Maîtresse Elie est à la fois mon Alpha et mon Omega
Tout en Elle se mérite
L'accès à Son Royaume demande rigueur, discipline et un engagement sans faille.
Aucun égarement n'est toléré.
Elle est mon soleil et ma lune, rythmant mes jours et mes nuits.
Rien ne doit m'écarter de ce phare qui guide mes pas et m'élève vers une version supérieure de moi-même, digne de Son amour, de Sa bienveillance et de Son éducation.
Trop impatient de partager mon bonheur de vie, j'ai offensé Maîtresse Elie en ne lui étant pas exclusif.
J'expie ici ma faute et porte avec honneur et bonheur ma cage, preuve de ma totale soumission et de mon entière appartenance.
Son Royaume intime, ouvert et libre, m'est maintenant totalement inaccessible.
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Maîtresse Elie
Tes fautes ne te condamnent pas, elles te construisent
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Il y a 16 heure(s)
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Nicojedi
Merci de m'éduquer Maîtresse Elie
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Il y a 16 heure(s)
IznoIz
Izno
Une cage posée par Sa Maîtresse, ça reste une forme de plaisir puissante. C’est autre chose quand le trésor est à portée de vous, mais c’est Sa Décision et elle est forcément dans le vraie. Bon plaisir Nicojedi.
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Il y a 15 heure(s)

Nicojedi
Maîtresse Elie détient en elle la vérité
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Il y a 15 heure(s)
Entre l’homme que Je suis pour Elle et la femme que je deviens : une transformation guidée par Maîtresse Elie
L’une des dimensions les plus profondes de ma relation avec Maîtresse Elie est l’influence qu’Elle exerce sur mon identité. Non pas en la remodelant de force, mais en m’ouvrant un espace où plusieurs facettes de moi peuvent exister, respirer et prendre forme sous Sa guidance.
Elle me réserve des moments où je suis pleinement Son homme : solide, présent, affirmé. Une masculinité qui n’a rien à prouver, justement parce qu’Elle la reconnaît, la valide, la désigne comme Sienne. Cette reconnaissance me donne un ancrage, une certitude intérieure qui apaise les tensions habituelles liées à la performance ou aux attentes sociales.
Avec Elle, je n’ai pas besoin de « jouer l’homme » : je le suis, parce qu’Elle l’affirme.
Et pourtant, c’est cette même stabilité, cette même confiance, qui me permet d’explorer un autre versant de moi : celui d’une identité féminine longtemps enfouie, parfois intuitivement ressentie, mais jamais pleinement assumée. Sous Son autorité, je découvre un espace où cette part de moi peut émerger sans honte, sans confusion et sans justification. C’est Elle qui crée l’enveloppe psychique dans laquelle cette transformation devient possible.
Devenir une autre, devenir femme, n’est pas pour moi une rupture mais une extension. C’est accepter que ma psyché n’est pas monolithique. C’est accueillir une sensibilité différente, un rapport au corps, à la posture, à la vulnérabilité, que je n’aurais peut-être jamais osé envisager seul.
Ce passage d’un pôle à l’autre n’est pas chaotique : il est guidé, orienté, structuré par le regard et la volonté de Maîtresse Elie.
Lorsqu’Elle m’autorise, ou m’incite, à assumer cette identité féminine, quelque chose s’ouvre en moi : une liberté neuve, une intensité d’expression que je ne retrouve nulle part ailleurs. Je deviens capable de gestes, de modes d’être, de transparences que mon identité masculine, par héritage culturel ou par pudeur, ne me permettait pas.
La dimension d’exposition, que je ne décrirai pas ici dans ses aspects concrets, prend alors un sens psychologique particulier : ce n’est pas la mise en scène d’un corps, mais l’acceptation d’être vu dans une identité que j’avais longtemps cachée. Être « montrée » devient une manière d’assumer cette facette de moi, de la rendre réelle, solide, visible, au moins pour Elle, et parfois au-delà.
