Regrets ?
Que suis-je devenu ? Qu’étais-je avant ? Cela valait il la peine ?
Des questions que beaucoup doivent se poser après un simple tatouage ou une modification corporelle plus importante ou un choix de vie.
Je me pose ces questions ; je trouve les réponses dans mes désirs passés et je tente de me conforter dans mes choix directs clairement demandés et les choix plus ou moins imposés.
Avoir des regrets ; A quoi bon ? Ce qui est fait est fait !
Finalement il faut vivre en harmonie avec nos choix même si quelquefois c’est difficile. Pour me réconforter, je me demande ce que je serais sans ? Eh bien je ne serais pas moi-même.
Pas celle que j’ai toujours voulu devenir
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Il est 15 heures, je suis dans ma chambre, sur le canapé etje regarde une série à la télévision en me caressant machinalement la bite, comme si j'allais ressentir quelques chose. Mais forcément rien ne se passe.
Alors je vais chercher un plug de 8 cm et je commence à m'amuser quand ma maitresse entre dans ma chambre.
-"Petite salope, tu te donnes en solitaire du plaisir en solitaire, viens donc me lecher la chatte"
Elle baisse son leggins, m'ordonne de retirer mon haut et mon soutien-gorge; se plante devant moi et je me mets à lui donner du plaisir avec ma langue pendant qu'elle me pince les tétons. Sa chatte n'est pas très propre mais je n'ai pas le choix. Elle jouit vite ma maîtresse. Ensuite elle me menotte mes mains derrière le dos et me met des pinces à seins. Elle s'en va et revient avec du gel alcoolisé pour les mains.
-"Vu que tu veux jouer, je vais t'aider" me dit-elle en mettant le gel sur mon plug. Elle me retourne et me l'enfonce avec force dans mon cul. Je crie sous la douleur provoquée par la brulure. J'en ai les larmes aux yeux.
Elle me le retire et me disant qu'il ne faut pas que ma chatte soit trop détendue car ce soir le maitre vient avec deux messieux. Donc je vais être utilisée, je dois avouer que j'aime, sauf quand ça devient trop douloureux.
Mon maître arrive à l'heure de l'apéro avec deux mecs qui ont la quarantaine. L'un est baraqué, l'autre plutôt fin. Entre temps ma maîtresse m'a aidé à me préparer (je vous rappelle que je suis en fauteuil roulant ou avec mes attelles et cannes). Elle m'a fait un lavement et je porte un deux pièces avec brassière de sport. Le short moule bien mon entre-jambe sans boules. Je poste mes attelles et je les accueille debout. On s'installe sur les canapés pour prendre l'apéro. Je dois m'asseoir entre les deux mecs. Ils ne perdent pas de temps à me caresser les seins et l'entre jambe. J'ai de la peine à parler car je ne porte pas mon dentier.
-"Mais c'est vrai qu'elle n'a pas de couille" dis le plus costaud. Mon maître ouvre une bouteille de champagne, On trinque avant que je me fasse tringler... Les deux mecs commencent à m'ausculter. Ils me retirent mes attelles, mes habits sous l'œil amusé de mes maitres.Le fin essaye de me branler et il réalise que je ne ressent rien, nouveau éclat de rires.
Tout le monde se dévêt, le premier, le me fourre sa bite dans la bouche et le costaud m'encule, je sens son gros zob dans mes reins pendant que je me fais baiser par la bouche. Une fois qu'ils ont joui ils échangent leur place et ça recommence de plus belle. Pendant ce temps mes maitres font aussi l'amour.
C'est terminé, ma maitresse me change mon collier contre un plus large, me met mon masque de cuir avec bâillon. Je sais que je vais déguster. Mon mettre maitre commence à me fister, il m'écarte avce des deux main et ma maitresse m'enfonce la bouteille de champagne par le goulot dans le cul. Elle me ramone, la retire et bien recouverte de gel, elle me l'enfonce par la base. J'ai envie de gueuler, mais le bâillon m'en empêche, une fois enfoncée, ils me laissent ainsi sur le canapé et je n'ai pas le droit de bouger . Ils vont manger.
J'aimerais que cette bouteille me soit retirée, mais je dois subir mon sort. Enfin ils ont terminé. Le costaud me retire la bouteille et le maigre me sodomise dans ma chatte affreusement dilatée. Il demande du tabasco à ma maitresse qui lui en donne. Il met quelques gouttes dans mon cul et je gueule. Ma maîtresse me met une couche (protection Tena).
Voilà je dois leur dire au revoir, ma maitresse me met dans mon fauteuil et me conduit dans ma chambre, m'attache à mon lit et me dit bonne nuit ma petite salope.
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Bonjour à toutes et tous, pardonnez mon silence, me revoilà avec des nouveautés : en janvier, on m'a enfin retiré le scrotum avec une anesthésie locale. En prime et pas demandé, on m'a sectionné les nerfs dorsaux de la bite. Je demandais depuis un moment de ne plus avoir de scrotum, ce sac vide entre mes jambes je ne l'aimais plus.
