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Heartbeat

femme soumise. 29 ans.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 19/05/14
Mademoiselle a des envies bestiales. Mademoiselle a faim de lui. Mademoiselle aimerait faire de lui sa chose… Trop d’envies la submergent, d’un seul coup. Ils sont nus et à moitié allongés l’un sur l’autre. « Tu te mettrais, doucement, à genoux entre mes cuisses ouvertes. Je te regarderai avec un sourire franc et plutôt carnassier. L’air de dire « je ne vais faire qu’une bouchée de toi »… Je te voudrais fier de commencer à t’offrir ainsi. Je te voudrais docile et confiant. » Mademoiselle est pieds-nus. Elle caresse très innocemment, du bout de ses doigts de pied, sa jambe. Elle s’amuse à jouer avec ses poils. Remonte son peton lentement et le redescend, d’un long, cyclique et presque hypnotique mouvement de va-et-vient. « Tu avancerais ta tête au plus près de ma culotte... Blanche. Ma culotte serait blanche. Ton nez serait collé à cette dernière. Tu n’aurais pas d’autre choix que de respirer mon odeur et de sentir à quel point tu m’excites. » Mademoiselle, de ses bras, se hisse et s’allonge sur son corps nu. Plonge son regard dans le sien. Pose sa bouche juste au-dessus de ses lèvres, sans les toucher. « Tu imagines que ma culotte serait trempée, par ta faute. Il faudrait donc que tu la nettoies. Avec ta langue. Je la retirerai et je commencerai à appliquer ma cyprine sur ta bouche, la rendant luisante et brillante. Je n’aurais qu’une seule envie : celle de t’embrasser. Mais une seule chose à la fois… » Mademoiselle entoure son cou de ses bras et approche sa bouche de sa joue droite. Ses lèvres viennent se poser au creux de son oreille et murmurent : « Quand ma culotte sera à nouveau toute propre, je te demanderai de te mettre debout, face à moi, de poser tes mains sur le mur et d’écarter tes cuisses. Il faudra que tu t’exécutes vite et bien. Je me saisirai de ma culotte et… » Mademoiselle pose alors ses lèvres sur sa bouche et y fait pénétrer sa langue en forçant légèrement le passage. Elle frotte son bas-ventre au sien. Monsieur bande.
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Par : le 21/10/13
[ATTENTION, CET ARTICLE EST ""CRU"" ET "EXPLICITE".] [D'ailleurs, ça rappellera peut-être des souvenirs à quelques-uns/unes d'ici ] Aaah, putain… J’ai envie de ta bite dans mon cul… A quatre pattes, accroupie, sur le dos, sur le ventre, qu’importe. J’ai envie que tu me dépraves, que tu m’avilisses, que tu me baises et que tu me démontes. J’ai envie d’être chienne. D’être salope. D’être une pute qui ne vit l’instant présent que par ta queue et surtout par ton bon vouloir. Envie de ton sexe grossissant entre mes lèvres. Je le lécherai d’abord d’un air provocateur, les yeux pleins de malice, la bouche grande ouverte, sourire aux lèvres. Je te ferai languir, te masturbant doucement en te donnant des petits coups de langue. Ca finirait par t’énerver. Hi-hi-hi-hi. Toi, la mâchoire crispée et les sourcils froncés, pilonnant ma bouche et ma gorge, une main agrippant ma tignasse et l’autre autour du cou. Moi, accrochée autour de tes cuisses et à tes fesses, la tête tanguant au rythme de tes va-et-vient, ma bave dégoulinant sur mes lèvres et par terre. Je veux sentir ta poigne, sentir ta main chauffer ma peau rougissante, sentir les coups s’abattre sur ma fesse gauche, puis la droite, et encore la gauche... Ou ailleurs… Je veux tester la souplesse de ta ceinture, la sentir s’enrouler autour de mes fesses tendues qui n’attendent que ça… Je te désire comme tu es, je désire ton animalité, la brutalité de tes paroles et de tes gestes… Je désire ton visage, ta bouche, tes épaules, ton torse, tes cuisses, tes jambes, ta queue, TON CUL, ton corps, tout chez toi… J'ai besoin de ta dureté de mec et de tes coups de rein. De toi...