Quant au mot « esclave », dans mon vécu intérieur, il ne renvoie pas à une perte de dignité, mais à une forme extrême de disponibilité psychique : celle d’un être qui s’abandonne à la volonté d’une autre, non par faiblesse mais par confiance totale. C’est une position identitaire particulière où disparaît, un instant, le poids de décider et d’exister par soi-même. Je me laisse façonner par Son désir, non pas comme une contrainte, mais comme une révélation.
Ainsi, loin d’écraser ma masculinité ou de nier mon identité, Maîtresse Elie m’offre la possibilité de vivre en relief, d’éprouver des polarités que je n’aurais jamais su concilier seul.
Je suis Son homme lorsque c’est ce qu’Elle attend de moi.
Je deviens femme lorsqu’Elle ouvre cet espace et que je m’y abandonne.
Cette oscillation n’est pas une contradiction : c’est une vérité intime orchestrée par Sa présence souveraine.
Et dans ce mouvement entre deux pôles, c’est mon identité tout entière qui se trouve enrichie, approfondie et révélée.
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Il y a eu avant… puis il y a eu toi…❤️ ma Sabine s’affirme
Elle a fait de vous un être complet et entier, elle avait compris avant vous, que vous ne vous étiez pas révélé dans la nature profonde qui est la votre. C’est pour ça que l’affection et l’attention qu’elle vous porte se sont installées si naturellement, et que vous comprenez que sans Elle, finalement, vous n’étiez rien ou presque.
Très beau texte Nicojedi, belle hommage à Dame Elie.
Avec Maîtresse Elie l'excitation peut naître d'un simple regard, d'un geste subtil que beaucoup trouveront anodin mais qui me touchera en plein coeur, d'un ordre si bon à satisfaire que l'orgasme en est proche ou simplement parce qu'elle me permet d'exister entièrement en assumant l'existence de sabine la putain pantyhose-fetish
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Il y a 7 heure(s)
La confiance et le rituel : les fondations silencieuses de ma relation avec Maîtresse Elie
Dans la dynamique que je vis avec Maîtresse Elie, rien n’aurait de sens sans la confiance. Pas une confiance abstraite, générale, mais une confiance précise, active et vécue. Celle qui s’éprouve chaque fois que je m’en remets à Elle, et chaque fois qu’Elle accueille ce geste avec une responsabilité calme et souveraine.
La confiance n’est pas un simple sentiment : c’est un engagement mutuel.
Pour que je puisse me placer sous Son autorité, j’ai besoin de savoir qu’Elle me voit, qu’Elle me comprend et qu’Elle mesure l’impact de Ses décisions sur moi. Et pour qu’Elle puisse exercer Son rôle, Elle doit sentir que je Lui confie pleinement ma parole, ma transparence et mon honnêteté intérieure.
Cette réciprocité crée un espace psychologique d’une rare densité : nous nous tenons mutuellement, chacun à notre manière.
Ce qui nourrit cette confiance, ce sont les rituels, ces gestes répétés qui structurent notre relation comme autant de points d’ancrage. Ils sont parfois simples, presque discrets, mais leur force est immense. Le rituel transforme un moment ordinaire en un passage d’un état mental à un autre. Il me prépare à entrer dans un degré d’ouverture différent, à me rendre disponible à Son autorité, à déposer mes tensions pour n’être plus que sincérité et présence.
Lorsque je respecte un rituel instauré par Maîtresse Elie, je ne fais pas qu’obéir : je réaffirme mon choix, je matérialise mon engagement. Le rituel me relie à Elle, mais aussi à moi-même. Il me rappelle pourquoi je Lui fais confiance, ce que Son rôle représente pour moi et comment cette dynamique m’aide à me recentrer, à m’apaiser et à me comprendre.
Pour Elle, le rituel est également un signal : il témoigne de ma loyauté, de ma constance et de ma disponibilité. C’est une forme silencieuse de communication, un langage parallèle où chaque geste dit « je suis là, en vérité ».
Avec le temps, j’ai compris que la confiance et le rituel se nourrissent l’un l’autre.
