-En vous remerciant pour ce moment d’anthropologie, je vais préserver ce qu’il reste de mon existence et m’exclure du BDSM.
Certains d’entre vous me rappellent pourquoi l’extinction des espèces a parfois du bon.
-Je vous souhaite le courage de supporter votre propre, et lourde, existence. 
-Sky (voir fiche rubrique nécrologique)            
        
    
Soyez la première personne à aimer.        
                            Considère que je me retire rejoindre ton lapin imaginaire. Cette fois, c’est réel. Du concret, pour te changer. Maintenant tu auras une photo à afficher – si tant est que tu aies daigné m’aimer. Longtemps, je t’ai laissé la porte ouverte ; tu n’en as rien fait. J’ai tant été stupide et l’avais fait graver, alors m’en irai avec [Cei 2 îngeri ai mei]. Adieu.
-Sky            
        
    
2 personnes aiment ça.        
                            Bonjour Sky... Je lis tes mots et je sens toute la peine et la colère qu’ils portent. Je comprends combien cette blessure est lourde à porter. Tu as donné, tu as attendu, tu as laissé la porte ouverte, et en retour, tu as reçu le silence ou l’indifférence. Ce n’est pas de la stupidité, c’est simplement la preuve que tu as su aimer sincèrement.
Mais aujourd’hui, il est juste que tu penses à toi. Que tu transformes cette douleur en force, et que tu ne restes pas prisonnière d’un cœur fermé. Partir avec tes deux anges, c’est peut-être une belle manière de garder une part de poésie et de beauté pour toi seule.
Ne crois pas que ton amour était vain : aimer, c’est toujours grandir, même quand l’autre n’a pas su accueillir ce don. Tu n’as pas à regretter d’avoir été vraie contrairement à d'autres. Maintenant, avance, tourne cette page, et permets-toi de rencontrer des personnes capables de t’aimer à ta juste valeur. Michel.
            
        J'aime
                        
                    23/09/25
                
            Un vertige et le silence. 
Une lueur mourante dans un recoin se retirant aux confins d’espaces vides. 
La mémoire se dissout, soutenue par de multiples et laides aides extérieures. 
Désormais suspendue dans un crépuscule sans nom.            
        
Soyez la première personne à aimer.        
                            
délicieuse déesse autoritaire recherche son loyal et dévoué soumis en quête d'éducation, de soumission, de vénération et d'adoration .:.
						
						
						
						
					
						
					Caresse du métal, ma lame retrouvée. Effleurement glacé, éveillant et caressant les peurs. Chaque incision ouvre des passages où douleur et oubli se confondent, le sang se figeant en marques immortelles.            
        Abandon - un gouffre qui dévore.
Les promesses s’effritent comme cendres au vent, ainsi que ce silence qui pèse plus qu’une chute.
Reste un cœur qui bat, inutile flamme sous un ciel qui ne répond plus.            
        
Soyez la première personne à aimer.        
                            Sœur de bataille. Flammes d’ombre qui marchent entre damnés et vivants. Un brasier qui refuse l’oubli.
La glace et le feu, serment brisé d’un emblème d’amour, forgé pour fendre le silence ardent des moments de passion et de peur.            
        Les jours défilent, semblables les uns aux autres, dans l’amertume d’une bile décrépie. Chaque aube se lève comme une sentence, chaque nuit tombe comme un linceul. Rien ne change, sinon l’usure lente de l’âme qui s’habitue à son propre supplice.
   Chacun de nos souvenirs me laisse un goût amer qu’aucun sucre ne saurait adoucir - car la solitude m’étreint, fidèlement. Mon regard reste rivé sur celle que je guette, dans cette attente vaine qui dilue le désir de me chérir que je croyais n’être en elle.            
        
    
2 personnes aiment ça.        
                            
quand sadisme rime avec paroxysme....
"On ne peut aimer véritablement que ce qui vous domine, une femme qui nous soumet par sa beauté, son tempérament, son esprit et sa volonté, une femme qui agisse en despote envers nous" Léopold von Sacher-Masoch .:.
						
						
						
						
					
						
					Laisse tomber, tu te fais du mal pour rien, ces gens sont des imposteurs et des manipulateurs. Ton mur n'est que souffrance pour des malades !            
        
Soyez la première personne à aimer.        
                            Qu’ils soient imposteurs, qu’ils se repaissent de mensonges et de chairs tourmentées, qu’importe. Leurs griffes n’entaillent plus que des ombres. 
J’ai franchi ce seuil, celui là même où la douleur devient compagne et la perte, sentence. Je n’ai plus rien à perdre, si ce n’est la poussière de mes propres cendres.
            