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Par : le 14/01/14
1. IRL Très peu de gens savent que je suis bisexuelle. 2. En terminale, mon prof de philo, en parlant du masochisme mental, a fait une petite parenthèse sur le masochisme sexuel. Pour illustrer ses paroles il a affirmé qu'il fallait vraiment être taré pour dire "oh ouiiii, mets des clous sur ton fouet et frappe plus fooort"... Je me suis dit qu'il avait quand même l'air de bien maîtriser le sujet !! 3. Ca va faire mégalo mais j'aime mon prénom. 4. J'adore mes jobs d'été et de vacances, je m'éclate dans ce que je fais, j'ai parfois l'impression que c'est une chance... 5. Je déteste partir de chez moi le matin quand il fait nuit. Ca ne me booste pas du tout ! 6. Une exception : quand il fait super froid, les grillages sont givrés, ils scintillent, c'est tellement joli... De quoi me donner le sourire dès le matin ! 7. D'ailleurs tous les matins je cours après mon bus en mode Usain Bolt, je me tape des crises d'asthme, je fais tomber des trucs en chemin (le nombre de fois où j'ai retrouvé mon étui à tabac posé dans le hall d'entrée, haha!), mes nunga nunga se balancent dans tous les sens comme si ils étaient au niveau max de l'échelle de Richter, mais au moins j'ai (presque) toujours mon bus ! 8. Je vous raconte pas la déception quand j'ai pas mon bus. Tout ça... pour rien... Je broie du noir toute la matinée après. 9. Je suis fan des chaussures à talon 10. ...Mais je n'en mets presque pas, ça fait tellement mal aux pieds ! 11. Mardi-gras est mon jour préféré de l’année ! 12. Dans mon ancienne fac, il y avait des moutons qui se baladaient dans le parc avec leur berger, c'était bien marrant! 13. Une fois, j'avais un oral blanc qui tombait un mardi gras. Pas de bol pour moi, il pleuvait. J'avais mis des pantoufles roses (ne mettez jamais de pantoufles quand il peut) très neuneu (assorties à mon pyjama à coeurs rose) et je me suis méchamment rétamée dans une pente boueuse et glissante (sûrement à cause de mes pantoufles). Je me suis présentée à l'oral en retard, pleine de boue et en panique. La classe totale, première impression réussie et tout et tout. 14. Je suis fétichiste des robes Elie Saab, les dentelles, la finesse, la transparence... Rhâââaaaan ! 15. Je suis aussi (un peu) fétichiste des dos masculins et féminins. Les petits creux, les sillons, les lignes, c'est super beau. Mais je ne suis pas sectaire, le verso me plait beaucoup aussi ! 16. Je ne supporte pas les aigri(e)s, les gens qui comparent et qui systématiquement regardent dans l'assiette des autres (façon de parler), les fouinasses qui guettent dans l'ombre les gens tomber et qui leur sautent dessus une fois qu'ils sont à terre. Je constate (IRL et ici aussi) que parfois, des gens que je connais de vue (donc pas du tout en fait, avec qui je n'ai jamais eu l'occasion d'échanger) manifestent une certaine animosité, je sais pas trop comment l'expliquer, mais un truc bien lourd et négatif à mon égard. A ces gens : allez vous faire cuire un oeuf, pour rester polie. 17. Avant, je n'étais pas comme ça, on me disait que j'étais trop gentille. Mais ça c'était avant ! On se permet souvent des choses, des mots, des avis sans aucune délicatesse parce que j'ai l'air d'être une bonne poire (on doit se dire "oh allez elle va pas le prendre mal" ), que je fais des blagues et que je "rigole tout le temps" (sic) mais je ne me laisse plus faire. 18. Je suis rancunière. Quand on me fait chier, qu'on se comporte mal avec moi, qu'on se permet des choses que je ne me permettrais jamais, je m'en souviens bien. 19. Ca marche aussi dans l'autre sens. Je marche vachement à l'affect... Quand quelqu'un vient vers moi, m'aide, m'écoute ou me fait du bien je m'attelle à lui rendre la pareille et à le soutenir quoiqu'il fasse. 20. C'est le nombre d'étés que j'aurai bientôt vécu. Brace yourselves, HB is coming !! 21. Ce que je préfère dans le BDSM, c'est l'humiliation et la discipline. J'aime obéir et lâcher prise. 22. J'adore passer mes vacances dans mon lit, mais j'aime encore plus les passer "ailleurs"... J'aime les voyages, on en revient bien souvent avec des découvertes, des rencontres et des expériences plein la tête... 23. J'aimerais bien me débarrasser de mes complexes... 24. J'sais pas trop comment m'y prendre, mais un jour, j'y arriverai ! 25. J'ai toujours eu un peu de mal avec les gens obséquieux et maniérés qui prennent 10 000 détours pour dire un truc. 26. C'est la fin !
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Par : le 20/01/14
A genoux, installée entre mes cuisses ouvertes, tu me défies du regard. Tu aimes ça, me tester, m'allumer et finir par guetter mes réactions... Petite effrontée, va...! D'un coup, je plie ma jambe, la relève et le bout de mon pied frôle ton visage. Tu esquisses un sourire… Mon pouce suit doucement la ligne de ta mâchoire pour terminer sa course au bas de ton menton. Un léger coup sec et te voilà tête en arrière, menton relevé et gorge dévoilée. ...Ca t'apprendra, à me dévisager avec ton petit ton air insolent! Tes cils, écrins de ton beau regard, papillonnent légèrement et finissent par se rabattre sur eux-mêmes. Est-ce un début d'abnégation...? Tes lèvres s’entrouvrent et laissent échapper ton souffle qui a l’air régulier. On dirait que tout va bien, pour le moment... J’ai envie de toi, quand tu es comme ça, un peu vulnérable et tout juste docile… Quand tu appréhendes silencieusement la situation en évaluant les risques... Quand tu te demandes : « mais qu'est ce qu'elle va bien pouvoir me faire ? » C’est en me délectant sans un mot que j’observe ton trouble. Je me lève discrètement en me mettant à tourner autour de toi. Je t'observe sous tous tes angles. Je détaille tes courbes, tes creux et tes sillons. Qu'est-ce que tu es désirable, sans tes vêtements... Tu ouvres rapidement les yeux mais à mon claquement de langue, tu comprends qu'il vaudrait mieux pour toi qu'ils restent clos. Seul bémol : tes cheveux relâchés cachent tes épaules et ta jolie nuque... Je m'agenouille derrière ton dos et les rassemble en un chignon désordonné. Un murmure impérieux s'échappe alors du bord de mes lèvres : « Écarte les cuisses... » Tu t’exécutes sur le champ, et instinctivement tes fesses se relèvent et se collent davantage à mon bassin. Ma main droite s'amarre progressivement à ta gorge offerte, pendant que la gauche se saisit fermement de ta poitrine. Ta charmante petite oreille est juste au niveau de ma bouche; c'est parfait, je vais pouvoir te chuchoter un tas d'insanités tout en les ponctuant de bisous glissés ici-et-là. Tu es délicieuse, cambrée de cette manière. Petite chose, tu es complètement à ma merci...