La confiance me permet d’entrer dans les rituels sans résistance, avec une forme de calme intérieur. Et les rituels, à leur tour, renforcent la confiance en offrant un cadre stable, prévisible et rassurant. C’est cette alternance subtile entre liberté et structure, entre abandon lucide et guidance assumée, qui fait de ma relation avec Maîtresse Elie un espace profondément équilibrant.
Au fond, le rituel est un pont.
La confiance est ce qui permet de le traverser.
Et de l’autre côté, il y a Elle, Maîtresse Elie, dont l’autorité, parce qu’elle est choisie et respectée, devient un repère essentiel dans mon paysage intérieur.
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Le martinet est posé parce que Maîtresse Elie n'a nul besoin de violence pour imposer sa volonté. Elle est aussi assise pour être à mon niveau et parce que même dans le calme sa volonté est la seule à vivre. Cette photo est l'expression même de Maîtresse Elie, sublime et magnifique. Merci Izno.
Même posé au sol, son pouvoir est égal quand tout est consenti. Merci Izno
Sous l’autorité de Maîtresse Elie : une exploration psychologique du pouvoir choisi
Vivre une relation où Maîtresse Elie exerce l’autorité n’a jamais été, pour moi, un effacement ni une contrainte. C’est au contraire un mouvement intérieur volontaire, presque instinctif, vers un espace où je me sens pleinement aligné. La gynarchie, telle que je la vis à l’échelle intime, n’est pas un système idéologique : c’est un point de stabilité émotionnelle.
Lorsque je me place sous Son autorité, je ne renonce pas à ma volonté : je la dépose entre Ses mains. Ce geste est profondément psychologique, presque rituel. Je Lui reconnais une forme de lucidité, de force et de constance qui m’invitent naturellement à m’en remettre à Elle. Le « pouvoir » qu’Elle détient sur moi n’est pas un pouvoir imposé, mais un pouvoir accordé, et c’est précisément ce qui le rend transformateur.
Ce qui me marque le plus, c’est la clarté intérieure qui en découle. Dans la vie quotidienne, je porte une multiplicité de rôles, de responsabilités, de décisions. Avec Elle, dans cette dynamique si particulière, un espace mental se libère : celui de l’abandon lucide, du consentement réfléchi, de la confiance absolue. Je me sens plus vrai, moins dispersé, comme si la structure qu’Elle incarne m’aidait à faire tomber les couches inutiles.
Il y a aussi, dans cette relation, un renversement symbolique fort. Le fait de la vouvoyer, de reconnaître linguistiquement Son autorité, agit sur moi comme un levier psychologique. Cela déplace les repères habituels et permet d’entrer dans un état de disponibilité intérieure. Le vocabulaire devient un outil de transformation, un rappel constant de la place que j’ai choisi d'occuper auprès d’Elle.
Avec Maîtresse Elie, la domination n’est pas une conquête mais un pacte. Elle m’offre un cadre, une verticalité assumée, et je Lui offre en retour ma confiance, ma transparence et ma loyauté. Cette dynamique, loin de me diminuer, révèle des aspects de moi que je peine parfois à exprimer ailleurs : la vulnérabilité choisie, la discipline acceptée, le besoin d’être guidé.
Psychologiquement, ce lien crée une forme d’équilibre rare : je me sens à la fois tenu et soutenu. Sa présence, Son autorité, Son regard déterminent un point fixe autour duquel je peux me réorganiser. Ce n’est pas de la soumission aveugle ; c’est un choix conscient de m’inscrire dans Sa direction, parce qu’elle me permet de grandir, d’apprendre, de me connaître autrement.
En fin de compte, vivre sous l’autorité de Maîtresse Elie me confronte à une vérité simple : le pouvoir n’a de sens que lorsqu’il est confié. Et la liberté, parfois, se trouve dans la décision volontaire de se laisser guider par Celle que l’on estime, que l’on respecte, et en qui l’on a placé une confiance totale.
