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Neutered

trans soumis. Vit à Bienne, Suisse. 38 ans. a une relation BDSM.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 21/06/24
Le week-end à la ferme   Ce vendredi Maîtresse m’emmène pour le week-end chez un homme à qui elle m’a prêtée. Après une petite heure de route, nous arrivons devant une vieille ferme. Un homme d’une cinquantaine d’année en sort, de taille moyenne mais avec un gros ventre, un bear et bien barbu. Il me fait peur Maitresse m’aide à sortie, j’ai mes orthèses et mes cannes. iL dit pas besoin du fauteuil ! Maitresse s’en va en me demandant d’être gentille. Il me soulève du sol et me porte à l’intérieur. C’est propre mais vétuste. Vive le formica ! Il me pose à même le sol et m’ordonne de retirer mes vêtements. Je suis en slip avec ma couche et mon soutien-gorge. Je lui dis que je devrais me laver avant car ma couche est souillée. -« sale cochonne « me dit-il en me portant dans sa baignoire. Je me lave sous sa surveillance. Ma fait un lavement. Retour dans le salon, il me met un collier large de quelques centimètres en cuir épais avec un grelot, m’attache les mains derrière le dos avec une barre. Me soulève et me sodomise, ça n’arrête pas, je sens sa sueur.  Enfin il termine, mais non il me retourne et plante sa queue dans ma bouche. La retire, me met sur le dos et recommence en gorge profonde. Sa queue est sale, elle sent fort. J’ai presque vomi. Enfin il jouit et se retire. C’est bien dit-il mais tu peux faire mieux. Il me laisse ainsi avec juste une couverture. Je ne peux même pas ramper pour me déplacer avec mes mains attachées. Mais avant de partir, il me retire mes appareils auditifs, me mets mon masque de cuir en fermant les ouvertures des yeux et des oreilles. J’ai une gamelle avec une sorte de bouillie et de l’eau avec une paille. Il me dit «  pas besoin de cage ainsi tu ne pourras pas partir ». Néanmoins, il fixe la chainette à mon septum (piercing nasal) qu’il cadenasse au radiateur. Je me dis que je vais au moins avoir une nuit tranquille. Je me suis trompée, je dormais, il me réveille, me met l’entonnoir à pisse dans ma bouche et se vide. Ensuite il répare comme si rien ne s’était passé. Le matin arrive, je suis courbaturée, ma couche est pleine, j’ai soif. Il arrive, me plante sa bite dans ma bouche et je suce. Ensuite il me détache les mains et me porte dans la baignoire. Je dois me débrouiller seule. Miracle il m’offre un café, le déguste mais il me dit qu’il me coutera cher ! Il me retire le collier de cuir pour le remplacer par un en acier bien lourd et remplace la chainette de mon piercing anal par une autre petite chaine plus lourde. Ca tire, ça me fait mal. Il me porte et nous allons dehors. Et là il me pose dans une brouette et nous parton en direction d’un bosquet d’arbre. Il cadenasse l’extrémité de la chaine à un arbre et il me laisse seule dans ma brouette. Deux mecs arrivent, aussi des bears. Ils semblent rustres. Le premier dison Marc, ouvre la bouche passe un doigt sur mes gencives et dit « c’est vrai qu’elle n’a pas de dent la pute » Et il m’enfile son zob dans la bouche. Le deuxième disons Claude, s’amuse avec mon clito bite. Marc se retire et Claude me retourne et s’enfonce en moi, il me pilonne tel un marteau piqueur, il n’arrête pas. Enfin il explose. Ils se mettent à me remplir de gel et ensuite j’ai droit au double fist, ponctué de baffes. Marc se saisit d’une branche de noisetiers bien souple et se met à me frapper. Je hurle, demande d’arrêter. Il stoppe. Les deux me roulent une galoche et s’en vont. Je reste dans ma brouette à attendre. La suite une autre fois
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Par : le 14/06/24
Sandy et moi   Lors d’une rencontre SM, mes maitres font la connaissance d’un couple qui possède une esclave d’une trentaine d’années. Une jolie fille pulpeuse. Qui se prénomme Sandy. Je n’avais pas réalisé, mais elle porte une perruque. Elle a le crâne rasé. Elle est sympa nous faisons vite connaissance, je constate qu’elle a beaucoup de marque de fouet et d’autres tortures sur son corps. Nos maîtres respectifs viennent nous attacher et les deux nous avons un masque, moi en cuir, elle en latex. On lui dilate sa chatte et son cul à l’extrême tandis que nous sommes côtes à côtes et mon cul lui est également dilaté et doublement fisté. Une fois que nous avons donné le meilleur de nous-même, les maîtres de Sandy examinent mon pubis, ma bouche édentée et leurs regards se porte ensuite sur Sandy avec une sorte de malice.   Nous nous quittons, durant le trajet du retour, je pense à Sandy et par réflexe je me mets à toucher ma bite insensible.  