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Par : le 02/11/15
Elle a envie de te baiser... Rien de bien subtil, rien de hautement sensuel ou de très travaillé... Il paraît que ça change, pour une nana hein ? :D Elle a envie de te baiser jusqu'à la moelle ; pomper tout ton désir, sucer ton excitation. Tu serais complètement vulnérable, le sexe bandé et la langue pendante. Elle tiendrait tes couilles dans le creux de sa paume tout en te chuchotant des obscénités à l'oreille... "T'aimerais pouvoir me toucher aussi, hein ?" Elle se délecterait de tes gémissements, son excitation se nourrirait de la tienne… Au moindre grognement ou signe d’impatience, elle te claquerait sèchement les joues. Tu sucerais ses orteils un à un en la regardant dans les yeux. Elle savourerait la douce caresse de ta langue habile sur ses doigts de pied... Tu serais son adorable petit pantin suspendu au moindre ses gestes, ses mains martelant ton visage à l’unisson de tes variations d’humeur… A genoux, à 4 pattes, allongé ou debout, peu importe ; tu devras lui obéir. Elle te donnera des ordres, c'est sûr... Peut-être que tu devras garder des postures contraignantes juste pour son plaisir... Peut-être que tu devras lui montrer des choses très intimes... Ta gêne, ton inconfort et ton asservissement contraint l'exciteront d'avantage. Le chat joue avec sa proie. Elle glisserait des baisers tendres dans ton cou, tout en serrant tes couilles avec une intensité progressive : plus ses doigts se refermeraient sur tes bourses, plus ses caresses sur ton visage seraient douces. Elle dégoulinerait et tu devras laper dans sa main et sur ses doigts son excitation. Elle te ferait aboyer tout en tirant sur ton collier. Elle t’embrasserait possessivement en investissant ta bouche jusqu’au fond. Elle se frotterait sur ton corps comme bon lui semblerait ; tu seras son bel objet haletant de plaisir... Je vous regarderais en me caressant et tu sentirais la portée de mon regard sur vous deux… Viendrait le moment où son envie de toi prendrait le pas sur toutes les autres ; elle s’empalerait alors sur ton désir, amazone déchaînée tirant sur tes tétons déjà si sensibles, puis sur ta laisse en te léchant les lèvres. Je la rejoindrais en m’installant à califourchon sur ton visage ; ta langue, mon sexe, ses mains, mes seins, ton sexe et le sien…
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Par : le 09/01/14
oici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Heartbeat », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (le texte original est de WonderSalope) _______________________________________ 1. J’ai demandé à mes potes de m’aider un peu, on a fait 1/5eme du travail ensemble. Mais 50 trucs, c’est dur quand même !!! 2. Mes cheveux sont châtain voire châtain clair, mais je les teins en brun très foncé pour qu’ils soient assortis à mes sourcils. J’aime beaucoup les choses assorties, c'est agréable à l'oeil. (j'ai pas encore beaucoup d'inspiration, vous m'en voudrez pas hein?) 3. En parlant de sourcils je suis incapable de trouver une forme correcte pour les miens. Du coup, en ce moment, ils sont fins et très courts. C’est très moche et j’ai peur qu’ils ne repoussent plus jamais. 4. J’écris « comme un garçon ». Je n’ai pas de « style » d’écriture. Certains ont une écriture ronde, soignée, serrée, filiforme ou encore aérée… Moi, c’est tellement désordonné et irrégulier qu’on ne peut absolument pas lui attribuer de style ! =D 5. C’est là que je me dis « heureusement qu’il y a Internet »… Si je correspondais avec vous par le biais l’écriture manuscrite, vous ne me comprendriez même pas. Merci la technologie ! 6. «Le radeau de la Méduse » est le tableau devant lequel je me suis arrêtée pour la première fois. Avant, je « voyais » vaguement les croutes devant lesquelles je passais, sans m’intéresser à la manière dont ils étaient réalisés, sans vraiment faire attention à leur histoire… Sans les regarder, en fait. 7. J’ai une cicatrice sur la fesse gauche, parce qu’un jour, je suis tombée dans mon lave-vaisselle, BIM, tout droit sur les fesses ! Bizarrement, je n’ai pas du tout le souvenir d’avoir eu mal… 8. J’ai un problème relationnel avec le trottoir du lycée où j’étudie, trottoir parsemé de nids de poules et de crottes de chiens, un vrai parcours du combattant le truc ! Au moins 20 « trébuchements », 6 gamelles et une entorse à mon actif. Maintenant, je préfère marcher sur le côté de la route, je m’y sens bizarrement mieux. 9. J’adore la viande tendre et surtout bien saignante, au grand dam de ma famille paternelle (pied-noir) qui a pour habitude de manger « bien cuit ». A traduire par « cramé » ! =D 10. Quand j’étais bébé, il arrivait que mon cher padre m'affabule du doux surnom de « la Castafiore »… Je vous laisse imaginer pourquoi. En grandissant, ça a changé pour « la syndicaliste »… Je vous laisse imaginer pourquoi, aussi. En parlant de syndicaliste, une de mes profs m’a dit qu’elle me verrait bien syndicaliste… Je n’ai pas trop su comment le prendre. 11. Quand je suis sortie du ventre de ma mère, j’avais un « V » rouge sur le crâne parce j’étais toute serrée contre ma sœur jumelle dans son ventre. Ma maman a quand même sacrément du douiller avec nous deux. Elle a été vraiment courageuse. 