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homme soumis. Vit à Mons, Hainaut, Belgique. 66 ans. est marié(e).
Extrait de son book
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L'ennui, c'est que les gens se préoccupant des charkras, des "points vitaux", des "massages énergétiques", et autres choses du même genre, sont souvent de prétendus "thérapeutes" incapables de démontrer l'efficacité de leurs pratiques. Ces pratiques sont fortement à risque de dérives médicales et de dérives sectaires. La miviludes ne cesse d'alerter à ce sujet. https://www.miviludes.interieur.gouv.fr/quest-ce-quune-d%C3%A9rive-sectaire/o%C3%B9-la-d%C3%A9celer/sant%C3%A9 L'ordre des médecins, l'ordre des infirmiers, l'ordre des masseurs-kinésithérapeutes et même la DGCCRF, alertent aussi sur ces risques. De nombreux "praticiens" se comportent comme des gourous tentant de s'assurer une emprise mentale sur leurs adeptes. Si vous tenez absolument à explorer cette nébuleuse obscure, et trop souvent obscurantiste, dans votre propre intérêt, soyez très vigilant, très méfiant concernant les affirmations le plus souvent dénuées de tout fondement, mais que de nombreux "praticiens" tentent de faire passer pour des faits, et même parfois pour de la science. Chacun est libre de croire ce qu'il veut. Mais la moindre des choses, c'est de présenter cela comme des croyances, et non comme un savoir dûment prouvé.
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Parce que le cyclisme sportif ou intensif, provoque de petites lésions du périnée par les frottements sur la selle. Ces lésions ont pour conséquence un engourdissement, une gêne, et parfois de la douleur, autrement dit, le contraire des effets recherchés dans le but d'améliorer la sexualité masculine. Ca, comme beaucoup d'autres choses, on ne peut l'apprendre qu'en s'intéressant à la physiologie et à la médecine, pas en s'adonnant à des pratiques mystiques ou ésotériques. Si, à 68 et 66 ans, nous sommes encore capables de conserver nos érection bien plus longtemps que la majorité des hommes et d'encaisser des sodomies vigoureuses tout aussi longtemps, c'est en basant nos entraînements sur des connaissances étudiées et vérifiées par des spécialistes, même si parfois détournées de leurs utilité de base, pas en nous fiant à des "philosophies" à peine plus fondées que les bisous magiques.
Merci Maxxence d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
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Il n'est jamais trop tard pour apprendre. Etant homo, je ne me suis jamais intéressé au plancher pelvien (aussi appelé périnée) des femmes. Je connais uniquement les exercices et les effets sur les hommes. Vous pouvez commencer par les exercices de Kegel, dont vous trouverez des descriptions sur internet. Médicalement, ils sont utilisés principalement pour renforcer le périnée en cas de chirurgie de la prostate ou d'incontinence, mais ça n'empêche pas qu'ils soient efficaces pour améliorer les érection et contrôler l'éjaculation.
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a répondu à sa propre discussion "Couple gay BDSM".
Toujours embêté par des quintes de toux. Visite à l'hôpital prévue dans la semaine. Si nous avons provisoirement arrêté le BDSM jusqu'à ce que j'aille mieux, nous avons des relations sexuelles "vanille" tous les jours. Mais je sens bien que je ne suis pas au sommet de ma forme.
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Il n'est pas nécessaire de s'engager dans des démarches mystiques, ésotériques, philosophiques ou religieuses pour apprendre à mieux contrôler son corps. Ni de pratiquer les arts martiaux. Par contre, pratiquer un sport, quel qu'il soit (sauf le cyclisme), est sans aucun doute un atout. Avoir une bonne condition physique aide à aller plus loin sur tous les plans, aussi bien en BDSM qu'en sexualité "vanille". Par exemple, un plancher pelvien bien entraîné permet de contrôler l'éjaculation, de la retarder, et d'avoir des érections de longue durée. Autre exemple, entraîner ses sphincters anaux permet de mieux les contrôler, de les détendre pendant la sodomie pour la supporter plus facilement et plus longtemps. Beaucoup d'hommes ne prennent pas la peine d'entretenir ces zones de leur corps. Certains n'ont même pas conscience qu'ils peuvent contrôler ces muscles volontairement. Bien sûr, on n'y arrive pas en claquant des doigts, comme par miracle, surtout quand on démarre de zéro. Ca prend du temps et ça demande un minimum d'efforts. Le mental est important aussi. Chez l'homme comme chez la femme, le plus gros organe sexuel, c'est le cerveau. Etre en confiance, avoir envie de donner du plaisir à son ou sa partenaire, savoir se déconnecter des petits et gros soucis du quotidien pour se concentrer sur les rapports sexuels et les pratiques BDSM, est indispensable. Dans notre cas, notre amour réciproque, notre attirance physique l'un pour l'autre, le désir, la complicité, sont des moteurs puissants nous permettant des pratiques d'une intensité que nous ne pourrions pas atteindre avec d'autres partenaires. Nous le remarquons d'ailleurs avec nos deux partenaires soumis occasionnels : même si nous pouvons aller loin avec eux, ce n'est jamais aussi loin qu'entre nous.