Arrivés à la maison, j’ai encore très mal au cul. Mes maitres m’installent sur le lit plastifié du donjon en lieux et place de ma chambre. Je suis attachée. Le maitre me met l’entonnoir dans la bouche et madame si vide la vessie. Je n’ai pas le droit de recracher, je dois tout avaler. Elle me met une couche propre et ils vont se coucher me laissant là pour la nuit.   Un mois plus tard mes maitres m’informent que nous aurons de la visite. Je les vois s’activer dans le donjon, un homme arrive, je le reconnais, c’est celui qui m’a retiré mon scrotum m’a coupé les nerfs de la bite. Tout d’un coup j’ai peur. On me met sur le lit du donjon, il me retire ma couche et regarde son travail tel un bon ouvrier content de lui. Teste les sensations de ma verge avec une aiguille, je ne réagis pas, il est très content. Il me demande si je veux un piercing, mes maîtres sont d’accord, je dis oui. Il désinfecte mon entre jambe et à la place du scrotum, m’insert un anneau. Ce n’est pas fini me dit t’il. Je suis docile et me laisse faire. Une fois terminé, je me retrouve avec un anneau de deux centimètres dans le nez. A ce moment la sonnette grésille, Sandy et ses maitres arrivent. Je vois qu’elle est nerveuse. Elle est tout de suite installée sur la « table d’opération ». Elle reçoit un Valium et des injections anesthésiantes locales.  Le toubib lui désinfecte l’entre jambe et se met au travail : il lui retire le clitoris, il tombe dans un bol, c’est au tour des petites lèvres, des grandes lèvres. Je suis subjuguée par le spectacle. Et pour terminer, il lui coupe le téton du sein gauche, elle hurle, car pas d’anesthésie à cet endroit. Mes Maitres me regardent et elle me dit : -« Comme toi, elle ne sentira plus la jouissance. » Du coup j’ai peur pour mes tétons… Mon piercing du nez me fait mal, mais Maîtresse y accroche une chainette avec un mousqueton. Le Maître de Sandy prit d’une subite idée, demande au toubib de mettre à Sandy le même piercing nasal. Elle se laisse faire, ça va vite et nous nous trouvons elle et moi accroché chacun à une extrémité de la chaîne par le nez. La suite à venir    
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Par : le 10/06/24
Prolapsus, un mot qui me fascinait, générait de la crainte et des fantasmes. Maintenant il est là et bien présent, je dois faire avec. Oui il me fascine de le regarder via un miroir, oui il fascine mes parteanires. Cette belle rose accueillante, ouverte à leurs bites.  Mais qui me procure aussi des gênes, une incontinence odorante, de devoir le rentrer quand je suis  aux toilettes. Mais étant tout le temps assise, je n'ai pas la crainte qu'il sorte. Je dois vivre avec, je le prends comme un modification corporelle de plus et non comme une affection. Qu'il est beau mon prolapsus  
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Par : le 05/06/24
  Le rendez-vous   Pour financer ma nullification et me faire quelques sous, j’ai le droit de recevoir un peu de monde. Un gars a pris rendez-vous pour une pipe. Il sonne, je vais ouvrir, je suis en fauteuil roulant. Dans l’encadrure de la porte se tient une sorte de géant, presque deux mètres et bâtit comme un bucheron. Il me suit dans ma pièce. Je n’ai pas le temps de parler qu’il sort son membre, il est énorme et sent la transpiration. Je me retrouve avec ce membre dans ma bouche, lui debout devant moi assise dans mon fauteuil. Il me tient la tête et commence un mouvement de vs et viens. Il se retire, m’arrache du fauteuil, arrache mon leggins et me retourne comme une crêpe. Je lui dit : » met une capote » Il en sort une, se la met et sort aussi un petit pot, je pense que c’est de la crème, mais je réalise que c’est du baume du tigre. Il en met généreusement sur sa queue recouverte de la capote. M’en tartine la rondelle et d’un coup sec s’enfonce en moi. Je hurle d’abord de douleur par la taille  et ensuite par le sentiment de brûlure. Il explose en moi et reste un moment collé . Il se retire, j’ai le cul en feu, la tête qui tourne. Je reprends mon souffle et sans prévenir m’enfonce sa main et se met à me fister, je retiens quelques larmes. Il retire sa main en faisant descendre mon prolapsus. Ca le fait rire de le voir dehors, il me le rentre. Me dit qu’il restera la journée, que c’est ok avec mes Maîtres. Il me retire ma prothèse auditive, me met mon masque de cuir qui me prive de mes sens, un collier large de plusieurs centimètres et m’attache les mains.   Je suis enfermée dans le silence et le noir. Je le sens me porter, il m’installe dans le hamac de baise, le cul exposé. Je sens qu’il met du gel et me sodomise à nouveau cette fois à cru.  Je suis encore très endolorie d’avant. Il se retire, je sens son sperme couler entre mes cuisses. Et soudain les coups de cravache pleuvent, il tape fort. Je ne perçois plus rien, il est parti. J’attends le retour de ma Maîtresse pour me délivrer.    