12. J’aime ma sœur jumelle à la folie. 13. Une fois, je me suis fait voler mon sac par un type dans la rue à Dublin (on l’a rattrapé et pendant qu’il se faisait embarquer, il a essayé de s’échapper en mordant les policiers, c’était... sympa) et ma sœur (qui n’était au courant de rien) m’a appelée le soir même en me disant qu’elle avait senti qu’il s’était passé un truc pas net. 14. Quand je vous une femme mince, je me dis qu’il faut sérieusement que je me mette au régime. Tout de suite après, prise d'un élan limite divin, je me mets à monter les escaliers à pied, je mange une feuille de salade par ci par là, je prends de grosses résolutions (étant une championne olympique de la proscrastination, ça m'arrange) ou bien je refuse une part de gâteau « parce que tu comprends je fais attention à ma ligne ». Et le lendemain c’est reparti comme en quarante. 15. Tous les régimes que j’ai essayé m’ont fait prendre du poids !! =D (autant en rire) 16. J’adore nager, c’est un des seuls sports que j’aime pratiquer. Je me sens bien dans l’eau, ça détend tous mes muscles (bien cachés mais présents !!), j’aime la sensation de « plénitude » que m’offre l’apnée… J’aime l’espèce d’apaisement que je ressens une fois sous l’eau. J’aime aussi faire du vélo dans la forêt, ça me rend zen. 17. La forêt a toujours été pour moi un lieu a FORT voire TRES FORT potentiel érotique. 18. Je n’ai pas d’orientation politique particulière, je ne sais pas trop où et comment me positionner. Ce qui ne m’empêche pas d’avoir des idées ! Cet été, je n’ai jamais autant ri en voyant le Petit Journal se foutre de la gueule des culs bénis de la Manif Pas Pour Tous. « C’est contre-naturannnnnh »… 19. L'apogée du couple, c'est quand on peut prouter en toute sérénité sans avoir peur de dégoûter l'autre. 20. Je déteste les alcools « forts » comme la vodka, le rhum ou la tequila… 21. J’ai beaucoup de mal avec tout ce qui sort de la mer. Le poisson et les fruits de mer, c’est impossible pour moi. Je ne suis pas difficile, je mange de tout… Mais ça, franchement… Je crois que si j’étais sur une île déserte, je mangerais du sable… 22. Je suis pressée d’avoir 20 ans !!! 23. Je n’ai rien de la « Parfaite Petite Soumise du Vrai BDSM Digne De Ce Nom ». 24. C’est pas faute d’avoir essayé … Le côté très protocolaire du BDSM me fait carrément « débander », j’aime les relations et les rapports spontanés. J’aime taquiner, chambrer, provoquer, titiller… Tout un préliminaire ! 25. Du coup je crois que je suis parfois très souminatrice ! Mais je m’en fous, je suis une ignare du Vrai BDSM Digne De Ce Nom, je ne pense qu’au cul et c’est très bien comme ça ! 26. La soumission masculine ne m’attire que dans certains contextes. J’aime les retournements de situation, ainsi imaginer dégrader une personne qui m’a dégradée auparavant m’excite énormément. Les hommes qui représentent un « challenge » à mes yeux me donnent envie de les soumettre, en fait... 27. J’aime bien discuter avec mes voisins du banc sur lequel j’attends le bus. La dernière fois, j’ai discuté de l’Islam avec une femme qui avait l’âge de ma mémé… Même si je suis athée, j’ai trouvé sa foi et ses convictions très belles… 28. J’adore la nourriture asiatique, les pâtisseries marocaines et les tartes au citron meringué. 29. J’adore aussi la mythologie grecque. 30. Je vais souvent vers les autres et j'apprécie rencontrer de nouvelles personnes. Mais quand on me fait chier trop longtemps, je me mets très vite en très grosse colère. Du coup, c’est déjà arrivé qu’on me prenne pour une schizophrène. 31. Je suis très directe avec les gens que je n’apprécie pas ou ceux que je n’aime que très moyennement. Mais avec ceux que j’apprécie, je prends plus de pincettes. 32. J’ai porté un appareil dentaire au palais pendant un petit bout de temps. Il paraît (mais les potes qui me disent ça sont des peaux-de-vache !!) que j’en ai gardé un léger zozotement. 33. J’ai déjà goûté les croquettes de mon chat (paix à son âme) et je n’ai pas trouvé ça mauvais. 34. J’aime beaucoup les chiens mais je trouve que ça pue. Et c’est envahissant. Alors qu’un chat, c’est tout un concept, un chat ça se conquiert, ça se séduit, ça s’apprivoise. 35. Un peu comme la soumission en fait. Je vois ma soumission ou celle d’un éventuel soumis comme un terrain d’éternelles découvertes, comme quelque chose qui ne sera jamais vraiment complètement acquis. 36. Je suis 'achement vanille. J’aime les bisous, les caresses, les mots doux. J’aime faire l’amour tout doucement et les préliminaires langoureux. C’est l’âge, ça me passera ! :D 37. Ecouter mon partenaire jouir, c’est merveilleux. L’ultime abandon… 38. A part moi-même (et encore), je n’ai jamais fait jouir une femme. 