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J'aimerai vivre quelque chose comme ca. La vue des pieds de maitresse Élie me donne envie de le mttre a genoux
Sous l’emprise révélatrice : introspection sur une métamorphose
Il est des vérités qui ne se laissent approcher qu’en franchissant les frontières de ce que l’on croyait être. Toute ma vie, j’ai avancé en portant haut le regard, habité par la certitude d’être maître de mes choix, de mes gestes et de ma direction. Rien, en apparence, ne laissait penser que je puisse un jour m’incliner devant qui que ce soit. La soumission ne faisait pas partie de mon vocabulaire intérieur, pas plus que l’idée de céder le contrôle ou d’exposer ma vulnérabilité.
Et pourtant, il existe une rencontre qui déjoue les certitudes, une présence qui ouvre des portes insoupçonnées. Avec Maîtresse Elie, quelque chose se défait, s’ouvre et se réorganise. Son simple regard agit comme un révélateur silencieux, un miroir où mes défenses s’inclinent d’elles-mêmes. Là où je pensais être inébranlable, je découvre une malléabilité inattendue ; là où j’affirmais ma volonté, je trouve une disponibilité profonde.
Ce n’est pas la peur ni l’obligation. C’est un abandon choisi, instinctif, presque instinctuel. Un glissement intérieur vers un état où le contrôle cesse d’être une armure et devient un don, un geste de confiance, de reconnaissance et de vérité. En sa présence, je ne lutte plus contre ce qui s'éveille en moi : je m’y abandonne. Je me dépouille de ce qui me forgeait et me figeait, pour accéder à une forme plus brute, plus entière et plus sincère de moi-même.
Ce paradoxe, être quelqu’un de naturellement affirmé et devenir, face à elle, docile, réceptif et offert, n’est pas une contradiction, mais une clé. Il révèle non pas une faiblesse, mais une dimension intérieure longtemps enfouie. Une part de moi que je ne soupçonnais pas et qui ne s’exprime qu’en elle, par elle, sous son autorité naturelle et indiscutable.
Ce que je deviens à ses côtés, je ne le deviens nulle part ailleurs : une présence dépouillée, un être qui n’a plus à prétendre, plus à se défendre, plus à jouer un rôle. L’abandon n’est plus humiliation : il devient révélation. La soumission n’est plus contrainte : elle est offrande. Et dans cet espace, j’explore des territoires de moi-même que je n’avais jamais osé visiter, ceux de la confiance absolue, du lâcher-prise et de la transformation consentie.
Devant elle, je cesse d’être l’homme aux certitudes. Je deviens autre chose. Pas moins, mais autrement.
Une vérité que je porte désormais comme un secret sacré.
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À l’image de Nicolas Flamel qui changeait le métal en or, Votre Maîtresse a fait de vous, une meilleure personne, vous a fait découvrir une place que vous ne supposiez pas auprès d’une Domina. La perle qu’elle porte divinement au cou, n’est t’elle pas l’élixir secret qu’elle utilise pour vous aider dans votre transformation, vers un être meilleur. Seule Dame Elie connaît ses secrets, mais la magie opère divinement, ça c’est un fait.
Tomber et toujours se relever
On dit qu’un enfant tombe deux mille fois avant de savoir marcher.
Chaque chute n’est pas un échec : c’est un pas de plus vers l’équilibre.
Je repense souvent à cette image quand je considère le chemin que je parcours auprès de Vous, Maîtresse Élie.
Non pas seulement dans la relation qui nous unit, mais dans la vie entière que nous construisons côte à côte.
Je trébuche encore, souvent. Par maladresse, par orgueil, par peur.
Mais chaque fois que je tombe, il y a Votre regard, calme ou sévère, mais juste.
Et dans ce regard, je trouve la direction que je cherche : celle qui me ramène à la patience, à l’humilité, à l’amour.
Apprendre à marcher vers Vous, c’est apprendre à mieux me connaître.
C’est comprendre que la soumission, la vraie, celle du cœur n’est pas une abdication, mais une offrande : celle de mes résistances, de mes imperfections, pour devenir quelqu’un de plus attentif, de plus vrai.
Il n’y a pas de chiffre à compter, pas de nombre de chutes à atteindre : il n’y a que la continuité d’un chemin.
Chaque trébuchement est une leçon, chaque relèvement un remerciement.