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@ Antoinette Effectivement, l'orgasme ruiné et l'orgasme sec sont deux choses différentes. Et on en attend des effets différents. Dans le premier cas, on approche de l'orgasme, mais on ne l'atteint pas. Dans le deuxième cas, on l'atteint. Quand vous parlez des "énergies", c'est donc dans cette direction que vous allez. Pour nous, il est absolument exclu de méler des pratiques religieuses, mystiques et ésotériques à nos pratiques sexuelles. Elles ne nous seraient d'aucune utilité et iraient à l'encontre de notre manière de penser. C'est pas la conaissance de son fonctionnement, son entretien régulier et la pratique que nous parvenons à contrôler certaines fontions de notre corps. Après, chacun est libre de croire ce qu'il veut.
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@ Sweetqueen Peut-on les appeler punitions ? Dans la première séance que j'ai racontée, il parlait de punition, mais il ne donnait aucune raison, et je n'avais pas commis de faute impliquant une punition. Dans la deuxième séance que j'ai racontée, il n'a pas parlé de punition. Il avait envie de me faire souffrir, et son envie suffisait à justifier qu'il le fasse. Je prends sur moi, oui, mais c'est le rôle du soumis de supporter autant qu'il peut ce que son dominant veut lui infliger. Notre mode de vie dans l'intimité est très contraignant pour moi, mais pour lui aussi. Lui aussi donne tout jour après jour pour me satisfaire. C'est une recherche permanente de sensations et de plaisir intenses, y compris quand il m'impose le non-plaisir, qui fait partie du "jeu". Je pense que ce n'est pas possible de pratiquer intensément au long cours s'il n'y a pas une volonté réciproque de s'offrir à son partenaire. Le rôle du dominant n'est pas plus facile que celui du soumis. Comme vous l'évoquez, il exige une excellente maîtrise se soi, il exige de perfectionner sans cesse ses compétences, il exige de bien connaître son partenaire et de bien mesurer son niveau de forme pour pouvoir aller loin sans aller trop loin... Et, dans notre BDSM militaire, il faut assurer physiquement ! L'entraînement physique qu'il m'impose, il se l'impose aussi, pour entretenir sa condition physique et pouvoir me faire sentir sa force et son endurance en toutes circonstances. Une relation, ça se construit à deux, que ce soit en "vanille" ou en BDSM. Si l'un des deux ne s'y implique pas, n'y apporte rien, ça ne tient pas.
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Le moyen le plus "facile" d'y arriver, c'est d'utiliser l'e-stim ou la milking machine pour provoquer plusieurs orgasmes à la suite. Les premiers sont avec éjaculation. Arrive un moment où il n'y a plus rien à éjaculer. On obtient un orgasme sec, sans éjaculation parce qu'elle est devenue physiologiquement impossible.
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@ Antoinette Je suis mazo aussi, mais pas uniquement. Le sexe est une composante essentielle de nos pratiques. C'est un besoin pour tous les deux. Et il y a la composante mentale du BDSM, les brimades, les humiliations... C'est un ensemble composé de plusieurs éléments. Nos limites semblent plus semblables. Chez nous, c'est pas de plaies, pas de sang, pas de traces définitives. En commençant la journée de service, tout est impeccable chez nous aussi, y compris les uniformes. Mais quand le Chef oblige le soldat à ramper dans de la boue pendant l'entraînement, je suis tout boueux, forcément. Et lui aussi, puisqu'il suit le même entraînement que moi pour rester en pleine forme. L'intérieur de la maison reste toujours propre. Nous changeons de vêtements avant d'y rentrer s'il le faut. Les contraintes uro et scato se passent uniquement dehors ou dans la salle de torture, que nous avons aménagée dans une grande remise. Quand il le faut, elle est nettoyée juste parès les activitéss salissantes. Une vieille croyance prétend que l'éjaculation diminue l'énergie. En fait, l'orgasme, même sans éjaculation, fait produire une hormone qui déclenche la satiété sexuelle, et aussi de la somnolence pouvant aller jusqu'à une envie de dormir. Le taux de cette hormone redescend après une heure. Passé ce délai, toutes les études sérieuses montrent qu'il n'y a quasiment pas de différence de performances physiques entre des personnes ayant eu une relation sexuelle récemment et des personnes n'en ayant pas eu, que ce soit pour des activités nécessitant de l'endurance ou des activités nécessitant de la force. La privation d'éjaculation n'apporte rien, sauf le plaisir du contrôle de la sexualité du soumis par le dominant. C'est justement pour exerce un contrôle total sur ma sexualité que mon dominant me fait subir régulièrement des orgasmes ruinés. Il m'excite au maximum, que ce soit par masturbation, fellation, sodomie, vibromasseur, milking machine ou e-stim, puis arrête, me laissant sur ma faim, laissant mon excitation redescendre, me privant d'éjaculation et d'orgasme. Il me connait bien, il sait jusqu'où il peut aller, et il sait aussi quand il peut redémarrer pour m'en priver plusieurs fois de suite.
