Fee luciole

Février 2024 Mon maître Je ne m’attendais pas à ça deux fois en deux jours. Quelle initiation, mais je sais que vous en avez besoin mon maître. À l’excitation se mêle toujours cette peur, les ordres sont de porter un manteau sans rien en dessous que mon corps nu, moi la pudique qui ne se promène pas nu ni en sous vêtement dans sa propre maison. Je vous attends mon maître les minutes sont longues et tellement excitantes , ou m’emmène t-il , que va-t-il me faire autant de questions sans réponses se sont les ordres ne rien ne savoir. Enfin vous arrivez , vais-je osé sortir de chez moi nu sous mon manteau monter sur 11cm de talons, oui pour vous je le fais, pour ça j’enfreins les ordres pure désinvolture ou besoin de me rassurer en voyant votre visage, vous ne dites presque rien mais me rappellez les règles, vous refusez de m’embrasser se sera ma punition pour vous avoir regardé. Je m’exécute et pose enfin le bandeau sur mes yeux, là dans votre voiture me voilà bander, vous avez ouvert mon manteau je suis nu, gênée par cette situation que je ne connais pas les gens peuvent me voir furtivement à cette idée j’attrape votre bras pour y trouver votre main rassurante que vous me refusez, répondre aux ordres met difficile, tellement d’émotions, automatisme du corps mes jambes se referment vous cachant cette fente humide, agacé vous les ouvrez fermement, je vous demande de me caresser insolente que je suis sachant que vous n’en ferez rien. Je vous entend chercher quelque chose dans la boîte gant sans dire mot vous caler un vibromasseur entre mes cuisses, mêler aux accélérations de votre voiture j’inonde mon entre jambe. La voiture s’arrête je ne sais où nous sommes j’entend un flot de voitures est ce que ces personnes peuvent nous voir je reste concentré sur vous qui me faite du bien, vous me pincez fermement les tétons tandis que vous me passer le vibromasseur, vous sortez de la voiture pour venir de mon côté, vous ouvrez votre pantalon, mettez votre queue dans ma bouche les va et vient s’intensifie vous tapez le fond de gorge, j’en suis désolé, j’ai des haut le cœur d’un seul coup je les vois, ils sont là avec nous je ne peux faire autrement ils sont dans ma tête et ne veulent pas partir il faudra être patient mon maître. Malgré les larmes que je sent monté je continu de vous faire plaisir, vous n’êtes pas eux. Moment fatidique vous voulez venir en moi dans un premier temps je vous le refuse, et je vous remercie d’avoir demandé même si je ne vous le dis pas merci pour cette bienveillance, encore quelques va et vient je sent que vous allez venir j’aime vous entendre dire fait moi jouir, je colle votre queue au fond de bouche sentant que vous alliez vous retirer, explosion de votre semence que je sent couler en moi sur moi,, j’ai réussi à vous faire se plaisir, petite fierté, de courte durée je n’arrive pas à retenir mes larmes, mes bourreaux sont là à me fixer le sourire aux lèvres, j’essaie de le cacher, vous me demandez si ça va, je réprime mes larmes et ose vous demander de me prendre dans vos bras , à mon grand étonnement vous acceptez, je vous sert fort j’en ai besoin pour les faire disparaître, petit à petit vous y arriverait mon maître. Sur le retour je vous parle, vous touche, vous caresse les cheveux et vous me laissé faire peu être savez vous que j’en ai besoin et vous m’accordez même vos lèvres que j’ai attendu avec impatience, je me sent bien, en sécurité, malgré leurs présence dans ma tête, vous me déposez je n’en ai pas envie mais ce moment avec mon maître prend fin. Je rentre ils me suivent malgré leurs regards et leurs paroles, je ne me sent pas sale au contraire j’y ai pris un peu de plaisir, ce qui compte c’est que vous ayez pris du plaisir.

Février 2024 Mon maître Nous avons eu notre première séance, je tremblais de peur comment surmonter mes angoisses après ce qui met arrivé, et pourtant des que je t’ai vu j’ai su que tu serais mon maître. T’attendre dans le couloir les yeux bandés, j’en tremblais et la porte c’est ouverte entendre tes pas te sentir te rapprocher de moi, essayé de laisser cette angoisse ne pas m’envahir et là ta main qui se pose sur mon visage explosion de chaleur en moi, tu me fais me lever me déshabille me caresse, je m’abandonne un peu ne sentant ni le mal ni l’animosité, mes peurs s’estompent mais pas les tremblements, malheureusement ils sont là dans un coin de ma tête, ils nous observent me guettent comme la proie que j’ai été pour eux. Je décide de m’abandonner à toi sentant la chaleur de tes mains posées sur moi, j’entends ta voix dans ma tête me dire je ne suis pas eux, je ne te veux pas de mal et te laisser aller et venir au fond de ma bouche n’a pas été facile mais pour toi mon maître je dépasserais mes peurs et mes angoisses, tu m’as laissé la debout nue cambrer, toujours les yeux bandés apparemment comme tu aimes et je ne me suis pas sentie sale au contraire j’ai apprécié ce moment car il était avec toi mon maître J’ai hâte de poursuivre mon initiation avec toi car il n’y aura que toi je ne me soumettrais à personne d’autre