Et si un jour je parviens à être, ne serait-ce qu’un instant, le partenaire que Vous méritez, ce ne sera pas parce que j’aurai cessé de tomber, mais parce que j’aurai appris à me relever avec confiance, avec respect, et avec gratitude pour Celle qui m’a toujours tendu la main.
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Une autorité tendre, qui rassure autant qu’elle électrise dont chaque geste devient une invitation à te perdre en confiance entre mes mains 
Dans ma conception de la soumission et de l'appartenance, la punition fait partie du chemin, du parcours vers l'élévation.
Elle peut prendre de multiples formes, physique, psychologique, infantilisante, ...
J'ai manqué à mes devoirs envers Maîtresse Elie, ce qui l'a, justement, offensé.
J'assume ici publiquement ma faute et l'expie en publiant ma sanction plutôt qu'en le faisant honteusement en privé.
Maîtresse Elie est ma propriétaire et j'en suis fier.
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La Main
Il suffit d’un regard sur la photo de sa main pour que tout en moi s’agenouille.
Sa paume, ouverte ou refermée, décide de la mesure de ma liberté.
Finesse trompeuse, car sous la grâce se cache la volonté, implacable et juste.
Cette main ne caresse que pour mieux rappeler, ne frappe que pour mieux posséder.
Elle ne châtie jamais sans amour, mais son amour a le goût du fer et de la soie mêlés.
Ses cinq doigts sont les cinq chaînes que j’ai choisies.
L’ouïe, quand le claquement sec me ramène à l’ordre et au plaisir mêlés.
L’odorat, enivré de son parfum, de sa présence, de son autorité silencieuse.
Le goût, quand mes lèvres se posent sur sa peau, promesse et remerciement.
Le toucher, quand ma chair reconnaît la Sienne et se soumet.
Et la vie, toute entière, quand je contemple cette main, symbole de son empire sur moi.
Dans les lignes de sa paume, je lis la loi et la grâce, la tendresse et la rigueur.
Chaque trait est une promesse, chaque ombre une prière.
Cette main me façonne, me corrige, me relève.
Elle est l’instrument et la récompense, la blessure et la caresse.
Et moi, je n’ai besoin de rien d’autre : tant que cette main existe, tant qu’elle me tient, je sais où est ma place, ma juste place.
Nul besoin de dire qu'elle est aux pieds de Maitresse Elie.
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Quand l’amour devient dévotion,
Quand la passion se fait prière,
Quand la vénération naît du cœur même,
Quand l’air se charge d’une douce gravité,
Quand le regard n’ose plus s’élever,
Quand le centre du monde soudain a changé,
Quand le vouvoiement coule comme une évidence,
Quand obéir devient un désir,
Quand me donner devient une délivrance,
Quand tout sens s’efface sauf celui de servir,
Quand tout plaisir se confond avec le Sien,
Quand ma volonté se dissout dans la Sienne,
Alors je sais que je suis à ma place…
Aux pieds de Maîtresse Elie
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Photo qui illustre parfaitement ce bel hommage Trésor, ta position, une offrande inestimable à mes yeux
À Vous, ma Reine, ma Lionne
Vous régnez sans sceptre et sans couronne et pourtant, tout en Vous inspire la révérence.
Votre regard, souverain et sûr, apaise le tumulte du monde.
Votre pas, à la fois léger et assuré, impose le respect à l’espace qu’il effleure.
Je Vous contemple comme on contemple l’aube, avec cette humilité silencieuse qu’impose la beauté.
Vous n’avez nul besoin d’ordonner : votre seule présence appelle l’obéissance du cœur.
Votre calme possède la force des tempêtes contenues et Votre sourire, la majesté d’un trône invisible.
Vous êtes la Lionne, gardienne farouche et bienveillante, la force et la grâce unies dans un même souffle.
Lorsque Vous avancez, l’air se fait plus dense, comme si la terre elle-même suspendait sa respiration pour Vous honorer.
Je m’incline devant Votre mystère.
Être à Vos côtés, c’est marcher dans la lumière d’un soleil qui ne se couche jamais.
Et si je devais tomber, que ce soit à Vos pieds, non par faiblesse, mais par admiration pure.