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Par : le 14/05/24
  Le rendez-vous   Pour financer ma nullification et me faire quelques sous, j’ai le droit de recevoir un peu de monde. Un gars a pris rendez-vous pour une pipe. Il sonne, je vais ouvrir, je suis en fauteuil roulant. Dans l’encadrure de la porte se tient une sorte de géant, presque deux mètres et bâtit comme un bucheron. Il me suit dans ma pièce. Je n’ai pas le temps de parler qu’il sort son membre, il est énorme et sent la transpiration. Je me retrouve avec ce membre dans ma bouche, lui debout devant moi assise dans mon fauteuil. Il me tient la tête et commence un mouvement de vas et viens. Il se retire, m’arrache du fauteuil, arrache mon leggins et me retourne comme une crêpe. Je lui dit : » met une capote » Il en sort une, se la met et sort aussi un petit pot, je pense que c’est de la crème, mais je réalise que c’est du baume du tigre. Il en met généreusement sur sa queue recouverte de la capote. M’en tartine la rondelle et d’un coup sec s’enfonce en moi. Je hurle d’abord de douleur par la taille et ensuite par le sentiment de brûlure. Il explose en moi et reste un moment collé . Il se retire, j’ai el cul en feu, la tête qui tourne. Il pose quelques billets et s’en va sans un mot.
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Par : le 31/03/24
Regrets ? Que suis-je devenu ? Qu’étais-je avant ? Cela valait il la peine ? Des questions que beaucoup doivent se poser après un simple tatouage ou une modification corporelle plus importante ou un choix de vie. Je me pose ces questions ; je trouve les réponses dans mes désirs passés et je tente de me conforter dans mes choix directs clairement demandés et les choix plus ou moins imposés. Avoir des regrets ; A quoi bon ? Ce qui est fait est fait ! Finalement il faut vivre en harmonie avec nos choix même si quelquefois c’est difficile. Pour me réconforter, je me demande ce que je serais sans ? Eh bien je ne serais pas moi-même. Pas celle que j’ai toujours voulu devenir
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Par : le 25/03/24
Il est 15 heures, je suis dans ma chambre, sur le canapé etje regarde une série à la télévision en me caressant machinalement la bite, comme si j'allais ressentir quelques chose. Mais forcément rien ne se passe. Alors je vais chercher un plug de 8 cm et je commence à m'amuser quand ma maitresse entre dans ma chambre. -"Petite salope, tu te donnes en solitaire du plaisir en solitaire, viens donc me lecher la chatte" Elle baisse son leggins, m'ordonne de retirer mon haut et mon soutien-gorge; se plante devant moi et je me mets à lui donner du plaisir avec ma langue pendant qu'elle me pince les tétons. Sa chatte n'est pas très propre mais je n'ai pas le choix. Elle jouit vite ma maîtresse. Ensuite elle me menotte mes mains derrière le dos et me met des pinces à seins. Elle s'en va et revient avec du gel alcoolisé pour les mains. -"Vu que tu veux jouer, je vais t'aider" me dit-elle en mettant le gel sur mon plug. Elle me retourne et me l'enfonce avec force dans mon cul. Je crie sous la douleur provoquée par la brulure. J'en ai les larmes aux yeux. Elle me le retire et me disant qu'il ne faut pas que ma chatte soit trop détendue car ce soir le maitre vient avec deux messieux.  Donc je vais être utilisée, je dois avouer que j'aime, sauf quand ça devient trop douloureux.  Mon maître arrive à l'heure de l'apéro avec deux mecs qui ont la quarantaine. L'un est baraqué, l'autre plutôt fin. Entre temps ma maîtresse m'a aidé à me préparer (je vous rappelle que je suis en fauteuil roulant ou avec mes attelles et cannes). Elle m'a fait un lavement  et je porte un deux pièces avec brassière de sport. Le short moule bien mon entre-jambe sans boules. Je poste mes attelles et je les accueille debout. On s'installe sur les canapés pour prendre l'apéro. Je dois m'asseoir entre les deux mecs. Ils ne perdent pas de temps à me caresser les seins et l'entre jambe. J'ai de la peine à parler car je ne porte pas mon dentier. -"Mais c'est vrai qu'elle n'a pas de couille" dis le plus costaud. Mon maître ouvre une bouteille de champagne, On trinque avant que je me fasse tringler...  