39. Je crois que je ne me marierai jamais. J'adore les gosses, vraiment, je m'éclate avec eux et ils m'apprennent plein de trucs mais.... Je ne sais pas si j’en aurai un jour... Un humoriste que j’aime bien a dit « le mariage est un cercueil dont les enfants sont les clous » (pour du rire) mais je crois que dans le fond il y a un peu de vrai. Enfin j’ai encore le temps de changer d’avis… 40. Je me suis toujours promis de ne pas pleurer en regardant un film. J’ai souvent souri en voyant quelqu’un essuyer une larme devant l’écran. Et puis un jour, j’ai vu « Million Dollar Baby » et je crois que j’ai chialé l’équivalant d’une baignoire. Depuis, j’ai pu pleurer librement devant Le patient anglais et La vie est belle… 41. Mon film préféré est « Les Fils de l’Homme » d’Alfonso Cuarón. Un de mes bouquins préférés est 1984 d’Orwell. C’est pas un hasard, j’aime beaucoup le fait d’essayer d’imaginer le futur… Et surtout quand ces prédictions contiennent une part de vrai… Souvent, je voudrais pouvoir faire un saut dans le futur et voir comment ça se passe, là-bas ! 42. Le suspense me rend folle. C’est donc très souvent que je me rends à la fin d’un livre ou sur un site de spoilers pour découvrir le dénouement de l’histoire que je suis. 43. Les gens qui viennent me parler le matin m’horrifient. Le matin, je suis un ours grincheux à l’haleine de chacal, un rien m’insupporte, je rembarre tout le monde. 44. J’adore le goût de la cigarette ajouté à celui du chocolat chaud !!! Je n’aime pas du tout le café, c’est criminel comme boisson, je sais pas comment on peut boire un truc pareil. 45. Je suis bordélique. Je me retrouve très bien dans mon capharnaüm, et les choses rangées sont mon désordre personnel. 46. En ce moment j’ai trouvé un truc merveilleux contre le froid et le temps moche : en début de soirée, quand il fait nuit noire, que les lampadaires sont allumés et que les guirlandes scintillent, je me mets une playlist de jazz et plus particulièrement des titres d’Armstrong dans les oreilles. Et ben je peux vous assurer que c’est une grosse dinguerie, un orgasme auditif et visuel. 47. J’ai souvent trouvé certaines filles avec les cheveux courts très sexy. Du coup ça me hérisse un peu (beaucoup) le poil de lire –parmi certaines habituelles conneries- que les cheveux longs c’est le top de la féminité, ou bien que pour être Fââââme (avec un grand F) il faut porter des talons, être maquillée, découvrir ses jambes… 48.J’adore dessiner des femmes toutes nues, les femmes en sous-vêtements, et les chaussures de femmes. 49. Je peux paraître très assurée et très confiante… Mais un homme qui me plaît vraiment, me fait perdre bien souvent mes moyens, ça m'arrive peu, mais quand ça m'arrive c'est le retournement de cerveau complet... Une fois que je me suis rends compte que quelqu'un me plaît et que je suis attirée par lui, je disjoncte avant, pendant et après l'avoir vu... Je suis bien souvent complètement larguée ! - La phase "avant" : je me dis qu'il doit/va me trouver vraiment trop/pas assez ceci/cela - La phase "pendant" : je dis n'importe quoi, je bégaie, je me trompe de mots, je parle de sujets bateaux, je rigole nerveusement en me disant "mais qu'est-ce que t'es conne ma pauvre" - La phase "après" : c'est je me rembobine toutes mes casseroles, et ça fait vraiment mal ! 50. FIOUUUUUUUUUUU !!! C’EST FINI !!!! Je te remercie, toi, lecteur, de m'avoir lue jusqu'ici ! Et je confirme, WonderSalope est bel est bien sadique !! :D Merci beaucoup à Oplum pour l'idée de titre !!! Et toutes mes excuses au staff pour avoir supprimé au moins 10 fois mes articles !
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Par : le 20/04/14
On est dans ta salle de bain. Mes mains sont appuyées sur l'évier, mon buste est penché vers l’avant et mon cul est relevé vers toi. Tu es derrière moi. Tu as insisté pour que ça se passe ici, devant ton miroir. Tu veux me voir, mais tu veux aussi que je voie mon visage, que je voie l'expression de ma souffrance quand tu t'insinueras en moi, centimètre par centimètre. Tu veux que je voie le tien, que je prenne entièrement conscience de l’emprise que tu as sur moi. Tu veux me faire mal. Tu ne vas pas y aller doucement. Tu ne vas pas me ménager. Tu vas forcer, parce qu’on sait tous les deux que mon cul est étroit. Et surtout, parce que tu sais que ça m’excite. Tu ne le ferais pas sinon… Tu baisses mon pantalon sur mes cuisses et tu relèves mon haut, dévoilant mes reins, mon dos et mes seins. Tu passes tes mains sous mon ventre incliné, et tes doigts se saisissent de mes tétons durcis par la faim de toi. Ton pantalon est collé à mes fesses et je peux déjà sentir ton excitation. Comme pour me frustrer encore plus, tu le retires, te retrouvant en caleçon. Effectivement, tu bandes! Tu pinces mes tétons, les tords, fort et sans ménagement, en frottant ton bas-ventre à mon entre-jambe déjà trempée. D'habitude je mouille "normalement", ni trop vite, ni pas assez, mais on sait tous les deux que ce genre de situation, un peu cérébrale, humiliante et forcée me rend dingue. Je sais que le fait de voir ma chatte trempée t'excite. Je sais que tu aimes le fait de me savoir suspendue à tes gestes, obéissante et dévouée. Je ne tiens déjà plus... Mes fesses, d'un mouvement incontrôlé, se joignent au mouvement de ta queue qui se frotte à moi. J'ai trop envie de toi, ça fait trop longtemps qu'on ne s'est pas vus, j'aimerais que tu en finisses et que tu me délivres d'un coup de queue salvateur. Mais ça ne se passera pas comme ça. No pain, no game !