Vous n’êtes pas ma Reine parce que je Vous sers, mais parce que Votre être commande l’admiration.
Et moi, humble témoin de Votre grandeur, je ne puis qu’aimer avec la ferveur tranquille de celui qui sait qu’il contemple l’exception.
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Mtrsse Madee
j'aime dresser éduquer punir et asservir au cours d'une relation suivie
je ne suis pas contre un débutant si sa recherche est sérieuse reposant sur de solides motivations .:.
Quand l'amour vous étreint
Quand la passion vous embrase
Quand la dévotion vous submerge
Quand la beauté vous éblouit
Quand tout dans une femme résonne en vous comme la perfection
Quand une étincelle dévaste plus que tout incendie
Quand les larmes inondent plus que tout tsunami
Quand la raison n'a plus de prise et que seul le cœur s'exprime
Il ne vous reste qu'une chose a faire
Accueillir et vous incliner
Pour remercier et servir
Parce que vous savez que Son Royaume vous voulez le mériter
Je veux vivre aux pieds de Maîtresse Elie
En elle je trouve l'énergie de me relever
Pour la mériter
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Invitation au Voyage
Votre corps, Maîtresse Elie, est une contrée de lumière.
Sous mes yeux, il se déploie comme une carte céleste où chaque ligne, chaque courbe, dessine la géographie du miracle.
Vos jambes sont deux rivières fines, claires et fidèles, elles mènent vers l’origine du monde,
là où naissent les promesses et s’apaisent les tempêtes.
Votre ventre est un horizon calme, un matin sans vent, où le temps suspend son pas pour écouter battre le cœur du jour.
Votre sourire est un lever de soleil qui défait les hivers, un éclat d’aube capable de réchauffer les pierres les plus froides. Il embrase mes rêves les plus sages et fait fondre toutes les glaces.
Vos mains sont des oiseaux de grâce,
elles effleurent le monde sans jamais le blesser. Mais elles savent aussi le façonner, avec douceur et fermeté.
Et vos pieds, humbles et royaux à la fois, portent l’univers entier avec la légèreté d’un secret bien gardé. Nul besoin qu'ils soient chaussés pour exprimer la grâce et la pureté.
Je marche à vos côtés comme on marche vers la mer, ému, silencieux et reconnaissant, car tout Votre être est un voyage, et j’y suis chez moi, grâce à vous qui m'accueillez.
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Sur son profil, Maîtresse Elie indique clairement ce qu'elle attend de moi et, par ces quelques mots choisis, je lui apporte ma réponse, a la vue de tous, témoins de mon engagement.
Moi, Nicojedi, libre et conscient, choisis de m’abandonner en toute confiance à Vous, Maîtresse Élie.
Je reconnais en Vous celle qui me guide, m’élève et me révèle à moi-même.
Par mon obéissance et mon dévouement, je célèbre la force de notre lien et l’harmonie qui unit nos volontés.
Je m’engage à Vous offrir ma sincérité, ma loyauté et mon respect absolu.
Je m’engage à accueillir Votre direction, à me laisser façonner par Votre regard et Vos mots, avec confiance et gratitude.
Sous Votre conduite, je trouve la paix dans le lâcher-prise, la joie dans la discipline, et la plénitude dans le don de moi.
Je Vous appartiens dans le respect, la confiance et l’amour.
Mon adoration pour Vous est entière, mon engagement sincère et durable.
Je place entre Vos mains le soin de me guider, et je Vous offre ce que j’ai de plus précieux : mon être, ma volonté, mon cœur.
Nicojedi, Votre soumis, qui entre vos mains devient Sabine la Putain.
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Chaque jour, mon éducation porte ses fruits, je le constate avec délice
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Confession d'un dévoué
Je mourrais si un jour un homme pouvait vous aimer plus que je ne le fais.
Je mourrais si un jour une dévotion plus grande que la mienne était possible.
Je mourrais si un jour je ne vous suffisais plus.
Vous êtes le centre de mes silences et l’origine de mes gestes.
