Déplacer pour recadrer votre photo

Gamine de la Maison Noire

femme soumise. Vit à Champagne-Ardenne, France. 37 ans. est marié(e).
Extrait de son book
Gamine de la Maison Noire
a mis a jour sa propre photo de profil.
Soyez la première personne à aimer.
Gamine de la Maison Noire
a mis a jour son propre profil.
Soyez la première personne à aimer.
Gamine de la Maison Noire
Répondant aux consignes de Monsieur M, je vais décrire ici notre première rencontre et surtout ma première rencontre D/s dans le cadre d'une relation suivie. J'ai cru comprendre que ce récit est un cadeau de sa part à toute la communauté du site. Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter une bonne lecture. Après de longues semaines passées à converser de manière virtuelle avec lui, un rendez-vous à enfin été fixé en réel. Pour une première, tout se passera dans des lieux publics. D'abord un bar où les discussions étaient fluides, se balançant entre bavardages classiques et réponses sincères au sujet de BDSM. C'est assez déroutant de parler de ce genre de choses en public, on a toujours l'impression que les autres écoutent… Pourtant j'étais à l'aise. Nous avions déjà convenu que je serai sa novice et qu'il me ferait découvrir la relation D/s suivi, une grande nouveauté pour moi. Par le passé, je n'ai jamais trouvé de Dominant à qui j'aurais voulu offrir mon cou pour un collier. Je pensais que tous les Dominants avaient une attitude militaire, pourtant Monsieur M a un regard tendre et sincère, une voix douce et calme. Pour mon plus grand plaisir, il souhaite davantage m'apprivoiser que me dresser. C'est calme et rassuré que je le suit hors du bar. Là, il pose ses lèvres sur les miennes. Je suis surprise, mais également soulagée de m'être montrée à son goût. Il apprécie la saveur du tabac dans ma bouche me faisant prendre conscience dans le réel de l'utilité de la consigne concernant ma consommation de cigarettes. Il me dit avoir un achat à faire et m'invite à le suivre. Je me retrouve dans une boutique de lingerie, apparemment pour m'acheter un soutien gorge. Je me sens un peu bête en face ces vendeuses qui m'interrogent, mais Monsieur M répond à ma place sans ciller. Finalement, me voilà dans une cabine d'essayage, en train de retirer ma robe. Je suis presque nue, le bas uniquement couvert d'un string et de bas résilles. C'est à ce moment que Monsieur M se glisse à travers le rideau. Je panique un peu, je tire sur le rideau pour que personne ne le voit ici. Son regard s'enflamme lorsqu'il me découvre, ses mains caressent mon corps, ses lèvres occupent ma bouche. J'ai dû lui paraître gêné, car en un battement de cil il avait disparu. Pourtant j'étais terriblement excité par la surprise et l'interdit. Mon corps s'est directement enflammé. J'ai eu du mal à retrouver une attitude neutre en sortant mais comme je peux m'exprimer librement, les rires et les bavardages m'ont rapidement aidé à retrouver mon calme. J'ai aimé retrouver régulièrement ses lèvres lorsque nous marchions dans la rue sentir ses doigts s'enlacer autour des miens. La soirée s'est poursuivie dans un cinéma. Sans grande surprise, je l'ai suivi vers le coin de la salle, tout en haut. Un coin un peu plus intime. Monsieur M m'as demandé d'attacher mes cheveux afin qu'il puisse profiter de la coupe qu'il m'avait demandé. Une coupe très affirmée avec de grandes parties rasées. Je sentais sa main sur ma nuque, la saisissant parfois fermement avant de la caresser tendrement. J'ai été invité à me rendre aux toilettes pour me débarrasser de mon string. Je n’ ai pas hésité longtemps avant de me lever. Elle était complètement trempée, pleine de désir tout comme moi. Lorsque je suis revenu dans la salle, la projection commençait, les lumières se sont éteintes, l'ambiance à gagner en intimité. C'est avec un infini plaisir que j'ai de nouveau senti les mains de Monsieur M danser sur tout mon corps. Caresser mon entrejambe, saisir mes seins. C'est la première fois qu'ils avaient à subir de tels assauts. Étrangement, bien que Monsieur M ne se soit pas montré tendre avec eux, ce n'était pas douloureux. Je le sentais me pincer, tirer dessus, faire rouler mes tétons entre ses doigts. J'ai eu le malheur de souffler “même pas mal” et là j'ai compris que jusque là, je jouissais de toute son expérience en la matière car j'ai rapidement été rappelé à l'ordre par une vive douleur. Impossible de crier dans cette salle de cinéma, je n'avais pas envie qu'on en soit délogé. J'ignore encore comment j'ai fait pour endurer celà, 2 jours après, la douleur est toujours présente, comme un petit