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Par : le 12/04/14
Comme c'est curieux, cette ambivalence, cette multitude de désirs, si contradictoires, et en même temps... Si complémentaires... Comme c'est curieux, d'aimer être traitée durement (voire très durement dans les moments de manque intense), et puis, de l'autre côté, aimer une douceur presque... extrême. Est-ce que c'est grave, docteur ? Peut-être que c'est comme ça que ça marche, la vie... Finalement, on jongle entre des états, parfois extrêmes eux aussi, qui, combinés les uns aux autres, réussissent à donner "quelque chose", un ensemble presque harmonieux... Ces états, auraient-ils la même saveur et surtout la même valeur s'ils étaient seuls ? Est-ce cette ambivalence qui les rend si... attrayants ? Est-ce que j'apprécierais les moments agréables de la vie d'une même manière, si il n'y en avait pas des totalement pourris à côté ? Est-ce que j'apprécierais la douleur physique/morale de la même manière, si il n'y avait pas ces moments totalement dénués de SM à côté ? Et puis il y a ces moments où il n'y a qu'un seul état... Pas d'état différent pour contrebalancer le premier... Et il faut s'y faire. Et des fois, on aime ça. Aimer la vanille strictement vanille, c'est grave docteur ? Et aimer une personne, dans sa globalité, sans once de SM ? ...Et aimer tout court ? Apprécier tout simplement la présence de l'autre, l'autre avec ses particularités, ses aspérités, l'autre dans son ensemble... Les caresses, les baisers, la tendresse, la douceur, ces mains qui se perdent partout, dans les moindres recoins... Aimer faire l'amour tout doucement, presque religieusement après une longue séparation... Et puis finir par avoir peur, parce qu'on se dit que ça ne va pas durer, que certaines épices vont forcément finir par manquer... Dis docteur, on fait comment ?
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Par : le 02/06/15
Il n’y a pas ces blancs, ces rires nerveux, ces trucs débiles que l'on fait quand on se rencontre pour la première fois. Il y a seulement deux corps qui se découvrent et deux âmes qui se retrouvent. Des mains qui se perdent, des regards qui s’accrochent et des baisers qui s’enflamment… Il y a aussi la douceur du bout de tes doigts, celle du bout de ton nez, la chaleur de ton ventre, le contact soyeux de tes cheveux… La douceur aussi de tes gestes, de tes mots et du regard que tu portes sur moi. La beauté et la bienveillance de ta manière d’attacher, quand je suis assise et que je te sens, collé à mon dos, contre moi… Ton nez qui se frotte sur ma joue, tes cordes qui glissent le long de ma cheville, de mes seins et d’ailleurs… Cette façon que tu as d’alterner le chaud et le froid, pour finalement créer le plaisir, le vrai, qui prend possession du corps et qui devient difficilement contrôlable. Ces gestes d’une grande tendresse, cette empathie rare et précieuse… Ces sourires, ces yeux qui pétillent… Quand tu m'attaches, j'ai l'impression que tu me protèges. J'ai l'impression que tu me berces de ton aura bienveillante... Il n'y a pas de mots... Juste tes mains, ton corps tout entier, et tes cordes. Quand je sens tes cils frôler mon visage... Ton menton qui se frotte à moi... Ces précautions, cet apaisement mutuel... J'ouvre la bouche et expire un grand coup. J'ouvre aussi les yeux : tu me souris, je te souris aussi. Je plane, putain... Je sens la chaleur de ton corps. J'imagine toute cette énergie positive graviter dans la pièce et créer un cocon. C'est beau à pleurer... J'imagine que vivre des moments semblables, c'est une chance ; j'en ai, de la chance... Et le moment après les cordes, quand j'ai la tête qui tourne et que je suis toute flagada... Encore cette douceur, cette patience, cette tendresse... Je...
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Par : le 31/01/14
Bon voilà, c'est un peu mon coup de gueule de la nuit, j'essaie de m'endormir depuis des heures, et ça fait des heures que je réfléchis, et j'en arrive finalement à la conclusion qu'être amie avec une femme c'est quand même plus compliqué qu'être amie un homme. (je sais, c'est hyper sexiste ce que je vais dire, mais franchement c'est ce que je remarque) J'ai autant d'amis hommes que d'amis femmes, mais plus le temps passe et plus les femmes me font.... AAAAAH ! Sérieux, je suis toujours obligée de prendre des détours pour dire ce que j'ai à dire, je suis obligée de calculer mes gestes qui sont en général interprétés et retournés dans tous les sens, je suis obligée de faire face à votre médisance, à vos a-propos, à vos cases de merde... PUTAIN ! Alors que les hommes... C'est pas pour rien que ma meilleure amie est en fait mon meilleur ami, c'est pas pour rien que mes amis sont de "vrais amis", des personnes avec qui je peux parler/rire de tout sans avoir à me cacher, avec qui je peux rire gras, faire des blagues dégueus, parler de sujets pas forcément glamour, ou même, parler de rien sans se soucier de la profondeur des sujets qu'on évoque... Vous êtes tellement moins compliqués, tellement moins chiants, tellement plus cools... Tellement moins auto-centrés, tellement plus à l'écoute... Pourtant, mes amies(jeunes) femmes m'apprécient, je suis souvent la "confidente", le gros nounours à qui on confie ses secrets... Je n'ai rien contre les filles, au contraire, en général on s'entend bien, mais dès que je deviens amie avec quelqu'un d'autre qu'une fille, là... Ca passe moins bien... Les femmes sont de grandes adeptes du "slut-shaming"... Dès qu'une femme a trop tendance à parler à des hommes, à discuter avec eux, à rire avec eux, ça y'est... C'est LE mot... C'est une salope. On utilise TOUT le temps ce PUTAIN de mot pour désigner les femmes amies avec les hommes. Pourquoi ? Pourquoi appeler comme ça une femme capable d'être amie avec quelqu'un d'autre quel que soit son sexe ? Pourquoi ce besoin d'érotiser toutes les relations homme-femme, pourquoi vouloir rajouter de l’ambiguïté sexuelle à une relation qui n'en a aucune ? Pourquoi on peut pas juste être pote avec des mecs sans qu'on veuille obligatoirement se les taper ? Et sur ce site, j'imagine parfois que je dois être très mal vue, parce que la plupart des gens avec qui j'échange ce sont des hommes. Perso je m'en tape complet, je n'ai pas de quota homme/femme à remplir... J'en ai tellement rien à foutre, sérieux... Mais je trouve ça incroyable qu'il faille être amie avec des femmes pour faire "bonne impression" ou "bonne figure"... Je trouve ça incroyable que sur un site BDSM où les gens sont censés être ouverts d'esprit, il y ait encore ce type de préjugés et ce genre de pensée rétrograde. Alors OUI mesdames, j'aime les femmes ET les hommes. J'ai des amis femmes ET des amis hommes. Et ce n'est pas parce que je ris avec des hommes sur ce site que je veux tous me les taper, que je ne sais plus où donner de la tête, que je suis en chasse ou je ne sais quelle autre connerie encore. Ne vous inquiétez pas, je n'irai JAMAIS vous voler votre soum/dom, je n'irai jamais draguer votre conjoint/partenaire, de toute manière je ne vais jamais draguer qui que ce soit, les personnes à qui j'envoie par moi même des messages personnalisés sont très rares, et si cette personne est en couple j'évite, pour éviter toute embrouille ou malentendu. Voilà, je ne sais pas si tout est dit, mais je me sens plus zen, là. Je pourrais même essayer de m'endormir. Une Heartbeat (un peu moins) en colère.
