré. C'est indépendant du désir de jouissance. C'est la volonté de s'inscrire en l'autre. Après, je dois dire qu'une des postures que je trouve les plus excitantes, c'est lorsque la femme est assise de dos, sur la verge d'un homme, car ce dernier peut changer d'orifice, toucher les seins, les épaules, la chevelure de sa compagne tout en l'embrassant, et lorsque l'orgasme survient, la femme, si elle le souhaite peut laisser le sperme couler sur la verge et venir flatter avec sa langue le gland encore alerte..

Endormie vers 3h, je tentais de redormir un peu. Je tombe sur ce sujet et ses comms. Bon, ben c'est mort pour redormir....

@Salouna. Oaouh. Non seulement j'ai appris des trucs, sur la fonction primitive du prépuce (même si ce savoir n'a plus désormais pour moi de raison d'être), mais je me retrouve largement, en image inversée, dans vos mots. Vous êtes peut-être, vous les mecs, des prédateurs, mais j'aime quant à moi me savoir la proie de mon mec/Maître. Et qu'il inscrive dans mon intimité non seulement son "exteriorité" à moi mais son besoin de me posséder. Pour répondre à mon besoin à moi, d'être possédée de et par lui. Et peu m'importe alors duquel des mes "orifices" il fait usage

Vous pouvez expliquer le sens de cette phrase svp, Salouna ? "Quand je suis amoureux d'une femme, j'éprouve une sorte de besoin d'éprouver son intériorité"

@Lady Spencer Et bien, je me souviens avoir éprouvé une extase, rien qu'en contemplant la constellation de grains de beautés sur le dos de ma dernière compagne en date (j'en ai même fait un morceau). Le corps d'une femme que j'aime est sacré. Quand je caresse son corps j'éprouve la texture, le relief de la personne que j'aime et cela me fascine et m'émeut. Dès lors, pénétrer, déformer la bouche, le vagin ou le rectum d'une compagne m'amène à éprouver sensoriellement sa personne de l'intérieur. Dès lors frotter ma chair, ma peau, mélanger mes fluides aux siens devient un dialogue intime vertigineux, émouvant. Malheureusement pour moi, je ne pense pas que les compagnes que j'ai eues dans ma vie avaient une vision poétique du rapport sensoriel à l'autre. J'aimerais tout de même rencontrer un jour une partenaire qui partage ma vision..

Alors, deux choses : déjà merci d'avoir si bien répondu. Seconde chose et aveu : j'avais lu "INFÉRIORITÉ" d'où mon questionnement et mon étonnement car la notion d'infériorité ne correspondait pas au reste de vos commentaires sur les femmes en général.

« Éprouver l’intériorité de la femme en la pénétrant » dans un « dialogue intime vertigineux », j’ai du mal à croire les femmes qui n’aimeraient pas 😀

Anale sans hésiter pour une raison esthétique et symbolique... Esthétique car ce dos cambré, ces cuisses ouvertes à s'en "débeziller les faucilles", cette chatte vacante induisent une tension insoutenable... Symbolique car si de la femme l'endroit est le lieu, l'envers est le visage de ma putain... cet envers et son œil de cyclope dont lentement je force la paupière, plis à plis au plus serré jusqu'à cet instant où toute honte bue je l'enfonce jusqu'à la garde. Et si avant que je ne la perce la putain mouille le bâton de cyprine la femme termine entre ses lèvres ce que la putain lui laisse...

@Sevd. Superbe approche de la sodomie. Dans laquelle tout se mélange. L’acte et le symbole. La femme et la putain. Le plaisir et la violence.

Plaisir, jouissance, désir; en relisant après avoir voté je ne sais finalement plus trop sur quoi l'expression était attendue. 1 : les foufounes car c'est là que j'ai le meilleur rapport entre le plaisir et la facilité à jouir. 2 : la sodomie mais c'est surtout cérébral en ce qui me concerne, j'ai peu de sensations et jouissance possiblement compliquée. 3 : la bouche : j'adore niveau sensation et niveau cérébral mais impossible de jouir. Le mieux c'est les 3 en alternance ^_^

A légionmorte, l’endurance et le caractère hors norme ne sont pas des tares. Tout est question d’entraînement 😀

@le paraphile. Intéressant comme point de vue. Et le fait que le volet cérébral rende impossible la jouissance. Alors que chez moi, les deux sont désormais indissociables et se renforcent l’un l’autre

FemmeFemelleEsclave en fait pour moi il n'y a pas de lien de cause à effet entre le fait que le plaisir soit plutôt cérébral et la facilité/difficulté à jouir. De mon point de vue le plaisir est un mix entre le volet cérébral et les sensations physiques ressenties. Mais ma jouissance (donc le fait d'éjaculer) est avant tout mécanique, la bonne pression aux bons endroits (surtout au niveau du gland) avec la bonne cadence. L'aspect cérébral viendra aider mais sans l'aspect mécanique il ne pourra pas tout faire. Et en ce qui concerne le sexe anal je trouve que les sensations sont moins intenses, comment dire, une fois rentré je ne sens rien quand je suis à l'intérieur c'est du "vide". Mais comment résister à une personne qui m'offre son anus, c'est une marque de confiance et c'est plus "rare" que le vagin; d'où le plaisir cérébral. Bien à vous.

Étrangement, tout le monde a un anus. Hommes et femmes, et mesdames vous possédez le plus beau des orifices.

"Votre plaisir ne ment pas" va falloir déconstruire ça au plus vite mesdames !!! 30% des hommes ont déjà simulé ( vu les stéréotypes le chiffre réel doit être bien plus grand ) , la jouissance varie c'est pas parce que c'est visuellement chez nous que la jouissance que vous nous avez procuré et au top...

bonsoir FemmeFemelleEsclave.... original , excitant, pertinent ce "sondage".... d'ou le "plaisir" de répondre et de participer.... pour etre "direct" , je dirais que la chatte est un "aveu" en trahissant l'envie "d'elle" par son humidité , et lui la ressentant ne peut qu'apprecier cela aussi cérébralement que physiquement....... le petit trou, lui, est idéal ensuite, car plus resserré , il offre un étui agréablement présent autour du membre de Lui en l'enserrant délicieusement... mais le 'trou" vainqueur est celui qui allie l'anneau ferme ou doux des lèvres avec la caresse de la langue et cette faculté d'offrir un va et vient dosé,rapide ou lascif ou carrement totalement passif et soumis si le maitre en use avec les mains fermement ancrées sur la tete....ce "trou" permet a la soumise de faire sentir elle même dependance-obeissance-appartenance à son maitre selon ce qu'elle sent ,attentive, de son désir....