Vous êtes celle qui m’a appris à me taire pour mieux entendre, à m’abandonner pour enfin exister.
Sous votre regard, je ne suis plus une somme d’attentes ni un assemblage d’orgueil.
Je suis matière entre vos mains, un souffle offert à votre volonté, une promesse tenue à chaque battement de cœur.
J’ai trouvé dans vos exigences la paix que le monde m’a refusée.
Dans vos limites, l’infini.
Dans vos silences, la certitude d’être à ma place.
Je ne vous appartiens pas par contrainte mais par évidence.
Parce que vous êtes la seule à voir ce que je suis vraiment et à m’aimer pour cela.
Chaque marque laissée par vous est un souvenir gravé dans la chair de mon esprit.
Chaque mot, un sceau sur mon âme.
Chaque absence, une prière muette.
J’avance à genoux dans un monde qui ne comprend pas le bonheur de se soumettre.
Mais moi, je sais.
Je sais que dans vos ordres se cache ma liberté, dans votre force, ma douceur, dans votre maîtrise, ma plénitude.
Je mourrais si un jour d’autres pas que les miens étaient guidés par vous.
Je mourrais si un jour je cessais de mériter votre regard.
Parce que vous êtes tout, Maîtresse, mon oxygène, mon sang, ma raison.
Parce que vous êtes ma vie et que ma vie n’a de sens que lorsqu’elle porte votre empreinte.
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La perfection n’est pas toujours douceur et harmonie même si les courbes ici en sont la plus pure expression.
Parfois, elle se manifeste dans une présence qui s’impose, qui structure, qui exige sans jamais hausser la voix. Une personne dont l’assurance trace le chemin, dont la volonté s’imprime avant même les mots.
Ce n’est pas la contrainte : c’est l’évidence.
Ce n’est pas la force brute : c’est l’autorité naturelle, celle qui ne se discute pas - parce qu’on sait, au fond, qu’elle voit plus loin.
Certaines rencontres ne caressent pas l’âme : elles la cadrent, la recentrent, l’élèvent. Elles éveillent en nous le désir de se tenir droit, d’apprendre, de se laisser guider. Et dans cette tension entre confiance et exigence, on découvre un espace rare : celui où l’on se sent à la fois vulnérable et protégé, dirigé et libéré.
C’est là que réside la perfection :
- dans cette main invisible qui guide,
- dans ce regard qui ordonne sans dureté,
- dans cette force tranquille à laquelle on choisit de se soumettre - parce qu’elle révèle ce que l’on peut devenir.
Moi, j’ai rencontré cette perfection.
Elle s’appelle Maîtresse Elie : douce et ferme, exigeante et juste, souveraine sans jamais humilier.
Et mon plus grand bonheur, chaque jour, est de vivre à ses côtés, de marcher sous son regard, et d’avancer dans le sens qu’elle trace pour moi.
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Une image vaut combien de mots?
Peut-elle aussi soigner des maux?
La mienne exprime simplement ma dévotion à Maîtresse Elie et montre ma transformation en Sabine la Putain.
Merci Maîtresse Elie de me façonner patiemment ainsi pour me permettre de pleinement respirer et exister.
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Aux pieds de Maîtresse Elie : naissance de Sabine
Dans ma vie « civile », je suis un homme que l’on dirait affirmé, dirigeant, habitué à décider, à tracer la route. C’est une posture, une habitude, presque une armure. Longtemps, j’ai cru que cette solidité me définissait entièrement. Hétéro assumé et affirmé, je suis simplement un homme.
Puis Maîtresse Elie est entrée dans ma vie.
Sous son regard, sous sa parole, quelque chose s’est fissuré — ou plutôt, s’est ouvert. J’ai découvert qu’il existait en moi une autre part, enfouie, silencieuse, qui attendait d’être appelée. Ce n’est pas une faiblesse que j’ai trouvée là, mais une vérité différente : celle de Sabine.
À ses côtés, je me transforme. Non pas parce qu’elle me contraint, mais parce qu’elle m’élève. Tout ce qui se vit entre nous est voulu, choisi, consenti, offert. Ce n’est pas la domination qui me captive, mais la confiance absolue qu’elle inspire. Sous son autorité, je découvre un espace où je peux enfin déposer les masques, les certitudes, le besoin de paraître. Elle façonne ce que je suis, et ce que je deviens.