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Petit aparté. Même si je vais mieux, je n'en ai pas encore totalement fini avec mon petit problème de santé. D'habitude, je fais un rhume ou laryngite ou quelque chose du même style une fois tous les 3 ou 4 ans, et c'est fini en une semaine maximum. Là, ça s'accroche ! C'est parce que j'ai été réveillé par une quinte de toux que j'écris en fin de nuit. Mon dominant, amant et mari a décidé de prolonger mon "arrêt maladie" d'une semaine. Moi qui pensais reprendre le servie actif ce samedi... Je dois bien avouer que je n'ai pas encore entièrement retrouvé ma forme habituelle. Pour le moment, nous continuons les relations sexuelles en mode "vanille".
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Antoinette, nous pratiquons des "jeux" avec les besoins. M'obliger de demander, et pouvoir m'accorder ou me refuser de les faire, ou m'imposer de les faire dans certaines conditions, est avant tout une question de discipline. Il m'interdit toute initiative personnelle, sauf cas de force majeure, ce qui augmente sa sensation de contrôle total et augmente ma sensation de soumission totale. Il est clair entre nous qu'il n'est pas question que je me retienne, sauf quelques minutes, le temps de terminer quelque chose. Quand il me refuse l'autorisation, je fais mes besoins malgré tout. Si je suis habillé, dans mon uniforme. Si je suis nu, là où je suis et dans la position où je suis, ce qui m'oblige souvent à me salir. Il lui arrive d'uriner sur moi, habillé ou nu, où il veut sur mon corps, ou sur mon visage, et même dans ma bouche, la plupart du temps sans m'obliger à avaler (dans ce cas, je laisse couler ou je recrache), mais une fois pas semaine en m'obligeant à avaler. Il peut aussi cracher sur moi, y compris au visage, y compris dans la bouche en m'obligeant à avaler. Il lui arrive aussi d'utiliser mes excréments, le plus souvent quand je suis nu, attaché d'une manière ou d'une autre, ou en position de stress, pour les étaler où il veut sur mon corps, y compris sur le visage, parfois. C'est très humiliant pour moi. Je n'aime pas ça, mais je suis capable de le supporter, et, à ma demande, le règlement précise qu'il doit m'imposer des contraintes que je n'aime pas. Il y a une seule chose dans ce style que je refuse catégoriquement : les excréments dans la bouche. La sodomie, c'est selon les limites établies par chaque couple. Nous sommes homos. Il est assez rare que les homos refusent la sodomie, même s'il en existe. Nous aimons tous les deux, que ce soit en recevoir ou en donner. D'ailleurs, au cours de notre BDSM, il lui arrive régulièrement de me donner l'ordre de le sodomiser. C'est toujours dans le style "Soldat, prouve moi que tu es un homme ! A fond dans mon cul !" Quel que soit mon état d'excitation quand il donne l'ordre, je dois être en érection rapidement et le pénétrer comme il l'exige, et tenir aussi longtemps qu'il l'exige avant d'éjaculer. Ou bien me retirer juste avant d'éjaculer s'il l'exige. Bref, il garde un contrôle total sur ma sexualité, même dans ce cas. Nous ne nous considérons pas comme des guerriers. Est-ce que ça tient au fait que nous sommes homos et que nos envies différent en partie de celles des hétéros ? Plusieurs scénarios sont possible, dans le jeux militaires homo. Souvent fantasmés, plein de clichés, caricaturaux. Il y a ce que j’appelle le fantasme du dortoir : des hommes qui dorment dans la même pièce, dans un milieu traditionnellement masculin, ça finit en partouze, peu importe qu'il y en ait 10, 4 ou 2. Ca peut être vanille, DS ou SM, selon les envies des participants. Il y a le scénario DS sans SM du supérieur qui abuse sexuellement d'une jeune recrue ou d'un soldat moins jeune. Il y a aussi des scénarios BDSM, par exemple le soldat capturé par l'ennemi qui se fait torturer pour qu'il avoue des secrets militaires, ou le soldat puni très sévèrement par un supérieur, ou le soldat que le supérieur endurcit par des contraintes pénibles et des douleurs, et d'autres mises en situation plus ou moins similaires. Souvent, le BDSM militaire homo est une glorification de la virilité. Le supérieur fait en permanence la démonstration de son autorité, de sa force, de sa puissance et son endurance physiques et sexuelles, et le soldat prouve son courage en supportant les contraintes sans manifester exagérément sa douleur. C'est inspiré par une image idéalisée du militaire, un homme grand, musclé, fort, dur, et de préférence mieux membré que la moyenne, au moins pour le supérieur. Nous correspondons à peu près à cette image, par notre apparence virile et sportive. Sauf pour le dernier point, puisque nous avons tous les deux des érections dans la moyenne. Mais il faut savoir être réaliste. Les hommes particulièrement membrés sont rares, très rares. Et la taille du pénis ne garantit pas la complémentarité des envies, pas plus que la maîtrise "technique". Outre que je l'aime, mon dominant est parfaitement capable de me procurer des sensations intenses,