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Par : le 28/11/16
Je ne passe jamais par l’étape café. C’est ma règle. Je sais ce que je fais. Après quelques mois de discussions, cette rencontre sera probablement un one-shot… Ce sera dur, pas de quartier… Pas de tendresse, pas d’égarements. Pas de sentiments, que des centimètres ! Même pas de coït post-séance ; seulement de la douleur, du protocole et du décorum… Il aime le cacao pur, je lui trouve une jolie boîte de chocolats artisanaux. Peut-être que ça brisera la glace, je ne sais pas moi, comment ça va se passer…? La trouille me prend… Jamais vu ce type, je sais à peine à quoi il ressemble… Je prépare ma tenue de parfaite soumise protocolaire : un haut noir et transparent en tulle, un soutien-gorge noir, une jupe crayon, un porte jarretelles et des bas. Bec et ongles rouges, coiffure impeccable, pas de culotte. C’est pas moi, cette meuf. Elle a l’air conne. Je stresse, gère mal mon temps et me perds dans des précautions aussi inutiles que chronophages ; je laisse filer mes bas puis deux trains consécutifs. J’enfile mon énorme plug tant bien que mal. Je me dépêche, je cours et transpire dans tous les sens... Mon portable sonne, énervé ; je décroche, sa voix déçue résonne au bout du fil... Je le comprends. Il me conseille de prendre un taxi pour arriver plus tôt mais comme que je suis une petite conne têtue, je décide tout de même de prendre les transports en commun. Au trot dans le dédale des couloirs souterrains de Montparnasse... Je serre les fesses et réajuste sans cesse ma jupe. Et si le plug tombait ? Et si on voyait mes bas ? Et si on devinait ce que je suis ? Ligne 13. Le métro se tord dans tous les sens en faisant tressauter le strapontin sur lequel je suis assise. Ma punition commence déjà : je suis là, assise sur mon pauvre petit strapontin pourtant inoffensif et je me fais vigoureusement enculer au gré des mouvements de la rame. Il n’est pas encore là, mais sa présence se manifeste déjà en moi... Pas le choix. Je me fais tout un scénario... Va-t’il être enervé au point de ne pas me laisser entrer ? J’ai plus d’une heure de retard, moi qui suis d’habitude ponctuelle… Il me téléphone à nouveau, je me précipite vers la sortie du métro, profitant de la brise d’air frais pour rafraîchir mes joues enflammées. Je cours - encore - vers son immeuble et je suis déjà à bout de souffle. Vis ma vie de fumeuse asmathique en surcharge pondérale.. Il est adossé à la porte d’entrée et me fait signe d’entrer en me saluant. Un beau mec, tempes grisonnantes, yeux noirs... Je le suis jusqu’à l’ascenseur. Les portes se referment… Tout sourire, il passe directement sa main sous ma jupe et appuie brusquement sur le gros plug bien ancré dans mon cul déjà douloureux... Il me trouve belle et à son goût, salue mes efforts mais déplore mon retard d'une heure. Arrrrgg... Les portes s'ouvrent et il me saisit par la nuque en me poussant vers son appartement. Je me retrouve à genoux dans son salon... Effectivement, pas de perte de temps en présentations, straight to the point. L’endroit a été préparé, il y a des bougies chauffe-plat allumées un peu partout sur sa bibliothèque et son piano, une agréable odeur d’encens et du jazz en fond. Je ricane : lui, le soit-disant gros bourrin, a préparé l’endroit en suivant tous les codes traditionnels mièvres et sirupeux de la vanille...! Moi les chocolats, lui les bougies parfumées... La totale ! Vu la tronche qu’il tire, je pense qu’il a envie de me coller une bonne grosse baffe… Je l’avais prévenu : « vous n’etes pas à l’abri de mes provocations ». Il sort son sexe de son pantalon et le frotte sur mes lèvres entrouvertes. Comme ça, tout naturellement, sans aucun préambule... Le jeu est déjà gagné et il sait qu’il avance en terrain conquis. Malgré son introduction un petit peu brutale, ce moment est très doux. Je le découvre du bout des lèvres et des paupières. Ambiance électrique, nos regards s’accrochent l’un à l’autre. Il prend son temps, enlève sa chemise et son pantalon puis finit nu alors que je suis toujours habillée. La situation est très troublante ; j’ai beau être l’habillée, je reste la plus vulnérable... Il y a encore beaucoup à faire : je ne suis toujours pas découverte, je ne sais absolument pas ce qui va se passer alors qu’il est déjà à poil et dans ma bouche… L’attente. Ca va venir, t’inquiètes… Une fois que son sexe est dur, il me soulève par les aisselles et m’embrasse très doucement en me collant face la porte de la pièce. Il passe ses mains sur mon corps, sur mes seins, il sait que j’adore ça… Il soulève ma jupe sur mes hanches et enlève progressivement mon plug tout en continuant à me toucher un peu