Les deux mecs commencent à m'ausculter. Ils me retirent mes attelles, mes habits sous l'œil amusé de mes maitres.Le fin essaye de me branler et il réalise que je ne ressent rien, nouveau éclat de rires. Tout le monde se dévêt, le premier, le me fourre sa bite dans la bouche et le costaud m'encule, je sens son gros zob dans mes reins pendant que je me fais baiser par la bouche. Une fois qu'ils ont joui ils échangent leur place et ça recommence de plus belle. Pendant ce temps mes maitres font aussi l'amour. C'est terminé, ma maitresse me change mon collier contre un plus  large, me met mon masque de cuir avec bâillon. Je sais que je vais déguster. Mon mettre maitre commence à me fister, il m'écarte avce des deux main et ma maitresse m'enfonce la bouteille de champagne par le goulot dans le cul. Elle me ramone, la retire et bien recouverte  de gel, elle me l'enfonce par la base. J'ai envie de gueuler, mais le bâillon m'en empêche,  une fois enfoncée, ils me laissent ainsi sur le canapé et je n'ai pas le droit de bouger . Ils vont manger. J'aimerais que cette bouteille me soit retirée, mais je dois subir mon sort. Enfin ils ont terminé. Le costaud me retire la bouteille et le maigre me sodomise dans ma chatte affreusement dilatée. Il demande du tabasco à ma maitresse qui lui en donne. Il met quelques gouttes dans mon cul et je gueule. Ma maîtresse me met une couche (protection Tena). Voilà je dois leur dire au revoir, ma maitresse me met dans mon fauteuil et me conduit dans ma chambre, m'attache à mon lit et me dit bonne nuit ma petite salope.    
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Par : le 18/03/24
Bonjour à toutes et tous, pardonnez mon silence, me revoilà avec des nouveautés : en janvier, on m'a enfin retiré le scrotum avec une anesthésie locale. En prime et pas demandé, on m'a sectionné les nerfs dorsaux de la bite. Je demandais depuis un moment de ne plus avoir de scrotum, ce sac vide entre mes jambes je ne l'aimais plus. Mes maîtres ont trouvé quelqu'un en Allemagne disposé a  le retirer. Nous sommes parti mi-janvier en voiture. Sur place le gars me faisit bonne impression, son cabinet est propre. Je reçu un cachet pour me détendre et je fus attaché sur la table. J'avais la tête qui tournait. J'ai senti les piqûres pour l'anesthésie locale. Je ne voyais pas ce qu'il faisait, mes maîtres m'avaient mis mon masque de cuir. Peu après je repris mes esprits et j'avais un bandage avec une sonde urinaire. Nous sommes allés à l'hotel et j'ai dormi, j'avais mal. Le lendemain matin on retourne au cabinet, il me retire mes pansements. Je constate deux incisions à la base de ma verge, j'ai peur de comprendre. Mes maîtres et le praticien sourient, je touche le gland et je ne ressens rien. J'ai compris : ils m'ont coupé les nerfs dorsaux de la bite. Je commence à me plaindre, avoir un sanglot,(n'ayant plus de testostérone, je suis devenue très émotive). Le praticien se retire, mon maître baisse son pantalon, me sort de mon fauteuil, me retourne et il me sodomise brutalement. Une fois terminé,on m'explique que de cette façon je serai plus concentrée sur le plaisir anal et disposée à servir mes maîtres. Pour me consoler, ils m'offrent une montre de marque. Ils me rappellent que j'avais signé un contrat Au retour en Suisse, j'essaie de me masturber, mais je ne ressens plus rien, mon clito est mort. Je suis devenue plus demandeuse de sodomie et j'aime encore plus qu'avant que l'on me triture les tétons. Lors de soirées, certains aiment essayer de me masturber et se moquent de moi qui ne ressens plus aucun plaisir avec mon clito. Voilà ce qui m'est arrivé. Ce n'est pas romancé, je regrette cette opération, mais maintenant à quoi bon avoir encore une bite? J'aimerais rencontrer une femme nullo ou excisée.  