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Une autre séance de torture. Je suis à plat ventre sur la grande table, nu. Bracelets en cuir aux chevilles et aux poignets, chevilles attachées ensemble, poignets attachés ensemble dans le dos. Les bracelets des chevilles sont reliés à une chaine fixée au plafond de manière que mes jambes soient repliées sur mes cuisses selon un angle de 45°, à peu près. Les bracelets des poignets sont reliés à la chaine fixée au plafond de manière que mes bras soient tirés vers le haut à un angle de 45°, à peu près. Je porte un bâillon à boule, 5 cm de diamètre. Sous mon menton, une plaque en bois maintenue à deux coins par des charnières. Cette plaque repose sur trois boutons-poussoirs qui ferment trois circuits électriques. Un des circuits concerne la cage de chasteté que je porte, munie de deux électrodes qui appuient de chaque côté de mon gland. Le deuxième circuit conduit a deux électrodes placées sur mes testicules. Le troisième circuit concerne un plug bipolaire placé dans mon cul. Quand je baisse la tête, les boutons-poussoirs sont actionnés, et je prend une décharge électrique. Il y a trois interrupteurs, un pour chaque circuit. Mon Chef change régulièrement les position de chaque interrupteur. Ca veut dire que quand je baisse la tête et actionne les boutons poussoirs, je peux aussi bien prendre une décharge dans les trois paires d'électrodes, dans deux paires, dans une seule, ou pas du tout. Je ne sais jamais dans quelles positions sont les interrupteurs. Les électrodes sont alimentées par un e-stim réglé à forte puissance. Au début, facile de ne pas poser la tête sur la plaque en bois, mais plus le temps passe, plus la fatigue se fait sentir, et plus souvent j'appuie sur le plaque. Parfois, mon Chef pousse sur ma tête pour que m'obliger à actionner la plaque. Bref, je prends régulièrement des décharges électriques. En plus, mon Chef me donne des coups de cravache, sur les bras, les jambes, les cuisses, les fesses, les épaules, le dos, la plante des pieds, parfois isolés, parfois par séries plus ou moins nombreuses, selon son envie du moment. Sans oublier que, si la position est supportable au début, elle oblige certains muscles à s'étirer et d'autres à se contracter. Avec le temps, la position provoque des douleurs sourdes, par violentes, mais lancinantes. Après 12 heures dans cette position, il me détache et m'enferme dans "le cercueil". C'est une grande boite rectangulaire en bois où il me couche allongé sur le dos, les poignets joints par devant et attachés par une chaine à un collier en cuir, de manière que mes mains reposent sur mes pectoraux. J'ai des bouchons dans les oreilles, et je porte un masque à gaz dont les vitres sont occultées, de manière que je sois dans l'obscurité totale. Le tuyau du masque à gaz est fixé à un orifice dans le couvercle de la boite, pour que je puisse respirer. Mon Chef ferme le couvercle. J'ai toujours les électrodes fixées aux même endroits. Mon Chef m'inflige régulièrement des choc électriques, parfois uniques, parfois par salves de choc courts, parfois longs... Il laisse parfois un temps très court entre les chocs électriques, parfois plus longs, parfois très longs... A certains moments, je m'endors. Je suis réveillé par des décharges électriques, je ne sais pas combien de temps après. Puis je me rendors. Jusqu'au moment où il me réveille à nouveau d'une période de sommeil par une décharge longue, ouvre la boite et me libère. C'est le matin, donc routine du matin, puis retour au service actif. En tout, le supplice a duré 22 heures. J'ai eu des décharges d'endorphines, mais je n'ai jamais atteint l'extase. C'était voulu. Il avait raison de le faire. Il est le Chef, et le Chef a toujours raison.