partout. Je me cambre. Sa tige vient se perdre entre mes fesses et son gland commence sournoisement à forcer mon cul. « Tu croyais pouvoir t’en sortir comme ça ? » La pause est terminée… Je suis sommée d’écarter mes fesses sur le champ, d'une manière lascive et impudique, si possible. Ses mouvements de bassin se font moins progressifs et beaucoup plus réguliers, je morfle déjà. Plus il s’avance en moi et me pénètre, plus j’ai cette impression d’être complètement clouée à la porte sans pouvoir trop faire quoi que ce soit… J’ai mal, je suis déchirée de l’intérieur et je finis même par m’accrocher d’une main au haut de la porte par peur de tomber. J’ai tellement mal… Mes genoux sont rentrés vers l’intérieur et je vacille dangereusement, tenant tant bien que mal en équilibre sur la pointe de mes pieds. Je gémis et commence à le supplier : je crève de douleur mais qu’est-ce que ça m’excite… Je ne saurais expliquer cette excitation, franchement… Je dois avoir un souci, c’est pas possible… J’ai horriblement mal et pourtant mon entrejambe est trempée, et lui comme moi savons qu’il n’y touchera pas de toute la soirée. Il prend son pied et ça me rend folle que ce mec ait cette audace, ce culot de se branler littéralement dans ma douleur et de jouir de celle-ci. Il halète, pousse des petits cris rauques. Je n’en peux plus… Ses ongles sont plantés sur mes hanches et il s’amuse à me donner quelques petites fessées, pour la beauté du geste, sûrement. Je hurle le plus bas possible. Je n’ai même pas été préparée bordel ! Et pourtant… Je suis ouverte et trempée… Je ne tiens plus ; je finis par m’écrouler, complètement à bout de souffle et à court d’équilibre. Ni une ni deux, il se saisit de mon visage, me retourne en me mettant dos à la porte et force ma bouche. Son gland se glisse au fond de ma gorge et ses couilles frappent mon menton. J'ai mal au cul, je suis complètement sonnée, je dégueule à moitié mais j’ai furieusement envie de baiser ; je sais que ça n’aura pas lieu et ça m’excite encore plus. Au bout de quelques râles, Il se retire et jouit dans le creux de sa paume. C’est le luxe et la délicatesse des premiers émois, quand on garde ces saveurs pour plus tard, quand les choses, les pratiques et les habitudes seront bien entamées... Et cette nuit, à cet instant, l'était à peine...
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Par : le 25/11/14
Pourquoi est-ce qu'on a peur de dire ce qu'il nous arrive de ressentir ? Et pourquoi est-ce qu'on a peur des sentiments des autres ? Je trouve qu'on ne dit pas assez aux gens qu'on les aime... Et qu'on le regrette bien vite. Combien, dans leur vie, regrettent de ne pas avoir dit à une personne qu'ils l'aimaient ? Pourquoi attendre des lustres avant de le dire ? On attend, et puis après on perd l'occasion. On considère trop le "je t'aime" comme un épée de Damoclès, comme un espèce de truc qui t'enchaîne à vie, comme une promesse éternelle impossible à défaire... Elle t'a dit qu'elle t'aimait ? Ah ouais, effectivement, t'es dans la merde mon gars ! Dire je t'aime et l'entendre, ça fait du bien. Je dis je t'aime à ma mère le plus souvent possible (soit tout le temps), à ma soeur, à mes amis, aux hommes que j'aime... Mais j'aimerais le dire plus ! J'aimerais le dire aussi aux gens qui me font sourire, à ceux qui ont ces petits gestes ou ces petites attentions qui égayent le quotidien... Aux gens gentils, aimables, agréables, polis, respectueux... Mais je crois qu'on me prendrait bien vite pour une folle ! Pour moi, le je t'aime ce n'est pas un espèce d'engagement sur le long terme genre "j'te passe la bague au doigt (ou la cage à la bite pour les purs et durs), t'as pas le choix, tu prends et tu te tais et dans 5 ans on a 4 gosses qui hurlent et qui courent dans tous les sens, le pavillon en proche banlieue et le chien qui pue"... Quand je dis à quelqu'un que je l'aime, c'est ce que je ressens sur le moment présent, un espèce de bonheur qui me prend comme ça et qui me traverse de la tête aux pieds. Je suis heureuse d'avoir fait ta connaissance, tu es quelqu'un de bien et tu m'apportes beaucoup : je t'aime ! Mais parfois, tu me fais chier aussi, mais dans le fond, je t'aime quand même ! C'est pas un sésame, un mot de passe secret... Tu en fais ce que tu veux ! Tu peux le garder bien au fond de toi et le laisser s'épanouir, fleurir et te rendre heureux, tu peux le partager et en semer des petits bouts sur ton passage, tu es libre de l'accepter ou non... On peut aimer une rencontre éphémère comme quelqu'un à qui on est profondément attaché... L'amour rend heureux, aimons-nous les uns les autres ! :D Ne nous cachons pas...
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