Mes maîtres ont trouvé quelqu'un en Allemagne disposé a le retirer. Nous sommes parti mi-janvier en voiture. Sur place le gars me faisit bonne impression, son cabinet est propre. Je reçu un cachet pour me détendre et je fus attaché sur la table. J'avais la tête qui tournait. J'ai senti les piqûres pour l'anesthésie locale. Je ne voyais pas ce qu'il faisait, mes maîtres m'avaient mis mon masque de cuir.
Peu après je repris mes esprits et j'avais un bandage avec une sonde urinaire. Nous sommes allés à l'hotel et j'ai dormi, j'avais mal.
Le lendemain matin on retourne au cabinet, il me retire mes pansements. Je constate deux incisions à la base de ma verge, j'ai peur de comprendre. Mes maîtres et le praticien sourient, je touche le gland et je ne ressens rien. J'ai compris : ils m'ont coupé les nerfs dorsaux de la bite. Je commence à me plaindre, avoir un sanglot,(n'ayant plus de testostérone, je suis devenue très émotive). Le praticien se retire, mon maître baisse son pantalon, me sort de mon fauteuil, me retourne et il me sodomise brutalement. Une fois terminé,on m'explique que de cette façon je serai plus concentrée sur le plaisir anal et disposée à servir mes maîtres. Pour me consoler, ils m'offrent une montre de marque.
Ils me rappellent que j'avais signé un contrat
Au retour en Suisse, j'essaie de me masturber, mais je ne ressens plus rien, mon clito est mort. Je suis devenue plus demandeuse de sodomie et j'aime encore plus qu'avant que l'on me triture les tétons.
Lors de soirées, certains aiment essayer de me masturber et se moquent de moi qui ne ressens plus aucun plaisir avec mon clito.
Voilà ce qui m'est arrivé. Ce n'est pas romancé, je regrette cette opération, mais maintenant à quoi bon avoir encore une bite?
J'aimerais rencontrer une femme nullo ou excisée.
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Première pipe sans dents: voilà j'ai fait mes premières fellations sans mes dents. Mon maître et un copain ont beaucoup apprécié.
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L'action est une fiction, la description de mon corps, elle est réelle.
Nous sommes avec mes maîtres en week-end dans un complexe naturistes.
Je décide de me rendre seul au sauna. Nous sommes dans le milieu de l’après-midi. Je me déplace avec mon fauteuil roulant et je vois deux mecs qui me suivent.
A cette heure, le sauna est vide, je suis dans les vestiaires quand les deux mecs arrivent. Ils se mettent à rire en
voyant mon entre-jambe avec le sac vide et ma nouille molle. Je suis toujours dans mon fauteuil, le premier se met face à moi, il est grand et il bande dur, son sexe est énorme. Il me l’enfonce dans ma bouche édentée et l’utilise comme un sexe.
Il me ramone profond, j’ai le sentiment d’étouffer. Il se retire, laisse la place à son copain qui me pinçait les tétons depuis derrière. Ça repart.
Il se retire et les deux me sortent du fauteuil, me tâte le sac en se marrant, le plus grand des deux se met derrière moi, me tien par la taille et avec un « han » de bucheron m’empale violemment. L’autre durant ce temps me masturbe en rigolant devant ma bite molle à jamais. Il se met à me la pincer, me fait mal. L’autre enfin explose en moi. Je sens sa semence couler de mon cul qui est devenu lâche au fil du temps.
Le deuxième farfouille mon cul avec son doigt et réalise que je n’ai plus de prostate.
Les rires recommencent en m’humiliant et à son tour il me défonce le cul ou devrais-je dire la chatte.
Le plus grand des deux va au distributeur de gel alcoolisé, en prend au creux de sa main, l’autre me pose à plats ventre sur un banc et m’écarte les fesses pendant que l’autre fait couler le gel dans mon cul. Ça me brûle je retiens des larmes.
Et comme ils sont venus, ils sont repartis. J’ai le cul en feu et je décide de retourner en chambre.
Au passage, je vois mes maîtres attablés à la terrasse avec les deux mecs. Ils m’appellent.
Arrivée à leur table, je reçois des compliments, que je suis une bonne petite pute et l’ordre de rester avec eux.
Voilà c'était ma première fiction
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Fiction intéressante qui demande à être développée. C’est un bon début!
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12/12/23
Hello, aujourd'hui je suis tendue, car je vais me faire retirer mes dents. Depuis trop longtemps j'en souffre, alors autant tout retirer et ensuite pouvoir donner encore plus de plaisir à mes Maîtres
Soyez la première personne à aimer.
Voilà c'est mon histoire, quand la réalité dépasse les fantasmes.
Mon histoire ;
Je suis née avec le spina bifida, et je me déplace soit en fauteuil roulant soit avec des attelles.