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  Dans notre BDSM militaire, il donne les ordres, et je dois répondre à chaque ordre. Et obéir immédiatement, bien sûr. Je dois aussi répéter les insultes et autres affirmations dévalorisantes quand il me l'ordonne. Je dois toujours demander la permission de parler quand je veux parler. Il peut accepter ou refuser. Par exemple, je dois demander l'autorisation quand je dois faire mes besoins. Ca donne : demander l'autorisation de parler, il l'accorde, demander l'autorisation de faire mes besoins, il l'accorde, mais peut m'obliger à les faire d'une certaine manière.   Pour le mode "Il faut qu'on parle", ça nous permet de régler certaines chose en sortant du mode militaire, mais sans passer en mode "vanille". Ca peut concerner nos pratiques BDSM ou sexuelles. Ca peut aussi concerner des choses plus terre à terre de la vie courante. Ca a servi quand nous avons du faire des travaux assez conséquents dans la maison, et pour régler des détails de notre mariage. Et aussi quand nous avons décidé des aménagment conséquents pour notre pratique BDSM. C'est inclus dans le réglement, c'est très codifié, ça ne peut pas servir pour tout et n'importe quoi, ça doit rester exceptionnel. A chacun sa manière de fonctionner.
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  A la fois d'accord et pas d'accord. Je pense que ça dépend de la personnalité de chaque partenaire. Certaines personne ont besoin de déclarations, qu'on leur dise régulièrement qu'on les aime, ou de le dire, alors que d'autres non. Ou de petits gestes ou d'attentions spécifiques. De même, se comprendre sans se parler, c'est très bien, c'est même nécessaire en BDSM, mais il faut aussi être capable de s'exprimer totalement ouvertement quand on l'estime nécessaire, ne fut-ce que pour régler un doute ou une incertitude. Parfois, de petites choses sans grandes importance peuvent faire éclater un couple, si elles s'accumulent. Dans notre BDSM militaire, notre communication est extrêmement codifiée. Elle ne permet pas toujours de tout exprimer. C'est rare, mais il arrive que l'un de nous dise à l'autre "Il faut qu'on parle." Dans ce cas, on arrête immédiatement le BDSM et on discute d'égal à égal. Parfois, c'est réglé en deux ou trois phrases, parfois, on en reparle le lendemain, aussi longtemps qu'il le faut pour mettre les choses à plat, prendre le recul nécessaire qu'on ne peut pas toujours avoir quand on a "la tête dans le guidon". Quand nous estimons tous les deux que le problème est réglé, ou qu'il n'y a pas de problème, nous retournons immédiatement au BDSM.
Trouver la clé d'un univers subtil auquel ne peuvent prétendre que les plus raffinés. Femme distinguée, équipée, cultivée, expérimentée et sélective. Vous ne deviendrez un serf à mes pieds que si vous respectez les Femmes et célébrez leur force gracieuse et captivante. Ceux qui jouent un role ; pas interessée!! Vénération de la femme, cérébralité, obéissance, punitions, cuir-vinyl, initiation, brimades, gynarchie. Pour serviteurs motivés, adorateurs dévoués. .:.
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Quand j'écris que c'est le côté sportif de notre relation qui me manque le plus, ce n'est pas tout à fait exact. Depuis que je suis en "arrêt maladie", nous avons arrêté le BDSM, y compris sa composante sportive, mais pas le sexe. Sauf les trois premiers jours, quand j'avais de la fièvre. Les autres jours, nous avons eu des relations sexuelles, même si en mode "vanille" et adaptées à ma moins bonne forme. Si nous arrêtions tout, quelle que soit la raison, il est plus qu'évident que c'est le sexe qui me manquerait le plus. Mon attirance pour le sexe explique probablement que j'ai pu avoir une relation suivie pendant deux ans avec un "vanille" quand j'avais 18 ans. Bien sûr, le BDSM me manquait, mais les relations sexuelles me suffisaient.
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Petite précision, pour donner une idée du rythme. Une punition à 40 coups, ça prend 2 minutes maximum. Et entre les différentes punitions, juste le temps de les annoncer, et de changer d'instrument quand il y a changement.