souvenir de cette soirée. Il a également saisi fermement mon cou, l'a serré jusqu'à m'empêcher de respirer. J'ai senti mon corps commencer à réclamer de l'air, pourtant je suis resté sans craintes. Je doit même avouer que j'ai adoré ça ! C'est là que j'ai compris que mon cerveau était éteint, que ce que j'attendais d'une relation D/s était bien au rendez-vous et que celà dépassait toutes mes espérances. Un lâcher prise libérateur où mon corps ne m'appartient plus, où réfléchir n'est plus utile, ce n'est plus à moi de le faire, il ne me reste qu'à obéir. J'ai tant de choses à découvrir sur cette relation et sur moi-même. Dans la salle de cinéma, les expériences s'enchaînent. Ces doigts explorent ma bouche, se glissent doucement dans ma gorge. Il m'a également demandé de me caresser avant de saisir ma main et de goûter mes doigts. J'ai adoré le sentir respirer par ma bouche lorsqu'il m'embrassait. J'ai adoré sentir son piercing glisser sur ma langue. J'ai frémi de plaisir lorsqu'il venait à me mordre. Monsieur M a placé son manteau sur ses genoux, je m'en suis réjoui me disant qu'à mon tour je pourrais lui donner du plaisir, même si avouons le, je ne lui arrive pas à la cheville en la matière… J'ai glissé ma main sous son jeans et à travers le tissu de ses sous-vêtements j'ai découvert sa virilité. Elle était terriblement ferme et me faisait très envie. Mes doigts remontaient le long de sa verge et ont fini par découvrir un énorme piercing au sommet. J'ai été déroutée, je craignais de lui faire mal. Je lui ai signalé mes craintes, il m'a expliqué aimer la douleur. Pourtant il est difficile d'effacer des années de vigilance de mon esprit. Plus je laissais courir mes mains sur lui, plus je sentais le désir de lui faire plaisir. J'étais quelque peu frustré de manquer de place pour celà, j'aurai adoré l'enserrer avec mes lèvres, laisser glisser ma langue sur toute sa longueur… pour la peine je me suis vengé sur son oreille pendant que ma main caressait son entrejambe. J'ai laissé ma langue caresser son pavillon, mes soupirs glisser dans le creux de son oreille, mordre son lobe… Bon sang! Qu'est ce que j'ai envie de lui faire plaisir ! D'apprendre à le satisfaire. Il n'y a pas de plus belle récompense que celle de l'entendre gémir, de le sentir frémir et de ressentir toute son ardeur dans ces gestes. Le film touche doucement à sa fin… L'ambiance entre nous se détend et devient câline. Je me surprends à glousser comme une adolescente, visiblement quand mon cerveau est parti, il a embarqué la maturité avec lui. Je me sens si bien dans ces bras. La lumière inonde de nouveau la salle, il me propose de continuer avec un dernier verre. La conversation était agréable, c'est plaisant de parler sans filtre. Le vouvoiement est naturel chez moi alors la conversation était facile. J'ai même pu me montrer taquine et plaisanter preuve d'une complicité naissante. La soirée va malheureusement devoir se finir. Je me retrouve dans sa voiture pour ces derniers instants. Je me rappelle lui avoir demandé l'autorisation de goûter son sexe. Au départ il me le refuse, mais devant ma moue déçue il finit par me donner son accord. Je la découvre enfin, éclairée par la lumière des réverbères du parking. Elle est magnifiquement élancée et ferme. L'énorme anneau à son sommet me laisse perplexe, mais rien qui ne me coupe l'envie d'y goûter. Je pose doucement ma langue, je slalom autour de l'acier. J'écarte légèrement les lèvres et fait glisser son sexe dans ma bouche. Que c'est bon, je suis ravie de pouvoir la goûter, de la sentir remplir ma bouche. L'acier fait sonner mes dents, je sent Monsieur M se tendre. Il saisit ma tête et prends en main le rythme quelques instants, poussant l'anneau au fond de ma bouche. Je suis terriblement déçu d'être incapable de maîtriser mes reflexes. J'aurai aimé aller jusqu'à poser mon nez sur son pubis. J'ignore si c'est parce que ma prestation était médiocre ou pour rester dans le contrôle total, mais Monsieur M met fin à la dégustation avant son terme. J'ai très envie d'apprendre à le servir comme il aime, à lui donner entière satisfaction. J'ai adoré cette balançoire émotionnelle, j'ai adoré toute cette soirée, j'aurai voulu qu'elle ne se termine jamais. Je ne voulais pas quitter cette bulle en dehors de la réalité. Je me suis senti vivre, les deux pieds dans l'instant. C'était si fort ! J'en veux encore ! Je veux me lover à ses pieds, être la meilleure chienne possible pour lui donner envie de me garder. J'ai envie d'offrir mon cou à son collier.
Soyez la première personne à aimer.
Voir les publications suivantes