De tous temps, j’avais l’impression de ne pas être vraiment ce que je suis, homme, mais pas au point de me sentir femme et j’ai toujours eu un sentiment de soumission.
Je vivais seul malgré mon handicap, j’ai erré pour chercher un maître et finalement je suis tombé sur un couple. Homme femme dominants
Le feeling est passé tout de suite et peu à peu je m’installais chez eux dans leur grande maison, jusqu’à finalement déménager. Nos jeux devenaient de plus en plus hard. Ils m’avaient fait des allusions à la castration, que ce serait mieux pour moi. J’étais de plus en plus féminisée, mais pas prêt à être castré.
Lors d’une séance, j’étais attaché, portant mon masque de cuir et les trous pour la vue fermés. Ils m’avaient fait prendre un tranquillisant, mais j’ai senti des piqures dans mes boules, ensuite ça m’a brûlé. J’ai cru à un nouveau jeu.Ils ont recommencé quelques jours plus tard.
Sur le moment ils ne m’ont rien dit, mais j’avais mal aux boules. Les semaines suivantes, ma libido à baissé, après deux mois j’étais devenu un eunuque avec des boules atrophiées. Ils m’ont avoué m’avoir castré avec du Neutersol, une substance qui s’injecte dans les boules pour castrer les animaux..
La suite une autre fois
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La suite: La suite une autre fois
Pour me consoler, ils m’ont offert un beau cadeau
Avec la perte d’érection, les autres effets sont arrivés, comme des coups de chaleur, plus de fatigue et d’émotivité, on m’a proposé de prendre des hormones féminines, ça contre un peu et c’était leur désir de me féminiser encore plus. J’ai dû dire adieux à mes habits masculins et me comporter en femme, en fait je crois que c’est ce que je voulais au fond de moi. J’avais déjà l’habitude que les gens me regardent à cause de mon handicap, alors les débuts ne furent pas trop durs en extérieur.
Quatre mois après ces injections, j’ai consulté urologues et on m’a retiré mes noisettes mortes et la prostate. J’étais contente d’avoir ce sac vide à la place des boules atrophiées. Au début j’étais gênée de le montrer et j’ai constaté que ça fascinait, mes seins poussaient et je sentais mon corps changer, je devenais de plus en plus détachée dans nos jeux SM et l’échangisme.
Lors de nos séances, souvent je dois porter le masque de cuir et même longtemps après. Je suis torturée avec sadisme, mais sans violence, sauf des coups de cravaches de temps à autre. Ils aiment me dilater, me fister un max et m’introduire du gel désinfectant dans le cul. L’humiliation est toujours au rendez-vous.
Au-delà des séances, le matin en général, je suce monsieur et lèche madame qui se lève un peu plus tard. Je dois leur préparer le petit déjeuner. Les fois il préfère me sodomiser.
La suite; mi janvier de cette année, enfin ils ont été d'accord de me faire retirer le scrotum. Ce fut effectué par un médecin allemand. J'étais attachée et je ne voyais pas ce qui se passait. Après l'opération, je n'avais pas réalisé en raison des bandages, mais une fois retirés, j'ai constaté deux incisions à la base du pénis. J'ai eu peur de comprendre et quand j'ai touché mon clito, j'ai compris. Ils m'ont fait sectionner les nerfs dorsaux. Je n'avais plus de sensations. Il est comme mort. J'étais en colère, maintenant je ne peux plus avoir d'orgasme du tout avec mon clito.Il est mort. Ils m'ont expliqué que c'est pour mieux les servir et que je profite encore bien plus du plaisir anal et de mes seins. Et comme après ma castration, j'ai reçu une jolie montre. Maintenant il m'est devenu inutile de me masturber, je ne ressens rien.
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18/03/24
Je passe encore plus de temps à me caresser les tétons et c'est vrai, je suis plus en demande de me faire sodomiser. C'est pathétique d'avoir ce clito totalement inutile entre mes jambes. Quand il y a du monde, certains aime tenter de me masturber et réaliser que je n'ai aucun ressenti. Mais forcément, étant devenue plus sensible avec la perte de testostérone, j'en ai pleuré
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18/03/24
Bonsoir.
Je ne sais que penser de cet article. Fiction ou réalité ?
Car il semble que vos Maitres pratiquent des actes non consentis sur vous.....
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20/03/24
Je comprends vos questionnements. Il faut savoir que j'ai toujours exprimé à mes maîtres le désir de devenir nullo. Ils m'ont assuré qu'ils allaient m'aider dans cette voie. Un nullo n'ayant plus de queue, n'a plus de plaisir avec. Implicitement je suis d'accord avec ces actes. Après une fois effectués, il faut vivre avec et souvent c'est là que les regrets arrivent.
Merci pour cette explication.
Oui, il y a souvent un fossé entre ce qu'on souhaite (ou rêve) et la réalité. La pratique du BDSM ne fait pas exception, à voir le nb de personnes qui papotent et pratiquent .... dans leurs rêves. :-)
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27/03/24
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Amis