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Séance de torture (troisième partie). Puis, il m’enlève les bracelets en cuir et m’ordonne de m’habiller. Je m’habille le plus rapidement possible, et je me mets au garde-à-vous pour attendre les ordres. Il dit “Soldat, tu as gémi!” Moi - “Chef, oui, Chef!” Lui - “Soldat, tu es une lopette!” Moi - “Chef, oui, Chef!” Lui - “Répète!” Moi - “Chef, je suis une lopette, Chef!” Lui - “Plus fort!” Moi - “Chef, je suis une lopette, Chef!” Pendant... Je ne sais pas exactement, mais probablement plus de vingt minutes, il tourne autour de moi, approche son visage à un ou deux centimètres du mien pour crier ou hurler des insultes, et me les fait répéter plusieurs fois. Il m’emmène au cachot. Il me fait m’allonger à plat ventre. Il replace les bracelets en cuir à mes poignets. Il m’attache les pieds joints avec une corde, puis il relie mes pieds au mousqueton des bracelets avec une autre corde, courte. Il éteint la lumière et ferme la porte. Je suis dans l’obscurité totale. Je passe la nuit dans cette position de stress, sans avoir reçu mon repas du soir. J’arrive à dormir, mais je me réveille parfois, et j’en profite pour basculer d’un côté ou de l’autre en me tortillant. Ca s’est passé le soir du jeudi 31 décembre 2020. C’est le plus excitant réveillon du nouvel an qu’il m’ait offert. Le matin de 1er janvier, il a détaché la corde reliant mes pieds à mes poignets. Je suis resté au cachot, toujours poignets attachés dans le dos et pieds liés par une corde. Quand je suis au cachot, c’est au pain sec et à l’eau, un seul repas par jour. Comme je suis resté entravé en permanence, j’ai été obligé de manger et boire à plat ventre, en prenant directement le pain avec ma bouche et en buvant comme je pouvais. Comme je ne pouvais pas me masturber pour éjaculer sur ma nourriture, c’est mon Chef qui a répandu sa semence sur le pain. Comme il ne m’a donné l’occasion de faire mes besoins à aucun moment, je n’ai pas eu d’autre choix que de les faire dans mon uniforme. Quand il m’a libéré, le matin du dimanche 3 janvier, j’étais sale et puant. Il m’a puni pour ça. 20 pompes! Il a jugé que je les avait mal faites. Peu importe que ce soit vrai ou non. Le Chef a toujours raison! 20 pompes en plus! Puis, routine du matin, et ensuite entraînement.
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Séance de torture (deuxième partie). Et ça continue! Je prends encore 40 coups de martinet léger sur les abdos. Et ensuite, c’est reparti pour 40 coups de cravache sur chaque téton. Une cravache plus longue et au bout plus étroit, qui provoque à chaque coup une douleur fulgurante. Je commence à être moins clair quand je compte et à émettre des Hmmm aux coups les plus puissants. Et puis, il arrête de me punir. Je pense que c’est fini. Ou pas? Je n’en sais rien! Je sens que je suis proche de la saturation en hormones. Il ne manque pas grand chose pour que je plonge dans le “monde parallèle”. Je regrette presque qu’il se soit arrêté. Soudain, je le sens manipuler mon pénis. Je sens un doigt se poser à l’endroit ou le frein de mon prépuce rejoint mon gland. Le doigt y laisse une goutte humide. Très vite, je ressens une impression de brûlure. Oh non! Pas ça! Mais je dois me rendre à l’évidence : c’est du tabasco. Une deuxième goutte rejoint la première. Augmentation de la douleur. Puis, c’est la tout mon gland qui est massé avec ce maudit liquide. La douleur s’amplifie radicalement. Ensuite, il me masturbe en se servant du tabasco comme lubrifiant. Il en étale sur toute la longueur de ma verge. Tout mon pénis est en feu! C’est horriblement douloureux. Je n’arrive plus à me retenir. Je gémis, d’abord un peu, et rapidement de plus en plus fort. Mais sans crier ni hurler, même si ce n’est pas l’envie qui manque. Peu à peu,, je me sens perdre pied. La douleur est toujours là, toujours aussi cuisante, mais je suis comme détaché de moi-même, comme si j’étais parti ailleurs. A un moment, je ne sais pas combien de temps après, j’éjacule. Enfin, je n’en suis pas sûr, mais j’ai la sensation que mon pénis est en train d’exploser, et c’est à la fois très douloureux et très jouissif. Je suis en extase! Je ne sais pas combien de temps après non plus, je redescends peu à peu de mon monde parallèle. Petit à petit, je reprends conscience de la table, des entraves... Et de la douleur, aussi, même si elle a diminué. Je prends aussi conscience des mains en train de masser mes abdos endoloris. Mais... Non. Il ne me masse pas. Il est en train d’étaler le sperme qui a atterri sur mon ventre, ce qui me confirme que j’ai éjaculé, comme je le pensais. Il me laisse attaché, les yeux bandés, encore longtemps. Du moins, je pense que c’est longtemps. A un moment, je sens qu’il me suce. Je pense que ça dure longtemps aussi. Et quand j’approche de l’éjaculation, il arrête, ruinant mon orgasme. Quand j’ai complètement débandé, il me libère et me retire le bandeau des yeux, et me laisse encore un moment allongé sur la table. J’ai encore mal, et pourtant, je me sens bien.