        J'aime
                        
                    10/09/25
                
            Être vue - fut comme traverser un froid qui ne consume point la chair, mais l’âme, dépouillée de ses ombres et livrée nue aux regards de l’amour expiatoire. Et depuis lors, je chemine dans ces abîmes, mendiant ce reflet perdu, cette fraîcheur qui, d’un seul souffle, fit vaciller mon être. Or nul éclat ne demeure, si ce n’est l’écho d’un péril, et je poursuis le gouffre, comme l’ivrogne poursuit le poison, sachant que c’est au bord du danger seul que s’ouvrira la porte de ma délivrance.            
        
    
1 personne aime(nt) ça.        
                            Osmosys. Deux âmes, liées par un lien que nul enfer ni ciel ne pourraient briser, se fondant l’une en l’autre, leurs plaintes et murmures s’entrelacent comme des serpents de feu et de glace dans la nuit éternelle, jusqu’à n’être plus qu’un souffle unique, fragile et vacillant dans l’abîme — et cependant, tout n’est que spectre, une chimère née du désir de croire, implacable et immuable, comme un écho perdu dans le silence des ténèbres.            
        
1 personne aime(nt) ça.        
                            En ces lieux où l’espérance se meurt, chaque attache n’est qu’un fil de corde qui se resserre, caresse déguisée d’une fin consentie de silence.
— Comme une vie sage et saine, qui sous la peau conserve pourtant la lente pourriture de ses chairs.            
        
Soyez la première personne à aimer.        
                            L’abandon de soi naît dans ce geste muet, quand la peau se fend et qu’un souffle court traverse la poitrine comme un hoquet d’existence. Chaque entaille est une parenthèse où la douleur devient plus honnête que n’importe quel mot, où le sang prend la place des larmes. C’est une offrande au vide, un pacte silencieux avec la chair. Puis vient ce souffle retenu, brisé, qui ramène à la surface, fragile rappel que malgré la fuite, le corps insiste à demeurer.            
        
Soyez la première personne à aimer.        
                            
						BDSM Addictions  vous propose BDSM.FR - Claquettes Femme noir
					
					Claquettes avec une large bande en PVC pour femmes
					
					
						 Commander 
.:. Annonce .:. Vos achats sur BDSM-Addictions.fr contribuent à ce que BDSM.FR soit gratuit.
					
					
				.:. Annonce .:. Vos achats sur BDSM-Addictions.fr contribuent à ce que BDSM.FR soit gratuit.
Abandonner comme on respire, sans effort ni remords, presque machinalement. Mais chacune de ces fuites et parades devient une lame s’engouffrant au cœur de mon âme. Je goûte à ce poison et m’y délecte avec une dextérité que tu ne connaîtras jamais. 
Au plaisir que ton ennui te ramène enfin auprès de moi, là où tu croyais ne plus trouver que silence et ombres. Si je ne les ai pas rejoint avant.            
        
Soyez la première personne à aimer.        
                            Et la Mort, implacable, descendit du ciel noir comme un serpent de cendre, pour cueillir celle qui avait fui ses griffes jusqu’au seuil de l’oubli.            
        
Soyez la première personne à aimer.        
                            Dans l’abîme de tes mensonges démesurés, j’ai manqué ma sentence, mais la vision de ma chair mutilée me tient lieu de réconfort, comme un damné qui trouve enfin sa place parmi les flammes. Reçois donc mes remerciements, tes mensonges m’ont offert l’abîme. Va donc séduire une autre proie de tes fables, car mes cendres ne nourrissent plus que ton indifférence Darling.
            
        J'aime
                        
                    06/09/25
                
            Et je descendis dans un abîme où le temps s’était éteint. Les âmes, nues et tremblantes, serpentaient entre les flammes froides, leurs corps griffés par des ombres que nul œil ne pouvait nommer.
Chaque pas laissait une empreinte de sang et de cendre, et des vers innommables rongeaient les plaies de ceux qui souffraient sans fin.
Des hurlements muets s’élevaient en volutes, mêlés aux cris des damnés, et l’air lui-même semblait saturé d’une douleur ancienne, inextinguible.
Je vis les visages, figés dans la terreur et la supplication, leurs yeux implorant des secours que nul ne pouvait donner.
L’ombre se mouvait autour d’eux comme un voile morbide, et la lumière s’éteignait à chaque respiration, laissant le monde dans un silence lourd et mortel.
#knifeplay #photoperso            
        
    
1 personne aime(nt) ça.        
                            
 
                
            