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Par : le 04/12/23
L'action est une fiction, la description de mon corps, elle est réelle. Nous sommes avec mes maîtres en week-end dans un complexe naturistes. Je décide de me rendre seul au sauna. Nous sommes dans le milieu de l’après-midi. Je me déplace avec mon fauteuil roulant et je vois deux mecs qui me suivent. A cette heure, le sauna est vide, je suis dans les vestiaires quand les deux mecs arrivent. Ils se mettent à rire en voyant mon entre-jambe avec le sac vide et ma nouille molle. Je suis toujours dans mon fauteuil, le premier se met face à moi, il est grand et il bande dur, son sexe est énorme. Il me l’enfonce dans ma bouche édentée et l’utilise comme un sexe. Il me ramone profond, j’ai le sentiment d’étouffer. Il se retire, laisse la place à son copain qui me pinçait les tétons depuis derrière. Ça repart. Il se retire et les deux me sortent du fauteuil, me tâte le sac en se marrant, le plus grand des deux se met derrière moi, me tien par la taille et avec un « han » de bucheron m’empale violemment. L’autre durant ce temps me masturbe en rigolant devant ma bite molle à jamais. Il se met à me la pincer, me fait mal. L’autre enfin explose en moi. Je sens sa semence couler de mon cul qui est devenu lâche au fil du temps. Le deuxième farfouille mon cul avec son doigt et réalise que je n’ai plus de prostate. Les rires recommencent en m’humiliant et à son tour il me défonce le cul ou devrais-je dire la chatte. Le plus grand des deux va au distributeur de gel alcoolisé, en prend au creux de sa main, l’autre me pose à plats ventre sur un banc et m’écarte les fesses pendant que l’autre fait couler le gel dans mon cul. Ça me brûle je retiens des larmes. Et comme ils sont venus, ils sont repartis. J’ai le cul en feu et je décide de retourner en chambre. Au passage, je vois mes maîtres attablés à la terrasse avec les deux mecs. Ils m’appellent. Arrivée à leur table, je reçois des compliments, que je suis une bonne petite pute et l’ordre de rester avec eux. Voilà c'était ma première fiction  
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Par : le 13/11/23
Voilà c'est mon histoire, quand la réalité dépasse les fantasmes. Mon histoire ; Je suis née avec le spina bifida, et je me déplace soit en fauteuil roulant soit avec des attelles. De tous temps, j’avais l’impression de ne pas être vraiment ce que je suis, homme, mais pas au point de me sentir femme et j’ai toujours eu un sentiment de soumission. Je vivais seul malgré mon handicap, j’ai erré pour chercher un maître et finalement je suis tombé sur un couple. Homme femme dominants Le feeling est passé tout de suite et peu à peu je m’installais chez eux dans leur grande maison, jusqu’à finalement déménager. Nos jeux devenaient de plus en plus hard. Ils m’avaient fait des allusions à la castration, que ce serait mieux pour moi. J’étais de plus en plus féminisée, mais pas prêt à être castré. Lors d’une séance, j’étais attaché, portant mon masque de cuir et les trous pour la vue fermés. Ils m’avaient fait prendre un tranquillisant, mais j’ai senti des piqures dans mes boules, ensuite ça m’a brûlé. J’ai cru à un nouveau jeu.Ils ont recommencé quelques jours plus tard. Sur le moment ils ne m’ont rien dit, mais j’avais mal aux boules. Les semaines suivantes, ma libido à baissé, après deux mois j’étais devenu un eunuque avec des boules atrophiées. Ils m’ont avoué m’avoir castré avec du Neutersol, une substance qui s’injecte dans les boules pour castrer les animaux.. La suite une autre fois  
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