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Séance de torture (première partie). Nous sommes dans la “salle de torture”. Certaines personnes l’appelleraient “donjon”. Nous préférons “salle de torture”. Je suis nu, debout devant la grande table. Enfin... Debout... Je suis plié à angle droit, le torse posé sur la table, les poignets joints dans le dos par des bracelets en cuir reliés par un mousqueton, jambes maintenues écartées par des bracelets en cuir reliés aux pieds de la table par des chaînes. Mon Chef vient de me sodomiser très brutalement. Il m’a “défoncé le cul” pendant une bonne quinzaine de minutes, puis a éjaculé en restant bien planté à fond. Quand mon Chef pénètre un soldat, que ce soit la bouche ou l’anus, ce n’est pas un acte amoureux romantique et tendre. Ce n’est pas non plus une bonne baise entre hommes. C’est un “abus sexuel”. Ca ne se passe jamais en douceur. C’est toujours entre brutal et très brutal. C’est quand il veut, comme il veut, autant qu’il veut. Je suis entraîné pour pouvoir le supporter. Et j’aime ça! Sentir sa force, son excitation, sa virilité, être un objet sexuel au service de sa jouissance, c’est à la fois excitant et gratifiant pour moi. Mais revenons au sujet. Après m’avoir laissé quelques minutes dans la position qu’il m’a imposé pour la sodomie, il me détache. Il me fait me coucher à plat ventre sur la grande table. Il m’attache, bras écartés et jambes jointes, le corps bien tendu, en reliant les bracelets de cuir aux anneaux de fixations par des chaînes et des mousquetons. Il me bande les yeux. Il dit “Punition pour faute grave!” Je réponds “Chef, oui, Chef!”. Immédiatement, il m’inflige le premier coup sur le dos, à pleine puissance. Je reconnais la douleur “piquante” et superficielle du martinet léger, celui qui a 10 lanières en cuir, fines, étroites et plutôt courtes. Martinet léger ne veut pas dire douleur légère. Sa légèreté permet justement au dominant de donner de la vitesse aux lanières en se fatiguant peu, et le petit coup de poignet au bon moment permet d’augmenter encore la vitesse. Punition pour faute grave, ça veut dire que le tarif est de 40 coups. Pendant une punition, je dois compter les coups. Il frappe, je compte, il frappe, je compte, et ainsi de suite, à un rythme rapide. Quand la punition est terminée, il annonce immédiatement une autre punition pour faute grave. Je prends 40 coups du même martinet sur les fesses. Après, il annonce à nouveau une autre punition. Encore le même martinet, 40 coups, sur l’arrière des cuisses. C’est plus douloureux que sur le dos et les fesses, mais je supporte stoïquement. Il annonce encore une punition. Je prends 40 coups sur le dos. Je reconnais les sensations du martinet à 25 lanières en cuir. Plus larges, plus épaisses, plus lourdes, un peu plus longues, ces lanières donnent des douleurs moins “piquantes”, mais se propageant plus en profondeur. Il enchaîne sur une autre punition. 40 coups de ceinture sur les fesses. Une ceinture large, épaisse, lourde, pliée en deux, qui donne des impacts très profonds. Et ensuite, 40 coups du martinet à 25 lanières sur les cuisses. Et ça continue! 40 coups de ceinture sur le haut du dos, 40 coups de ceinture sur les fesses, puis 40 coups de ceinture sur l’arrière des cuisses. La ceinture sur les cuisses est bien plus douloureuse que les martinets. Mais je continue à compter les coups sans laisser voir que je souffre. Il me détache les poignets, me fait me retourner sur le dos, et me rattache les poignets, toujours bras écartés. 40 coups de martinet léger sur les abdos. Puis 40 coups de cravache sur chaque téton. La cravache courte à bout large. Si j’ai subi sans manifester ma douleur jusque là, mes tétons sont assez sensibles. Mais je prends sur moi. Un soldat doit se comporter comme un homme, un vrai, un dur. Et un vrai dur, ça souffre en fermant sa gueule! Interdiction de crier, de hurler ou de pleurer! Les gémissements sont tolérés, mais ils sont considérés comme un signe de faiblesse. Obligation de compter chaque coup à voix haute et claire. Si j’oublie de compter, ou si je me trompe en comptant, la punition recommence à zéro. C’est écrit noir sur blanc dans le règlement militaire. Je dois m’y conformer, quoi qu’il m’en coûte! Il n’en a pas fini avec moi. Encore 40 coups de martinet léger sur les abdos. Et encore 40 coups de cravache sur chaque téton. Je me concentre autant que je peux sur le comptage pour détourner mon attention de la douleur. Comme j’ai les yeux bandés, mes autres sens sont plus aiguisés. J’ai la sensation de souffrir plus que si j’y voyais. J’ai beau savoir que c’est subjectif, ça ne m’aide pas beaucoup. Je sens aussi que je commence à être bien chargé en endorphines. Mais pas encore saturé.