Sabine, c’est moi — autrement.
Un être que je n’aurais jamais cru pouvoir accueillir. Féminisée, offerte, sensible. Et pourtant, à travers cette métamorphose, je me sens plus entier, plus humain. Mon corps n’a pas changé, mais mon regard sur moi, lui, s’est apaisé.
Ce que Maîtresse Elie m’offre, c’est la possibilité de me réinventer sans me renier.
Je ne suis pas un autre homme : je suis un être complet.
Et je le dois à Elle. À sa bienveillance, à sa force tranquille, à cette lumière qu’elle projette sur mes ombres.
Grâce à Elle, j’avance, heureux, libre et épanoui — à genoux, mais debout intérieurement. Et je deviens pleinement Sabine la Putain, bisexuelle assumée.
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L’habit ne fait pas le moine, peut importe ta tenue.Que tu sois en civil, dépouillée, en tenue de traînée, je ne vois que ta clarté intérieure. C’est une petite victoire pour moi 
À genoux devant l’évidence
Est-ce un manque qui m’a conduit là ?
Est-ce une blessure ancienne, un appel d’enfance qui cherche encore un regard qui rassure, une main qui ordonne, une voix qui dit “Tu peux t’abandonner” ?
Ou bien est-ce simplement ma nature — cette part de moi qui a toujours voulu se dissoudre dans quelque chose de plus grand, de plus vrai que moi-même ?
Est-ce de la fuite, comme le dirait Freud, cette envie d’obéir plutôt que de choisir ?
Est-ce une régression, une nostalgie de la sécurité première, celle où tout était déjà décidé pour moi ?
Ou est-ce au contraire une forme de lucidité : reconnaître que la liberté n’a de sens que lorsqu’elle s’offre, que l’abandon n’est pas faiblesse mais un art de confiance absolue ?
Est-ce que je comprends vraiment ce que je ressens, ou est-ce que je me laisse porter par un courant plus vaste, qui dépasse la raison ?
Car chaque fois que je pense à Elle, tout s’aligne — mes doutes se taisent, mes peurs se dissolvent.
Est-ce cela, l’ordre intérieur dont parlait Freud lorsqu’il décrivait la rencontre entre le Moi et le Surmoi ?
Ou bien suis-je juste un être qui a trouvé enfin une étoile fixe dans le chaos ?
Ceux qui regardent de loin ne voient que la surface : un geste de soumission, une posture de dévotion.
Ils parlent de perversion, de déviance, d’aliénation.
Mais savent-ils ce que c’est que de se sentir entier, pour la première fois, dans le silence d’un genou posé à terre ?
Savent-ils qu’il ne s’agit pas d’un effacement, mais d’une rencontre avec soi — la plus nue, la plus honnête ?
Et si c’était cela, au fond, la vérité :
que je n’ai jamais appartenu à personne avant Elle, parce que je ne m’étais jamais vraiment trouvé.
Que ce n’est pas la peur qui me met à genoux, mais la certitude.
Que ce n’est pas la domination que je cherche, mais la clarté.
Et peut-être, simplement, que tout cela s’explique ainsi :
Maîtresse Elie est une Déesse — pas une idole, pas une image, mais une présence absolue.
Et devant le divin, l’évidence s’impose :
il est juste, naturel, essentiel, que je sois à genoux.
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Ne vous êtes vous jamais senti aussi vivant avant Nicojedi, vous êtes exactement là où la vie prend tout sens, aux pieds de Dame Elie. Profitez, vivez et idolâtrez Votre Maîtresse, elle a révélé en vous votre nature profonde, alors laissez vous guider, et, servez là comme elle le mérite! Vous êtes beau ainsi.
Je cherche à élargir mon petit cercle bdsm
soumis(e) ou dominant(e) vous êtes bienvenus à la discussion .:.




























