embrochés

Et voici un petit extrait d'une conversation que j'ai eue ici avec une soumise (j'ai corrigé l'orthographe de son texte avant peut-être de la corriger elle-même): - Moi: Comme je vous l’ai dit, je cherche une soumise et je suis assez disponible pour satisfaire ses fantasmes chaque fois qu’elle en éprouvera le désir. - Soumise: Quels sont les fantasmes les plus sévères ? - La cravache. - Soumise: Où ? - Moi: Sur les fesses, à l’intérieur des cuisses et sur les seins. - Soumise: Facile ça. - Moi: Je ne cherche pas la difficulté, mais le plaisir. Il est bon de commencer par des choses convenues pour ensuite laisser place à l’imagination et à l’improvisation. Je préfère suspendre par les poignets un corps et m’acharner sur lui avec une ceinture de cuir. Quant à la cravache qui peut être très douloureuse, si vous trouvez que c’est si simple, elle pourra être réservée à la plante de vos pieds...

Comme un rat dans une cave... C’est Medhi qui m’a raconté tout ça. Le type, il leur devait de l’argent et il n’arrêtait pas de les faire attendre. Ils l’ont embarqué en voiture, ils lui ont menotté les poignées par devant. Il lui ont mis une cagoule qu’ils ont scotchée avec juste l’ouverture pour la bouche. Après, ils lui ont arraché ses vêtements. Medhi m’a dit qu’ils ont dû déchirer sa chemise pour pouvoir l’enlever à cause des menottes. Ils ont garé la voiture devant le magasin et ils ont sorti le type comme ça, à poil dans la rue, pour le faire rentrer dans la boutique. Ils l’ont trainé comme ça jusqu’à l’escalier de la cave. Il y avait quelqu’un derrière lui qui lui donnait des coups de ceinture sur le cul pour le faire avancer, parce qu’il essayait de résister. Dans la cave, ils l’ont frappé. Après, il était à quatre pattes à lécher des chaussures. Ils lui ont pissé dessus. Et Mehdi m’a dit qu’il lui avait enfoncé une canette de bière dans le cul. Il m’a dit « j’ai été sympa, je l’ai lubrifié avant pour pas le déchirer » Ils se sont amusés comme ça un moment. Il y en a un qui l’a enculé. Et un autre qui voulait lui chier dans la bouche. Après ils l’ont abandonné là. Avec ses menottes et sa cagoule scotchée dans l’urine et dans la bière qu'ils avaient versée sur lui. Je ne sais pas après ce qu’ils ont fait de lui…