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M81
Routine du matin. A 7h00, le clairon du réveil retentit (un réveil électronique qui lit un fichier mp3). Ca dure 21 ou 22 secondes. A 7h00'30'', je dois être debout, au garde-à-vous, à côté du lit, entièrement nu. Entre 7h01 et 7h03, mon dominant entre dans le dortoir. Il est nu aussi. Ma trique matinale n'a pas encore cessé. Parfois, mon dominant en profite pour me donner quelques coups du plat de la main sur le gland, mais pas toujours. Il me fait prendre la position qu'il veut, en m'y obligeant par des gestes brusques, jamais par la parole. La position qu'il m'impose varie d'un jour à l'autre, selon son envie du jour, mais elles ont toujours un point commun : il me menotte les poignets dans le dos. Je subis une gorge profonde intégrale. Ca veut dire que chaque fois qu'il enfonce son pénis dans ma bouche, c'est jusqu'à la garde. Ca ne se passe pas en douceur. Ca commence toujours vigoureusement, et ca devient systématiquement brutal après une petite minute de "mise en route". Il me donne 10 à 15 coups rapides, puis, soit il recule de manière à ne laisser que son gland dans ma bouche, soit il ressort et me biffle, pour me laisser le temps de reprendre mon souffle. Puis il me donne à nouveau 10 à 15 coups rapides, et ainsi de suite. Parfois, il reste enfoncé à fond pendant 6, 7... 10 secondes avant de me permettre de respirer à nouveau. Après 10 à 20 minutes à me "défoncer la bouche" de cette manière, il éjacule, et j'avale son sperme. Bien sûr, pendant tout ce temps, je bave abondamment. Il m’enlève les menottes. Direction la salle de bain. Nous nous lavons rapidement à l’évier, côte à côte. Ensuite, il va s’habiller dans sa chambre et je vais m’habiller dans le dortoir. Jockstrap, T-shirt, chaussettes, rangers, pantalon militaire. Dès que je suis habillé, je me mets au garde-à-vous à côté du lit. Mon dominant revient dans le dortoir une ou deux minutes après. Il inspecte ma tenue. Direction la cuisine. Je prépare son repas et, parallèlement, mon rata de soldat que je dispose dans ma gamelle de soldat. Je lui sers son repas. Pendant qu’il mange, je reste en retrait sur le côté, en position repos. Quand il a fini de manger, je débarrasse la table. C’est à mon tour de prendre mon repas. Je sors mon pénis de mon pantalon, je me masturbe vigoureusement, et j’éjacule le plus rapidement possible sur ma nourriture. Je mange debout, en avalant à la fois ma nourriture et mon sperme, sous la surveillance de mon dominant. Jusque là, aucune parole n’a été échangée. A ce moment, il me donne ses premiers ordres afin que je commence ma journée de soldat, et j’obéis. Mon dominant m’impose la gorge profonde intégrale chaque matin depuis 34 ans, y compris les rares jours “vanille” qu’il nous impose, y compris durant nos vacances que nous passons aussi en “vanille”. Je n’aime pas ça, du moins pas à ce point, et il le sait. Mais je suis capable de de bien contrôler mon réflexe de nausée et de bien contrôler ma respiration. J’ai insisté pour que le règlement militaire stipule qu’il est lui est interdit de tenir compte de mes préférences. J’ai aussi insisté pour que le règlement stipule qu’il doit me faire subir au moins une gorge profonde intégrale chaque jour, parce que je sais qu’il aime ça, et qu’il risquait de me ménager si ça ne devenait pas une obligation. C’est lui qui a décidé qu’il me l’imposerait chaque matin, juste après le réveil. Il lui arrive de m’en imposer d’autre pendant la journée. Il m’impose d’éjaculer sur ma nourriture à chaque repas depuis 34 ans, sauf les rares jours “vanille” et pendant nos vacances. J’ai commencé à avaler mon propre sperme quand j’avais 14 ans, et j’ai toujours trouvé ça assez excitant. Cette routine matinale est un peu le reflet de ma soumission BDSM militaire : des contraintes que je n’aime pas, mais que j’accepte sans discuter du moment que je suis capable de les supporter, et des contraintes que j’aime et m’apportent même de l’excitation ou du plaisir.
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